Releases | Born Bad Records
▻https://www.bornbadrecords.net/releases
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Chevance - Outremusique pour enfants - 1974/1985
▻http://www.bornbadrecords.net/releases/chevance-outremusique-pour-enfants-1974-1985
France, carrefour des années 1970 : la collection Chevance dynamite les codes de la musique pour enfants. Mêlant folk prospectif et jazz à l’avant-garde, portée par un esprit littéraire affirmé, elle bâtit son catalogue hors-normes sous la conduite du producteur Philippe Gavardin, dans la lignée des expériences du label Saravah ou de l’éditeur iconoclaste Harlin Quist. Anti-fabliers, chansons de pays mystérieux, bestiaires chimériques.... Durée : compilation de 26 morceaux. Source : Born Bad Records
Poétique politique, une histoire des chansons de luttes francophones.
Pendant une semaine, Rocé explique sa recherche de plusieurs années sur l’histoire des musiques de luttes francophones, par les damnés elleux-mêmes, les colonisés, les ouvriers. Avec pas mal de femmes aussi dedans. Une redécouverte de slam et spoken word en français, depuis longtemps avant que le rap n’arrive de ce côté de l’océan. C’est un énorme projet ! Qui sort en septembre.
Rocé, aux origines de la recherche
▻http://nova.fr/podcast/nova-stories/roce-aux-origines-de-la-recherche
(Je ne sais pas comment trouver les mp3 de l’émission comme sur radio france depuis les RSS ping @intempestive)
Le rappeur Rocé livre les coulisses de son projet Par les damnés de la terre, qui va faire l’objet d’une compilation à la rentrée de septembre. Une recherche de plusieurs années, de rencontres de hasard en flair attentif, il est parti à l’origine du spoken word à la française, via les « chansons de luttes » depuis la fin des années 1960. On part dans le XIXe arrondissement de Paris, au Cameroun, au Burkina, à Haïti, à New York... « C’est important de réunir avec cohérence cette énergie du passé si présent dans nos quotidiens, ces voix qui résonnent aujourd’hui dans le rap et ailleurs, les voix des vaincus, des subalternes, des damnés de la terre », nous dit Rocé.
Des morceaux qui servaient pour les luttes sociales ou anticoloniales. Une quête subjective, qui l’a mené de rencontres en rencontres. Selon lui, on trouve là une des sources d’un spoken word francophone, qui a nourri plus ou moins directement le slam et le hip-hop français. Comme une branche de l’arbre pas encore totalement découverte.
2ème : L’esthétique et la politique
▻http://nova.fr/podcast/nova-stories/lesthetique-et-la-politique
Parti du free jazz, conseillé par un ami disquaire, mais passé aussi par un underground sans œillère et l’écoute de francs-tireurs multiples, le projet de Rocé se nourrit de multiples racines. Ce qui lui parle : le mélange d’une teneur politique, mais esthétique forte : funk, blues... « Je cherche les Last poets à la française », dit Rocé. « Le proto-rap, le rap avant le rap ». La playlist du jour va de Francis Bebey aux chants de luttes sociales de la Régie Renault à la fin des années 1960.
3ème : Un nom en entraîne un autre
▻http://nova.fr/podcast/nova-stories/un-nom-en-entraine-un-autre
En partant d’une pochette de disque, Rocé trouve des noms de labels, puis des figures comme François Tusques, pièce maîtresse du free jazz français, et enfin des noms qui restent clandestins et compliqués à trouver. À l’écoute, notamment : « Déménagement », par Salah Sadaoui, « Le Mal du pays », par Manno Charlemagne...
4ème : Dane Belany, l’aventure américaine
▻http://nova.fr/podcast/nova-stories/dane-belany-laventure-americaine
Le projet a permis à Rocé de retrouver des artistes oubliés. Dane Belany en faire partie. Chanteuse noire d’origine turque et sénégalaise, qui chantait dans les cabarets de Pigalle, elle côtoyait du beau monde parisien, avant de partir à New York. Là-bas elle a rencontré Thelonious Monk, Miles Davis, croisé James Baldwin. Une maladie lui fait perdre sa voix. Elle s’est mise à clamer des textes en français, de David Diop, Aimé Césaire... Ce qui donne un disque dédicacé à Frantz Fanon. Rocé l’a retrouvée...
