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  • #Belgique : Ce 10 janvier : on s’approche des 20.000 contaminations par jour, mais les conséquences à l’hôpital restent limitées RTBF
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-en-belgique-ce-10-janvier-on-s-approche-des-20-000-contamina

    La vague Omicron continue de progresser en Belgique, selon les chiffres dévoilés par le cabinet du ministre de la Santé Frank Vandenbroucke : on s’approche désormais d’une moyenne de 20.000 contaminations quotidiennes, sur base des chiffres consolidés, que l’on devrait atteindre dès ce mardi.

    La tendance au doublement des cas en une semaine semble toutefois ralentir un peu : on est désormais à une augmentation de 84% sur 7 jours. Il faut toutefois souligner que le nombre réel de contaminations reste probablement largement sous-évalué, puisque le taux de positivité continue à augmenter : il dépasse désormais 25%, malgré un nombre de tests qui continue à augmenter lui aussi.

    La hausse des admissions reste plus modérée (+22%), et semble elle aussi ralentir un peu. Et surtout, la situation aux soins intensifs continue à s’améliorer malgré cette vague de contaminations : 442 patients Covid, c’est toujours 15% de moins que la semaine précédente. . . . . .

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

    • #Luxembourg : « Pas encore d’effet Omicron » dans les hôpitaux » lessentiel.lu
      http://www.lessentiel.lu/fr/luxembourg/story/pas-encore-d-effet-omicron-dans-les-hopitaux-28922552

      Les hôpitaux ne sont à l’heure actuelle pas submergés par l’émergence du nouveau variant, avec l’absence de déprogrammations et un absentéisme pas trop important.
      Face à l’arrivée du variant Omicron, la situation dans les hôpitaux est « encore acceptable ». C’est le constat que dresse ce vendredi, Jean-Paul Freichel, commissaire du gouvernement aux hôpitaux au sein du ministère de la Santé. « Nous n’avons pas enregistré de flambée de patients, que ce soit aux soins normaux ou aux soins intensifs, précise-t-il. Par conséquent, les hôpitaux ne doivent pas procéder à des déprogrammations d’interventions chirurgicales ». . . . . .

  • South Korea cuts human interaction in push to build ‘untact’ society | South Korea | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2021/dec/10/south-korea-cuts-human-interaction-in-push-to-build-untact-society

    The government invests heavily to remove human contact from many aspects of life but fears of harmful social consequences persist

    For Seoul-based graduate Lee Su-bin, the transition to a new lifestyle during the pandemic was no big deal.

    “At the university library, I would reserve my books online, which would then be sanitised in a book steriliser before being delivered to a locker for pick up,” the 25-year-old says.

    “Untact has made many aspects of life so convenient.”

    Introduced in 2020, “Untact” is a South Korean government policy that aims to spur economic growth by removing layers of human interaction from society. It gathered pace during the pandemic and is expanding rapidly across sectors from healthcare, to business and entertainment.

    The push to create contactless services is designed increase productivity and cut bureaucracy but has also fuelled concerns over the potential social consequences.

    #productivité #sans_contact, Pôle emploi, nos cartes bleues, la Corée, ...

  • Les douanes ont saisi quelque 89,5 tonnes de cocaïne dans le port d’Anvers en 2021, Eric Steffens, Belga
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/01/07/nouvelle-annee-record-pour-les-saisies-de-cocaine-par-les-douane

    Les douanes ont saisi quelque 89,5 tonnes de cocaïne dans le port d’Anvers en 2021, a-t-il été annoncé vendredi lors d’une conférence de presse organisée par le SPF Finances. C’est un tiers de plus qu’en 2020 et le double d’il y a cinq ans.

    La cocaïne ainsi saisie, principalement originaire du Panama, d’Equateur et du Paraguay, a une valeur marchande de 12,76 milliards d’euros, selon les autorités, qui ont aussi intercepté 1,3 tonne d’héroïne et 11,7 tonnes de haschisch en 2021.

    Selon le ministre des Finances, Vincent Van Peteghem (CD&V), cette augmentation est due à une hausse mondiale de la criminalité liée à la drogue, mais aussi à des investissements dans les services de douane. Les révélations de l’opération Sky ont également aidé les autorités dans leur travail de recherche.

    #cocaïne #drogue #drogues #mafia #santé #cocaine #société #police #cannabis #trafic #criminalité

    • 160 tonnes supplémentaires saisies dans les ports des pays de production, prêtes à être expédiées vers Anvers.
      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_d-importantes-saisies-de-drogues-a-anvers-en-2021-voici-pourquoi-ce-n-es

      Pour Kristian Vanderwaeren, l’administrateur général des douanes belges, le véritable problème se situe dans les pays de production : « En général, on dit que la douane saisit 10% du tonnage envoyé. Chez nous, ce pourcentage est sans doute plus élevé mais il n’atteint certainement pas la moitié de la drogue qui transite par le port d’Anvers ». Et ce spécialiste des douanes d’indiquer que la hausse des quantités produites en Amérique du Sud explique aussi l’augmentation des saisies.

      Malgré les quantités saisies, les prix au consommateur continuent à baisser
      Une augmentation mesurable aussi par un autre facteur, celui des prix au consommateur. Suite aux saisies importantes, en toute logique ce prix au consommateur selon la loi de l’offre et de la demande devrait augmenter, or il n’en est rien. C’est même le contraire qui se produit. Pour Kristian Vanderwaeren, c’est même assez inquiétant : « durant des années les prix étaient stables alors que depuis un certain temps on constate que les prix diminuent ». Cette situation favorise à son tour une augmentation de la demande : « En d’autres termes on fait un bon travail mais le résultat global n’est pas bon parce qu’on constate que la drogue entre toujours massivement dans l’Union européenne et les prises réalisées ne sont qu’une petite fraction des quantités qui arrivent dans nos ports en Belgique et aux Pays-Bas ».

      La réussite de SKY-ECC, le produit de la coopération internationale
      Le crime organisé redouble d’ingéniosité et de moyens de pression (corruption, violence) pour tenter d’imposer sa loi à celle des Etats. L’opération récente SKY-ECC a montré aussi qu’il usait de moyens de communication sophistiqués pour échanger partout dans le monde.

      Face à ces réalités, les Etats isolément ne font plus le poids. Pour le patron des douanes, Sky-ECC l’a démontré de manière spectaculaire, la coopération internationale porte ses fruits : « la réussite de l’opération Sky-ECC a permis à la Belgique et aux Pays-Bas de faire énormément de saisies », une belle réussite du judiciaire et des polices « liée aux renseignements, pour analyser les messages interceptés qui nous a permis d’identifier plus facilement les containers » contaminés « dans lesquels se trouvait la drogue ».

      Une lutte inégale qui coûte cher à la collectivité
      Mais cette lutte inégale a ses limites car si elle entraîne des pertes de profits pour les trafiquants, leurs marges bénéficiaires sont telles sur les quantités vendues que ces trafics ne sont pas près de s’arrêter par la simple augmentation des saisies. De plus, les dispositifs de saisies coûtent cher à la collectivité.

      Le département des Finances s’apprête à investir près de 70 millions d’euros pour renforcer les moyens en personnel et en technologie.

    • Suisse : Les activités illégales rendent les pays plus riches
      https://www.letemps.ch/economie/activites-illegales-rendent-pays-plus-riches

      Le cannabis est comptabilisé dans le PIB au Canada, en Suisse et pas aux Etats-Unis. La prostitution l’est aux Pays-Bas et dans notre pays. Les pratiques comptables diffèrent malgré la recommandation des Nations unies d’intégrer absolument tout.

      https://www.letemps.ch/sites/default/files/styles/article_detail_desktop/public/media/2022/01/07/file7j1hlk7g29k18s0a369c.jp
      . . . . . .
      #comptabilité #fric

    • La cocaïne devance désormais le cannabis dans les centres de désintoxication anversois
      https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/01/09/la-cocaine-devance-desormais-le-cannabis-dans-les-centres-de-des

      Le Centre anversois de conseils sur l’addiction et la toxicomanie est venu en aide à 481 personnes l’an dernier, soit un tiers de plus qu’en 2020. Il ressort par ailleurs que la cocaïne a désormais dépassé le cannabis pour devenir le deuxième problème d’addiction le plus important après l’alcool. « Malgré les saisies records dans le port, le prix et l’offre sont restés les mêmes », souligne le porte-parole Kristof Bryssinck sur Radio 2. 

      L’année dernière, les douanes ont intercepté 89 tonnes de cocaïne dans le port d’Anvers, pour une valeur marchande de 13 milliards. « Nous saluons évidemment ce résultat, mais cette saisie record n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan », déclare Kristof Bryssinck.

      « L’offre et les prix sont tout simplement restés les mêmes. Il y a d’énormes quantités de cocaïne sur le marché. La cocaïne est disponible partout, tout le temps. L’an dernier, nous avons aidé 5% de personnes dépendantes à la cocaïne de plus que l’année d’avant. La cocaïne a dépassé le cannabis, elle devient le deuxième plus grand problème de dépendance à Anvers, après l’alcool », précise le porte-parole du Centre anversois de conseils sur l’addiction.

      4 grammes + 1 gratuit
      Selon Kristof Bryssinck, les dealers de cocaïne sont de plus en plus sophistiqués. « Tout passe désormais par le numérique. Les dealers se revendent entre eux les numéros de téléphone des clients. Vous vous retrouvez ainsi dans des groupes WhatsApp et Telegram où des offres de dealers apparaissent à tout va. On vous y propose par exemple 4 grammes + 1 gratuit, parfois même à 3+1 gratuit », explique-t-il.

