• Décret sur la publicité digitale : l’UDA s’impatiente - Marketing digital
    http://www.e-marketing.fr/Thematique/general-1080/Breves/Decret-sur-la-publicite-digitale-l-UDA-s-impatiente-311092.htm

    Il est attendu comme la réponse à la problématique d’image du marché de la publicité en ligne. Le décret de la loi Macron, qui doit étendre la réglementation mise en place par la loi Sapin de 1993 à tout l’écosystème digital, tarde à être publié depuis son adoption par le gouvernement français en décembre 2015. Et ce, malgré le feu vert du Conseil d’Etat et de la Comission Européenne. Lasse, l’Union Des Annonceurs espère attirer l’attention de l’appareil exécutif et plus particulièrement de Michel Sapin sur l’urgence de l’application de cette mesure.

    Avec 31,7% des investissements publicitaires attendus en France, soit près de 3529 millions d’euros, le média digital dépassera la télévision en 2017. Un développement rapide et relativement incontrôlé qui a apporté son lot de conséquences néfastes pour le marché. Les intermédiaires dans cette branche de la publicité se sont ainsi multipliés, soulevant la question de la rémunération des différents niveaux d’acteurs. Quelle est la part du budget investi par un annonceur qui revient réellement au média ?

    En parallèle, le phénomène de fraude s’est multiplié : un rapport de juin 2016 de la WFA estime que 80% des clics sur les annonces publicitaires sont frauduleux. L’UDA attend donc beaucoup de la publication de ce décret, censé encadrer les relations entre agences, annonceurs, médias et autres acteurs de l’écosystème afin d’assurer transparence et fiabilité. Et se réserve la liberté de faire appel à la DGCCRF pour réaliser un audit de la situation actuelle afin de prouver la nécessité de l’application de cette mesure.

  • Quels #médias pour les #classes populaires ? - Acrimed | Action Critique Médias
    http://www.acrimed.org/article4693.html

    La force des «  idées reçues  »

    Les médias commerciaux n’ont pas cette contrainte, leur objectif étant au contraire de maximiser leur audience quitte à recourir aux #stéréotypes et aux raccourcis cognitifs les plus élémentaires – le propre des « idées reçues  » étant de ne pas trop remettre en cause les routines de #pensée des récepteurs. L’habileté de TF1, M6, RMC, du Parisien et de quelques autres est de s’appuyer sur le sens commun et de cultiver l’ambiguïté pour répondre aux besoins psychologiques et sociaux présentés rapidement plus haut sans mettre réellement en discussion publique les interprétations possibles des #représentations et discours qu’ils produisent. Comme dans tout espace de production de biens culturels, les acteurs du champ médiatique sont en lutte pour définir les événements dignes d’être traités, leur #hiérarchie, les mots légitimes pour en rendre compte, etc. Dans ce processus commun et conflictuel, se construisent les règles qui permettent l’autonomie, au moins relative, du champ. Or, la participation des journalistes des rédactions commerciales à ce conflit de définition n’est plus explicite, ni reliée à des normes professionnelles plus ou moins partagées, mais indirecte, dans la mesure où ils se situent non plus dans le registre de l’#information (dont le but est d’être discutée politiquement) mais du « #spectacle  », entendu au sens de Guy Debord, comme représentation indépendante qui « échappe à l’activité des hommes, à la reconsidération et à la correction de leurs œuvres » [3]. L’objectif des rédactions des médias commerciaux est de faire écho à ce fonds inconscient (et néanmoins historicisé) qui serait donné en partage à tout individu, réalisant ainsi en pratique la formule de Adorno  : « Tout le bruit silencieux qui résonne depuis toujours dans nos rêves, les gros titres des journaux lui font écho quand nous sommes éveillés » [4].

  • Mobile : le bel avenir du #geofencing
    http://www.e-marketing.fr/Thematique/Tendances-1000/Breves/Mobile-le-bel-avenir-du-geofencing-230896.htm

    Le geofencing, qui permet d’envoyer des sms ou des messages en push, connaît un succès croissant. Ce nouvel outil, qui s’inscrit dans la grande tendance du geomarketing, est de plus en plus utilisé par les marqueteurs.

    Avec du vrai jargon marketing…

    " Les principales tendances de géolocalisation dans le retail sont le web-to-store, le géomarketing indoor, le couplage géolocalisation/stocks des produits, mais aussi le « local SEO/SEA », le « geofencing SMS », et le "geofencing notifications" « , détaille Vincent Druguet, directeur général adjoint de DigitasLBi.

    Le geofencing est l’un des outils en vogue du geomarketing : il connaît une belle croissance. Le secteur des services géographiques pèserait en effet entre 150 et 270 milliards de dollars de chiffre d’affaires chaque année. » Le secteur affiche une croissance de 30 % par an, c’est au-delà de nos prévisions ", indique Charlie Hale, analyste et porte-parole de #Google sur ce sujet. Un très fort pourcentage des recherches sur mobile sont en effet des recherches locales. Les retailers commencent à mettre en place des stratégies de « local SEO » (référencement naturel géolocalisé) et « local SEA » (référencement payant géolocalisé), c’est à dire géolocaliser un produit sur Google lorsque celui-ci est cherché sur un mobile. Concernant le « geofencing SMS », (c’est-à-dire l’envoi de SMS à une base d’"opt-in" dans une zone de chalandise à une population ciblée), seul SFR est en avance sur ce dossier en France. Le « geofencing notifications », en progression, permet de cibler une population dans une zone de chalandise et de faire du drive-to-store via une ou plusieurs applications dédiées.

    WP traduit par #Gardiennage_virtuel et en est resté pour l’instant à l’aspect #surveillance
    Gardiennage virtuel — Wikipédia
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gardiennage_virtuel

    Le gardiennage virtuel (en anglais, geo-fence ou geofencing ) est une fonction d’un logiciel de géolocalisation qui permet de surveiller à distance la position et le déplacement d’un objet et de prendre des mesures si la position ou le déplacement s’écarte de certaines valeurs fixées d’avance.

    Terme entrevu dans le reportage signalé par @cdb_77 http://seenthis.net/messages/226373