5ème : Un chapitre africain
▻http://nova.fr/podcast/nova-stories/un-chapitre-africain
On termine cette Nova Story par un zoom sur la partie africaine des recherches de Rocé. Qui commence par un morceau d’Abdoulaye Cissé, figure de la musique burkinabè, mandaté par le président Thomas Sankara, créateur à sa demande de deux groupes : Les chanteurs au poing levé et Les Colombes de la Révolution. Rocé retrouve Abdoulaye Cissé, qui l’aide aujourd’hui dans ses travaux.
#musique #Rocé #Histoire #luttes_sociales #damnés_de_la_terre #colonisation #chanson #spoken_word #slam #radio #audio #Radio_Nova #historicisation
génial, merci, je vais écouter ça petit à petit...
#Musique_et_politique
L’épisode 3 avec l’anarchiste corse, métallurgiste, éditeur de musique et livre, est assez savoureux…
@intempestive peux tu modifier le proxy google des liens, par exemple pour le 2 ça donnerait
▻https://podcast.nova.fr/sites/default/files/podcast-episode/2018-07/NovaStories-PoetiquePolitique-EP02.mp3
les urls sont des redirections du proxy google, il faut donc cliquer sur celles que tu as données pour les retrouver ! (ce qui permet à google d’enregistrer qui va écouter quoi avant de te laisser l’accès)
L’album arrive ! Premier extrait ! (et on peut le commander)
▻https://horscadres.bandcamp.com/album/par-les-damn-e-s-de-la-terre
Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l’énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d’immigrés. J’ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l’urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des « damné.e.s de la terre ». Dans l’ombre des chanteurs à texte médiatisés existent des femmes et des hommes devenus artistes juste le temps d’un disque.
Inutile de chercher dans ce recueil le morceau « exotique et funky », extrait du folklore destiné à la métropole. Rythmes et textes sont vêtus de leur propre « blues » dur et sincère. La langue française réunit des régions du monde qui portent des fardeaux communs. Géopolitique et sentiments se mêlent. Les paroles des anciens résonnent jusque dans les oreilles des enfants d’aujourd’hui, ceux des diasporas. Un bon nombre des artistes présent.e.s dans ce recueil n’a pas eu la chance de croiser son public à l’époque, je pense que le contexte actuel des migrations et des questionnements identitaires donnera une résonance toute particulière à ces textes et à ces musiques.
Deux historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, écrivent le livret du disque, ils décrivent les contextes de l’époque et des pays dont proviennent les morceaux.
Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d’identification, un oubli de l’histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu’elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. A la jonction des luttes de libération des pays d’origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l’Histoire des livres scolaires ne dit pas. Il est important à mes yeux de transmettre ces moments de tous les possibles afin d’en imprégner la morosité dans laquelle grandissent les nouvelles générations.
Les enfants des diasporas et ceux des travailleur.euse.s ouvrier.ère.s ont besoin d’avoir des espaces de transmission de l’histoire de leurs parents. Ces parents qui ont sacrifié des années dans des luttes ou dans l’exil et qui ont choisi pour leurs enfants une intégration dans la discrétion et pointée vers un futur sans le poids d’une lourde mémoire. Le passé ne se transmet pas facilement lorsqu’il est emprunt de tabous et qu’on pense ses enfants libres, sauvés, car nés en France. Mais les combats de nos aînés, à la vue des luttes actuelles, sont précieux et utiles. Le présent se débrouille mieux lorsqu’il a de la mémoire.
Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d’être refermé, nous plongeant dans l’individualisme, le court terme, l’absence de projets de société. L’absence des ces histoires dans l’Histoire nous prive de l’espoir, des notions de fraternité, de résistance, de modes d’emplois d’autodéfense. L’époque actuelle nous impose ses fictions dystopiques, des histoires d’échecs et d’impasses.
Le sillon fossilisé dans le disque m’a permis de découvrir des artistes et intellectuels qui ont transmis des solutions multiples. On connaît trop peu le personnage de Frantz Fanon, ce Martiniquais qui a épousé la cause algérienne, on connaît trop peu le grand Franklin Boukaka, artiste congolais qui rend hommage dans une chanson à Mehdi Ben Barka, homme politique marocain. Il a existé un soutien entre étudiants guadeloupéens pour l’indépendance de la Guadeloupe et un militant corse du FLNC qui a décidé d’héberger sur son label leur musique.
Nous pouvons être tous d’accord, ça ne sert à rien s’il n’y a pas de projet commun. Je ne sais pas comment sera demain, ce que je sais c’est qu’avec la mémoire nous pouvons additionner la force et l’union des peuples d’hier aux diasporas et subalternes d’aujourd’hui. Nous placer au centre de l’histoire que l’on nous conte afin de rompre avec la logique impérialiste.