      « Suite à ce genre de méthodes, les prix restent très bas. Pour 200 euros, il est possible d’acheter 5 grammes de coke de nos jours. Il y a vingt ans, pour la même somme, vous ne pouviez obtenir qu’un seul gramme, et il était de bien moins bonne qualité », indique encore Kristof Bryssinck. 

      La guerre contre la drogue n’aide pas
      D’après le Centre anversois de conseils sur l’addiction, l’approche menée actuellement pour lutter contre la drogue à Anvers ne porte que très peu ses fruits. « Nous devons aider les gens, et pas seulement les arrêter. Toute personne qui demande de l’aide à l’un de nos quatre centres à Anvers doit actuellement attendre des mois, c’est beaucoup trop long. L’offre d’assistance doit être élargie afin que les personnes accros puissent être aidées rapidement et facilement », conclut-il.

      #commerce #promotions #offre_commerciale #désintoxication

    • #France : La Marine nationale pulvérise son record de saisie de stupéfiants en 2021
      https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/la-marine-nationale-pulverise-son-record-de-saisie-de-stupefiants-en-2021-

      La marine nationale a procédé l’année dernière à une saisie annuelle de 44,8 tonnes de produits stupéfiants sur tous les océans et mers du monde.

      La marine nationale a pulvérisé en 2021 son record de saisie de stupéfiants. Elle a procédé l’année dernière à une saisie annuelle de 44,8 tonnes de produits stupéfiants sur tous les océans et mers du monde (Océan Indien, Golfe de Guinée, Polynésie, Antilles...). « Cela représente près de 2 milliards d’euros qui ne financeront pas les flux financiers qui alimentent des réseaux criminels ou des réseaux terroristes », a précisé le porte-parole du ministère des Armées, Hervé Grandjean. En moyenne, entre 2006 et 2020, les saisies opérées par la marine annuelles oscillent entre 2 tonnes et 18 tonnes. En 2020, la marine avait saisi par exemple 8,6 tonnes de stupéfiants, en 2019, 16,6 tonnes. La saisie de 2021 représente plus du double du dernier record. En 2019, plus de 100 tonnes (100,8) de stupéfiants avaient été interceptées par les douaniers. . . . . . . .

  • Après une soirée privée, 21 participants sur 33 infectés par Omicron : les boosters n’empêchent pas les événements super-contaminateurs
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_apres-une-soiree-privee-21-participants-sur-33-infectes-par-omicron-ces-

    Même avec des participants ayant tous reçu une dose de rappel, un événement super-propagateur reste possible avec le variant #Omicron, démontre une récente étude norvégienne.

    Un risque important même avec un « pass vaccinal »

    Un pass vaccinal plutôt qu’un pass sanitaire ou un Covid Safe Ticket pour accéder aux activités de loisir et à l’Horeca : l’idée fait son chemin chez nous, elle sera d’application en France dès le 15 janvier. Comme son nom l’indique, le pass ne pourra dorénavant être activé qu’avec un schéma vaccinal complet et non plus un simple test négatif.

    Une idée qui va clairement dans le sens d’une obligation vaccinale, mais a-t-elle encore un sens sanitaire avec l’arrivée d’Omicron ? Il était déjà permis d’en douter avec les premières données concernant « l’échappement vaccinal » du variant, une toute récente étude en provenance de Norvège vient renforcer ces doutes : lors d’une soirée privée où tous les invités avaient reçu trois doses de vaccins, les deux tiers des invités ont été infectés le même soir.

    L’étude, publiée en préprint, analyse ce que l’on appelle un événement de « super-contamination » survenu au début du mois de décembre aux îles Féroé. 33 personnes, tous des travailleurs de la santé, ont assisté à une réunion privée. Plusieurs participants ont remarqué des symptômes au cours des jours suivants et ont effectué un test PCR, qui s’est révélé positif. Les autres participants ont ensuite également effectué des tests PCR, et il s’est avéré que pas moins de 21 des 33 participants étaient positifs.

    Tous symptomatiques mais aucune hospitalisation

    Ce « taux d’attaque » inhabituellement élevé a conduit le médecin-chef à demander le séquençage du génome du virus... et c’est ainsi qu’a été identifié pour la première fois Omicron sur l’île. Or, il se fait que tous les participants infectés non seulement étaient vaccinés mais avaient tous reçu leur dose de rappel au cours des deux mois et demi précédents. Tous avaient également subi un test négatif dans les 36 heures précédant le rassemblement.

    Tous les cas signalés se sont avérés symptomatiques : les symptômes les plus courants étaient des douleurs musculaires et articulaires, la fatigue et la fièvre. Aucun n’a été admis à l’hôpital.

    Les auteurs en concluent que la variante Omicron peut conduire à des événements de super-propagation même chez les personnes triplement vaccinées, et donc l’importance continue de la distanciation sociale et de l’évitement de grands rassemblements festifs pendant la pandémie pour prévenir d’éventuels événements de super-propagation. Ils soulignent aussi la période d’incubation plus courte pour Omicron que pour les variantes précédentes.

    • les boosters n’empêchent pas les événements super-contaminateurs

      Non mais ils évitent de saturer les urgences.

      Les deux copines qui bossent en hosto vous disent merci (les autres je vous dis pas ce qu’elles vous disent, des vraies poissonnières dans ces cas là).

    • Comme les urgences ne sont pas saturées on n’a qu’à dire que c’est grace aux gens vaccinés « qui font des formes moins graves ».
      J’ai le covid depuis le 24, il se trouve qu’on est 3 voisins à l’avoir avec les mêmes symptômes (ceux d’omicron décris dans l’article). on a été infecté·es par un autre voisin. Un con qui est venu nous voir le 23 avec 39 de fièvre. Les 3 sont vaccinés, ils ont entre 27 et 34 ans. Je ne suis pas vacciné, j’ai eu 60 ans le soir du 24. Mes symptômes ne sont pas pires que les leurs, voire moindres. J’ai pas d’autre explications que ça : omicron développe peu des symptômes sévères. Le vaccin ne protège pas d’omicron. L’effet des « boosters » (pétards mouillés plutôt que boosters...) sur le niveau de saturation des urgences est purement spéculatif.

    • On ne sait toujours pas pourquoi depuis le début, 20% des gens contaminés ont des symptômes et que dalle pour les autres. Les comorbidités de mon cul expliquent que dalle  : en réa, ils ont vu de tout, à la morgue aussi.
      On ne sait pas pourquoi certains vont l’attraper facilement et le gus à côté non. On ne sait pas pourquoi ça part en couille ou pas. On sait encore moins pourquoi et comment se développent les covid longs, lesquels peuvent devenir très handicapants… y compris pour des gus qui étaient asymptos quand ils l’ont choppé.

      Donc, tu peux être un vioque sans vaccin et avec des merdasses de santé et n’avoir qu’un mini rhume OU un jeune sportif qui pète la forme et va clamser en moins d’un mois.

      Voilà où on en est concrètement 2 ans après le début du merdier.

      Donc, t’es obligé de partir du principe que ça peut aussi bien te crever que de te passer au travers, te contourner ou te coller une forme de 80 ballais jusque peut-être la fin de tes jours… et donc, tout faire pour ne pas le chopper, ce qui revient basiquement à éviter au max de voir des gens et de porter un FFP2 dès que tu sors de ton antre.

    • https://twitter.com/_jchlp_/status/1475724527871090691

      Rappel suite à un échange hier sur Twitter : LE facteur qui fait que la Covid va, chez certains et pas chez d’autres, partir en cacahuète n’est, à ce jour, pas encore connu.

      Cela n’a rien à voir avec les facteurs de risques (FDR) dont on vous parle malheureusement sans arrêt
      qui sont, eux, extraits des situations hospitalières = en bout de course, pour définir ceux chez qui cela a plus de (mal)chance de très très mal se passer. Donc à l’inverse les personnes avec un ou des facteurs de risques n’ont pas forcément (et c’est même la grande majorité !!! Heureusement !) ce FACTEUR INCONNU qui va faire que cela va partir en cacahuète.

      Donc des patients de 92 ans avec la Covid vont avoir seulement le nez qui coule 1 semaine ou des personnes en surpoids, diabétiques déséquilibrés et hypertendus bronchopathes vont avoir juste
      mal à la tête et être un peu fatigué. C’est là le drame dans la compréhension de SarsCov2, car à ce jour il nous manque encore ce qui fait que le barillet avec une seule balle va s’arrêter chez un patient de 25, 40, 65 ou 95 ans. Alors oui avec un ou des FDR, une fois, MAIS UNE FOIS SEULEMENT, que la machine s’est emballée (Facteur Cacahuète) là ça va pr certains mal se passer. Mais définir ou vous définir A PRIORI comme à risque de Covid Grave n’est pas pertinent. L’écrasante majorité même et y compris avec des FDR va croiser la Covid SANS ENCOMBRE.

