Debtocracy Grèce : « Nous vivons sous une occupation économique »

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  • Debtocracy Grèce : « Nous vivons sous une occupation économique » - El Correo
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    Nous essayons d’expliquer comment la #crise économique-financière de la #Grèce a germé et s’est généré au sein du système même de #dette et nous voulons mettre en évidence la façon irrégulière dans laquelle nos dirigeants politiques ont géré la situation, dans le dos du peuple tôt en sachant le mal qu’ils faisaient.

    Ils cherchent à nous présenter comme une nation de gens peu travailleurs, qui dépensent beaucoup. C’est pourquoi, nous essayons d’expliquer que nous ne sommes pas des faignants. Nous reconnaissons qu’il y a des problèmes structuraux dans l’#économie, mais cela tient principalement avec fait que le gouvernement se refuse à mettre des taxes sur les bénéfices des « grands capitaux » c’est-à-dire les propriétaires des compagnies de navigation, de banques, sur l’Église, et cetera.

    Pourquoi avez-vous choisi ce nom pour le documentaire ?

    « Debtocracy » fusionne deux noms. D’un côté, une dette et de l’autre une #démocratie. Nous croyons que « Debtocracy » est le contraire de democracy, parce que beaucoup de gens en Grèce pensent que maintenant nous sommes, d’ne certaine façon , entrain de vivre sous une occupation économique.

    • J’adore ce nouveau mot #Debtocracy très parlant et très significatif du délire mondial. Par contre, l’auteur oublie de désigner le vrai coupable : la #banque
      Les politiques qu’ils décrient ne sont rien d’autre que des clowns, des marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont entre autres, JP Morgan (avec Masters en vedette), Soros, Bernanke, ... Les autres ne sont que des clowns pour lesquels Marx déclaraient qu’il fallait simplement leur rétrocéder une partie de la plus-value.