« Voir ce qui n’avait pas lieu d’être vu, faire entendre comme discours ce qui n’était entendu que comme un bruit. » Jacques Rancière
Rocé
L’HISTOIRE S’ÉCRIT AUSSI EN CHANSON - ROCÉ
▻https://www.youtube.com/watch?v=gYjbFx4SIq0
1/2 d’interview sur Le Média
Dans une compilation, le rappeur Rocé, à l’oeuvre incontestée et incontestable parmi les vrais aficionados du genre, remet à l’honneur des artistes oublié.e.s, qui racontent une autre histoire de France, dans les usines ou dans ses anciennes colonies.
▻http://www.bboykonsian.com/Emission-Frontline-du-26-octobre-2018-autour-du-projet-Par-les-damne-e-
Voici l’émission « Frontline » du 26 octobre 2018 avec Rocé et Mogniss H. Abdallah de l’Agence IM’média pour le projet « Par les damné.e.s de la terre - Des voix de luttes 1969-1988 » disponible dès le 02 novembre 2018.
Yes ! et vendredi 2 novembre, à l’occasion de la sortie du projet tant attendu, grand entretien avec Rocé sur www.jefklak.org ! Le livret, le projet et les sons/chansons sont plus qu’indispensables !
Par les damné·es de la terre : « Je voulais montrer la base du cri » Nathalia Kloos et Ferdinand Cazalis, Jef Klak, le 1 novembre 2018
►https://seenthis.net/messages/733022
Ecoute possible ici :
►https://www.youtube.com/playlist?list=PL05iN1xcv94NuQ6KObz50gVQtKUDRgUWr
Rocé : « Par les damné.e.s de la terre est un mode d’emploi des luttes pour les jeunes générations »
Sarah Smaïl, Bondy Blog, le 02 novembre 2018
►https://seenthis.net/messages/733580
10 minutes à la télé :
Diasporas : Rocé, nouvel album, les voix militantes du monde francophone
Le journal Afrique sur TV5MONDE, le 29 octobre 2018
▻https://information.tv5monde.com/archives/les-jt/afrique?date=2018-10-29T20%3A00Z#edition0
Pour celles et ceux qui ont aimé Par les damné·es de la terre collecté par monsieur @Roce, on pourra continuer le chemin avec
MOBILISATION GENERALE/ Protest and Spirit Jazz from France 1970-1976
Commande & écoute ici : ▻http://www.bornbadrecords.net/releases/bb057-va-mobilisation-generale-protest-and-spirit-jazz-from-france-1
1968. France société anonyme. L’incendie est déclaré et tout l’immeuble est entrain de s’effondrer. On ne sauvera rien. Des décombres du vieux monde les enfants de Marx et de Coca Cola surgissent pour arracher le bleu et le blanc au drapeau tricolore. Le fond de l’air est rouge et la musique n’adoucira plus les mœurs. Le chantier peut commencer.
Si les Stones, les Who, les Kinks ou le MC5 composent la bande son de la revolution à coups de singles Molotov, ce sont des noirs américains qui ont fait sauter les digues durant les sixties. Contre le jazz à papa et la tradition occidentale Ornette Coleman, Cecil Taylor, Eric Dolphy, Albert Ayler ou Archie Shepp libèrent alors la note, explosent les formats, se lancent dans des improvisations furieuses qui redessinent un territoire sans frontières, aussi spirituel que politique. Avec le free jazz, le saxo devient lui aussi une machine à détruire l’ordre établi.
L’Art Ensemble of Chicago qui atterrit à Paris en 1969 au Théâtre du Vieux Colombier allume une nouvelle mèche. Le quintette intègre au linup traditionnel une multiplicité de « petits instruments » dénichés un peu partout (de la sonnette de bicyclette aux wind chimes en passant par le steel drum, le djimbe ou le vibraphone : rien ne leur échappe) dont ils usent en fonction de leur inspiration. Sur scène le groupe détonne en arborant boubous et peintures de guerre afin de célébrer les pouvoirs d’une musique libre et hypnotique, en connexion directe avec ses racines africaines. La rencontre avec le label Saravah (fondé en 1965 par Pierre Barouh), alors aux avant postes d’une world music qui ne porte pas encore de nom, est évidente. L’album Comme à la radio de Brigitte Fontaine enregistré en 1970 à l’issue d’une série de concerts donnés au Théâtre du Vieux Colombier scelle l’union de cette héritière d’une chanson française, poétique et engagée (Magny, Ferré, Barbara) avec le jazz voodoo de l’Art Ensemble of Chicago et la tradition arabe perpétuée par son compagnon Areski Belkacem.
