L’algorithme qui battait les historiens de l’art

Dans le papier original, ▻http://paul.rutgers.edu/~babaks/publications/TowardAutomatedDiscoveryofArtisticInfluence_SalehAbeAroraElgammal_2014

Painting similarity based on the Classeme features showed some interesting cases, several of which have not been studied before by art historians as a potential comparison. Figure 2 is an example of this, as well as Figure 7 and Figure 8.

Voui, voui, voui, voyons la figure 8

https://dl.dropbox.com/s/gyy772ict6je9lj/Picasso-Braque.jpg

Ah ah, joli en effet.

Effectivement, la méthode des Bags of Words nécessite un codage initial avec intervention humaine sur lequel aucun détail n’est donné.

Typical application of BoW on an image involves several steps, which includes:
1) Locating interest points in an image
2) Representation of such points/regions using feature descriptors
[then calculations and algorithms]

De ce que je comprends, la méthode discriminante au niveau sémantique utilise une classification automatique des images pour leur attribuer des classèmes et en déduire l’un des 7 styles retenus pour la description.

Pour l’influence, elle ne peut être que directe et le sens est fondé sur post hoc ergo propter hoc. (la base de données employée contient 1710 œuvres de 66 artistes, dont Cézanne avec 140 tableaux).

Enfin, en France (au moins), pour l’analyse, authentification, etc. d’une œuvre, ce sont toujours les historiens de l’art qui tranchent, assistés par les résultats des soutiers de la technique…

@victorine qui va en avoir marre à la fin