GitHub · Build software better, together.

https://raw.githubusercontent.com

  • Santé Pudique France - 16.04.21

    – réa : encore un succès pour Macron :-)
    – dc : idem, passe à [faux] plat (x2 en 85 j hier)

    http://coviiid.free.fr

    13 : réa toujours en forte hausse
    69 : dc toujours en hausse
    59 : dc et réa toujours en forte baisse


    il va falloir couper les regresseurs si la baisse est confirmée ; et le w.e. va probablement l’accentuer « mécaniquement » ; on verra lundi :-)

    précédent : https://seenthis.net/messages/911157

  • Santé Pudique France - 15.04.21

    – réa : ça baisse
    – dc : ça baisse

    http://coviiid.free.fr

    – 13 : dc et réa en hausse, dc à 25% du niveau habituel
    – 69 : dc faux plat montant, réa plat, dc environ 30% du niveau habituel
    – 75 : dc et réa en hausse, dc environ 50% du niveau habituel
    – 59 : dc et réa en baisse, dc revient presque au niveau de bruit
    – 06 : dc et réa en baisse, atteint son niveau de bruit
    – 38 : dc en baisse, réa environ plat, dc revient au niveau de bruit
    – 34 : dc et réa en baisse, mini crise de fin-mars-debut-avril ptet finie

    pour le 75, la moyenne mobile réa (pas visible dans le cadre de mon graphique) est en hausse sur 10 jours mais en baisse depuis 2 jours ; et y a eu 33 morts hier, jamais vu depuis mai dernier, mais c’est peut-être un rattrapage.

    petite couronne : réa plat amorce baisse, dc faux plat montant à environ 30 morts /j ; grande couronne : réa faux plat descendant, dc plat a 29 morts /j soit environ 30% du niveau habituel.

  • Santé Publique France, 12/04/2021 :
    • décès covid à l’hôpital : 385 (cvh : 264)
    • hospitalisations covid : 31 262 (+591)

    décès, amorce d’une baisse
    le nombre de patients hospitalisés est reparti franchement à la hausse
    les admissions en réanimation sont franchement à la baisse

    note : on remarquera, particulièrement sur la série des décès, l’impact sur la MM7 de la valeur atypique du lundi de Pâques : on voit très bien le décrochement vers le bas entre le 2 et le 8/04 et le « retour à la normal » pour le nouveau point du jour (09/04) qui rend l’interprétation de la moyenne mobile un peu délicate (j’ai « neutralisé » le point du lundi de Pâques dans mes calculs de cvh, mais pas dans ceux de MM7)

    incidence dans les métropoles, plutôt en décroissance, à l’exception notable de Strasbourg (juste en dessous de Lille) qui a effectué une forte croissance depuis la rupture du 05/04

    on notera, là aussi, que l’explication rapide (et un peu embarrassée) de la rupture du 5/04 (impact du lundi de Pâques) ne tient pas debout puisqu’on a aujourd’hui le premier point de la moyenne mobile qui n’intègre pas la valeur en question ; il y a bien eu un remaniement important dans les traitements du taux d’incidence qui ne peut qu’être l’élimination des doubles comptes qu’entrainaient les doublons TAG+ -> PCR+

    je ne mets pas la carte de France, parce que je découvre horresco referons que je calcule la croissance non pas sur sept jours, mais sur huit… et que ce fameux lundi de Pâques y sévit encore une dernière fois…

    en Île-de-France, baisse partout de l’incidence, particulièrement en Seine-et-Marne, à l’exception des Hauts-de-Seine en plateau depuis six jours

    les taux d’occupation en réanimation marquent le pas en haut du classement (HdF, ÎdF), derrière ça grimpe, parfois vivement (PdL ou, un peu moins, ARA) sauf BFC

  • Santé Pudique France - 11.04.21

    – réa : aplatissement confirmé ? (métropole)
    – dc : toujours en légère croissance (x2 en 72 j)

    http://coviiid.free.fr

    – 75 et gde. couronne : dc faux plat desc., >40% dc habituels, réa toujours en hausse
    – idf et petite couronne : dc et réa toujours en croissance (surtout pc)
    – 13 : dc aplatits voire décroissance, réa en descente
    – 69 : dc à la baisse, réa toujours en forte hausse
    – 06 : réa toujours en descente, dc apaltits
    – 34, 30, 68 : dc toujours en croissance, touchent leur niveau de bruit
    – 59, 38 : dc dépasse 25% du niveau habituel, réa en hausse


    Prédictions Lavielle : https://seenthis.net/messages/910498
    Mortalité selon age : https://seenthis.net/messages/910501

  • Covid-19 : dans les Bouches-du-Rhône, un nouveau pic « inéluctable »
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-dans-les-bouches-du-rhone-un-nouveau-pic-ineluctable_6076081_3244.h

    La hausse du taux d’incidence touche toutes les classes d’âge, y compris les plus de 70 ans, malgré la vaccination. Et le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés augmente quotidiennement.

    Les voyants sont au rouge dans les Bouches-du-Rhône. En sept jours, le taux d’incidence a bondi de près de 20 %, pour atteindre 579 cas pour 100 000 personnes, mercredi 7 avril, plaçant le département parmi les territoires où le Covid-19 circule le plus rapidement en France.

