On peut le lire comme ça, mais on peut aussi voire OSM comme une organisation capable de fédérer non seulement les services de l’Etat mais aussi les différents niveaux de collectivités locales, les entreprises et les utilisateurs... On peut déplorer que l’initiative ne soit pas venue d’un service public, mais elle n’aurait peut-être pas eu lieu ailleurs qu’en un terrain neutre où tout le monde se rejoint. De plus, Openstreetmap en France est loin d’être déconnecté du service public - parmi les membres les plus actifs et non des moindres on trouve par exemple l’ancien président qui est salarié de La Fonderie, l’organe d’animation ’open data’ de la région Ile de France.
Ceci dit - l’exemple Danois (cf. vidéo du State of The Map France) démontre que c’est directement possible dans la sphère de l’Etat... Mais peut-être avec d’autres valeurs communautaires que les nôtres...