Ami journaliste, n’oublie pas qu’on ne doit plus utiliser le mot « Débarquement », même avec une majuscule, c’est vraiment trop has been. Maintenant on dit « D-Day » et ça se prononce « didèïe » (et pas « dédet » comme on pourrait le croire).
Ami journaliste, n’oublie pas qu’on ne doit plus utiliser le mot « Débarquement », même avec une majuscule, c’est vraiment trop has been. Maintenant on dit « D-Day » et ça se prononce « didèïe » (et pas « dédet » comme on pourrait le croire).
Belle tentative de titre-qui-buzz chez Nouvel Obs :
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140606.OBS9781/d-day-les-5-phrases-du-jour-qui-resteront-dans-l-histoire.html
D-Day : les 5 phrases du jour qui resteront dans l’histoire
C’est bien, mais il aurait fallu ajouter : « et vous n’imaginerez jamais qui a prononcé la cinquième », ou « la troisième vous fera pleurer de bonheur ».
Sur les plages du débarquement, tu peux tourner autour de ton chateau de sable ; autour de l’Ukraine je sais pas trop :
▻http://www.lepoint.fr/monde/ballet-diplomatique-autour-de-l-ukraine-sur-les-plages-du-debarquement-06-06
Ballet diplomatique autour de l’Ukraine sur les plages du Débarquement
(Ah le titre laid !)
« Le dollar, c’est l’arme fatale des Etats-Unis », selon Thomas Snégaroff
▻http://www.usinenouvelle.com/article/le-dollar-c-est-l-arme-fatale-des-etats-unis-selon-thomas-snegaroff.N
Le directeur de recherche associé de l’Iris, Thomas Snégaroff, spécialiste des Etats-Unis, ne croit pas à l’efficacité des pressions politiques françaises dans l’affaire BNP Paribas. Il n’y a pas, selon lui, de monnaie d’échange face à l’indépendance de la justice américaine qui a déjà lourdement condamné des banques de son propre pays. L’affaire démontre en revanche que si la puissance militaire américaine n’est pas opérante dans tous les cas, sa monnaie reste le moyen d’action de sa suprématie.
L’Usine Nouvelle - La France a-t-elle de réels moyens de pression sur les Etats-Unis face à l’amende de BNP Paribas ?
Thomas Snégaroff - Non, je ne crois pas. D’ailleurs l’argument du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, qui menace de reconsidérer la négociation du traité transatlantique au nom de la confiance et de la réciprocité me semble révélateur de cette faiblesse des moyens. Cet accord ne peut être invoqué car d’un côté il s’agit d’une négociation commerciale et de l’autre d’une décision de la justice américaine. Ce ne sont pas les mêmes instances. Cette tentative révèle au passage une méconnaissance de l’indépendance entre l’exécutif et la justice aux Etats-Unis. Je pense que BNP Paribas règlera plutôt cette question par une négociation avec la justice et la somme pourra peut-être baisser. C’est ce qu’autorise le système américain.....
BNP pas seule lourdement pénalisée (presse US) ; ... Et il ne faut pas oublier que JP Morgan a payé 13 milliards de dollars pour la même raison.
> ▻http://www.arretsurimages.net/breves/2014-06-06/BNP-pas-seule-lourdement-penalisee-presse-US-id17538