      Donc devant cette incertitude de savoir si oui ou non vous avez le Facteur Cacahuète un choix s’offre à vous, retirer la balle du Barillet en vous vaccinant !
      Alors ok certains diront que ce n’est pas du 100% ok vendu c’est pas du 100%…et c’est donc que vous êtes joueur reste à savoir avec quoi vous voulez jouer les probabilités du vaccin ou celles de SarsCov2, la science, elle, a tranché et ce n’est pas une opinion, qui elle sera liée à UN medecin, sur UN plateau TV, même s’il parle fort, tt seul et qu’il a une blouse avec plein de médailles
      (d’avance pardon pour les fautes)

      J’ajoute que ce qui est expliqué dans ce thread (que j’explique TOUS LES JOURS en consultation !!!) n’est toujours pas entendu, compris, repris, expliqué et que cela me désespère avec cette impression, comme pour le reste, de brassage de d’air autour des FDR qui ne sont, en aucun cas, un élément de compréhension du mécanisme de SarsCov2 mais bien des épiphonèmes aggravatifs que l’on rencontre dans l’évolution de très nombreuses sinon la totalité, des pathologies.
      Le Facteur Cacahuete lui, est l’élément manquant mais la base de la mécanique SarsCov2 (épiphénomènes pas épiphonèmes sorry).

      Résumé : "Quand t’as plein de FDR et qu’une maladie (la Covid tiens) part en cacahuète t’as moins de chance de t’en sortir (incroyable !) mais c’est pas parce que t’es en super bonne santé que ça ne peut pas partir en cacahuète et ça et bien pour le moment on ne sait pas pourquoi !

      Je crois me souvenir qu’au début de la pandémie (avril 2020), on parlait d’orages de cytokine, sorte de réaction auto-immune incontrôlée et violente qui déclenchait une méga inflammation des tissus (tous organes confondus).

    • encore un cas (en attendant des données qui viendront) qui montre qu’après le passe pseudo sanitaire avec son droit d’être démasqué à l’intérieur, c’est le pass vaccinal qui ne sera qu’un mini chaton de papier face au virus (vous êtes du bon coté, caressez-le, ça réconforte). tant que les mesures non pharmaceutiques (air, ffp2) ne seront pas à l’ordre du jour. sauf qu’en réinstaurant le masque dehors sans jamais prendre la peine de dire à quel moment cela vaut la peine de le mettre à l’extérieur, on fait encore - pour se montrer actif quand rien n’est fait - du bruit qui va rendre les infos indispensables moins audibles.

    • Un nouvel exploit collectif de ceux qui nous protègent !

      Depuis le début de la crise sanitaire, 35 000 policiers ont été testés positifs au covid-19, soit 1 policier français sur 4. Contrairement aux gendarmes, qui dépendent de l’armée, les #policiers ne sont pas concernés par l’obligation vaccinale.
      Brèves de presse

  • Coronavirus : le variant Omicron résiste aux anticorps mais pas à la troisième dose, selon une étude franco-belge
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-variant-omicron-resiste-aux-anticorps-mais-pas-a-la-trois

    Selon une étude menée par plusieurs laboratoires français (Institut Pasteur, Inserm, CNRS notamment) et par la KU Leuven, le variant Omicron serait plus résistant aux anticorps des personnes vaccinées ou infectées. Ainsi, les anticorps présents cinq mois après la deuxième dose de vaccin Pfizer ou AstraZeneca ne seraient plus capables de neutraliser ce variant. La même inefficacité est observée chez les personnes qui avaient contracté le Covid-19 un an avant.

    #covid

  • Attentat ? Explosion de gaz ? Bombe ? Terminator ? Non, une tesla tout simplement Assistance à la conduite

    https://www.youtube.com/watch?v=2RKIJNm-lfQ

    L’essentiel, c’était de supprimer le levier de frein à main.

    Bon, juste avant c’était certains qui ne pouvaient pas accéder à leur bagnole à cause d’un bug dans le serveur...

    #tesla #voiture_autonome #voiture #elon_musk #automobile #algorithme #innovation #disruption #technologisme #transport #robotisation #voiture_électrique #spacex #Paris

  • Coronavirus : le ministre allemand de la Santé votera contre la vaccination obligatoire
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-le-ministre-allemand-de-la-sante-votera-contre-la-vaccinatio

    Le ministre allemand de la Santé Jens Spahn a fait savoir qu’il voterait contre la vaccination obligatoire au parlement. Jens Spahn, membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), s’est dit très sceptique quant à cette obligation, rapporte le journal Rheinische Post.

    « J’ai toujours dit qu’il n’y aurait pas de vaccination obligatoire et c’est toujours ma position », a déclaré le ministre. Jens Spahn a par ailleurs souligné qu’il y avait de grandes chances que l’obligation soit adoptée au parlement, car la plupart des membres du Bundestag y sont favorables.

    #Allemagne #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

  • Interview exclusive de Leïla Shahid : « La jeunesse palestinienne trépigne. Elle veut changer les choses et elle les changera »
    Ghizlane Kounda| Mis à jour le lundi 29 novembre 2021

    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_interview-exclusive-de-leila-shahid-la-jeunesse-palestinienne-trepigne-e

    (...)G.K. Quel est votre regard sur la situation palestinienne, aujourd’hui ?

    Leïla Shahid : Je suis toujours désespérée de voir que rien n’avance, ni le processus de paix, ni à l’égard des violations commises par Israël… En particulier de la part de l’Union européenne auprès de qui je représentais la Palestine. C’est désespérant de voir l’impunité dont jouit Israël. On prend des sanctions contre Poutine, contre d’autres pays, mais on ne touche jamais à Israël. Je pense qu’on ne rend pas service au peuple israélien. Plus cette impunité sera tolérée, plus Israël ira loin.

    G.K. Même avec un gouvernement sans Benjamin Netanyahu depuis six mois ?

    Leïla Shahid : Je pense qu’Israël a une politique très dangereuse, surtout avec le gouvernement actuel. Lorsqu’il signe un accord avec le Maroc pour renforcer la défense militaire à la frontière avec l’Algérie, que cherche-t-il ? Nourrir une nouvelle guerre entre le Maroc et l’Algérie ?

    Les accords d’Abraham (deux traités de paix entre Israël et les Émirats arabes unis d’une part et entre Israël et Bahreïn d’autre part, signés sous Donald Trump, ndlr), ou les accords avec le Maroc ou le Soudan, ne leurrent personne. Tous ces états ne sont pas en guerre avec Israël. Ceux qui ont besoin de faire la paix, ce sont ceux qui ont des territoires occupés, la Palestine et la Syrie.

    On dirait qu’au lieu d’aller vers la paix, on va vers un affrontement. Les Palestiniens ne vont pas accepter d’être les oubliés ou les nouveaux indiens qu’on met dans des réserves… Aujourd’hui, avec les médias, les réseaux sociaux, on ne peut plus cacher la réalité. La réalité sort immédiatement. Et ceux que l’on peut toucher, nous Palestiniens, ce sont les citoyens. D’où mon travail avec les associations palestiniennes en Belgique ou en France, les associations qui défendent les droits humains. Je n’ai plus envie de représenter une diplomatie, puisqu’il n’y a pas de diplomatie. Ni diplomatie palestinienne, ni diplomatie arabe sur la Palestine, ni européenne, et encore moins de diplomatie israélienne aux Etats-Unis. (...)

  • #Belgique Illégalité du Covid Safe Ticket en Wallonie : le gouvernement wallon fera appel de la décision
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_illegalite-du-covid-safe-ticket-en-wallonie-le-gouvernement-wallon-fera-

    Le tribunal de première instance de Namur a constaté, en référés, l’illégalité du Covid Safe Ticket (CST) en Wallonie, annonce mardi l’association de défense des droits fondamentaux et libertés « Notre bon droit », à l’origine de l’action.

    La décision du tribunal n’annule pas le Covid Safe Ticket. Le CST reste donc d’application en Wallonie, a indiqué par communiqué mardi soir le gouvernement wallon.

    La Région wallonne a été condamnée à mettre un terme à cette illégalité apparente dans un délai de 7 jours, sous peine d’astreinte de 5000 euros par jour de retard. La Wallonie a décidé d’interjeter appel de cette décision dès mercredi matin.

    « Contrariété apparente » et principe de proportionnalité non respecté
    Dans son ordonnance, le tribunal constate notamment la « contrariété apparente » du décret wallon du 21 octobre dernier relatif à l’usage du CST et au port du masque au droit supranational de l’Union européenne et son apparente violation du principe de légalité.


    Il constate également que ces diverses normes semblent contrevenir au principe de proportionnalité des mesures restrictives de liberté au regard des buts poursuivis.

    Le tribunal condamne dès lors la Région wallonne à prendre toutes les mesures qu’elle estimera appropriées pour mettre un terme à cette situation d’illégalité apparente de l’usage du CST en Wallonie, au préjudice des parties demanderesses, sous peine d’une astreinte de 5000 euros par jour de retard exigibles au-delà d’un délai de 7 jours à dater de la signification de l’ordonnance.

    « Le tribunal constate plusieurs problèmes de légalité dont la contrariété du décret Wallon au droit européen et au droit à la protection des données personnelles. La décision ajoute qu’il ne serait pas démontré que le CST serait la seule alternative à un nouveau lockdown », explique mardi soir l’asbl « Notre bon droit ».

    Selon les avocates de l’association, « le tribunal a aussi critiqué la discrimination instaurée entre les citoyens sans justification objective et scientifique, l’absence de démonstration d’une mesure proportionnée ainsi que la possibilité laissée aux citoyens de décider seuls d’imposer le CST. »

    Une action en référé similaire contre le Covid Safe Ticket bruxellois a été introduite devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Elle sera plaidée le 8 décembre prochain.
    #pass_sanitaire #santé_publique #technologisme #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins

     

  • Coronavirus : le variant Omicron ne rend pas les patients gravement malades pour l’instant, selon les médecins sud-africains _ RTBF °
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-variant-omicron-ne-rend-pas-les-patients-gravement-malade

    Les personnes infectées en Afrique du Sud par le nouveau variant du coronavirus Omicron ne sont pas gravement malades pour l’instant, même si la recherche reste limitée à ce stade. C’est ce qu’a rapporté la présidente de l’Association des médecins sud-africains, Angélique Coetzee sur la chaîne britannique BBC. « Les patients se plaignent surtout d’avoir les muscles endoloris et de fatigue, une fatigue extrême, a-t-elle déclaré. On le voit au sein de la jeune génération, pas chez les personnes âgées ». Ce variant ne nécessiterait pas une hospitalisation immédiate des patients.