    Quotidiennement, près de 1 700 de ses habitants sont déclarés positifs au SARS-CoV-2, sur plus de 20 000 tests, alors que les services de réanimation affichent déjà un taux d’occupation Covid de 110 % par rapport à leur capacité habituelle, et que le niveau 5 du plan de crise − le plus élevé −, impliquant des déprogrammations massives d’interventions chirurgicales, a été déclenché par l’agence régionale de santé (ARS) le 30 mars.

    « Depuis janvier, notre département restait sur une incidence haute mais maîtrisée, oscillant entre 300 et 400 cas… En deux semaines, cela a flambé sans que l’on comprenne vraiment pourquoi. Aujourd’hui, la situation est préoccupante », confirme Pascal Auquier, professeur de santé publique, qui modélise la progression du virus pour les hôpitaux universitaires de Marseille.

    La hausse brutale de l’incidence dans les Bouches-du-Rhône touche toutes les classes d’âge, y compris les plus de 70 ans, chez qui l’impact de la vaccination s’était pourtant fait fortement sentir à partir de février. « Si dans les Ehpad, le taux de couverture vaccinal dépasse les 74 %, 44 % des plus de 75 ans ne sont pas encore vaccinés », note, en guise d’explication à ce rebond épidémique chez les plus âgés, Caroline Ageron, la directrice de la délégation départementale de l’ARS.

  • Santé Pudique France - 06.04.21 :


    – réa : ça continue à monter
    – dc : ça se re-applatit (malgré le pic post week-end)

    https://coviiid.free.fr

    Lavielle prévoyait une forte baisse des hospi et une future baisse des morts, après une fin de bosse locale ; l’inflexion sur les hospi aurait eu lieu début de 4eme semaine de mars, et fin de la 2eme semaine de mars pour les dc.

    http://shiny.webpopix.org/covidix/app3

    • les pics du retour de Pâques :

      le 38, a pris 22 morts
      le 06, ont ramassé un peu dimanche et lundi genre 8+13 morts
      le 13, c’était plutôt 8+15
      le 69, seulement 16

      le Norch et Paris on pris un peu aussi, mais pas plus que ces derniers temps

      petite couronne en revanche a pris quasi 50 morts
      au total, IDF prend un poil plus de 100 morts, pour 19% de la pop

      ça fait 100 / 13 millions
      mais quand même environ 50% de la mortalité quotidienne habituelle

  • Land doesn’t vote, people do.

    This is a version of the famous visualization «Land doesn’t vote, people do» by #Karim_Douïeb for Switzerland written in R. It shows the results of the popular initiative «For responsible businesses – protecting human rights and the environment» at municipal level. All data used in this process was retrieved via the Swiss Open Government Data platform opendata.swiss. The code used can be found here: https://github.com/zumbov2/votemapswitzerland/blob/main/votemapswitzerland.R

    https://github.com/zumbov2/votemapswitzerland

    #visualisation #cartographie #vote #cartographie_électorale

    via @fil

  • « Le RGPD offre paradoxalement une immense opportunité de collecte pour les publicitaires et autres sociétés de services marketing »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/15/le-rgpd-offre-paradoxalement-une-immense-opportunite-de-collecte-pour-les-pu

    Le spécialiste de la communication numérique Augustin Remay souligne, dans une tribune au « Monde », le paradoxe d’une réglementation qui, faite pour protéger la vie privée, conduit l’internaute à laisser capter encore plus ses données personnelles. Cela fait presque deux ans que nous tous, acteurs du numérique, évoluons dans l’ère nouvelle des bannières RGPD [règlement général sur la protection des données personnelles européen, en application depuis mai 2018], ces petits bandeaux aux airs inoffensifs qui (...)

    #marketing #conditions #BigData #Quantcast #consentement #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##cookies

  • MARTINI stands for Mapbox’s Awesome Right-Triangulated Irregular Networks, Improved.

    It’s an experimental JavaScript library for real-time #terrain mesh generation from height data. Given a (2k+1) × (2k+1) terrain grid, it generates a hierarchy of triangular meshes of varying level of detail in milliseconds. A work in progress.

    See the algorithm in action and read more about how it works at https://observablehq.com/@mourner/martin-real-time-rtin-terrain-mesh

    To render terrain in #3D, you need a triangular mesh — a set of 3D triangles representing the surface. The easiest way to get one from height data is a uniform grid (two triangles per pixel), but that’s a lot of triangles. For fast rendering, we want to reduce this amount by adapting the mesh to the surface — using bigger triangles in relatively smooth areas, and smaller ones where there’s a lot of detail.

    https://github.com/mapbox/martini

    #map

  • In die Freiheit entlassen | c’t | Heise Magazine
    https://www.heise.de/select/ct/2017/22/1508780300482172

    Di­gi­ta­les Flug­blatt: Raspber­ry Pi mit Bat­te­rie als an­ony­mer WLAN-Hot­spot und Web­ser­ver

