Dogs Eating Dead Bodies Of Ebola Victims On Liberian Streets « CBS Atlanta

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  • Genomic surveillance elucidates #Ebola #virus origin and #transmission during the 2014 outbreak
    http://www.sciencemag.org/content/early/2014/08/27/science.1259657.full

    This West African variant likely diverged from Middle African lineages ~2004, crossed from Guinea to Sierra Leone in May 2014, and has exhibited sustained human-to-human transmission subsequently, with no evidence of additional zoonotic sources. Since many of the #mutations alter protein sequences and other biologically meaningful targets, they should be monitored for impact on diagnostics, vaccines, and therapies critical to outbreak response.

    Ebola virus mutating rapidly as it spreads
    http://www.nature.com/news/ebola-virus-mutating-rapidly-as-it-spreads-1.15777

    Further comparisons suggest that the virus that caused the outbreak separated from those that caused past Ebola outbreaks about 10 years ago. It had accumulated more than 395 mutations between that time and June, when the researchers collected the last samples included in today’s analysis.

    The virus amassed 50 mutations during its first month, the researchers found. They say there is no sign that any of these mutations have contributed to the unprecedented size of the outbreak by changing the characteristics of the Ebola virus — for instance, its ability to spread from person to person or to kill infected patients. But others are eager to examine these questions.

    And such risks rise as the virus continues to spread. “The longer we allow the outbreak to continue, the greater the opportunity the virus has to mutate, and it’s possible that it will mutate into a form that would be an even greater threat than it is right now,” says Charles Chiu, an infectious-disease physician at the University of California, San Francisco.

    Cinq coauteurs d’une étude sur Ebola ont été tués par le virus avant sa publication
    par Jean-Yves Nau,
    le 28 août 2014
    http://m.slate.fr/story/91505/cinq-coauteurs-etude-ebola-tues-virus

    C’est une publication sans précédent qui vient d’être mise en ligne sur le site de la revue américaine Science. Une double première. D’abord, parce qu’elle met en lumière la dynamique génétique intime des innombrables isolats du virus Ebola qui progressent actuellement en Afrique de l’Ouest. Ensuite, parce que cinq de ses signataires sont morts avant de voir leurs noms publiés dans la prestigieuse revue de l’American Association for Advancement of Sciences.

    Cinq morts sur cinquante-huit auteurs, cinq morts infectés par le virus contre lequel ils luttaient. L’article avait été adressé pour publication à la rédaction en chef de Science le 5 août. Après relectures par des pairs, il a été accepté le 21 août et est donc publié sept jours plus tard. Quatre auteurs sont morts avant sa rédaction finale, le cinquième pendant la relecture.

    Les cinquante-trois auteurs toujours vivants rendent hommage à leurs collègues en fin de publication :
    « In memoriam : de manière tragique, cinq des coauteurs, qui ont grandement contribué au maintien de la santé publique et à l’effort de recherche en Sierra Leone, ont contracté le virus Ebola durant leur travail et ont été vaincus par la maladie avant la publication de cette étude. Nous voulons honorer leur mémoire. »

    Ils avaient pour noms Mohamed Fullah, Mbalu Fonnie, Alex Moigboi, Alice Kovoma et Humarr Khan. Tous travaillaient à l’hôpital gouvernemental de Kenema, en Sierra Leone. (...)

    Ce travail a été mené sur 99 isolats de virus Ebola obtenus après des prélèvements de sang effectués chez 78 malades de Sierra Leone. Après une série d’analyses génomiques particulièrement sophistiquées effectuées en un temps record, la communauté scientifique internationale dispose, pour la première fois depuis la découverte du virus en 1976, de données sur les mécanismes de reproduction et de mutation du virus.

    Les chercheurs confirment pour la première fois avec des preuves moléculaires l’hypothèse avancée par des chercheurs français selon laquelle le virus Ebola qui sévissait jusqu’alors en Afrique centrale a divergé pour donner celui qui frappe aujourd’hui l’Afrique de l’Ouest –sans doute véhicule par des #chauves-souris frugivores porteuses saines. Ils confirment également qu’un seul type de virus est à l’origine de l’épidémie actuelle, qui a émergé fin 2013 en Guinée.

    Report : Dogs Eating Dead Bodies Of Ebola Victims On Liberian Streets
    http://atlanta.cbslocal.com/2014/08/27/report-dogs-eating-dead-bodies-of-ebola-victims-on-liberian-street

    The New Dawn reports that the Liberian government buried bodies of those suspected to have died from Ebola a few weeks ago in Johnsonville Township, outside of Monrovia. A number of dogs were reportedly seen pulling the bodies out of the graves and eating the remains.