    « Ce dont nous devons nous inquiéter maintenant, c’est que lorsque des personnes plus âgées et non vaccinées seront infectées par ce nouveau variant, elles risquent de développer une forme grave de la maladie », a ajouté Angélique Coetzee. . . . . . . .

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

  • Podcast : La commission Sauvé, les abus sexuels dans l’Église catholique
    http://federations.fnlp.fr/spip.php?article2124

    Ecouter l’émission, le lien http://www-radio-campus.univ-lille1.fr/ArchivesN/LibrePensee/211016LP.mp3

    Les conclusions rendues par la Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Église (CIASE), installée par la Conférence des évêques de France (CEF) et présidée par M. Jean-Marc Sauvé, vice-président honoraire du Conseil d’État viennent d’être présentées aux médias ce mardi 5 octobre 2021.


    Le rapport Sauvé est un véritable séisme qui risque d’emporter l’Église catholique toute entière dans l’abîme, d’où l’effroi, les erreurs, les provocations des Éminences qui s’accrochent à l’Autel pour ne pas disparaître. Chacun essaie de tirer son épingle du jeu et la crise se développe.

    La Commission Sauvé (et il faut lui rendre hommage pour cela, contrairement aux premières craintes de la Libre Pensée) a fait remarquablement son travail. Le scandale était si énorme, les victimes si nombreuses, l’horreur si grande, que plus rien ne pouvait empêcher la lumière de se faire jour.

    La commission Sauvé, qui a enquêté sur l’ampleur de la pédo-criminalité, a publié ce mardi ses conclusions accablantes, estimant à 216 000 le nombre de mineurs victimes de clercs et de religieux depuis 1950. Ces religieux sont estimés à plus de 5 000. Si l’on ajoute les personnes agressées par des laïcs travaillant dans des institutions de l’Église, le nombre grimpe à 330 000.

    216 000 le nombre de mineurs victimes de prêtres pédophiles ! De 1950 à 2020, c’est à dire en 70 ans. Cela fait 3000 victimes par an ! 10 victimes par jour !
    Ces chiffres sont issus du très sérieux et très documenté rapport d’environ 500 pages élaboré par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), titré « Sociologie des violences sexuelles au sein de l’Église catholique en France (1950-2020) » . Il a été remis courant septembre à la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (Ciase).

    Créée en 2018 sous l’impulsion de la hiérarchie catholique, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (Ciase) a enquêté pendant deux ans et demi sur l’ampleur des violences sexuelles commises par des membres du clergé sur des enfants et des adultes vulnérables depuis 1950. Elle a rendu son rapport le mardi 5 octobre dernier.

    La journaliste, essayiste et réalisatrice, Caroline Fourest, a salué le grand courage, la grande droiture de cette commission qui a traversé l’enfer, a auditionné des centaines de victimes. La hiérarchie ecclésiale a couvert ces crimes depuis des décennies. Chaque fois qu’un prêtre était dénoncé par un enfant, on l’envoyait dans une autre province, une autre paroisse violer d’autres enfants. C’est comme ça que ça a fonctionné, la hiérarchie a couvert. Caroline Fourest a insisté sur le culte du silence, le culte du secret de la confession.

    Mercredi 6 octobre, au lendemain de la publication du rapport de la Commission Sauvé, le président de la Conférence des évêques de France (CEF) était invité à réagir sur France Info.

    Interrogé sur ce que dit la loi en matière de non-dénonciation d’agressions ou d’atteintes sexuelles infligées à un mineur – article 434-3 du Code pénal –, Éric de Moulins-Beaufort a déclaré :
    « Le secret de la confession s’impose à nous, et en cela, il est plus fort que les lois de la République. »
    A peine connu le Rapport Sauvé que chaque prélat, chaque mitré y allait de son repentir. Au même moment, Médiapart dévoilait que l’Archevêque de Strasbourg, qui faisait aussi son numéro de repentir, avait préservé et préserve toujours la réputation d’un agresseur, accusé d’abus sexuel. Que ta main droite ignore ce que fait ta main gauche.

    Comme la Libre Pensée l’établit dans une note d’analyse, le « secret de la confession » est une auguste fadaise qui ne s’impose à personne au nom d’une quelconque autorité, quelle qu’elle soit. Le « secret de la confession » est une convenance personnelle passée entre personnes qui l’acceptent. C’est une convention purement privée. Elle n’a aucune force de loi. . . . . .

    Tournai : Défilé de mode ecclésiastique


    Ce 10 novembre 2021, la cathédrale de Tournai, en Belgique, accueille un défilé de mode insolite présentant des tenues de prêtres catholiques. La plus ancienne remonte à environ six siècles. La plus précieuse vaut plus de 300.000 dollars.
    Source le lien : https://www.mediacongo.net/article-actualite-96333_des_vetements_sacerdotaux_lors_d_un_defile_de_mo

    En France, un prêtre condamné pour atteinte sexuelle sur mineur officie la messe en direct sur France 2


    Le dimanche 24 octobre 2021, comme à son habitude, France 2 diffuse la messe dans le cadre son émission « Le Jour du Seigneur ». Parmi les trois prêtres officiant la messe, A., un homme condamné pour atteinte sexuelle sur mineur à 10 mois de prison avec sursis en 2007, rapportent nos confrères de Libération.
    Source le lien : https://soirmag.lesoir.be/404739/article/2021-11-05/en-france-un-pretre-condamne-pour-atteinte-sexuelle-sur-mineur-offici

    Le pape françois remercie les journalistes pour leur travail sur les abus sexuels dans l’église


    Le pape a salué la "mission" des journalistes et souligné l’importance, pour ces derniers, de sortir des salles de rédaction et de se confronter la réalité afin de combattre la désinformation notamment exprimée en ligne.
    Remarque : Le scandale des les abus sexuels dans l’église a complètement disparu de l’actualité, le pape françois peut donc remercier les journalistes.
    Source le lien : https://www.rtbf.be/info/monde/detail_le-pape-francois-francois-salue-les-journalistes-pour-leur-travail-sur-l

    Synopsis de l’émission : http://federations.fnlp.fr/spip.php?article2124

    #Podcast #pédocriminels #Radio #culture_du_viol #catholicisme #eglise #religion #prêtres #viol #déni #pédophilie #violophilie #élites #victimes #diocèses #victimes #justice #CIASE #LP #France

    • Sur le patrimoine immobilier de l’église catholique en France.

      Les possessions immobilières (bâtiments, terrains, immobilisations financières dans des sociétés civiles immobilières) des associations diocésaines de Paris, Lyon, Nice, Lille et Tours, choisies à titre d’exemples, constituent un patrimoine de grande valeur.

      En valeur comptable nette2019, c’est-à-dire au coût historique après amortissement des biens concernés, elles représentent des montants impressionnants : 152,1 millions d’euros à Paris après la vente pour 36 millions d’un terrain ; 113,7 millions à Lyon ; 56,7 millions à Nice ; 45,1 millions à Lille ; 19,8 millions à Tours.
      Le total de ces biens atteint pratiquement 525 millions d’un point de vue comptable, une somme très sous-estimée au plan économique.

      D’une part, les biens très anciens, totalement amortis, n’apparaissent plus dans l’actif net des bilans. D’autre part, lorsqu’est prise en compte la flambée des prix de l’immobilier, à Paris comme en province, la valeur de marché de ce patrimoine est bien plus élevée. Ainsi, l’actualisation grossière de cette somme par l’application du taux d’évolution de l’indice du prix des logements de mars 2000 à décembre 2020 (multiplication par 1,7) la porte à 892,5 millions d’euros.

      Ce montant n’inclut pas le patrimoine des Congrégations. Si l’on s’en tient à Paris, d’aucuns soutiennent que le patrimoine de l’Église, y compris celui des Congrégations, serait de 700 millions d’euros en valeur de marché(selon la cellule investigation de Radio-France).

      Petit florilège de possessions immobilières de l’Église à Paris https://www.fnlp.fr/wp-content/uploads/2021/11/LEglise-doit-payer-lEglise-peut-payer.pdf

  • Une panne sur le réseau Tesla a bloqué le déverrouillage et le démarrage de voitures dans le monde entier
    https://www.frandroid.com/marques/tesla/1131223_une-panne-sur-le-reseau-tesla-a-bloque-le-deverrouillage-et-le-de

    Dans la nuit du vendredi 19 novembre au samedi 20 novembre, certains propriétaires d’un véhicule Tesla ont eu une très mauvaise surprise. Tesla a rencontré une panne de serveur à l’échelle internationale, ce qui a empêché les propriétaires de se connecter à leurs voitures.
    Un cas particulier

    Pour déverrouiller et démarrer une voiture Tesla, vous avez plusieurs possibilités. Par défaut, Tesla fournit une carte RFID qu’il faut poser au niveau de la portière pour l’ouvrir. Il suffit ensuite de l’avoir près de soi. Vous pouvez également acheter une clé, elle est vendue séparément à 180 euros, et elle est optionnelle.

