Chief suspect in Abu Khdeir murder : We regretted the killing afterward - National Israel News

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  • Ici, Haaretz consacre son titre et sa conclusion au fait que les assassins d’Abu Khdeir sont des juifs plein de compassion, désormais rongés par les remords. Chief suspect in Abu Khdeir murder : We regretted the killing afterward. Snif.
    http://www.haaretz.com/news/national/.premium-1.610053

    Next, the three drove to Sachar Park, where they destroyed evidence by burning their clothing. Then they drove to the home of a customer to deliver a pair of glasses from Ben-David’s store. Ben-David claims that at this stage they felt remorse for their actions. “I was in shock … We’re Jews, we have a heart. Afterward we talked about it and … each one poured his heart out and we regretted doing it. I told them … this is not for us. We erred, we’re compassionate Jews, we’re human beings. Then we got depressed.”

    Évidemment, si on accepte que des gens qui ont brûlé vif un garçon de 16 ans se présentent – sans être contredits – comme des « juifs compatissants », il ne faudrait pas trop s’étonner que certains esprits simples développent quelques généralisations hâtives.

    Vraiment, comment un journal peut-il terminer sur des déclarations aussi odieuses sans ajouter au moins une phrase permettant de s’en distancier ? (Le moyen journalistique habituel pour faire cela n’est pourtant pas mystérieux : il suffit de terminer sur la réaction et une déclaration des proches de la victime.) Pourquoi faut-il que chaque crime israélien soit systématiquement contrebalancé par la souffrance intérieure et l’angoisse des assassins ?

    « Et après, on s’est senti déprimés. »