Un ovni vient de se poser sur les platines des ados français qui découvrent la culture underground via Actuel, Libération, Charlie Hebdo, Rock’n Folk et une free press en pleine ébullition. Une jeunesse qui est de tous les combats : aux cotés des paysans sur le plateau du Larzac, des ouvriers de l’usine Lip, contre le nucléaire à Creys-Malville, la guerre du Vietnam, la peine de mort, les discriminations subies par les femmes, les homosexuels et les immigrés. Faire de la musique quand on a 20 ans au début des années 70, c’est faire de la politique. On ne prend pas un micro pour devenir une rock star mais pour faire avancer ses idées. Tandis que le prix du baril s’enflamme et que Pompidou bétonne à tout va en développant les grands ensembles et en « adaptant la ville à l’automobile », on prend la route pour se réfugier à la campagne. Des communautés qui se forment aux quatre coins de l’hexagone naissent des groupes (ou plutôt des collectifs) à géométrie variable qui mélangent allégrement musique, happening théâtral et agit prop sous une bonne dose d’acide. Le grand n’importe quoi est souvent de mise (le prog rock est la tarte à la crème de l’époque), mais ceux qui empruntent le sentier dessiné par le spiritual jazz planent vers d’autres cieux. La véhémence (voir la grandiloquence) des propos est alors portée et transcendée par la finesse et l’inspiration du jeu. La France de Claude François n’a jamais entendu ça. À la fois spatiaux, pastoraux et tribaux, les morceaux réunis ici font la jonction parfaite entre un certain héritage psychédélique, le space jazz de Sun Ra et l’Afro Beat qui se met alors en place à Lagos avec Fela, ils sont autant des incantations (l’usage du spoken word est récurrent), des cris de guerre, des poèmes que des tracts.
1978. Giscard est à la barre. Le punk et la disco décapitent les derniers hippies. Si le sang bout toujours, il est déjà trop tard. La guerre est finie, elle a été perdue sans que personne ne s’en aperçoive, et l’on a beau se battre encore contre des moulins à vent, faire parfois parler la poudre et le plomb dans des luttes sans issues (du rêve au cauchemar il n’y a qu’un pas), on sait que la parenthèse enchantée vient de se refermer, que les lendemains qui chantent sont désormais derrière nous et qu’on ne laissera que quelques disques à nos enfants. Le spectre d’un single prophétique peut alors ressurgir des speakers. Brigitte Fontaine y interroge Areski : « Hey mais je pense à un truc, on ne va pas mourir dans une minute ? »
Découverte, du coup, de :
Dansons avec les travailleurs immigrés - Versailles (1971)
►https://www.youtube.com/watch?v=OWHHL0Xkfs4
A rajouter à la compilation de chansons consacrées aux flics, keufs, condés, poulets, cognes, porcs, cafards et argousins :
►https://seenthis.net/messages/576637
Rap : Rocé se fait l’archiviste de la langue en action
Stéphanie Binet, Le Monde, le 19 novembre 2018
►https://seenthis.net/messages/733580
Très bonne interview : ▻http://dialna.fr/interview-par-les-damne-e-s-de-la-terre-lhommage-aux-luttes-du-passe-de-roce
Évocation de #archivage_militant (mais au final tout le projet en est question)
Cet album est aussi possible car ces luttes ont été gravées sur vinyles, ou sur bandes. D’après toi, que garderons-nous de nos luttes actuelles ?
Rocé : Je pense que c’est un peu le problème de notre époque. Tu peux le voir avec notre consommation de la musique, des photos, etc .. Aujourd’hui tu changes de téléphone, tu perds tes photos. Avant tu avais moins ce problème. On a beaucoup plus de choses aujourd’hui, mais on les transporte beaucoup moins longtemps avec nous. Je ne sais pas ce qu’il advient des albums photos de famille, plus personne n’en a. C’est tout con, mais on fait une confiance aveugle en la technologie mais l’obsolescence fait qu’on peut tout perdre du jour au lendemain. Il y a des morceaux qui cartonnent grâce à des plateformes de téléchargement, mais tout ne tient qu’à ces plateformes. J’ai réédité mon premier album qui date de 2001. Le graphiste de l’époque avait gardé un disque dur avec les morceaux, la pochette, etc. Le disque dur ne démarrait pas quand on l’a branché. On a dû reprendre la pochette vinyle et allait la faire une reproduction de la photo. Encore une fois, le vinyle a sauvé l’affaire, c’est du sillon gravé. Le numérique, c’est limité. Que va-t-il advenir de nos luttes d’aujourd’hui ? On va y arriver mais ça va être moins simple.