    Dis­si­den­ten leben ge­fähr­lich: Die Nazis er­mor­de­ten die Ge­schwis­ter Scholl dafür, dass sie mit Flug­blät­tern zum Wi­der­stand auf­ge­ru­fen hat­ten. Heute nut­zen Wi­der­ständ­ler das In­ter­net, doch Re­gimes grei­fen un­ge­niert in die Mei­nungs­frei­heit ein und blo­ckie­ren die­sen Ver­brei­tungs­weg. Mit einem bat­te­rie­be­trie­be­nen Raspi haben wir eine di­gi­ta­le Va­ri­an­te des Flug­blatts ge­schaf­fen, das ver­steckt aus­ge­legt per WLAN oder Tor un­zen­siert In­for­ma­tio­nen unter das Volk bringt.
    Von Da­ni­el Co­oper

    Flug­blät­ter sind in Zei­ten von In­ter­net und Smart­pho­nes eine ziem­lich ar­chai­sche Me­tho­de, gegen au­to­ri­tä­re Re­gime zu pro­tes­tie­ren oder un­lieb­sa­me In­for­ma­tio­nen über Au­to­kra­ten ins öf­fent­li­che Licht zu rü­cken. Und eine ge­fähr­li­che noch dazu: Vor fast genau 75 Jah­ren er­mor­de­ten das Nazi-Re­gime die Ge­schwis­ter Scholl dafür, dass sie mit Flug­blät­tern zum Wi­der­stand auf­ge­ru­fen hat­ten. Die Stu­den­ten wur­den beim Ver­tei­len er­wischt. Heute nut­zen Wi­der­stands­grup­pen das In­ter­net und ver­öf­fent­li­chen ihre In­for­ma­tio­nen auf aus­län­di­schen Ser­vern – die von den Re­gimes im Hand­um­dre­hen blo­ckiert wer­den.

    Um die Be­völ­ke­rung vor Ort trotz In­ter­net-Zen­sur in­for­mie­ren zu kön­nen, haben wir ein di­gi­ta­les Flug­blatt auf Basis des Raspber­ry Pi Zero W ent­wi­ckelt. Der Mini-Rech­ner wird von einer Bat­te­rie ge­speist und lässt sich leicht an be­leb­ten Plät­zen in all­täg­li­chen Ge­gen­stän­den wie Blu­men­kü­beln, Bäu­men oder an­de­ren Ge­gen­stän­den ver­ste­cken. Wir haben die Kos­ten be­wusst nied­rig ge­hal­ten, damit nie­mand aus fi­nan­zi­el­len Grün­den eine Fest­nah­me ris­kie­ren muss, wenn er das Flug­blatt wie­der ein­sam­melt, weil ihm der Strom aus­ge­gan­gen ist.

    Den Raspi Zero W be­kom­men Sie in Deutsch­land bei buy­ze­ro.de für knapp 11 Euro. Für den Bat­te­rie­be­trieb be­nö­ti­gen Sie au­ßer­dem einen Span­nungs­wand­ler, den Sie für 5,50 Euro gleich mit­be­stel­len kön­nen. Sie be­kom­men letz­te­ren aber auch bei di­ver­sen eBay-Händ­lern, zum Teil kos­tet er dort nicht ein­mal einen Euro. Durch den Wand­ler haben Sie eine große Aus­wahl an Bat­te­ri­en, an­ge­fan­gen von vier Knopf­zel­len, die al­ler­dings nur we­ni­ge Stun­den durch­hal­ten, bis hin zu Mo­no­zel­len, die für einen Monat Be­trieb aus­rei­chen.
    Der Zu­sam­men­bau des Flug­blatts ist tri­vi­al: Ein Span­nungs­wand­ler zwi­schen Bat­te­rie und Raspi sorgt dafür, dass die Bat­te­rie bis fast zum letz­ten Elek­tron ent­la­den wird.

    Der Zu­sam­men­bau ist leicht: Zu­nächst ver­sor­gen Sie den Span­nungs­wand­ler pro­vi­so­risch mit Strom, schlie­ßen ein Volt­me­ter am Aus­gang an und stel­len die Aus­gangs­span­nung über das Poti auf 5,1 bis 5,2 Volt ein. An­schlie­ßend kap­pen Sie die Ver­bin­dun­gen und löten den Span­nungs­wand­ler di­rekt an den GPIO-An­schluss des Raspi Zero an. Der Plus­pol des Span­nungs­wand­ler-Aus­gangs ge­hört an Pin 4 des Raspi und der Mi­nus­pol an Pin 6.
    Gut ver­sorgt

    Wel­che Bat­te­rie Sie ver­wen­den, hängt nicht zu­letzt von der Art des Ver­stecks ab – Geo­caching-Er­fah­run­gen sind hier ein­deu­tig von Vor­teil. Um das Flug­blatt in einem Blu­men­topf de­po­nie­ren zu kön­nen, haben wir ver­suchs­wei­se zehn Mo­no­zel­len mit einer Ka­pa­zi­tät von je 18 Am­pere­stun­den zu­sam­men­ge­lö­tet – somit steht bei einer Zel­len­span­nung von 1,5 Volt eine Ge­samt­ener­gie von 270 Watt­stun­den zur Ver­fü­gung.

