• Sauvez le web en 2017 en votant Firefox ! | via @afulorg
    https://aful.org/communiques/sauvez-web-votez-firefox-57-quantum

    L’utilisation du navigateur web Chrome de Google est devenue ultramajoritaire dans le monde au cours de ces dernières années et particulièrement au cours de ces derniers mois. Cette situation pose plusieurs problèmes. Nous en retiendrons deux qui menacent particulièrement les utilisateurs informatiques, c’est-à-dire en fait quasiment toutes les personnes (puisqu’il suffit d’avoir un téléphone et une connexion Internet).

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    • Trouvé cet article à propos de #Firefox et l’évolution des usages sur « Internet ».

      http://www.01net.com/actualites/comment-firefoxa-trahi-le-web-et-pourrait-bien-le-sauver-grace-a-de-nouvelles

      Les smartphones n’ont pas seulement ébranlé la domination de nos PC. Ils ont aussi ont mis à mal la façon dont on accède au Web. Pour le préserver et offrir un accès libre à l’information, Mozilla et Firefox veulent porter leur combat au-delà du navigateur classique.

      Depuis l’arrivée de l’iPhone, l’informatique personnelle s’est engagée sur une courbe d’accélération inimaginable, poursuivant la révolution du PC en glissant un ordinateur omniprésent dans la poche d’un nombre croissant d’utilisateurs dans le monde. Lors de l’introduction de son premier smartphone, Steve Jobs en faisait un « outil de communication révolutionnaire pour Internet ». De fait, l’iPhone ouvrait au grand public la porte du Web, il lui donnait accès à une somme de connaissance et d’informations en mobilité jamais égalée dans l’histoire.

      Dix ans plus tard, le constat est plus nuancé : les applications mobiles sont passées par là et ont morcelé le Web, vampirisé le temps passé sur nos téléphones portables. Au point que les utilisateurs de smartphones n’utilisent presque plus les navigateurs mobiles... et donc le Web. Ces chiffres de Flurry Analytics parlent d’eux-mêmes. En gardant en tête que le nombre d’heures dévolues au smartphone croît chaque année, les browsers occupaient 20% du temps passé sur un smartphone en 2013, 14% en 2014, 9% fin 2015 et seulement 8% fin 2016. Ce n’est plus une érosion, c’est une débâcle.

      A l’occasion du lancement de Firefox 57 Quantum, nous nous sommes longuement entretenus avec Mark Mayo, senior vice-président de Firefox, sur le rôle du navigateur, les enjeux du Web ouvert et la responsabilité – tout autant que le combat – de Mozilla au cœur de la révolution du mobile.

      #Mozilla #web #applications #smartphones (ou « smart-faunes » comme ils disent)

  • Racketiciel : Dernier « tir » judiciaire | AFUL
    https://aful.org/nouvelles/racketiciel-dernier-tir-judiciaire

    Les racketiciels tuent l’innovation

    Quand on observe l’informatique grand public de ces 40 dernières années, rien n’a radicalement évolué. Les principes inventés par Xerox au début des années 70 sont toujours présents dans les systèmes d’exploitation grand public. Ils sont certes toujours plus jolis, mais cela reste la même chose. Pourtant, plusieurs systèmes d’exploitations, la plupart sur base GNU-Linux, ont proposé et essayé des interfaces utilisateur très innovantes qui auraient permis à l’usage de l’informatique grand public de faire un bond en avant. Malheureusement, la situation des racketiciels rend impossible de pénétrer ce marché. Ces systèmes novateurs restent totalement inconnus des non-initiés.

