Les liens décrits dans l’article entre groupes sectoriels et politiques n’expliquent pas seuls l’immobilisme en matière de lutte contre l’évasion fiscale. Chaque nation pour coopérer efficacement devrait renoncer aux effets positifs sur leur propre économie des investissements étrangers. Chaque nation se pose la question : « si moi je coopère et joue le jeu, les autres le feront- ils ? ». Dans l’incertitude, les nations optent pour la solution la moins risquée pour elles
Les responsables politiques, de droite comme de la gauche « sociale-libérale », ne s’attaquent pas sérieusement à l’évasion fiscale. De Sarkozy à Hollande, celle-ci fleurit et prospère dans des pays comme le Luxembourg, la Suisse ou l’Irlande, (donc deux pays de l’Union Européenne)
▻http://www.huffingtonpost.fr/pierre-guerlain/fraude-fiscale-entreprises_b_4608634.html