Et puis si, je vais en rajouter. Pas eu envie d’ajouter l’intro. obligatoire, sous peine de disqualification, comme lorsqu’on cause d’islamisme, du genre « le terrorisme c’est mal, l’extremisme c’est mal, Poutine est un impérialiste (du KGB) comme les autres, Assad ne mérite pas de vivre, etc ».
Dans cette interview, Elkabbach est passé pour un roquet, et Poutine a été incisif et pertinent. Sur tous les sujets (sauf sa réponse sur l’imbécilité de Clinton où il a cru bon d’y mêler toutes les femmes, il est sexiste, pas d’souci, je ne me battrais pas sur ce point, j’l’accorde sans débat, celui-là :-) ). Un exemple... parmi tous les autres : le journaliste l’a attaqué sur les homosexuels... Poutine lui a rappelé que l’homosexualité est punie pénalement dans certains états américains, quand ce n’est pas le cas en Russie. Factuel. Sans plus. Histoire de sortir de la narrative.
Et enfin... Ses réponses étaient concrètes, simples. Pas comme de se fader une interview de Hollande ou de Valls...