Wikipedia – Die freie Enzyklopädie

/wiki

  • Meloni, Musk et Michael Ende
    https://www.heidi.news/monde/en-italie-elon-musk-se-fait-le-porte-voix-de-l-extreme-droite

    Sujet d’enquête : quel relation existe entre le monde inventé par le gentil auteur anthroposophe Ende (en français : la fin) et le nouveau fascisme néolibéral ?

    Depuis la transformation de l’avocat de gauche et anthroposophe Otto Schily en ministre d’intérieur de la RFA on se doutait qu’il y a un lien bizarre entre anrhroposophes, fascistes et l’impérialisme états-unien. Depuis le triomphe de l’idéologie « objectiviste » d’Ayn Rand, une sorte d’anti-humanisme plus radical que l’anti-semitisme éliminatoire nazi, au sein de l’élite de la silicon valley on voit un peu plus clair.

    Toujours est-il un mystère que cache l’auteur pacifiste et anti-raciste de sombre et avide de sang dans son oeuvre. Il doit bien y avoir in élément dans son idéologie qui encourage sa récupération par les fratelli d’Italia.

    A Rome, Elon Musk se fait le porte-voix de l’extrême droite

    Le milliardaire était l’invité d’honneur de la fête annuelle du parti de la Première ministre italienne Giorgia Meloni. L’occasion de mettre en garde contre la crise de la dénatalité ou le wokisme. Et de se faire une nouvelle fois le porte-voix des idées portées par l’extrême droite.

    C’était l’invité star de l’événement. Samedi 16 décembre, le milliardaire Elon Musk est monté sur la scène du festival « Atreju », la fête annuelle à Rome des jeunes militants de Fratelli d’Italia, le parti de la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Un an après la montée au pouvoir de la leader d’extrême droite, l’événement était particulièrement attendu. Et le parti s’est payé un invité de marque.

    Pendant quatre jours, cette grande kermesse – qui emprunte son nom au héros du roman fantastique « L’histoire sans fin » – réunit des personnalités politiques, des sportifs et des journalistes. Cette année, le Premier ministre conservateur britannique Rishi Sunak et le leader de Vox, l’extrême droite espagnole, Santiago Abascal étaient aussi sur la liste des invités.

    Pourquoi c’est important ? Dans le monde de la droite conservatrice radicale, Elon Musk est un personnage « prestigieux », observe Fabio Chiusi, journaliste et auteur de « L’uomo che vuole risolvere il futuro », un ouvrage dans lequel il livre une analyse de la pensée du patron de Tesla et SpaceX.

    Il partage avec l’extrême droite « l’idée d’une liberté d’expression [absolue], la bataille contre la crise démographique et contre le wokisme », continue le journaliste. Créé à partir du mot anglais woke (éveillé), ce terme a été galvaudé depuis quelques années par des courants de droite conservatrice pour décrédibiliser les militants de gauche.

    Et peu importe si le patron de Tesla et SpaceX prospère avec les voitures électriques détestées par Matteo Salvini, chef de la Lega, ou s’il est en faveur de la gestation pour autrui que Giorgia Meloni tient en horreur. L’extrême droite évite les sujets qui fâchent. Et pour le reste, elle « peut dire que ses idées sont partagées par celui qui change le monde », commente Fabio Chiusi.

    La survie de l’humanité. C’est qu’Elon Musk en est convaincu : le politiquement correct, la dénatalité ou encore un certain usage de l’intelligence artificielle mettent en péril le futur de l’humanité. Et la vision politique incarnée par les partis conservateurs, comme Fratelli d’Italia, peut en assurer la survie.

    Samedi, c’est donc avec l’un de ses onze enfants dans les bras qu’il s’est présenté devant le public italien. « Faire des enfants permet de créer une nouvelle génération. Et il n’y en aura pas si les gens ne font pas d’enfants », a-t-il déclaré depuis la scène du Château Saint-Ange, à Rome, provoquant une vague d’applaudissements. En 2022, l’Italie a atteint un record historique en descendant sous la barre des 400’000 naissances. Un an après son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni assurait avoir fait de la dénatalité une « priorité absolue ».

