« Mes traîneries monstres ». Petit monument au grand Oskar Huth, par Hanns Zischler
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À la fin des années 1970, à l’« Ablette », petit bistrot de Charlottenburg, je voyais parfois un monsieur vêtu avec une correction remarquable, nœud papillon et plis au pantalon ; le soin désinvolte de sa mise ignorait distinctively le débraillé ambiant ; il avait le teint clair, lisse, tanné par le vent, sa moustache finement taillée à la Adolphe Menjou m’évoquait un « aristocrate polonais ».