Où va l’économie numérique ? Vers une innovation sans emplois ? | InternetActu
►http://internetactu.blog.lemonde.fr/2012/03/02/ou-va-leconomie-numerique-vers-une-innovation-sans-emplois
Où va l’économie numérique ? Vers une innovation sans emplois ? | InternetActu
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Online assets: Deathless data | The Economist
►http://www.economist.com/node/21553011 via @opironet #mort
Service providers have different rules—and few state them clearly in their terms and conditions. Many give users a personal right to use an account, but nobody else, even after death. Facebook allows relatives to close an account or turn it into a memorial page. Gmail (run by Google) will provide copies of e-mails to an executor. Music downloaded via iTunes is held under a licence which can be revoked on death. Apple declined to comment on the record on this or other policies. All e-mail and data on its iCloud service are deleted on the death of the owner.
Cf. ►http://internetactu.blog.lemonde.fr/2012/04/10/la-mort-a-lheure-des-reseaux
La mort du cyberflâneur | InternetActu
►http://internetactu.blog.lemonde.fr/2012/04/04/la-mort-du-cyberflaneur
Il s’est passé la même chose sur Internet. Internet n’est plus un lieu de déambulation – c’est un lieu où l’on agit. Presque plus personne ne surfe sur le Web. La popularité des applications, grâce auxquelles nos téléphones et nos tablettes nous aident à faire ce que nous voulons, sans même avoir à passer par un navigateur et parcourir l’Internet, a rendu la flânerie plus difficile. Le fait qu’une bonne partie de l’activité en ligne tourne autour de l’achat n’aide pas non plus.
Franchement pas d’accord. La plupart des gens que je connais surfent sur le web, maison ou travail peu importe.
tout à fait d’accord et en plus, l’achat en ligne est bien la dernière activité à laquelle je m’adonne sur internet (bon d’accord, je suis toujours fauchée)
Réalisons quand même qu’on travaille presque tous sur le web ici donc notre situation n’est pas forcément lampda…
@baroug, tu peux parler autrement qu’à la première personne du pluriel :) Non, je ne travaille pas sur le web et oui, je suis lambda
ah mais j’ai dansé la lambada ! Et bien d’autres danses encore ! (non pas celle du canard)
@baroug : pas du tout sûr que ce soit lié à la proportion importante de webeux ici présents. Je regarde autour de moi (ma douce par exemple) et la sérendipité sérendipite assez sérendipiteusement.
« ma femme » c’est sûr que c’est pertinent et représentatif comme exemple.
Je veux dire qu’un échantillon de 4 geeks n’est pas plus représentatif qu’un échantillon de 1 = ma douce.
C’était un exemple.
En plus je t’interdis, elle est super pertinente comme fille. :)
bon allez un autre exemple : Mon père.
Quand tu sais que chez lui un rapport de bug c’est « quand je clique dans le panneau, ça m’ouvre le panneau et là ça m’affiche un panneau : alors tu sais corriger l’erreur ou pas ? » :)
Je note quand même que ta méthode de recherche consiste à noter empiriquement ce que fait ta famille. J’y vois une faille méthodologique.
: p
@baroug ah zut mais tu as raison. N’empêche que ce n’est pas moins empirique que de généraliser à partir des 4 personnes de ce fil de discussion. :) #match_nul #vite_une_bibine
La mort du cyberflâneur | InternetActu
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Superbe article de Xavier de la Porte
On vient bien, alors, pourquoi la cyberflânerie pouvait être une notion tentante dans les premiers temps du Web. L’idée d’explorer le cyberespace comme un territoire vierge, pas encore colonisé par les états et les entreprises, était romantique ; un romantisme qui se reflétait dans les noms des premiers navigateurs ("Internet explorer", « Netscape Navigator »). Des communautés en ligne comme GeoCities et Tripod étaient les passages numériques de cette époque, vendant les choses les plus étranges et les plus communes, sans aucune forme de hiérarchie tenant à leur popularité ou leur valeur commerciale. Dans ces temps-là, Ebay était plus étrange qu’un marché aux puces ; errer dans ses stands virtuels était plus plaisant qu’y acheter quoi que ce soit. Pendant une brève période, au milieu des années 90, Internet donnait l’impression de permettre une renaissance inattendue de la flânerie.
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Il s’est passé la même chose sur Internet. Internet n’est plus un lieu de déambulation – c’est un lieu où l’on agit. Presque plus personne ne surfe sur le Web. La popularité des applications, grâce auxquelles nos téléphones et nos tablettes nous aident à faire ce que nous voulons, sans même avoir à passer par un navigateur et parcourir l’Internet, a rendu la flânerie plus difficile. Le fait qu’une bonne partie de l’activité en ligne tourne autour de l’achat n’aide pas non plus.
Le tempo du Web contemporain a aussi changé. Il y a dix ans, un concept comme le « web en temps réel » (Twitter, mise à jour des statuts, réponses immédiates, etc.) était impensable. Il est aujourd’hui dans la bouche de toute la Silicon Valley. Ce n’est pas une surprise, les gens aiment la vitesse et l’efficacité. Mais le lent chargement des pages d’antan, avec le bruit bizarre du modem, avait aussi son étrange poésie, qui ouvrait un nouvel espace de jeu et d’interprétation. Parfois même, cette lenteur nous alertait sur le fait qu’on était assis face à un ordinateur. Eh bien cette tortue a disparu.
C’est pas faux !
Superbe traduction d’un superbe article d’un auteur dont je n’ai pas choppé le nom !
Oui, j’avais la flemme d’aller relire !!! Merci de l’avoir fait pour nous tous ;)
T’as vu ? L’auteur (le vrai) y’a « moroz » dans son nom. Pas étonnant qu’il soit tout triste ! :p
Mieux vaut tard (dit-on) …
The Death of the Cyberflâneur
By EVGENY MOROZOV
Published: February 4, 2012
A version of this op-ed appeared in print on February 5, 2012, on page SR6 of the New York edition with the headline: The Death of the Cyberflâneur.
Dominique Cardon : Pourquoi l’internet n’a-t-il pas changé la politique ? | InternetActu
►http://internetactu.blog.lemonde.fr/2011/08/19/dominique-cardon-pourquoi-linternet-na-t-il-pas-change-la-
Une interview qui a un an, mais qui reste totalement d’actualité
Comprendre Facebook (1/3) : le rôle social du bavardage
►http://internetactu.blog.lemonde.fr/2011/06/14/comprendre-facebook-13-le-role-social-du-bavardage
On le sait depuis longtemps. Accéder à un service, ne signifie par pour autant savoir l’utiliser, le comprendre, ni même le maîtriser suffisamment pour être capable d’innover, de créer avec. Les outils numériques sont familiers de ces cloisonnements. On peut-être né avec le numérique et ne pas en maîtriser les usages, on peut utiliser Facebook au quotidien sans comprendre l’étendue de son action. D’ailleurs, la plupart du temps, on n’en a pas besoin.
Dans l’article on découvre l’excellente #BD d’Obion « Facebook mon ami » ►http://www.obion.fr/blog/post/2010/10/17/Facebook-mon-ami