    Et à l’instar de la Première ministre italienne, Elon Musk estime que l’immigration n’est pas une solution à la crise démographique. « Il faut faire plus d’Italiens pour sauver la culture d’Italie », a-t-il insisté.

    Ensuite, le milliardaire a mis en garde contre le « virus de l’esprit woke » qui, selon lui, s’empare des États-Unis et bientôt de l’Italie. Avant de ravir son audience en affirmant que « le changement climatique ne constitue pas une menace si grave à court terme ». Et s’il a assuré être « écologiste », il estime qu’il n’est pas possible de « se passer du pétrole et des énergies fossiles dans un avenir immédiat ».

    Un porte-voix des droites conservatrices et radicales. Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk s’affiche aux côtés de responsables politiques de droite conservatrice. En juin, il avait d’ailleurs déjà rencontré la Première ministre italienne, mais aucun détail n’avait filtré de leur entretien.

    Début novembre, il avait été interviewé par le Premier ministre britannique en personne, sur la réglementation, les risques et les opportunités de l’IA, à l’occasion d’un grand sommet sur le sujet. Un entretien que la presse britannique avait qualifié de « gênant ». Considéré par beaucoup comme un « gourou », Elon Musk est traité comme « un chef d’Etat » sauf que le milliardaire ne sert que ses intérêts, observe Fabio Chiusi. Contrairement aux politiques, « la Constitution ne l’oblige pas à servir les intérêts de la collectivité », continue-t-il.

    Outre-Atlantique, Elon Musk a également exprimé son soutien au nouveau président argentin Javier Milei. « La prospérité est sur le point d’arriver en Argentine », a-t-il écrit après sa victoire le 19 novembre.

    Enfin, c’est lui qui a permis à Donald Trump de faire son grand retour sur le réseau X (ex-Twitter), dont il avait été banni juste après les violents affrontements du Capitole, en janvier 2021. Selon Le Monde, « Elon Musk a dérivé vers une haine des démocrates et des progressistes et se trouve désormais aux confins de l’extrême droite complotiste et antisémite ».

    Parfois il suffit de consulter d’autres versions de Wikipedia pour obtenir des indices.
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Die_unendliche_Geschichte

    Andreas von Prondczynsky sah Die unendliche Geschichte als „im Netz bürgerlicher Moral und ökonomischer Zweckrationalität“ befangene Mischung von „christologischem Mystizismus“ und „Sozialkritik in der Orientierung romantischer Denkweise“. Ende übe Kritik am Vernunft-Mythos, wie er sowohl der technologischen Rationalität als auch einer ökonomisierten Subjektivität zugrunde liege. Im Widerspruch dazu verfolge er jedoch in diffusen „Mysterien der Alten“ vernunftorientierte bürgerliche Tugenden.

    Hermann Bausinger deutete die beiden Bücher Michael Endes, „Die unendliche Geschichte“ und „Momo“, als Eskapismus, der von narzisstischen, an der Zukunft zweifelnden Jugendlichen begierig aufgenommen wird und ihnen zur Flucht in die Unverbindlichkeit verhilft. Die präzise Trennung von Gut und Böse in Endes Phantastik ließe eine geschlossene Welt entstehen, in der nichts sinnlos, alles von Bedeutung erscheine und fern realistischer Konflikte zu folgenloser Identifikation einlade. Er sprach in Zusammenhang mit Endes Werken von „Placebo-Effekten“. Die Leser sähen in Endes Erzählungen ihr Bedürfnis nach positiven Weltentwürfen befriedigt, so dass sie ihnen Wirkungen zuschrieben, deren Muster im Text gar nicht angelegt seien.

    Von ihm und anderen Kritikern wurde Die unendliche Geschichte als Aufforderung zur Weltflucht angesehen. Dem widerspricht Růžena Sedlářová. Das Buch mache deutlich, dass der Autor nicht die Phantasie der realen Welt überordnen, sondern beide in Einklang bringen wolle, etwa indem Koreander zu Bastian in Kapitel XXVI. sagt: „Es gibt Menschen, die können nie nach Phantásien kommen […] und es gibt Menschen, die können es, aber sie bleiben für immer dort. Und dann gibt es noch einige, die gehen nach Phantásien und kehren wieder zurück. So wie du. Und die machen beide Welten gesund.“ Hier sehe man die Lehre von der Harmonie der Gefühle und der Vernunft, oder der Phantasie und der Realität, oder des Unbewussten und Bewussten. Ohne Kenntnis beider Ebenen sei es nicht möglich, zur Ganzheit zu gelangen. Bastian hätte so in dieser Geschichte seine Schattenseiten kennenlernen und sie auch überwinden und dadurch ein besserer Mensch werden können.