    L’autre moyen, très utilisé, est l’application mobile. Il suffit de se connecter à l’application et de l’authentifier auprès de la voiture. La première fois, vous aurez besoin de la carte RFID, ensuite l’application peut être votre seule « clé ». Cela s’avère très pratique, mais dans certains cas, l’application prend un peu de temps à se connecter en fonction de la qualité du réseau du smartphone.

    Ce qu’il s’est passé hier soir est cependant assez unique dans l’histoire de Tesla. De nombreux utilisateurs ne pouvaient pas se connecter à leur véhicule depuis l’application. C’est d’ailleurs assez étrange que la connexion aux serveurs de Tesla soit obligatoire, étant donné que le smartphone est également connecté au véhicule par Bluetooth. La panne des serveurs de Tesla a duré plusieurs heures et elle a touché des utilisateurs partout dans le monde. Tout est revenu à la normale désormais.

    Tesla va certainement profiter de cet accident pour revoir le fonctionnement de ses services. De notre côté, nous vous conseillons d’avoir la carte RFID à vos côtés. On ne sait jamais…

  • Coronavirus : la Grèce ordonne à des dizaines de médecins privés de travailler dans les hôpitaux
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-la-grece-ordonne-a-des-dizaines-de-medecins-prives-de-travai

    Pour soulager les médecins hospitaliers débordés par la pandémie de coronavirus, le ministère grec de la Santé a ordonné vendredi à 85 médecins privés de s’y présenter pour travailler.

    Des officiers de police ont remis les documents correspondants aux médecins, qui doivent maintenant se présenter dans les hôpitaux samedi matin, a rapporté la radio publique.

    Le gouvernement a pris jeudi une décision qui rend cette mesure possible. Selon les experts juridiques, ceux qui refusent risquent jusqu’à trois ans de prison. 

    En raison de la quatrième vague de la pandémie de coronavirus, les hôpitaux, notamment dans le nord de la Grèce, sont totalement surchargés depuis des semaines.

    Début novembre, le gouvernement avait déjà appelé les médecins privés à se porter volontaires. Cependant, seuls une quarantaine de médecins s’étaient portés volontaires.

    Selon les associations de médecins hospitaliers, le système de santé grec a besoin d’au moins 150 médecins supplémentaires.

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #covid #pandémie #santé_publique #médecins #médecine_libérale

  • Analyses sanguines post-injection : l’inquiétude grandit (JM)
    https://www.crashdebug.fr/analyses-sanguines-post-injection-l-inquietude-grandit-jm

    Bonjour, j’ai vu ça chez les moutons ce Matin alors cette histoire de D-dimères sur laquelle on vous avait alerté en octobre semble se confirmer, et ce n’est pas un bon signe, donc soyez vigilant pour vous ou pour vos proches.

    Amitiés,

    f.

    Ce lundi 1er novembre, à l’occasion de ma 15ème émission Science en Conscience pour RéinfoCovid, j’ai eu le plaisir de recevoir Benoît Ochs, médecin généraliste au Luxembourg.

    Cette vidéo de 1h15 – non censurée (pour le moment) sur ma chaîne YouTube, ce qui est un « miracle » – fait un carton actuellement… et pour cause !

    Les résultats d’analyses sanguines que Benoît Ochs prescrit à ses patients qui ont reçu les injections expérimentales tant promues par les autorités « de santé » montrent des taux de certains marqueurs particulièrement alarmants.

    Ainsi, les D-dimères, (...)

    • Vaccins contre le coronavirus : les affirmations trompeuses d’un médecin sur le risque de thromboses généralisées liées aux « D-dimères »
      https://www.rtbf.be/info/societe/detail_vaccins-contre-le-coronavirus-les-affirmations-trompeuses-d-un-medecin-s

      Comme l’indique AFP Factuel, la rubrique de fact checking de l’Agence France Presse, la vidéo de deux minutes est en réalité extraite d’une interview du Dr. Ochs dans une émission appelée Ondes de Choc qui est diffusée en ligne et animée par Richard Boutry, ex-journaliste du service public français. Celui-ci a aussi travaillé quelques mois pour France Soir en 2020-2021 et a lancé récemment un média appelé « LaUne TV », dont la ligne éditoriale est ancrée dans la contestation des mesures sanitaires liées à la crise du coronavirus, et notamment le « pass sanitaire ».

      Le médecin interrogé, Benoit Ochs, est un généraliste qui travaille au Luxembourg. En juillet 2021, le docteur a été interdit d’exercer la médecine pendant un an par le conseil de discipline du Collège médical pour avoir enfreint le code de déontologie. Le généraliste prescrivait notamment des dispenses de port de masque et qualifiait la vaccination des enfants contre le virus « d’infanticide ». Il a fait appel de la décision au début du mois d’août, comme l’indique le « Luxemburger Wort ».
      […]
      Dans la vidéo, le docteur Benoit Ochs explique qu’il se base sur des observations sur ses propres patients pour indiquer que les D-dimères augmentent à cause du vaccin. Il prétend qu’"un patient sur cinq" serait concerné par cette majoration du taux de D-dimères, mais ne détaille aucun protocole scientifique pour avancer ces résultats. Il ne fournit par ailleurs aucune preuve de ce qu’il avance. Une étude italienne sur les risques de thromboses après la vaccination contre le Covid-19, publiée en juin 2021, indique même le contraire : aucun des paramètres n’a montré de variations cliniquement pertinentes avant et après la vaccination.

      Dans la vidéo, il déclare également qu’"on a officiellement 25.000 morts des vaccins en Europe". Une interprétation des chiffres de la base de données européenne des effets secondaires Eudra Vigilance totalement déformée, comme expliqué dans un article précédent publié pour la rubrique Faky.

      Le professeur en immunologie Eric Muraille en conclut : « Un médecin qui a un discours aussi alarmiste en public sans présenter des preuves solides fait vraiment preuve d’irresponsabilité ».

  • COP26 : la Commission européenne prend la défense d’Ursula von der Leyen qui a pris des avions privés pour des vols courts Vienne - Bratislava 68Km
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_cop26-la-commission-europeenne-prend-la-defense-d-ursula-von-der-leyen-q

    Mme von der Leyen a utilisé en juin dernier un avion privé pour effectuer un vol entre Vienne et Bratislava, les capitales autrichienne et slovaque, d’une durée de 19 minutes.

    Dans ses fonctions, « les relations avec […] les chefs d’Etat et de gouvernement sont très importantes et réclament un peu plus que de simples contacts par Zoom », ce qui implique l’utilisation d’avions affrétés pour certains voyages, a déclaré le porte-parole de l’exécutif européen, Eric Mamer.

    Interrogé lors d’une conférence de presse quotidienne, M. Mamer a insisté sur les « contraintes importantes » de la cheffe de l’exécutif européen pour aboutir à des consensus entre les 27 Etats membres dans une période de temps limité. L’impact de la pandémie a en outre réduit la disponibilité de vols commerciaux et de trains en circulation, a-t-il ajouté.
    . . . . . .

  • Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial | The BMJ
    https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635

    Revelations of poor practices at a contract research company helping to carry out Pfizer’s pivotal covid-19 vaccine trial raise questions about data integrity and regulatory oversight. Paul D Thacker reports
    […]
    Concerns raised
    In her 25 September email to the FDA Jackson wrote that Ventavia had enrolled more than 1000 participants at three sites. The full trial (registered under NCT04368728) enrolled around 44 000 participants across 153 sites that included numerous commercial companies and academic centres. She then listed a dozen concerns she had witnessed, including:
    • Participants placed in a hallway after injection and not being monitored by clinical staff
    • Lack of timely follow-up of patients who experienced adverse events
    • Protocol deviations not being reported
    • Vaccines not being stored at proper temperatures
    • Mislabelled laboratory specimens, and
    • Targeting of Ventavia staff for reporting these types of problems.

    Within hours Jackson received an email from the FDA thanking her for her concerns and notifying her that the FDA could not comment on any investigation that might result. A few days later Jackson received a call from an FDA inspector to discuss her report but was told that no further information could be provided. She heard nothing further in relation to her report.

    In Pfizer’s briefing document submitted to an FDA advisory committee meeting held on 10 December 2020 to discuss Pfizer’s application for emergency use authorisation of its covid-19 vaccine, the company made no mention of problems at the Ventavia site. The next day the FDA issued the authorisation of the vaccine.

    (article en accès libre)

    • Covid-19 : le laboratoire Ventavia accusé d’avoir mal mené des essais sur le vaccin Pfizer - midilibre.fr
      https://www.midilibre.fr/2021/11/03/covid-19-le-laboratoire-ventavia-accuse-davoir-mal-mene-des-essais-sur-le-

      Le groupe texan Ventavia, spécialisé dans la tenue d’essais cliniques et chargé l’an dernier par Pfizer d’évaluer l’efficacité de son vaccin anti-Covid, a notamment « falsifié des données » et « tardé à assurer le suivi d’effets secondaires », selon un article publié mardi 3 novembre par le British Medical Journal.

    • L’article du TimePost Belgique semble avoir disparu
      Y a-t-il réellement un « Pfizergate » ? Des essais cliniques du vaccin anti-Covid sont-ils remis en question ?
      https://www.rtbf.be/info/monde/detail_y-a-t-il-reellement-un-pfizergate-des-essais-cliniques-du-vaccin-anti-co

      Pour Jean-Michel Dogné, responsable du département de Pharmacie à l’UNamur et expert en matière de sécurité des médicaments, ce type d’allégation est toujours pris très au sérieux par les autorités, tant par la FDA américaine que par l’EMA (Agence européenne des médicaments). Il estime que « toute la clarté sera certainement faite ».

