Ados qui font le trottoir : un phénomène en expansion ? (1/2) - Région

ça me rappelle cela...
Etudiante universitaire le jour, prostituée la nuit

Les jeunes filles sont toujours plus nombreuses à financer leurs études en vendant leur corps. A la tête d’une agence d’« escorts », une Genevoise témoigne.

▻http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/Etudiante-universitaire-le-jour--prostituee-la-nuit-24178438

#étudiant #Genève #escort

Il y avait eu aussi une émission sur le RTS (télé suisse), mais je ne retrouve plus la référence...

Oui, comme le souligne @aude_v, elles sont trop jeunes, trop pauvres et trop sans avenir. Celles qui tapinent pour les études ont au moins l’espoir de devenir quelqu’un...

Entr’Actes décide d’aller à la rencontre des ados sur les lieux de tapin (avec une antenne mobile et à pied, nuit et jour). Les retirer de force du trottoir n’est pas une solution, à cause d’une spirale connue : « Interpellation, placement en foyer, fugue et retour au tapin… ». Entre’Actes essaie plutôt de « repérer ces adolescentes, tisser des liens de confiance avec elles et identifier leur situation : quelle structure s’en occupe, qui est le référent social ? Pourquoi a-t-il été évincé, pourquoi le lien a-t-il été coupé et les mesures de protection n’ont pas fonctionné ? » Un travail à long terme, dont l’objectif est de remettre ces filles (jusqu’à 21 ans) « dans un parcours de vie normal pour leur âge, en renouant le fil avec les adultes (travailleur social, justice, santé, etc.) ».