INDE • Les marchés financiers votent Narendra Modi

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  • The Indian election and the lessons the west can take from Narendra Modi’s popularity
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/may/10/indian-elections-narendra-modi-bjp-western-policy

    ... it is worth noting that #Modi will be the first leader of such prominence and power in India who, like the vast majority of his compatriots, is uncomfortable in what has become the world’s language.

    (...)

    Due to the inequality of the growth seen since market-orientated reforms were introduced across much of Asia in the last four decades, the global economy, still dominated by the west, appears to many in small-town India, not as an opportunity for all but a means for a select few to become extremely rich. Out in provincial cities, western culture is increasingly represented more by luxury cars, internet pornography and shops selling international brands in the more exclusive malls than Shakespeare and liberal democracy.

    #Inde #nationalisme #populisme #capitalisme

    • #INDE • Les marchés financiers votent Narendra #Modi | Courrier international
      http://www.courrierinternational.com/article/2014/05/13/les-marches-financiers-votent-narendra-modi

      Ce lundi 12 mai, les grands indices de la bourse indienne, le Sensex et le Nifty, ont tous deux battu des records historiques. Pour de nombreux experts, les marchés anticipent l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement de coalition sous l’égide du BJP, avec aux manettes un Narendra Modi jugé proche des milieux d’affaires et favorable à des réformes économiques.

      Une dichotomie entre investisseurs indiens et étrangers

      Mais cette frénésie boursière est plus complexe qu’il y paraît. Depuis le mois de septembre, si les marchés s’envolent, les investisseurs institutionnels, selon qu’ils sont étrangers ou indiens, ont des comportements radicalement opposés. Depuis la désignation de Narendra Modi comme candidat officiel du BJP en septembre, les investisseurs étrangers ont systématiquement été des acheteurs nets (sauf en janvier), tandis que les Indiens, excepté en février, vendaient davantage qu’ils n’achetaient. Depuis le début du mois de mai, cette dichotomie s’est vérifiée lors de toutes les séances de la bourse.

      Pourtant, de juin à septembre dernier, les investisseurs institutionnels étrangers étaient des vendeurs nets sur les marchés indiens, notamment parce que la Réserve fédérale américaine avait proposé de réduire un programme de relance, leur faisant redouter des restrictions de liquidité. En septembre [outre la désignation de Modi], la banque centrale indienne s’est aussi dotée d’un nouveau directeur, Raghuram Rajan, un économiste apprécié qui a contribué à enrayer l’érosion de la confiance boursière comme celle de la roupie.

      Mais alors que les sondages laissaient présager une avance de plus en plus nette pour le BJP, on a attribué le regain de moral sur les marchés à la perspective d’une victoire de Modi, au grand dam de l’actuel gouvernement [du parti du Congrès]. En décembre déjà, quand elle a revu la note de l’Inde à la hausse, la banque Goldman Sachs avait illustré cette attente des marchés [et s’était vu accuser d’ingérence dans la vie politique indienne] avec une note d’analyse intitulée « Modi-fier notre point de vue ».