    Andere Literaturkritiker warfen Ende die scheinbare Naivität seiner Botschaft vor. In seinem Roman Momo etwa fände man eine ärgerliche „Romantisierung der Armut“. Darüber hinaus mündeten alle kritischen Befunde Endes in der Empfehlung, mit Selbstfindung, Selbsterkenntnis und Selbstveränderung als vorbildlichen Lebensmustern die Schäden der Zivilisation zu beheben.

    Ces citations fournissent quelques informations sur le mécanisme qui relie le monde imaginaire d’inspiration anthoposophique de Michael Ende aux besoins d’une organisation de jeunesse neofasciste. Tout le monde aime bien s’enfuir dans des psysages fantaisistes et c’est là ou les joueurs de flute fachos récupèrent les jeune âmes sans défense. Les lacunes intellectuelles de Ende induit par son penxhant pour le Steinerisme en font apparamment un outil propice. Le choix des neoconnard italien est dans doute tombé sur Ende plutôt que sur Tolkien à cause de la proximité historique et culturelle de l’Italie et de l’Allemagne. Harry Potter aurait pu faire l’affaire mais les coùts de la licence nécessare et les choix politique de son auteure ont protégé l"apprenti sorcier de cette mésalliance.

    Et non, Ende et ses romans ne sont pas fascistes, seulement un peu kitsch :-)

    #USA #Italie #anthoposophie #fascisme #silicon_valley #objectivisme

    • Je n’associe pas l’œuvre de Michael Ende au fascisme.

      C’est par Périphéries que j’ai découvert son roman Momo :

      À la recherche des heures célestes
      https://www.peripheries.net/article320.html

      Il faut croire que Michael Ende, plus ou moins consciemment, partageait la foi de Thierry Fabre dans l’héritage méditerranéen : sa Momo est une petite fille solitaire qui a élu domicile sous les ruines d’un amphithéâtre romain à l’abandon, en périphérie d’une grande ville du Sud. Pauvre et sans instruction, elle dispose pourtant d’un trésor inestimable : elle a du temps à profusion. Du jour où ils font sa connaissance, les habitants de la ville s’attachent profondément à elle. Ils viennent la voir pour lui parler, et, même si elle ne dit rien, elle écoute avec une telle intensité qu’ils voient leurs problèmes résolus. Les enfants adorent se retrouver à l’amphithéâtre pour jouer, car ils ne jouent jamais aussi bien que quand elle est avec eux. C’est que le don d’écoute de Momo va de pair avec une imagination puissante, qui n’est pas sans lien avec sa capacité à écouter l’univers entier :

      « Certains soirs, après le départ de tous ses amis, elle restait assise, longtemps encore, seule au milieu de son vieil amphithéâtre au-dessus duquel, telle une coupole, s’étendait le ciel étoilé : elle écoutait le grand silence. Elle avait alors l’impression d’être assise au milieu d’une immense oreille cherchant à capter les bruits dans le monde des étoiles. C’était comme si elle écoutait une musique très douce et très puissante à la fois qui lui allait mystérieusement droit au cœur. »

      Autrement dit, Momo possède comme personne le secret de cette « musicalité de l’être » dont parle aussi Thierry Fabre. Mais un jour, d’étranges « hommes en gris » commencent à hanter les rues de la ville. Peu à peu, ils persuadent les habitants que leurs occupations quotidiennes - bavarder avec les clients quand ils sont coiffeurs ou restaurateurs, chanter dans une chorale, s’occuper de leur vieille mère, rendre visite à une amante secrète, jouer, dormir, rêvasser en regardant par la fenêtre... - représentent des « pertes de temps ». Ils leur proposent d’ouvrir un compte dans leur « caisse d’épargne du temps ». Dès lors, Momo ne reconnaît plus ses amis : ils désertent l’amphithéâtre, passent leur vie à courir sans savoir derrière quoi, n’ont plus de temps à se consacrer les uns aux autres. L’obsession de la rentabilité et de la réussite matérielle, le repli sur soi, l’acrimonie, dominent les relations sociales.