    Die Leis­tungs­auf­nah­me des Raspi Zero W, in­klu­si­ve aller nach­fol­gend be­schrie­be­nen Strom­spar­maß­nah­men, liegt bei 0,5 Watt, so­dass der Ring aus zehn Mo­no­zel­len theo­re­tisch 540 Stun­den oder 22,5 Tage durch­hält. Das lässt sich durch noch mehr Mo­no­zel­len noch top­pen: Der Span­nungs­wand­ler von buy­ze­ro.de ver­trägt bis zu 17 in Reihe ge­schal­te­te Zel­len, womit theo­re­tisch genug En­er­gie für 38 Tage vor­han­den wäre. Durch die Wand­ler­ver­lus­te, der ty­pi­sche Wir­kungs­grad be­trägt knapp unter 90 Pro­zent, dürf­te die tat­säch­li­che Be­triebs­dau­er bei un­ge­fähr einem Monat lie­gen.

    Wich­tig ist, die Zahl der Zel­len und damit die Klem­men­span­nung nicht zu nied­rig zu wäh­len: Der Span­nungs­wand­ler schal­tet bei etwa sechs Volt ab, wes­halb Bat­te­ri­en aus nur vier Zel­len gar nicht voll­stän­dig ent­la­den wer­den – so­bald die Span­nung auch nur leicht sinkt, ist Schluss. Bei acht Zel­len hin­ge­gen schal­tet der Span­nungs­wand­ler erst ab, wenn die Zel­len­span­nung auf unter 0,75 ge­fal­len ist – dann ist die Bat­te­rie auch fast voll­stän­dig leer.
    Mehr Reich­wei­te: Der An­ten­nen­an­schluss, ein U.​FL-Ste­cker, lässt sich mit etwas Ge­schick nach­träg­lich auf den Raspi Zero W auf­lö­ten. Mit einer ex­ter­nen An­ten­ne ver­grö­ßert sich der Ver­sor­gungs­be­reich des Flug­blatts um ein Viel­fa­ches.

    Es gibt wei­te­res Op­ti­mie­rungs­po­ten­zi­al: Die in­ter­ne An­ten­ne des Raspi Zero W ist kei­nes­wegs op­ti­mal für große Reich­wei­ten, auf der Pla­ti­ne ist aber ein Be­stü­ckungs­platz für einen U.​FL-An­ten­nen­an­schluss vor­ge­se­hen. Mit etwas Löt­ge­schick kön­nen Sie den Ste­cker nach­rüs­ten und dann mit einer ex­ter­nen WLAN-An­ten­ne die Reich­wei­te des Raspi um ein Viel­fa­ches er­hö­hen. Das er­schwert auch das Auf­fin­den des Flug­blatts, denn durch den viel grö­ße­ren Ver­sor­gungs­be­reich kom­men auch mehr Ver­steck­mög­lich­kei­ten in­fra­ge.
    Auf­ge­spielt

    Als Be­triebs­sys­tem des Raspi Zero W ist die Lite-Va­ri­an­te von Raspbi­an gut ge­eig­net: Sie ist ohne Desk­top deut­lich schlan­ker als die re­gu­lä­re Va­ri­an­te und der Raspi ver­braucht damit we­ni­ger Strom, denn ei­ni­ge Diens­te wie etwa das gra­fi­sche Login wer­den nicht ge­star­tet. Für die In­stal­la­ti­on be­nö­ti­gen Sie eine Mi­croSD-Karte ab 1 GByte.

    Bitte laden Sie Raspbi­an Lite di­rekt von raspber­ry­pi.org her­un­ter und ver­wen­den Sie nicht NOOBS für die In­stal­la­ti­on – sonst funk­tio­niert die nach­fol­gen­de Kon­fi­gu­ra­ti­on nicht wie in die­sem Ar­ti­kel be­schrie­ben. Haben Sie das Zip-Ar­chiv mit dem SD-Kar­ten-Image von Raspbi­an Lite ent­packt, ko­pie­ren Sie das Image mit dem Pro­gramm W32­Dis­kI­ma­ger Byte für Byte auf die Spei­cher­kar­te. Linux- und macOS-User be­nut­zen dafür das Kom­man­do­zei­len­pro­gramm dd.

    Nach­dem der Da­ten­trans­fer ab­ge­schlos­sen ist, kön­nen Sie Raspbi­an für den ers­ten Start des Raspi Zero vor­be­rei­ten. Ein WLAN vor­aus­ge­setzt be­nö­ti­gen Sie dazu weder Tas­ta­tur noch Mo­ni­tor – die Ein­rich­tung er­folgt per SSH. Zu­nächst ent­fer­nen Sie die SD-Karte aus dem Kar­ten­le­ser und ste­cken sie nach ein paar Se­kun­den wie­der hin­ein. So er­zwin­gen Sie, dass Win­dows die Par­ti­ti­ons­ta­bel­le neu ein­liest – Win­dows fin­det dort zwei Par­ti­tio­nen. Wäh­rend Win­dows die erste, etwa 20 MByte große Par­ti­ti­on mit dem Namen boot pro­blem­los lesen kann und au­to­ma­tisch einem Lauf­werks­na­men zu­ord­net, fragt zu­min­dest Win­dows 10 bei der zwei­ten, ob sie for­ma­tiert wer­den soll. Dies müs­sen Sie un­be­dingt ver­nei­nen, sonst lö­schen Sie das dort in­stal­lier­te Raspbi­an.