      Il précise d’emblée :

      « Qu’il s’agit d’une société sous-traitante qui a géré de l’ordre de 1000 participants sur 3 sites, sur une étude qui a enrôlé 44.000 participants sur 153 sites, soit une minorité. »
      "Qu’en ce qui concerne les données d’efficacité et de sécurité, des dizaines d’études indépendantes sur des cohortes beaucoup plus importantes ont confirmé l’efficacité et la sécurité du vaccin Pfizer dans différents pays et sur différents variants. Soit une efficacité confirmée sur les formes graves de plus de 90%."
      « Qu’un vaccin à mécanisme d’action identique comme le vaccin Moderna montre des effets miroirs du vaccin Pfizer tant au niveau efficacité que sécurité. »

      L’affaire du Watergate était un complot, parler de pfizergate est complotiste. Les journalistes ne sont pas les derniers à aimer diffuser des historiettes simplettes et faciles à résumer, quitte à se moquer des faits (monter en épingle un machin vendeur, plutôt que d’éclairer des questions), et sont d’autant moins exempts des miasmes idéologiques actuels qu’ils ont par ailleurs entraînés à courir après leur lectorat, toujours supposé débile.

      L’article pointe également des manquements de la FDA concernant les contrôles en indiquant que les inspections réalisées par la branche vaccins et produits biologiques de la FDA étaient déjà insuffisantes auparavant et qu’ils ont encore diminué ces dernières années, avec seulement 50 inspections réalisées au cours de l’année 2020.

      Pour ce qui est de la FDA et de la manière dont elle a été privée des moyens d’agir au fil du temps, le bouquin de Mike Davis Le monstre est parmi nous - Pandémies et autres fléaux du capitalisme, Mike Davis (éditions divergences) est pas mal.

    • dans le cache de gg :

      Un article publié par le « British Medical Journal » révélant des pratiques douteuses dans une société sous contrat avec Pfizer dans le cadre des essais cliniques de son vaccin contre le Covid-19 fait beaucoup de bruit sur la toile et les réseaux sociaux. Le hashtag #pfizergate est devenu extrêmement populaire ces dernières heures sur Twitter, générant des dizaines de milliers de publications et de réactions, notamment parmi les opposants au vaccin. Pourtant, si les allégations contenues dans l’article sont sérieuses, elles ne concernent que trois sites où se sont déroulés les tests du vaccin de Pfizer sur 153, et ne remettent pas en cause l’efficacité de ce dernier.

      Tout est parti de la publication d’un article du journaliste scientifique Paul D. Thacker ce 2 novembre 2021 dans la revue médicale britannique « BMJ », le British Medical Journal. Cette revue de médecine générale est l’une des plus célèbres dans le monde.

      Dans son article, le journaliste américain indique se baser sur plusieurs témoignages pour exposer « les mauvaises pratiques d’une société de recherche sous contrat chargée de mener à bien l’essai clé du vaccin Covid-19 de Pfizer » indiquant que les révélations obtenues « soulèvent des questions sur l’intégrité des données et la supervision réglementaire« .

      ►►► Cet article n’est pas un article comme les autres, il fait partie du projet de fact-checking « Faky ». Pour en savoir plus sur Faky et le travail de fact-checking à la RTBF, cliquez ici. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_faky-la-plateforme-de-fact-checking-de-la-rtbf

      Pour soutenir ces allégations, le journaliste s’est intéressé à Ventavia, une société privée spécialisée dans la recherche clinique. Cette entreprise basée au Texas était en partenariat avec Pfizer dans le cadre des essais cliniques qui ont précédé l’autorisation puis la mise sur le marché du vaccin Comirnaty, développé en un temps record pour lutter contre le Covid-19.

      Le journaliste écrit : « Pour des chercheurs qui testaient le vaccin de Pfizer sur plusieurs sites au Texas au cours de l’automne (ndlr 2020), la rapidité a peut-être été obtenue au détriment de l’intégrité des données et de la sécurité des patients. Un directeur régional qui travaillait pour l’organisme de recherche Ventavia Research Group a déclaré au BMJ que l’entreprise avait falsifié des données, supprimé l’anonymisation des patients qui permettent de faire des tests en ‘aveugle’, employé des vaccinateurs insuffisamment formés et tardé à assurer le suivi des effets indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III de Pfizer« .

      Il ajoute : « Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir signalé à plusieurs reprises ces problèmes à Ventavia, la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la Food and Drug Administration (FDA). Ventavia l’a licenciée le même jour. Mme Jackson a fourni au BMJ des dizaines de documents internes de l’entreprise, des photos, des enregistrements audio et des courriels« .

      NEW : Our latest investigation hears from a whistleblower engaged in Pfizer’s pivotal covid-19 vaccine trial. Her evidence raises serious questions about data integrity and regulatory oversight https://t.co/Ho99hQhwRM
      -- The BMJ (@bmj_latest) November 2, 2021

      Toute la clarté sera certainement faite
      Pour Jean-Michel Dogné, responsable du département de Pharmacie à l’UNamur et expert en matière de sécurité des médicaments, ce type d’allégation est toujours pris très au sérieux par les autorités, tant par la FDA américaine que par l’EMA (Agence européenne des médicaments). Il estime que « toute la clarté sera certainement faite« .

      Il précise d’emblée :
      1. « Qu’il s’agit d’une société sous-traitante qui a géré de l’ordre de 1000 participants sur 3 sites, sur une étude qui a enrôlé 44.000 participants sur 153 sites, soit une minorité. »
      2. « Qu’en ce qui concerne les données d’efficacité et de sécurité, des dizaines d’études indépendantes sur des cohortes beaucoup plus importantes ont confirmé l’efficacité et la sécurité du vaccin Pfizer dans différents pays et sur différents variants. Soit une efficacité confirmée sur les formes graves de plus de 90%. »
      3. « Qu’un vaccin à mécanisme d’action identique comme le vaccin Moderna montre des effets miroirs du vaccin Pfizer tant au niveau efficacité que sécurité. »

      L’article pointe une « mauvaise gestion » du laboratoire
      Pour mieux comprendre la portée des allégations contenues dans l’article du British Medical Journal, voici tous les détails contenus dans la publication.

      L’article publié dans le « BMJ » est écrit par Paul D. Thacker et se base essentiellement sur un témoignage, celui de Brooks Jackson.

      Brooks Jackson a été engagée en tant que directrice régionale par Ventavia en septembre 2020. Selon le journaliste, cette « auditrice d’essais cliniques formée qui occupait auparavant un poste de directrice des opérations et arrivait à Ventavia avec plus de 15 ans d’expérience dans la coordination et la gestion de la recherche clinique » n’a travaillé que deux semaines pour la compagnie.

      Toujours selon Thacker, Brooks Jackson a informé à plusieurs reprises ses supérieurs de la mauvaise gestion du laboratoire, des problèmes de sécurité des patients et des problèmes d’intégrité des données.

      Exaspérée par le fait que Ventavia ne prenne pas ses responsabilités face à ces problèmes, Jackson aurait « recueilli plusieurs éléments de preuve tard dans la nuit, en prenant des photos sur son téléphone portable. L’une des photos, fournie au BMJ, montrait des aiguilles jetées dans un sac en plastique […] au lieu d’une boîte à objets tranchants. Une autre montre des matériaux d’emballage de vaccins sur lesquels sont inscrits les numéros d’identification des participants à l’essai, laissés à l’air libre, ce qui pourrait permettre de connaître le statut des participants » (et donc de ne plus rendre le test « aveugle », comme cela doit être le cas à ce stade des essais cliniques). Les dirigeants de Ventavia auraient ensuite interrogé Jackson pour avoir pris ces photos.

      D’autres manquements pointés
      Le journaliste décrit plus tard l’enregistrement d’une réunion tenue fin septembre 2020 entre Jackson et deux directeurs. Lors de celle-ci, « on peut entendre un cadre de Ventavia expliquer que la société n’était pas en mesure de quantifier les types et le nombre d’erreurs qu’elle constatait lors de l’examen des documents de l’essai pour le contrôle de la qualité« . Un cadre de Ventavia aurait même affirmé : « Dans mon esprit, c’est quelque chose de nouveau chaque jour« , ajoutant : « Nous savons que c’est significatif« .

      Par ailleurs, le suivi des effets indésirables aurait également fait défaut lors de l’essai clinique, notamment en termes de délai de traitement des requêtes de saisies de données. Celles-ci devaient être traitées dans les 24 heures. ICON, une autre société engagée par Pfizer dans le cadre de ces essais cliniques, aurait mis en évidence plus de 100 requêtes en suspens datant de plus de trois jours.

      Parmi les exemples de requêtes non-traitées, se trouveraient celles concernant deux personnes pour lesquelles « le sujet a signalé des symptômes/réactions graves… Conformément au protocole, les sujets présentant des réactions locales de grade 3 doivent être contactés. Veuillez confirmer si un CONTACT NON ANNONCÉ a été effectué et mettre à jour le formulaire correspondant le cas échéant« .

      Selon le protocole de l’essai, un contact téléphonique aurait dû avoir lieu « pour obtenir des détails supplémentaires et déterminer si une visite sur site était cliniquement indiquée« .
      Un courrier à la FDA pointant les problèmes
      Dans un courriel du 25 septembre, Brooks Jackson aurait contacté la FDA (l’administration américaine en charge notamment de la protection de la santé publique) afin de leur signaler des pratiques douteuses dans le cadre de l’essai clinique mené par Ventavia.