  • L’AFUL salue la proposition d’actualisation du RGI et répond à l’appel à commentaires | AFUL
    https://aful.org/nouvelles/aful-salue-nouvelle-mouture-rgi-participe-appel-commentaires

    Lorsque je télécharge un document électronique de l’administration, notamment un formulaire, ai-je la certitude de toujours pouvoir le lire et le remplir ? Ai-je la certitude que ma réponse sera lue correctement sur les ordinateurs des personnes qui traiteront mon document dans différents services ? Ai-je la certitude que ces personnes pourront l’exploiter sans perte de données ? À notre époque où toutes les démarches administratives sont dématérialisées, c’est tout l’enjeu, en France, du Référentiel Général d’Interopérabilité (RGI) créé par l’État. Ce référentiel fixe notamment les formats de fichiers à utiliser afin que les systèmes d’information de l’État soient interopérables notamment avec les citoyens et les entreprises françaises, mais aussi avec les entreprises européennes et les autres administrations européennes. Un des enjeux est bien sûr aussi la cohérence interne de l’État et des collectivités.

    Après la première version du RGI publiée en 2009, la Direction Interministérielle des Systèmes d’Information et de Communication (DISIC) lance en 2015 une actualisation du RGI pour aboutir à une version 2. Les enjeux du RGI étant éminemment reliés à ceux des formats ouverts et des logiciels libres, l’AFUL a tenu à participer à l’appel à propositions pour cette nouvelle version.

  • L’AFUL dénonce la menace que représente la loi sur le renseignement sur ses fondements statutaires | AFUL
    https://aful.org/communiques/denonce-menace-loi-sur-renseignement

    L’AFUL dénonce la menace que représente la loi sur le renseignement sur ses fondements statutaires

    Le projet de loi français sur le renseignement est en contradiction avec les valeurs portées par l’AFUL : liberté, pérennité, interopérabilité.

    Il doit être fortement modifié pour atteindre ses buts sans remettre en cause la liberté des citoyens français sur l’Internet.
    Le nouveau projet de loi sur le renseignement en cours d’étude par le Parlement français menace les fondements sur lesquels l’AFUL s’est formée : Liberté, Pérennité, Interopérabilité.

    La liberté est sans doute le point fondamental car ce texte se propose de réduire l’exercice des libertés, par la négation du droit à la vie privée des internautes, en permettant une capture systématique et automatisée d’informations sur leur activité sur l’Internet.

    Ainsi ce projet de loi indique que :

    « L’article L. 811-1 garantit le respect de la vie privée, notamment de ses composantes que sont le secret des correspondances et l’inviolabilité du domicile, en prévoyant qu’il ne peut y être porté atteinte que dans les seuls cas de nécessité d’intérêt public prévus par la loi, dans le respect du principe de proportionnalité. »

    Mais il indique aussi plus bas que :

    « L’article L. 811-3 liste de manière limitative les motifs d’intérêt public pour lesquels peut être autorisé le recueil de renseignements par des techniques spéciales prévues par la loi. Ces motifs, strictement définis, concernent en particulier la sécurité nationale, les intérêts essentiels de la politique étrangère, les intérêts économiques ou scientifiques essentiels, la prévention du terrorisme, la prévention de la reconstitution ou du maintien de groupement dissous, la prévention de la criminalité organisée et la prévention des violences collectives pouvant porter gravement atteinte à la paix publique. »

    L’impact sur l’économie numérique en France est conséquent, ainsi que le souligne la pétition Ni pigeons, ni espions dont l’AFUL est signataire aux côtés de près de 800 autres sociétés, associations, hébergeurs, ...

    La pérennité autour des services en ligne libres et loyaux dont l’AFUL assure la défense est également remise en cause.