    Damit der Raspi Zero sich in Ihr WLAN ein­klin­ken kann, be­nö­tigt er die SSID und den WLAN-Schlüs­sel. Hier soll­ten Sie kei­nes­falls die Daten ihres pri­va­ten WLAN an­ge­ben, son­dern ein Gäs­tenetz oder einen zu­sätz­li­chen Ac­cess Point mit einer ge­ne­ri­schen SSID wie guests be­nut­zen: Denn Sie müs­sen SSID und Schlüs­sel in die Datei wpa_­sup­p­li­cant.conf ein­tra­gen, die Sie unter ct.​de/​yva6 her­un­ter­la­den kön­nen, und die Datei auf dem Lauf­werk boot der SD-Karte spei­chern. Soll­te das Flug­blatt Er­mitt­lern in die Hände fal­len, fin­den sie mög­li­cher­wei­se Reste die­ser Daten und kön­nen Sie damit iden­ti­fi­zie­ren.

    Zum Edi­tie­ren der Datei müs­sen Sie un­be­dingt einen Edi­tor wie No­te­pad++ be­nut­zen (kos­ten­los, Down­load-Link auf ct.​de/​yva6), der Unix-ty­pi­sche Text­da­tei­en ohne Re­turn am Zei­len­en­de spei­chern kann. Mit Win­dows-Bord­mit­teln geht das nicht. Au­ßer­dem müs­sen Sie den SSH-Da­e­mon ein­schal­ten, der stan­dard­mä­ßig de­ak­ti­viert ist. Dazu legen Sie eine Datei mit dem Namen ssh eben­falls auf dem Lauf­werk boot an, der In­halt der Datei spielt keine Rolle.

    So vor­be­rei­tet las­sen Sie die Spei­cher­kar­te von Win­dows aus­wer­fen, ste­cken sie in den Raspi Zero und schlie­ßen ein Netz­teil an dem mit „PWR“ be­schrif­te­ten USB-Micro-Port des Raspi an. Die LED neben dem An­schluss blinkt dann im Takt der Zu­grif­fe auf den Flash-Spei­cher wäh­rend des Boot­vor­gangs, nach etwa 30 Se­kun­den soll­te sich der Raspi in Ihrem WLAN an­ge­mel­det haben. Nun soll­ten Sie sich in­ner­halb von zwei Mi­nu­ten per SSH auf dem Raspi ein­log­gen. Unter Win­dows ver­wen­den Sie dazu den kos­ten­lo­sen SSH-Cli­ent Putty (Down­load siehe ct.​de/​yva6), unter Linux oder macOS ssh im Ter­mi­nal. Der Be­nut­zer­na­me lau­tet pi und Sie kön­nen den Raspi meist ein­fach über sei­nen Host­na­men raspber­ry­pi an­spre­chen – al­ter­na­tiv fin­den Sie die IP-Adres­se, die dem Raspi zu­ge­wie­sen wurde, im Web-Front­end Ihres WLAN-Rou­ters. Das Pass­wort zum Ein­log­gen lau­tet eben­falls raspber­ry­pi.

    Sind Sie ein­ge­loggt, geben Sie als Ers­tes fol­gen­den Be­fehl ein:

    sudo iw wlan0 set power­s­a­ve off

    So de­ak­ti­vie­ren Sie die Strom­spar­funk­ti­on des WLAN-Ad­ap­ters, die dazu führt, dass das WLAN nach we­ni­gen Mi­nu­ten In­ak­ti­vi­tät ab­ge­schal­tet wird. Schließ­lich soll das Flug­blatt über WLAN stets er­reich­bar sein und Sie hät­ten an­sons­ten nicht ein­mal die Mög­lich­keit, Raspbi­an sau­ber her­un­ter­zu­fah­ren.

    Damit die WLAN-Strom­spar­funk­ti­on künf­tig au­to­ma­tisch aus­ge­schal­tet wird, öff­nen Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/net­work/in­ter­faces die zen­tra­le Netz­werk­kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei und tra­gen am Ende fol­gen­des ein:

    auto wlan0

    iface wlan0 inet dhcp

    wpa-conf /etc/wpa­sup­p­li­cant/wpa_­sup­p­li­cant.conf

    wire­less-power off

    Um den Strom des WLAN-Chips wie­der ein­zu­spa­ren, kön­nen Sie den HDMI-Aus­gang ab­schal­ten. Sonst ver­schwen­det der Raspi gut 20 Pro­zent des Stroms al­lein dafür – selbst wenn gar kein Mo­ni­tor an­ge­schlos­sen ist. Dazu öff­nen Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/rc.​local das Skript, das am Ende jedes Boot­vor­gangs aus­ge­führt wird, und fügen vor der Zeile exit 0 fol­gen­den Auf­ruf ein:

    /usr/bin/tv­ser­vice -o

    Auch die Ak­ti­vi­täts-LED neben dem Strom­an­schluss ist Strom­ver­schwen­dung, noch dazu könn­te sie durch ihr Blin­ken ein an­sons­ten gut ver­steck­tes Flug­blatt ver­ra­ten. Damit sie außer kurz nach dem Ein­schal­ten und kurz vor dem Aus­schal­ten nicht mehr leuch­tet, öff­nen Sie mit sudo pico /boot/con­fig.txt die zen­tra­le Raspi-Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei und fügen am Ende fol­gen­de Zei­len an:

    dt­pa­ram=ac­t_­le­d_­t­rig­ger=none

    dt­pa­ram=ac­t_­le­d_ac­tive­low=on

    Die Än­de­run­gen wer­den erst beim nächs­ten Neu­start des Raspi über­nom­men, so lange bleibt die LED aktiv.