      Dans l’après-midi de la même journée, Ventavia aurait licencié Jackson, estimant qu’elle « ne convenait pas« , selon sa lettre de rupture de contrat. Brooks Jackson aurait déclaré au BMJ que c’était la première fois qu’elle était licenciée en 20 ans de carrière dans la recherche.

      Toujours d’après le BMJ, Jackson aurait signalé à la FDA une douzaine de problèmes dont elle a été témoin, notamment :
      • Des participants placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique ;
      • Absence de suivi en temps utile des patients ayant subi des effets indésirables ;
      • Des déviations du protocole non signalées ;
      • Des vaccins pas conservés à la bonne température ;
      • Des échantillons de laboratoire mal étiquetés ;
      • Ciblage du personnel de Ventavia pour avoir signalé ce type de problèmes.

      Quelques heures plus tard, Brooks Jackson aurait reçu un courriel de la FDA la remerciant de ses préoccupations et l’informant que l’agence ne pouvait pas faire de commentaires sur une éventuelle enquête. Jackson aurait reçu quelques jours après la réception du courriel un appel d’un inspecteur de la FDA pour discuter de son rapport, mais on lui aurait dit qu’aucune autre information ne pouvait être fournie. Elle n’aurait par la suite eu aucune nouvelle à ce sujet.

      Dans le document d’information de Pfizer soumis à une réunion du comité consultatif de la FDA qui se serait tenue le 10 décembre 2020 pour discuter de la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin Covid-19, la société n’aurait fait aucune mention de problèmes sur le site de Ventavia. Le lendemain, la FDA a délivré l’autorisation du vaccin.

      La crainte de la FDA
      Des documents indiqueraient également que des problèmes avaient déjà été pointés quelques semaines avant, peu après le début de l’essai et avant l’embauche de Brooks Jackson. Dans une liste de « mesures à prendre » qui aurait circulé parmi les dirigeants de Ventavia au début du mois d’août 2020, « un cadre de Ventavia a identifié trois membres du personnel du site avec lesquels il fallait ‘revoir des problèmes d’agendas /de falsification de données, etc.’« .

      L’un d’entre eux aurait été « verbalement réprimandé pour avoir modifié les données et pour ne pas avoir noté les entrées tardives« , indique une note.

      À plusieurs reprises au cours de la réunion de fin septembre, Jackson et les dirigeants de Ventavia auraient également évoqué la possibilité que la FDA se présente pour une inspection. « Nous allons recevoir une sorte de lettre d’information au moins lorsque la FDA sera là… sachez-le« , aurait averti un cadre de Ventavia.

      Un ancien employé de Ventavia aurait confirmé au BMJ que la société était nerveuse et s’attendait à un audit fédéral de son essai de vaccin Pfizer : « Les personnes travaillant dans la recherche clinique sont terrifiées par les audits de la FDA« , a déclaré Jill Fisher au BMJ, tout en ajoutant que l’agence faisait rarement autre chose qu’inspecter la paperasse, généralement des mois après la fin d’un essai. « Je ne sais pas pourquoi ils en ont si peur« , a-t-elle ajouté.

      Elle se serait également dite surprise que l’agence n’ait pas inspecté Ventavia après qu’un employé a déposé une plainte. « On pourrait penser que s’il y a une plainte spécifique et crédible, ils devraient enquêter sur celle-ci« , a déclaré Jill Fisher.

      L’article pointe également des manquements de la FDA concernant les contrôles en indiquant que les inspections réalisées par la branche vaccins et produits biologiques de la FDA étaient déjà insuffisantes auparavant et qu’ils ont encore diminué ces dernières années, avec seulement 50 inspections réalisées au cours de l’année 2020.

      En août 2021, après l’approbation complète du vaccin de Pfizer, la FDA a publié un résumé de ses inspections de l’essai pivot de la société. Neuf des 153 sites de l’essai ont été inspectés. Les sites de Ventavia ne figuraient pas parmi les neuf, et aucune inspection des sites où des adultes ont été recrutés n’a eu lieu dans les huit mois qui ont suivi l’autorisation d’urgence de décembre 2020.

      Paul D. Thacker indique encore que l’agent d’inspection de la FDA a noté : « La partie relative à l’intégrité et à la vérification des données des inspections BIMO [surveillance de la recherche biologique] était limitée parce que l’étude était en cours et que les données requises pour la vérification et la comparaison n’étaient pas encore disponibles pour l’IND [investigational new drug]« .

      Des témoignages d’autres employés
      Au cours de ces derniers mois, Brooks Jackson aurait repris contact avec plusieurs anciens employés de Ventavia « qui ont tous quitté ou ont été licenciés de l’entreprise ». L’un d’eux était l’un des responsables qui avaient pris part à la réunion de fin septembre. Dans un SMS envoyé en juin, l’ancien fonctionnaire se serait excusé, déclarant que « tout ce dont vous vous êtes plaint était exact« .

      Deux anciens employés de Ventavia ont parlé au BMJ « sous le couvert de l’anonymat par crainte de représailles et de perte de perspectives d’emploi dans la communauté de recherche très soudée ». Tous deux auraient confirmé de larges aspects de la plainte de Jackson. L’une d’elles a déclaré qu’elle avait travaillé sur plus de quatre douzaines d’essais cliniques au cours de sa carrière, dont de nombreux essais de grande envergure, mais qu’elle n’avait jamais connu un environnement de travail aussi « désordonné » que celui de Ventavia pour l’essai de Pfizer.

      Après le départ de Jackson, les problèmes auraient persisté chez Ventavia, selon cet employé. Le BMJ rapporte que « dans plusieurs cas, Ventavia ne disposait pas d’un nombre suffisant d’employés pour effectuer des prélèvements sur tous les participants à l’essai ayant signalé des symptômes de type Covid, afin de tester l’infection. La confirmation en laboratoire de la présence de symptômes de Covid-19 était le principal critère d’évaluation de l’essai, a souligné l’employé ».

      Une deuxième employée a également décrit un environnement de travail chez Ventavia différent de tout ce qu’elle avait connu en 20 ans de recherche. Elle a déclaré au BMJ que, peu après le licenciement de Jackson par Ventavia, Pfizer avait été informé des problèmes rencontrés par Ventavia dans le cadre de l’essai de vaccin et qu’un audit a été réalisé.

      Depuis que Jackson a signalé les problèmes de Ventavia à la FDA en septembre 2020, le BMJ indique que Pfizer a engagé Ventavia comme sous-traitant de recherche pour quatre autres essais cliniques de vaccins concernant : le vaccin Covid-19 chez les enfants et les jeunes adultes, le vaccin Covid-19 chez les femmes enceintes et sur une troisième dose du vaccin Covid-19, ainsi qu’un essai de vaccin contre le RSV (virus respiratoire syncytial).

       ???? Evidemment s’il y a des irrégularités, il faut les dénoncer et investiguer, aussi bien pour les essais vaccinaux que pour les autres essais cliniques

      De ce que j’ai lu, rien ne remet en question rapport bénéfices/risques de la vaccination COVID et je continue à la recommander

      -- Nathan Peiffer-Smadja (@nathanpsmad) November 2, 2021

      Un format d’enquête et l’intégrité de son auteur mises en cause
      L’article publié par Paul D. Thacker repose sur une source principale et deux sources anonymes. Les preuves mentionnées dans la publication comme les photos ou des copies des emails échangés ne sont pas documentées.

      Contactée par Numerama, un site web d’actualité sur l’informatique et le numérique, l’entreprise Ventavia a indiqué « ne pas avoir été contactée [par l’auteur] avant la publication« . C’est pourtant un élément important de la démarche journalistique. Lorsqu’une enquête met en cause gravement une personne ou une société, il est crucial d’interroger la personne ou la société mise en cause afin de confronter des éléments et leur donner la possibilité de s’expliquer concernant les allégations éventuelles.

      Par ailleurs, plusieurs sources comme Citizen4Science, une association rassemblant des scientifiques français, ou le Conseil américain de Science et de Santé (ACSH) indiquent que l’auteur de l’article dans le BMJ, Paul D. Thacker, a déjà pris des positions frôlant avec le conspirationnisme, notamment sur le thème des OGM (Organismes génétiquement modifiés). L’ACSH pointe notamment un article écrit par le même auteur en juin 2020 dans le Telegraaf (un quotidien néerlandais), reprenant des postures antiscientifiques sur la 5G et l’accuse d’avoir déformé les faits qui lui avaient été présentés.

      Et enfin, prudence aussi avec le journaliste qui rapporte cette affaire : c’est un conspirationniste notoire.

      On n’a pas mis cela en avant selon notre devise : « le message pas le messager » – mais prudence redoublée.@bmj_latest

      -- Citizen4Science (@Citizen4Sci) November 2, 2021

      Peu de réactions officielles
      Sollicitée par CheckNews, la rubrique de fact checking de « Libération », sur les raisons qui auraient amené la FDA à délaisser le témoignage mis en avant dans l’article du BMJ, l’agence étasunienne a expliqué qu’elle « ne pouvait, pour le moment, faire des commentaires supplémentaires dans cette affaire en cours ». La FDA assure toutefois « avoir pleinement confiance dans les données qui ont été utilisées pour soutenir l’autorisation du vaccin Covid-19 de Pfizer-BioNTech et l’approbation du Comirnaty ».

      Ventavia a quant à elle indiqué à Numerama « investiguer » sur les accusations, mais n’a pas répondu sur le fond au média spécialiste du numérique. A nos confrères de Libération, l’entreprise a ajouté qu’elle « prend très au sérieux la conformité de la recherche, l’intégrité des données et la sécurité des participants et défend son important travail de soutien au développement de vaccins qui sauvent des vies, et mène son enquête en conséquence ».