    En effet, les statuts de l’AFUL stipulent :

    « Sont considérés comme loyaux les services en ligne qui permettent à leurs utilisateurs la garantie du secret absolu et la protection de leurs données, y compris sous forme anonymisée. La fourniture à un tiers de données relatives à l’usage du service ne peut se faire sans un accord préalable explicite de l’utilisateur, au cas par cas. »

    Or des articles du projet de loi contreviennent à la notion de service en ligne libre et loyal :
    L’article L. 851-4. prévoit que « Pour les seuls besoins de la prévention du terrorisme, sur demande des agents individuellement désignés et dûment habilités des services spécialisés de renseignement, mentionnés à l’article 6 nonies de l’ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires, le Premier ministre, ou l’une des personnes déléguées par lui, peut, après avis de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, imposer aux opérateurs et personnes mentionnés à l’article L. 851-1 la mise en œuvre sur les informations et documents traités par leurs réseaux d’un dispositif destiné à révéler, sur la seule base de traitements automatisés d’éléments anonymes, une menace terroriste. »

    Si il apparaît légitime de lutter contre les violences du terrorisme, la notion même de ce terme et le pouvoir de décider qui entre sous cette qualification reste encore très largement à définir.

    L’impact sur la confiance des utilisateurs de l’Internet dans les services proposés par leurs fournisseurs est conséquent, ainsi que le souligne la pétition Retirez le projet de Loi Renseignement : c’est un Big Brother français dont l’AFUL est signataire aux côtés de plus de 117 000 autres utilisateurs de l’Internet en France.

    C’est également ce qui a conduit l’AFUL à signer une cyberaction non à la surveillance généralisée ! en soutien à Amnesty International France, La Quadrature du Net, le syndicat des avocats de France et le syndicat de la magistrature, entre autres signataires.

    Nous incitons les membres de l’AFUL à également signer ces deux dernières pétitions et à contacter leurs députés et sénateurs pour leur demander de se renseigner sur le caractère néfaste de cette loi en leur faisant lire les textes des pétitions sus-citées, les sites et les articles suivants :

    Article de la Quadrature du Net et leur appel à l’action « Projet de loi relatif au Renseignement : agissons contre la surveillance de masse »
    Article de Laurent Chemla sur Mediapart
    Article du Monde
    Article de Maître Eolas
    L’AFUL est favorable à une utilisation éclairée de l’Internet et des logiciels libres pour l’épanouissement de ses utilisateurs. Ceux qui l’utiliseraient à des fins aujourd’hui répréhensibles par la loi sont déjà potentiellement soumis à des écoutes, suite à une autorisation délivrée par un juge judiciaire lors d’une demande effectuée par les autorités. L’AFUL soutient bien évidement le travail des autorités qui permettent la protection des citoyens dans le respect du principe du contradictoire.

    La nouvelle loi proposée par le gouvernement français et discutée ici n’assurerait pas de sécurité supplémentaire aux citoyens français par rapport à celles existantes, mais elle les soumettrait potentiellement à une surveillance généralisée de nature à restreindre fortement leurs capacités en matière de droit à la vie privée. Ceci concerne chacun des membres français de l’AFUL individuels autant que les sociétés adhérentes.

    À propos de l’AFUL (https://aful.org)

    Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres, l’AFUL a pour principal objectif de promouvoir les logiciels libres ainsi que l’utilisation des standards ouverts. Ses membres, utilisateurs, professionnels du logiciel libre, entreprises ainsi que d’autres associations, sont issus d’une dizaine de pays ou de régions francophones (France, Belgique, Suisse, Afrique francophone, Québec).

    Interlocuteur de nombreux médias, l’AFUL est présente sur nombre de salons, conférences et rencontres. Elle agit notamment activement contre la vente liée (site Non aux Racketiciels, comparatif bons-vendeurs-ordinateurs.info et bons-constructeurs-ordinateurs.info), pour l’interopérabilité (membre de l’AFNOR, participation aux référentiels d’interopérabilité et d’accessibilité de la DGME, site formats-ouverts.org, etc.), intervient sur les problématiques du droit d’auteur ainsi que pour la promotion de l’utilisation de logiciels et ressources pédagogiques libres pour l’éducation entendue au sens large.