    Als Web­ser­ver emp­feh­len wir Nginx, der we­ni­ger Res­sour­cen und damit we­ni­ger Strom ver­braucht als Apa­che. Es ge­nügt, wenn Sie per sudo apt-get in­stall nginx den Da­e­mon nebst aller Ab­hän­gig­kei­ten nach­in­stal­lie­ren; er ist stan­dard­mä­ßig so kon­fi­gu­riert, die un­ter­halb des Ver­zeich­nis­ses /var/www/html ab­ge­leg­ten Da­tei­en aus­zu­lie­fern.
    Hi­d­den Ser­vice …

    Für den Fall, dass das Flug­blatt eine (frem­de) In­ter­net­ver­bin­dung über WLAN mit­be­nut­zen soll, ar­bei­tet es als Ser­ver für einen Tor Hi­d­den Ser­vice und ver­brei­tet so die In­hal­te auf der gan­zen Welt. Dazu in­stal­lie­ren Sie mit dem Be­fehl sudo apt-get in­stall tor den Tor-Da­e­mon aus der Pa­ket­ver­wal­tung nach. An­schlie­ßend müs­sen Sie die Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei mit dem Be­fehl sudo pico /etc/tor/torrc be­ar­bei­ten und die Raute-Zei­chen vor fol­gen­den Zei­len ent­fer­nen:

    Hi­d­den­Ser­vice­Dir /var/lib/tor/hi­d­den_­ser­vice/

    Hi­d­den­Ser­vice­Port 80 127.0.0.1:80

    Eine aus­führ­li­che Be­schrei­bung zum Be­trieb von Tor Hi­d­den Ser­vices fin­den Sie auf Seite 140. Auf Seite 148 er­fah­ren Sie au­ßer­dem, wie Sie Ihre An­ony­mi­tät zu­sätz­lich schüt­zen soll­ten. Damit die ver­än­der­te Tor-Kon­fi­gu­ra­ti­on wirk­sam wird, star­ten Sie den Dienst mit dem Be­fehl sys­temctl re­start tor neu und kön­nen dann die Onion-Adres­se Ihres ak­ti­ven Hi­d­den Ser­vice mit dem Be­fehl sudo cat/var/lib/tor/hi­d­den_­ser­vice/host­na­me ab­ru­fen.

    Haben Sie alle Do­ku­men­te auf­ge­spielt und wol­len den Raspi aus­set­zen, rufen Sie mit sudo raspi-con­fig das Raspi-Kon­fi­gu­ra­ti­ons­pro­gramm auf. Dort än­dern Sie das Stan­dard-Pass­wort und schal­ten im Menü „In­ter­fa­c­ing Op­ti­on“ den SSH-Da­e­mon wie­der aus, damit sich spä­ter nie­mand ein­log­gen kann. Die letz­ten Schrit­te sind, mit den Be­feh­len unset HIST­FI­LE und rm -f /root/.bas­h_his­to­ry /etc/wpa_­sup­p­li­cant/wpa_­sup­p­li­cant.conf die Be­fehls­his­to­rie sowie die WLAN-Zu­gangs­da­ten Ihres Gäste-WLAN zu lö­schen und spä­ter beim Aus­set­zen wie ein­gangs be­schrie­ben eine neue Kon­fi­gu­ra­ti­on auf der Boot-Par­ti­ti­on der SD-Karte zu spei­chern, die die Zu­gangs­da­ten des mit­zu­be­nut­zen­den WLAN ent­hält.
    … oder Hot­spot

    Der zwei­te Be­triebs­mo­dus des Flug­blatts ist als lo­ka­ler WLAN-Hot­spot ohne Ver­schlüs­se­lung. Stra­te­gisch güns­tig etwa in einem Blu­men­kü­bel, auf einer Lit­fass­säu­le oder einem Kiosk plat­ziert kann der Raspi die In­for­ma­tio­nen an einem öf­fent­li­chen Platz ver­tei­len – Pas­san­ten müs­sen sich le­dig­lich mit dem WLAN ver­bin­den und wer­den au­to­ma­tisch auf den lo­ka­len Web­ser­ver um­ge­lei­tet.

