Programme – JNUM

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  • Google ou la route de la servitude
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/04/03/google-ou-la-route-de-la-servitude_4395186_3234.html

    Le verrouillage est total, enjambant sans difficulté les institutions et les régulations. Les entreprises doivent se soumettre et verser leur redevance, ou accepter de voir leur marché se réduire ; les consommateurs doivent passer par les services du géant californien en échange de toutes leurs données personnelles, ces dernières renforçant une puissance de ciblage publicitaire ensuite revendue aux entreprises.

    En investissant massivement dans les outils liés à la localisation, en développant les outils mobiles de demain (Google glass par exemple) ou en équipant les voitures avec son logiciel d’exploitation Android, Google cherche à préempter dès maintenant toutes les interfaces connectées que nous utiliserons pour nous repérer et agir dans le monde physique.

    • On lit dans l’extrait de l’article :
      « [...] les consommateurs doivent passer par les services du géant californien en échange de toutes leurs données personnelles [...] »

      Je suppose que par ici, on connait et on fréquente StartPage
      https://startpage.com/fra ?
      réputé respecter le con sommateur.

      Oui, bon, il suffit de leur faire confiance quand ils s’affirment respectueux, d’autant que Gogol bouge par en-dessous. Mais jusqu’ici, pas de retour négatif.

    • Alors que la firme a fait en janvier 2014 l’acquisition de Deep Mind, une société dont le but est de créer une intelligence artificielle supérieure à l’homme, il est devient réellement urgent d’engager une réflexion collective sur les conditions de défense de notre liberté contre cette tyrannie qui vient.

      L’axe Franco-allemand qui se renforce actuellement autour d’un Internet responsable et créateur de dynamisme entrepreneurial devrait en toute logique trouver là un de ses thèmes de travail fécond pour une Europe conquérante.

      Les deux paragraphes finaux, enchaînés comme cela l’un à l’autre (me) sont incompréhensibles.