    Contacts presse :
    Relations presse - AFUL : presse@aful.org

  • L’Aful annonce OFFRE LIBRE, la marque de la liberté | AFUL
    https://aful.org/communiques/aful-annonce-offre-libre-marque-liberte

    Le groupe de travail professionnel de l’Aful annonce la création d’une marque permettant de distinguer les offres commerciales réellement libres.
    Nombreuses sont les entreprises à s’être engagées dans le mouvement de l’Open Source, notamment au vu de la supériorité du modèle en terme de qualité, de contrôle et de compétitivité. Malheureusement, si ces entreprises ont toutes plus ou moins bien intégré les avantages du logiciel libre et de l’Open Source pour elles (les méthodes d’ingénierie, d’ouverture, la disponibilité d’une quantité considérable de composants, les possibilités de modifier le code), trop peu d’entre elles respectent à leur tour les libertés de leurs utilisateurs, notamment dans leurs rapports commerciaux. Ainsi certaines de ces entreprises livrent au final du logiciel non-libre à leurs clients. Et ces clients commencent à perdre leur repères et leur confiance dans les avantages du logiciel libre ou de l’Open Source.

    Laurent Séguin, président de l’Aful, explique : « Lors d’une discussion, un Directeur des Systèmes d’Information d’une grande entreprise française m’a annoncé : J’ai acheté de l’Open Source, je n’ai pas vu de différence avec le propriétaire. Cette simple phrase a été un choc car, depuis quinze ans, l’Aful explique en quoi le logiciel libre est meilleur que le logiciel non libre, notamment pour une entreprise. Une rapide analyse a montré que ce DSI pensait se fournir en logiciel libre, mais qu’il lui avait été livré du logiciel non libre "à base d’Open Source" (Open Core et Freemium). Les libertés des utilisateurs étant le fondement de l’Aful, nous devions agir ! »

  • On connaissait le débat libre vs open source, voici maintenant le débat open source « canada dry » : du libre pas vraiment libre !

    L’Aful annonce OFFRE LIBRE, la marque de la liberté | AFUL
    https://aful.org/communiques/aful-annonce-offre-libre-marque-liberte

    Le groupe de travail professionnel de l’Aful annonce la création d’une marque permettant de distinguer les offres commerciales réellement libres.

    Nombreuses sont les entreprises à s’être engagées dans le mouvement de l’Open Source, notamment au vu de la supériorité du modèle en terme de qualité, de contrôle et de compétitivité. Malheureusement, si ces entreprises ont toutes plus ou moins bien intégré les avantages du logiciel libre et de l’Open Source pour elles (les méthodes d’ingénierie, d’ouverture, la disponibilité d’une quantité considérable de composants, les possibilités de modifier le code), trop peu d’entre elles respectent à leur tour les libertés de leurs utilisateurs, notamment dans leurs rapports commerciaux. Ainsi certaines de ces entreprises livrent au final du logiciel non-libre à leurs clients. Et ces clients commencent à perdre leur repères et leur confiance dans les avantages du logiciel libre ou de l’Open Source.

    #opensource #libre

  • Dessine-moi les méchants ! Et comment se protéger de l’informatique, ou l’informatique à l’ère post-Snowden | AFUL
    https://aful.org/nouvelles/dessine-moi-mechants-comment-se-proteger-informatique

    À l’occasion de la publication de son document « Comment se protéger de l’informatique, ou l’informatique à l’ère post-Snowden » l’AFUL organise une grande activité de dessin pour les enfants en leur demandant « Dessine-moi les méchants ! ».

  • Comment se protéger de l’informatique, ou l’informatique à l’ère post-Snowden | AFUL
    https://aful.org/metamorphose/se-proteger-informatique-ere-post-snowden

    Les révélations d’Edward Snowden ont créé une rupture dans la perception de l’informatique de tous (des utilisateurs moyens aux chercheurs en cryptographie). C’est pourquoi nous parlons de l’ère post-Snowden, qui se caractérise par la perte de confiance en l’informatique. Voyons ce que cela représente concrètement, notamment en termes de sécurité et de vie privée pour les différents profils d’utilisateurs (utilisateur moyen, utilisateur expérimenté, développeur, professionnel, etc.).