Wearables have a dirty little secret : Most people lose interest

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  • Les petits secrets des wearables : la plupart des gens s’en désintéressent - TechRepublic
    http://www.techrepublic.com/article/wearables-have-a-dirty-little-secret-most-people-lose-interest

    Pour Teena Hammond de TechRepublic, alors qu’on ne cesse de nous vanter le prochain succès de l’informatique portée sur soi (wearable computing), le constat pour l’instant montre surtout que les utilisateurs s’en désintéresse au bout de quelques mois. Une récente enquête sur 6000 américains adultes utilisateurs de traqueurs de santé ou de sport montre qu’un1/3 d’entre eux ont cessé d’utiliser l’appareil au bout de 6 mois : http://endeavourpartners.net/white-papers En fait, beaucoup d’utilisateurs les abandonnent très rapidement parce qu’ils se cassent, sont faciles à perdre, ne sont pas étanches, sont difficile à synchroniser avec votre smartphone, n’ont pas de bonnes batteries, sont laids, voir ne présentent parfois aucun avantage matériel à l’usage (notamment quand une application de votre (...)

    #bodyware #quantifiedself

  • Santé : le boom des gadgets connectés
    Le Monde, 10 février 2014
    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/02/10/gadgets-connectes-tous-mesures_4363671_1650684.html

    L’essentiel du chiffre d’affaires des fabricants de bracelets, balances et autres accessoires repose sur la vente de leurs produits (souvent supérieur à 100 euros).

    Le business model est plus complexe pour les applications, dont le développement coûte entre 10 000 et 50 000 euros. Seules 28 % sont payantes, entre 0,79 euro et 8,99 euros, avec une moyenne à 2,56 euros. Les possesseurs d’iPhone sont les plus dépensiers, au point que des applications gratuites sur Android (le système d’exploitation de Google) sont payantes sur iOS (celui d’Apple) !

    #santé #internet_des_objets #capteurs #wearable

    • OÙ VONT LES #DONNÉES ?

      C’est la question sensible. Pour ce qui est des objets connectés, les vendeurs sont unanimes : les données personnelles sont sous le contrôle de l’utilisateur et ne sont récupérées par des tiers qu’après son consentement.

      En réalité, c’est bien moins simple. Ces données, hébergées par les fabricants d’objets, servent anonymement à l’amélioration des performances de leurs algorithmes. Elles « fuitent » aussi naturellement à l’extérieur, car, pour encourager l’utilisateur dans son activité d’autoévaluation, il est incité à partager ses performances avec ses amis inscrits sur les réseaux sociaux.

      Concernant les applications sur mobile, le devenir de ces informations est encore moins clair. L’équipe Privatics, de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), à Grenoble, a commencé des tests sur 59 d’entre elles.

      Résultat : seules 13 n’envoient pas de données à l’insu de l’utilisateur. Les autres communiquent des identifiants personnels liés au téléphone ou à l’opérateur, des éléments de localisation, voire l’adresse mail. « Notre soupçon, c’est que ces informations sont envoyées à des régies publicitaires à des fins de marketing et de ciblage des utilisateurs », estime Vincent Roca, coauteur de cette étude encore en cours.

      « Ces données doivent être protégées comme un coffre à la banque, estime le docteur Jacques Lucas, vice-président du conseil national de l’ordre des médecins. Ces outils, s’ils étaient recommandés ou prescrits par des médecins, auraient une diffusion plus sécurisée, la question centrale étant de savoir si cette innovation améliore la qualité de vie de la personne et, in fine, son espérance de vie. »

    • Comme pour tous les gadgets, l’attrition est rapide : un tiers des utilisateurs ne s’en servent plus au bout de 6 mois et la moitié au bout de 18 mois.

      Wearables have a dirty little secret : 50% of users lose interest - TechRepublic
      http://www.techrepublic.com/article/wearables-have-a-dirty-little-secret-most-people-lose-interest

      Tech wearables, particularly those for health and fitness, fail to keep the interest of users for more than a few months. A survey of 6,223 US adults revealed that one in ten consumers age 18 and over owns a modern activity tracker such as Jawbone, Fitbit, Nike+ Fuelband or Misfit Wearables. Yet, more than half of the survey’s respondents said that they no longer use their activity tracker, and a third of those stopped using the device within six months of receiving it.

      Le papier http://endeavourpartners.net/assets/Endeavour-Partners-Wearables-White-Paper-20141.pdf et les recommandations pour fidéliser les porteurs de gadgets.