    Damit der Raspi als Hot­spot ar­bei­tet, müs­sen Sie zwei Pa­ke­te nach­in­stal­lie­ren:

    sudo apt-get in­stall hostapd dns­masq

    Der HostAP-Da­e­mon spannt den Ac­cess Point auf und DNS­masq ist für die Adress­ver­ga­be per DHCP zu­stän­dig. Die Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei­en bei­der Pro­gram­me sind im Zip-Ar­chiv ent­hal­ten und müs­sen nach /etc ko­piert wer­den:

    sudo cp 1722-144/de­fault/ /etc/de­fault

    sudo cp -a 1722-144/hostapd /etc

    sudo cp 1722-144/dns­masq.conf /etc

    Au­ßer­dem be­nö­ti­gen Sie einen mit sta­ti­scher IP-Adres­se kon­fi­gu­rier­ten WLAN-Ad­ap­ter, wozu Sie mit sudo pico /etc/net­work/in­ter­faces die zen­tra­le Netz­werk­kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei öff­nen und dort fol­gen­des an­fü­gen:

    auto wlan0

    iface wlan0 inet sta­tic

    ad­dress 192.168.255.1

    net­mask 255.255.255.0

    wire­less-mode Mas­ter

    wire­less-power off

    Als Letz­tes ko­pie­ren Sie den FakeDNS-Da­e­mon in das Ver­zeich­nis /usr/local/bin und sor­gen dafür, dass er künf­tig zu­sam­men mit DNS­masq ge­star­tet wird:

    sudo cp fakedns/.py /usr/local/bin

    sudo cp fakedns/.ser­vice /etc/sys­temd/sys­tem

    sudo sys­temctl enable fakedns.ser­vice
    Ab­ge­fan­gen

    FakeDNS ant­wor­tet auf sämt­li­chen Do­main-An­fra­gen mit der IP-Adres­se 192.​168.​255.​1 – also der des Raspi. Damit ist es nicht mehr nötig, Be­su­chern eine IP-Adres­se oder eine lo­ka­le Adres­se mit­zu­tei­len, die sie auf­ru­fen sol­len: So­bald sie http://​www.​google.​de oder einen be­lie­bi­gen an­de­ren Ser­ver per HTTP zu kon­tak­tie­ren ver­su­chen, lan­den sie auf dem lo­ka­len Web­ser­ver des Flug­blatts.

    Es gibt noch einen Trick: iOS, An­dro­id und Win­dows Phone ver­su­chen bei der An­mel­dung in einem WLAN fest­zu­stel­len, ob sie vol­len In­ter­net­zu­gang haben oder ob es sich um einen Hot­spot etwa eines Ho­tels han­delt, der eine An­mel­dung er­for­dert. Dazu rufen die Mo­bil­ge­rä­te un­ter­schied­li­che URLs ab – er­hal­ten sie das ge­wünsch­te Er­geb­nis, be­steht eine In­ter­net­ver­bin­dung. Be­kom­men sie hin­ge­gen den HTTP-Sta­tus-Code 302 „Moved Tem­pora­ri­ly“ und eine Ziel­adres­se, gehen sie davon aus, dass man erst eine An­meld­e­sei­te be­su­chen muss, ein so­ge­nann­tes Cap­ti­ve Por­tal.

    Indem Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/nginx/sites-avail­able/de­fault die Web­ser­ver-Kon­fi­gu­ra­ti­on be­ar­bei­ten und dort vor lo­ca­ti­on die Zeile

    er­ror_pa­ge 404 =302 http://192.168.255.1/;

    ein­fü­gen, er­hal­ten die Mo­bil­ge­rä­te an­stel­le des Feh­lers 404 den Sta­tus-Code 302 mit der Adres­se des Flug­blatts als Ziel.
    So­bald sich ein Mo­bil­ge­rät mit dem WLAN des Flug­blatts ver­bin­det, öff­net sich die Start­sei­te au­to­ma­tisch oder nach An­tip­pen einer No­ti­fi­ca­ti­on.

    Auf iOS- und Win­dows-Phone-Ge­rä­ten führt das dazu, dass die Ziel­sei­te au­to­ma­tisch im Brow­ser an­ge­zeigt wird, bei iOS al­ler­dings ohne Adress­leis­te. Auf An­dro­id-Ge­rä­ten öff­net sich die Seite ent­we­der au­to­ma­tisch oder man er­hält eine Be­nach­rich­ti­gung, dass man sich im Netz­werk an­mel­den müsse, und lan­det beim An­tip­pen auf der Start­sei­te des Flug­blatts. Ein wei­te­rer po­si­ti­ver Ne­ben­ef­fekt der Um­lei­tung ist, dass Be­su­cher beim An­kli­cken eines nicht exis­tie­ren­den Links auch auf der Start­sei­te lan­den, an­statt eine Feh­ler­mel­dung zu be­kom­men.
    Aus­ge­schal­tet

    Um den Raspi etwa nach einem ers­ten Test wie­der her­un­ter­fah­ren zu kön­nen, ohne Tas­ta­tur und Mo­ni­tor zu be­nö­ti­gen, soll­ten Sie das Pro­gramm Pi-Shut­down (siehe ct.​de/​yva6) in­stal­lie­ren. Es war­tet dar­auf, dass die GPOI-Pins 5 und 6 ge­brückt wer­den, etwa mit einem Jum­per. Damit die Strom­ver­sor­gung nicht im Weg ist, schlie­ßen Sie den Span­nungs­wand­ler dann an die Pins 2 (Plus) und 14 (Minus) an. Schlie­ßen Sie den Jum­per für etwa eine Se­kun­de lang an und ent­fer­nen ihn dann wie­der, so führt Pi-Shut­down einen Neu­start durch; las­sen Sie den Jum­per drei bis fünf Se­kun­den lang ge­steckt, schal­tet sich der Raspi aus. Dass sich der Raspi aus­schal­tet, er­ken­nen das daran, dass die Be­triebs-LED neben dem Micro-USB-An­schluss kurz blinkt.

