Le dilemme d’Israël face à la coalition contre l’État islamique

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  • http://www.alquds.co.uk/?p=219927

    اللبواني أول معارض سوري يزور إسرائيل علنا ويشارك بمؤتمر لمكافحة الإرهاب

    Au moment où les « rebelles révolutionnaires » syriens pactisent avec l’Etat islamique (http://seenthis.net/messages/293059), un membre « important » de la Coalition nationale syrienne, principale force « d’opposition modérée » se rend tout-à-fait officiellement en Israël pour participer à une « conférence contre le terrorisme » (et causer à la télé).

    Il doit y avoir une contradiction, ou bien la « lutte contre le terrorisme » n’est pas exactement ce que le président Hollande est allé célébrer à Bagdad !

    • mais ailleurs on lit cela
      http://www.lefigaro.fr/international/2014/09/10/01003-20140910ARTFIG00377-le-dilemme-d-israel-face-a-la-coalition-contre-l-

      Ce n’est pas le moindre paradoxe de l’attelage mis sur pied pour contrer l’État islamique (EI). Selon un diplomate occidental cité par l’agence Reuters, Israël a récemment transmis à son allié américain des images satellites ainsi que divers renseignements qui, presque aussitôt, ont été partagés avec la Turquie et plusieurs États arabes. Autant d’acteurs avec lesquels ce pays n’entretient pas ou peu de relations. Selon le diplomate, les annotations en hébreu avaient été effacées de ces documents afin d’épargner tout malaise aux destinataires. « Techniquement, on pourrait même imaginer que certaines de nos informations soient utilisées par l’Iran dès lors que ce partage intervient dans le strict cadre de la lutte contre l’EI, glisse un responsable israélien. La progression de cette organisation et les menaces qu’elle fait peser sur la région nous imposent de choisir entre Charybde et Scylla… »

      S’il n’est pas question que l’État hébreu intègre la coalition échafaudée par Barack Obama - la chose serait inacceptable par plusieurs pays arabes -, ses dirigeants ne manquent pas de saluer la démarche. « Je me félicite de l’initiative américaine de prendre les choses en main », a ainsi fait savoir le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman.

      tout cela est très confus