Rocé chez Zoé Varier pour « Une journée particulière », la moitié sur le premier disque de rap français, et la moitié sur son dernier disque
▻https://www.franceinter.fr/emissions/une-journee-particuliere/une-journee-particuliere-02-decembre-2018
Longue recension dans le New York Review of Books !
▻https://www.nybooks.com/daily/2019/01/22/rapping-with-fanon
Rocé : L’un, le multiple et les damné.e.s de la terre
Cases Rebelles, Épisode n°85, Avril 2019
▻https://seenthis.net/messages/774461
A mon tour de participer à une émission de radio d’une heure sur le projet de Rocé, Par les Damnés de la Terre, sur la radio CKUT de Montréal, le 18 avril dernier, avec Stefan Christoff...
ELO#370 - Rocé
Dror, Entre Les Oreilles, le 24 avril 2019
►https://seenthis.net/messages/776917
Il est parmi nous ...
Mac Jesus, 2015
De l’artiste finlandais Jani Leinonen.
tu connais la blague : heureusement que jésus christ a été crucifié et pas empalé !
#art_subversif
▻https://www.discogs.com/fr/Jesus-Le-Calvaire/release/1421378
Début 66, après avoir cachetonné comme guitariste de Michelle Thor et Claude François, Jp Masseria monte alors le Studio S.E.M (Studio Enregistrement Méditerranée) à Nice. Ce studio étant à la pointe de la technologie de l’époque, Il y développe et peaufine rapidement ses propres techniques d’enregistrement et de production. Des boucles, des bruits bizarres, des échos étranges, pour une production claire et folle qui devient rapidement la marque de fabrique du son #Massiera (écoutez le EP des Pyranhas notamment). JPM sort alors son album concept Le Maledictus Sound à mi-chemin de l’illustration sonore, et de la #BO_de_film de #Série_Z. On y découvre les déambulations sonores de Massiera qui y fait étalage de tout son curieux savoir faire et nous fait partager un univers étrange où #humour_noir, astuces et goût du décalage coexistent sur toutes les plages musicales d’un disque mutant.
▻http://www.bornbadrecords.net/releases/wizzz-french-psychorama-1966-1070-volume-2
source : #bornbad_rds
▻https://www.discogs.com/fr/Maledictus-Sound-Maledictus-Sound/release/6162549
▻https://seenthis.net/messages/601998
Born Bad Records - GROUP DOUEH & CHEVEU
▻http://www.bornbadrecords.net/artists/group-doueh-cheveu
A ma droite, Cheveu, un trio français qui ne cesse de bousculer les œillères en inventant une bande-son aux limites de bien des genres. A ma gauche, Group Doueh, un combo saharien qui enjambe les frontières des styles, en percutant la tradition de trouvailles inédites. Au centre des enjeux, un sound-clash entre deux univers situés à des années-lumière dans la galaxie musicale.
Belle rencontre, super musique, bien trippant.
#son
Fuck me la nostalgie, « #Punk Me » pour la vie
►http://www.davduf.net/fuck-me-la-nostalgie-punk-me-pour-la-vie
C’est une déambulation narrative, linéaire, une promenade façon dérive situ à Oberkampf. C’est une expérience drôle, agaçante, et pertinente. C’est un objet hybride, de bien bien belle facture, et tellement casse-gueule : un psycho-test sur le Punk. Et c’est une réussite. Fuck me la nostalgie, Punk Me pour la vie. #Interview avec son auteur. Du fond de sa tombe, c’est Alan Pacadis qui parle le mieux de [Punk Me >▻http://punk.lemouv.fr] qu’il n’a jamais pu voir, et pour cause - le rock critic, heureux (...)
#nouvelles_narrations / Une, Interview, #Nouvelles_écritures, #Détournement, #Olivensteins, Punk, #Sex_Pistols, Garage (...)
#Garage_Band
"▻http://punk.lemouv.fr"
"▻https://www.youtube.com/watch?v=rjdH1Sqz4hY