    Die Ein­rich­tung von Pi-Shut­down ist ein­fach: Sie laden das Py­thon-Pro­gramm pis­hut­down.py aus dem Git­hub-Re­po­si­to­ry her­un­ter und spei­chern es im Ver­zeich­nis /usr/local/bin auf dem Raspi:

    sudo wget -O /usr/local/bin/pis­hut­down.py http://​raw.​git​hubu​serc​onte​nt.​com/​gilyes/​pi-​shutdown/​master/​pishutdown.​py

    Damit Pi-Shut­down künf­tig au­to­ma­tisch bei jedem Start des Raspi ge­la­den wird, fin­den Sie im Zip-Ar­chiv einen pas­sen­den Sys­temd-Job, den Sie fol­gen­der­ma­ßen ein­rich­ten:

    sudo cp 1722-144/pis­hut­down/ /etc/sys­temd/sys­tem

    sudo sys­temctl enable pis­hut­down

    Bevor Sie den Raspi her­un­ter­fah­ren, müs­sen Sie wie bei der Tor-Va­ri­an­te noch das Stan­dard-Pass­wort än­dern, Ihre Spu­ren be­sei­ti­gen, SSH ab­schal­ten und Ihre WLAN-Zu­gangs­da­ten lö­schen. Dann ist Ihr Raspi flug­be­reit. (mid@​ct.​de)

    Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei­en:ct.​de/​yva6

    Pi Zero W EASY + Step Down Modul Kit für c’t digitales Flugblatt – pi3g
    https://buyzero.de/products/pi-zero-w-easy-step-down-modul-kit?variant=2066683985947

    In die Freiheit entlassen - c’t | Heise Magazine
    https://www.heise.de/select/ct/2017/22/softlinks/yva6?wt_mc=pred.red.ct.ct222017.144.softlink.softlink

    Konfigurationsdateien für HostAP, DNSmasq, FakeDNS und Nginx
    ftp://ftp.heise.de/pub/ct/listings/1722-144.zip

    Pi-Shutdown (Python-Programm)
    https://raw.githubusercontent.com/gilyes/pi-shutdown/master/pishutdown.py

    Notepad++ für Windows
    https://www.heise.de/download/product/notepad-26659

    Putty SSH-Client für Windows
    https://www.heise.de/download/product/putty-7016

  • How to install #node.js on #ubuntu 16.04/18.04 using #nvm (Node Version Manager)
    https://hackernoon.com/how-to-install-node-js-on-ubuntu-16-04-18-04-using-nvm-node-version-mana

    IntroductionNVM is basically the version manager for Node.js. With the help of NVM we can install and use multiple versions of Node.js along with #npm. If we have multiple Node.js projects having various versions of node and npm then always install node using NVM only.Installation of NVMFirst download the NVM installation script using cURL as follows$ curl -o- https://raw.githubusercontent.com/creationix/nvm/v0.34.0/install.sh | bashAfter downloading the script, run the script using bash as follows$ bash install_nvm.shTo reflect the changes for the current user session, use following command$ source ~/.profileCheck installed NVM version as follows$ nvm —versionUse following nvm command to list all available node.js versions$ nvm ls-remoteIt shows the output as followsInstall particular node (...)

    #nodejs

  • #clojure Immutable and Persistent #data Structures
    https://hackernoon.com/clojure-immutable-and-persistent-data-structures-3978118f6805?source=rss

    What Clojure is?Clojure is modern dialect of old school programming language named as LISP. Clojure strongly believes in Code as Data and Data as Code philosophy just like LISP. Clojure is a dynamic, general purpose programming language that runs in the Java Virtual Machine. Clojure emphasizesGet Clojure set upClojure needs JVM as its runs on top of JVM. Make sure you have min Java 1.7 installed on your systemmkdir -p ~/bin && cd ~/bin curl -O https://raw.githubusercontent.com/technomancy/leiningen/stable/bin/lein chmod a+x leinexport PATH="$PATH":~/binorcurl -O https://download.clojure.org/install/linux-install-1.10.0.403.shchmod +x linux-install-1.10.0.403.shsudo ./linux-install-1.10.0.403.shData Structures4 fundamental Data Structure of Clojure.List ()Vector []Sets (...)

    #data-science #collection #data-structures

  • Project Alias

    Through a simple app the user can train Alias to react on a custom wake-word/sound, and once trained, Alias can take control over your home assistant by activating it for you.
    (...) When you don’t use it, Alias will make sure the assistant is paralysed and unable to listen by interrupting its microphones.

    http://bjoernkarmann.dk/project_alias
    (The training of the parasite is done locally, no cloud involved)

    #openSource #privacy