• NSA blows its own top secret program in order to propagandize
    https://firstlook.org/theintercept/2014/03/31/nsa-worlds-subservient-reporter-blows-top-secret-program

    John “Chris” Inglis just revealed to the world that the NSA was–is?–intercepting every single email, text message, and phone-location signal in real time for the entire country of Iraq. Obviously, the fact that the NSA has this capability, and used it, is Top Secret. What authority did Chris Inglis have to disclose this? Should a Department of Justice leak investigation be commenced? The Post, last July, described Alexander’s “collect-it-all” mission in Iraq which then morphed into his approach on U.S. soil (“For NSA chief, terrorist threat drives passion to ‘collect it all,’ observers say”), but did not confirm the full-scale collection capabilities the NSA had actually developed.

    What makes this morning’s disclosure most remarkable is what happened with last week’s Washington Post report on the MYSTIC program, which, said the Post, provides “comprehensive metadata access and content” for entire countries where it is used. The agency “has built a surveillance system capable of recording ’100 percent’ of a foreign country’s telephone calls, enabling the agency to rewind and review conversations as long as a month after they take place,” reported the Post.

  • US Takes a Break From Condemning Tyranny to Celebrate Obama’s Visit to Saudi Arabia
    https://firstlook.org/theintercept/2014/03/28/us-takes-break-condemning-tyranny-celebrate-obamas-visit-saudi-arabia

    Si vous voulez justifier tout cela en faisant cyniquement valoir qu’il est avantageux pour les #Etats-Unis de soutenir des tyrannies répressives et brutales, allez-y. Au moins c’est une position honnête. Mais ne vous époumonez pas comme si les États-Unis étaient une sorte de pilier de la lutte contre la #répression politique et les violations des #droits_humains, quand l’exact contraire est aussi clairement vrai.

  • Tempête à la #CIA, accusée d’avoir espionné le Congrès américain
    http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201403/11/01-4746651-tempete-a-la-cia-accusee-davoir-espionne-le-congres-americain.ph

    Les accusations ont déclenché une bagarre publique rare entre la CIA et le Congrès, le directeur de l’agence d’espionnage John Brennan niant avoir cherché à faire obstacle à l’enquête du Sénat, sans toutefois commenter les faits en détail.

    « Nous n’essayions pas de bloquer quoi que ce soit », a déclaré John Brennan lors d’un événement organisé par le Council on Foreign Relations. « La CIA n’espionnait pas, d’aucune façon, la commission du Renseignement ».

    Les rumeurs de presse s’amplifiaient depuis plusieurs jours sur la surveillance supposée par l’agence de renseignement d’ordinateurs utilisés par des enquêteurs de cette commission.

    L’objet de leur enquête, conduite de 2009 à 2012, était brûlant : les techniques d’interrogatoire musclé employées par la CIA entre 2002 et 2006, sous le mandat de George W. Bush, et notamment la simulation de noyade.

    Mardi, Dianne Feinstein, présidente de la commission et à ce titre l’une des personnes les plus puissantes du Congrès, a non seulement confirmé certaines de ces allégations, mais accusé la CIA d’avoir supprimé des documents compromettants en accédant sans autorisation aux ordinateurs des collaborateurs parlementaires.

    « Je suis très inquiète, la fouille de la CIA pourrait bien avoir violé le principe de séparation des pouvoirs incarné dans la Constitution américaine, y compris la liberté d’expression et de débat », a-t-elle déclaré lors d’une déclaration fracassante et minutieusement détaillée de plus de 30 minutes.

    Selon elle, la CIA pourrait avoir aussi violé un décret datant de 1981 qui interdit à l’agence de mener des opérations de surveillance sur le territoire américain. L’affaire a été transmise au département de la Justice, a-t-elle révélé.

    Parallèlement, la CIA accuse la commission d’avoir rapporté illégalement dans les bureaux du Sénat des documents confidentiels, et a aussi référé l’affaire à la justice - une tentative d’intimidation, selon Dianne Feinstein.

    (...)

    Les révélations ont aussi fait réagir Edward #Snowden, l’homme à l’origine des fuites historiques sur un autre pan de l’appareil de surveillance américain, la National Security Agency (NSA).

    Évoquant un « effet Merkel », il a critiqué Dianne Feinstein qui « se fiche que les droits de millions de citoyens ordinaires soient violés par nos espions, mais tout d’un coup cela devient un scandale quand un élu découvre que la même chose lui arrive », a-t-il déclaré à la chaîne américaine NBC News.

    #Etats-Unis