#Germinal_Roaux, un poète à la caméra
« Fortuna, c’est l’histoire d’une adolescente éthiopienne qui, sans nouvelles de ses parents depuis son arrivée sur les côtes italiennes, est accueillie en #Suisse dans un hospice, à plus de 2000 m d’altitude. #Fortuna, c’est aussi le prénom d’une petite fille que sa mère africaine appelait dans un bus à Lausanne. En Grèce, un pêcheur m’a aussi appris que c’était le nom donné à la Méditerranée quand la tempête s’annonce et qu’il vaut mieux ne pas tenter de la traverser. Mon film est constitué de nombreuses couches. Au fil du temps, j’accumule les petites notes, j’en remplis des carnets, un peu comme une peinture à laquelle on travaille jour après jour. »
Fortuna (14 ans), une jeune adolescente éthiopienne, sans nouvelles de ses parents depuis son arrivée sur les côtes italiennes, est accueillie en Suisse avec d’autres réfugiés dans un hospice à plus de 2000 m d’altitude pour passer l’hiver. Une communauté de religieux catholiques les héberge en attendant que leur sort soit régularisé par les institutions suisses. C’est là que Fortuna rencontre Kabir (26 ans), un jeune réfugié africain, dont elle tombe éperdument amoureuse. Leur relation se construit à l’abri des regards jusqu’au jour où Kabir disparaît.
Merci Cristina ! Je vais guetter ça.
Film primé aux berlinales...
Le film lausannois Fortuna primé au Festival de Berlin
▻https://www.tdg.ch/culture/cinema/film-lausannois-fortuna-prime-festival-berlin/story/12602182
Humanisme au sommet
Rencontre avec le Lausannois Germinal Roaux, orfèvre du noir et blanc, qui signe avec Fortuna un sublime second long métrage primé à Berlin.
Musique participative : La Fanfare de la Touffe ébouriffe la Vieille-Ville - Culture - tdg.ch
▻https://www.tdg.ch/culture/culture/La-Fanfare-de-la-Touffe-ebouriffe-la-VieilleVille/story/24350343
« –Mettez les lèvres en avant, soufflez, et laissez vibrer. Comme un cheval qui s’ébroue ! » explique Fabrice Charles, l’un des organisateurs de la Fanfare de la Touffe, soit un atelier participatif d’initiation aux instruments à vent, le côté fantaisiste en plus. « –Prrrrrrrr ! » postillonnent en chœur la quarantaine de participants, face à lui, dans la salle Athénée 4 en ce dimanche 22 juin en fin de matinée.