Aliénation parentale : cette pathologie que la France tarde à reconnaître

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  • Aliénation parentale : cette pathologie que la France tarde à reconnaître
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/02/24/lalienation-parentale-pathologie-france-tarde-a-reconnaitre-250123
    Pour autant que je sache, le #SAP est un cheval de Troie des #masculinistes, non ?

    Dans le cadre d’une séparation ou d’un divorce, il arrive qu’un des parents veuille se venger de l’autre et le détruire moralement, et qu’il cherche à garder exclusivement son enfant pour lui. Dans ce genre de situation, ce parent et l’enfant peuvent alors se dresser contre l’autre parent qui devient le « méchant ». Et c’est là que peut naître le « syndrome d’aliénation parentale ».

    Concrètement, l’enfant se met à renier l’un de ses deux parents et refuse de le voir (le parent aliéné), souvent après avoir entendu des propos désobligeants sur lui par l’autre parent (le parent aliénant), que cela ait été fait consciemment ou non.

    • @monolecte oui, c’est utilisé depuis le tout début, au Canada puis ailleurs, pour faire passer les trucs masculinistes par la porte de derrière.

      Alors théoriquement, bien sûr que ce serait un problème à résoudre, mais vu qui l’utilise et qui le promeut (= souvent des pères masculinistes possiblement violents), il faut faire hyper gaffe aux solutions mises en avant…

    • C’est l’ensemble qui est difficile : la fin du couple parental, de ce qu’il représente encore dans la société comme havre de paix et de sécurité idéalisé. Avant, y a déjà un couple qui ne fonctionne plus, avec ambiance de merde à la maison, ce qui ne favorise pas forcément la sécurité affective du gosse, il y a le trauma de la séparation proprement dite, avec ses questions bassement matérielles, ses déchirements et ses climax émotionnels, puis la gestion des contraintes de l’après, où se rejoue souvent l’avant, avec le fait qu’on ne peut couper les ponts autant qu’on le voudrait, et que quand l’avant, c’était des coups et un⋅e conjoint⋅e abusi⋅f⋅ve, les protagonistes ne s’arrangent pas après.