Reportage : #Tunisie – #Libye, aux #frontières de la guerre et de l’oubli
Chaque crise impose ses changements. Celle de la guerre civile en Lybie a influé sur toute la région, y compris sur la Tunisie. Avec ces changements brusques et rapides, de nouvelles frontières se dessinent, desitinéraires inédits et de nouveaux commerces naissent, alors que d’autres cèdent et disparaissent. Entre Ras Jedir, le #camp_de_réfugiés de #Choucha, #Djerba et #Zarzis, des histoires de #migration, de #guerre civile, de #viol, de #mort et d’#oubli se tissent et se détissent au fil des quêtes. Nous en avons recueillis quelques unes.
▻http://nawaat.org/portail/2014/08/19/reportage-tunisie-libye-aux-frontieres-de-la-guerre-et-de-loubli
@asile
Le lieu de l’#incident survenu le 11 février 2011 entre la frégate « Horria 302 » de l’armée nationale et l’embarcation « Raïes Ali 2 », au large de l’île de Kerkennah. Photo Bruno Giuliani.
Riadh n’a pas peur de sauter dans le prochain bateau qui arrivera ou pas à bonne destination. Il a survécu, à chaque fois, et a acquis une expérience inégalable dans le domaine. Mais cette chance, d’autres migrants ne l’ont pas eu, comme les jeunes Tunisiens de Zarzis, qui ont trouvé la mort, la nuit du 11 février 2011, sur un bateau de fortune qui se dirigeait vers Lampedusa. Ce drame qui a fait 5 morts et 22 disparus a fait le tour des médias, à l’époque, avant d’être oublié, sauf par les familles des victimes. Les survivants ont accusé la garde nationale de vouloir tuer les 120 émigrés qui étaient sur le bateau
#naufrage #mourir_en_mer #Méditerranée #décès #morts
cc @reka