      Contactée par la RTBF, Pfizer Belgique a indiqué se renseigner au niveau international avant de commenter les faits rapportés par le BMJ, mais à ce stade nous n’avons pas obtenu de réponses à nos questions.

      Un impact à nuancer
      Les accusations contenues dans l’article du British Medical Journal paraissent sérieuses. Des manquements éventuels dans la supervision et la bonne tenue d’un essai clinique de l’importance de celui d’un vaccin contre le Covid-19 interpellent et suscitent de nombreuses réactions, particulièrement parmi les groupes qui s’opposent aux vaccins contre le coronavirus. En France, des partis d’extrême droite se servent de la publication pour demander la « suspension immédiate de Pfizer« .

      D’autres réactions rappellent que ces accusations ne concernent pas la balance bénéfices/risques positive du vaccin de Pfizer mais estiment néanmoins que « s’il y a des régularités, il faut les dénoncer et investiguer« .

      A ce stade, les allégations concernent une société sous-traitante qui n’aurait pas respecté des procédures officielles, sur un nombre très limité de sites où les essais cliniques ont été réalisés. Rien n’indique cependant pour le moment que ces mauvaises pratiques aient pu avoir une quelconque influence dans les résultats de ces études cliniques.

      Pour Jean-Michel Dogné, professeur à l’UNamur et expert en sécurité des médicaments, « la clarté et la transparence la plus totale doivent avoir lieu et les autorités indépendantes de l’EMA et de la FDA se prononceront à ce sujet, mais j’invite chacun à ne pas tirer des conclusions hâtives sur les données d’efficacité et de sécurité du vaccin qui viennent aujourd’hui majoritairement des études en conditions réelles, indépendantes l’une d’entre elles et majoritairement indépendante de l’industrie pharmaceutique« .

      Pour rappel, toutes les données liées à la vaccination avec le Comirnaty de Pfizer dans la vie réelle, hors essais cliniques, notamment aux Etats-Unis ou en Israël, ont mis en évidence une chute des hospitalisations et des décès suite aux infections au Covid-19.

      Le terme « Pfizergate », faisant référence à de grands scandales politiques comme le « Watergate » aux Etats-Unis ou le « Kazakhgate » en Belgique, semble excessif à ce stade, car les accusations ciblent essentiellement un sous-traitant de Pfizer, pas l’entreprise Pfizer dans son ensemble.

      Enfin, la dénomination « Pfizergate » sert essentiellement l’argumentaire de certaines personnes qui souhaitent discréditer le vaccin du géant pharmaceutique et la stratégie de vaccination contre le Covid-19 en général.

    • Des millions de personnes ont quand même été vaccinées avec Pfizer... dans la plupart des pays sous peine de sanctions, de privation de liberté, d’exclusion... pour aujourd’hui apprendre qu’il y a eu fraude aux essais sur le vaccin.

      Étonnant, non ?

  • Abeilles domestiques : #Bruxelles veut éviter la prolifération anarchique de ruchers
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_abeilles-domestiques-bruxelles-veut-eviter-la-proliferation-anarchique-d

    Au printemps, l’administration Bruxelles Environnement enlèvera les quelques ruchers qu’elle a en gestion dans les zones Natura 2000 de la Région. C’est la première mesure, symbolique, d’un plan nettement plus vaste de régulation de l’apiculture dans la capitale. L’étoile de l’abeille domestique aurait-elle pâli ? En tout cas, désormais, l’abeille mellifère n’est plus unanimement considérée comme l’icône de la biodiversité.

    Depuis dix ans, dans le monde entier, la communauté scientifique s’inquiète de la compétition entre abeilles domestiques et sauvages. "Il s’agit d’une concurrence sur les ressources alimentaires", pose Nicolas Vereecken, titulaire d’une chaire d’agroécologie à l’ULB. Une concurrence déloyale à en croire les scientifiques : nettement plus nombreuses et plus mobiles – elles butinent jusqu’à un kilomètre de la ruche - les abeilles domestiques s’approprieraient l’essentiel des ressources alimentaires.

    Voilà pour la théorie. Mais en pratique, cette concurrence s’applique-t-elle à la réalité bruxelloise ? Une bonne partie des apiculteurs bruxellois en doutent. « A Bruxelles, nous sommes 200 ou 300 apiculteurs à avoir une, deux ou trois ruches au fond du jardin ou dans le parc tout proche, affirme Yves Van Parys. Nous ne sommes pas de gros producteurs de miel. »

    Pour cet apiculteur qui exploite un rucher à Jette depuis 39 ans, il n’y a pas lieu de s’alarmer d’une prolifération de ruches, au contraire. « Ces trois dernières années, selon notre recensement, il y a plutôt une diminution du nombre de ruches à Bruxelles, de l’ordre de 30%. »

    Pourtant, selon Bruxelles Environnement et l’équipe de recherche de l’ULB, les premiers résultats d’analyse sur le terrain ne laissent aucun doute sur le fait que l’activité apicole se développe bel et bien à Bruxelles, au détriment de la préservation de la biodiversité et des 200 espèces d’abeilles sauvages recensées à Bruxelles.

    « Dans une ruche, vous avez plusieurs dizaines de milliers d’individus d’abeilles domestiques. A Bruxelles, les populations d’abeilles sauvages sont nettement minoritaires, on parle de quelques dizaines d’individus par espèce. Donc, forcément, celles qui sont surnuméraires ont un effet de dominance », explique Nicolas Vereecken.

    Qui dit vrai ? Bruxelles compte-t-elle trop d’abeilles ou trop peu ? Comment objectiver tout cela ? La Région voudrait réaliser un cadastre du nombre de ruches et de leur localisation par rapport aux espaces verts. Mais la tâche est titanesque.

    « Le milieu apicole est extrêmement opaque. Comme il n’est pas obligatoire de déclarer toutes les ruches installées sur le territoire à Bruxelles, il y a un flou artistique, en raison d’un manque de communication et de transparence », estime Nicolas Vereecken.

    Un premier pas a été franchi dans la bonne direction, mais il est insuffisant selon le scientifique : depuis septembre 2019, les apiculteurs ont l’obligation de se déclarer la commune à partir de trois ruches. Ceux qui en une ou deux, ce qui est fréquent, ont donc la possibilité de passer sous le radar.

    La nouvelle orientation prise par les autorités régionales déplaît à bon nombre d’apiculteurs. « Je suis inquiet pour l’abeille mellifère. Je suis inquiet pour l’apiculteur pédagogue et sensibilisateur », résume Yves Van Parys. L’abeille domestique, qui avait si bonne presse, doit aujourd’hui descendre de son piédestal.

    « Il y a eu un gros phénomène de mode depuis quinze ans, analyse Julien Ruelle, coordinateur de la stratégie pour les pollinisateurs au sein de Bruxelles Environnement. On a installé des ruches partout, y compris sur les toits d’entreprises et d’administrations, parce que c’était une solution facile qui donnait l’impression qu’on sauvait la planète très facilement. Aujourd’hui, on se rend compte que ce n’est pas aussi intuitif. Mettre des ruches ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire. Alors, on revient un peu en arrière. Et c’est parfois difficile de revenir sur des certitudes qu’on avait il y a dix ans. »

    Certains apiculteurs abondent dans ce sens-là. "On s’est mis le doigt dans l’œil il y a 10 ans, reconnaît volontiers Marc Wollast. La direction prise est la bonne. Cela va plus loin que le simple principe de précaution", affirme l’apiculteur et coordinateur de l’association Apis Bruoc Sella.

    #abeilles #abeilles_domestiques #abeilles_mellifère #abeilles_sauvages #Ruches #apiculture #biodiversité #environnement #catastrophe #écologie #insectes #apiculture #miel

    • Mettre des ruches en ville ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire
      L’abondance des abeilles domestiques diminuent la biodiversité.
      Ne pourrait on laisser ces petites bêtes en paix ?

  • #halloween : Elle frappe des enfants venus sonner à sa porte
    http://www.lessentiel.lu/fr/news/europe/story/elle-frappe-des-enfants-venus-sonner-a-sa-porte-21814348

    Ayant eu « très peur » en ouvrant sa porte à des enfants déguisés le soir d’Halloween, une femme de 33 ans a battu des garçons de 7 et 9 ans, en Suisse. Le plus âgé a été blessé.


    Après les faits, le plus âgé des garçons a dû être conduit à hôpital. Il n’a été que superficiellement blessé. (photo : Marco Zangger)

    Dimanche, peu après 18 h 30, trois enfants de 9 et deux fois 7 ans faisaient leur tournée d’Halloween à Saint-Gall, en Suisse. Lorsqu’ils ont sonné à la porte d’un appartement, la résidente de 33 ans qui leur a ouvert a eu, selon ses propres termes, « très peur ». En conséquence, elle est devenue violente avec un des garçons de 7 ans et celui de 9 ans.

    Dans un communiqué, la police saint-galloise a expliqué que les enfants ont réussi à s’enfuir. Une fois prévenus, leurs parents ont alors appelé la police. Après les faits, le plus âgé des garçons a dû être conduit à hôpital. Il n’a été que superficiellement blessé.

    La police cantonale de Saint-Gall a ouvert une enquête et a entrepris dans la soirée un travail de recherche de preuves. Les investigations se poursuivent sous la direction du ministère public du canton. La femme de 33 ans sera inculpée pour les faits.

    #halloween #horreur #résistance #publicité #pub #sorcières