Du Val Fourré à Tottenham : beau comme une voiture qui brûle
►http://blogs.lesinrocks.com/karim-miske/2011/08/10/du-val-fourre-a-tottenham-beau-comme-une-voiture-qui-brule
Le plaisir, là aussi, était essentiel. Le plaisir qu’il y avait à jouer le rôle du méchant, du bandit, dans le grand récit du Val Fourré. Dans l’interminable saga de la France et de ses banlieues. Le plaisir brut qu’il y avait à écrire une page d’histoire et à se moquer des interprétations qui pouvaient en être données. Au Val Fourré comme à Tottenham, l’action porte son propre sens et s’amuse des commentaires.