• Une politique de santé faite de demi-mesures | Actualité | LeFigaro.fr - Santé
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/06/18/22496-politique-sante-faite-demi-mesures

    Par exemple, à moins de considérer que la liberté individuelle doive s’effacer lorsqu’elle pousse les plus défavorisés à fumer davantage, il faut bien accepter qu’il y ait ensuite plus de cancers du poumon dans ces populations exposées.

    Donc, si les pauvres ont des cancers des poumons, c’est bien fait pour leur gueule... et ça n’a rien à voir avec leurs conditions de vie ou de travail...

    • Pas une politique de santé sans son lot de petits cadeaux au public. On « obligera » donc tous les établissements de santé à se doter de représentants des usagers. Les concubins ou pacsés auront, comme les époux, un droit d’accès au dossier médical en cas de décès.

      j’aime bien cette idée de « cadeaux » selon le Figaro...
      Au pays du Figaro, les pauvres sont vraiment des gens bizarres, ils adorent fumer, picoler, sont tout le temps malades et leur passe temps favori consiste à trainer dans les cliniques et les cabinets médicaux pour grapiller des prestations gratuites et récupérer toute forme de petits cadeaux..
      Surtout que, bien sûr, s’ils n’ont plus à prendre leur porte-monnaie, ils vont se ruer tous les jours chez leurs médecins pour obtenir des soins gratuits comme d’autre se ruent chez leur coiffeur ou leur esthéticiennes...

      Ben oui, c’est ce qu’insinue la conclusion qui vaut son pesant de cacahuètes

      Il ne fait aucun doute que la généralisation du tiers payant, à l’horizon 2017, sera très populaire dans l’opinion publique puisqu’elle permettra de consulter son médecin sans devoir ouvrir son porte-monnaie. Mais cette mesure, sous couvert de lever l’obstacle financier de l’accès aux soins, pourrait avoir des effets économiques pervers. Car nul ne mesure l’augmentation des dépenses qui en résultera. Certains objecteront que la présentation des orientations de la politique de santé n’est pas le lieu des discussions portant sur les finances. Et si, au contraire, concevoir une politique de santé à long terme commençait par tenir compte des impératifs économiques ?

      #lol