    • Justement, c’est complètement kitsch , on aime ou on n’aime pas.


      Je préfère La Cité des dragons qui est davantage terre à terre malgré l’histoire de la transformation de la mechante institutrice dragon en dragon blanc de la sagesse.
      C’est aussi kitsch mais moins ésothérique, et c’est plein d’ironie et d’éléments de parodie.
      Enfin, l’héroïne pricipale est un petite locomotive à vapeur. C’est imbattable.
      Puis dans le deuxième volume il y a une parodie des fascistes, les 13 corsaires voleurs d’enfants qui sont tellement bêtes qu’ils ne comprennent pas qu’ils ne sont que 12. Dans ces histoires simples l’auteur se passe de prèsque tout élément surnaturel et ésothérique, au contraire même les dragons sont comme tout le monde. Seulement les forces de la nature sont folles, un peu comme dans la physique quantique.

  • Hermannplatz
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Hermannplatz

    Der Hermannplatz stellt sich als breite Spange zwischen zwei Kreuzungen dar. An der nördlichen Kreuzung treffen #Urbanstraße, #Kottbusser_Damm und #Sonnenallee auf den Platz. Die Urbanstraße wurde 1874 angelegt und trifft von Westen auf den Platz. Der Kottbusser Damm hieß bis 1874 #Rixdorfer_Damm. Dieser Straßenname geht bis ins 16. Jahrhundert zurück und die Straße ist eine der ältesten im Bezirk Kreuzberg. Die ältesten Aufzeichnungen der heutigen Sonnenallee stammen von 1890. Seit 1893 ist für die Straße der Name #Kaiser-Friedrich_Straße bekannt. 1938 bekam die Straße östlich des Hermannplatzes mit #Braunauer_Straße (benannt nach dem Geburtsort Hitlers) einen nationalsozialistischen Namen. 1947 verschwand dieser wieder aus dem Straßenbild und der Straßenzug erhielt den Namen Sonnenallee.

    Die Kreuzung an der Südseite des Hermannplatzes ist der Treffpunkt der Straßen #Hasenheide, #Hermannstraße und #Karl-Marx-Straße. Die Straße Hasenheide wurde bereits um 1678 als Weg angelegt und 1854 als befestigte Chaussee ausgebaut. Die Hermannstraße hat als Verbindung nach Britz ebenfalls eine sehr lange Vergangenheit und hieß bis Ende des 19. Jahrhunderts auch nur #Straße_nach_Britz. Im Jahr 1712 wurde über die aktuelle Trasse der Hermannstraße führend die #Poststraße Berlin – Mittenwalde – Dresden eröffnet. Die Karl-Marx-Straße (bis 31. Juli 1947 Berliner Straße) ist (wie der Kottbusser Damm) eine der ältesten Straßen am Platz. Schon bevor die Poststraße nach Dresden über die Hermannstraße eröffnet wurde, führte über die Berliner Straße ein Postweg nach Cottbus.

    #Berlin #Kreuzberg #Neukölln

  • Held
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Held


    Pendant des siècles notre culture a été empreignée du culte des héros. Achille et Hector de Troies servaient d’exemple au jeunes hommes que les militaristes de Prusse élevaient comme chair à canon pour les guerres de « libération » et d’unifcation nationale.

    L’idéologie staliniste a transformé des millions d’hommes et de femmes en héros et traité avec dédain les survivants. Après la guerre le sacrifice de l’individu était récompensé avec des médailles « Held der Arbeit » et « Held der DDR ». Ces termes prenaient tout de suite une connotation ironique car tout le monde savait que le sacrifice pesait plus lour que la récompense.

    Une partie du peuple a toujours compris qu’il se faisait arnaquer par les défenseurs des grandes idées.

    Les moins cons parmi nos parents et grand parents qui ont connu la guerre savaient deux choses :

    1.

    Nur ein toter Held ist ein wahrer Held.

    Les vrais héros sont toujours morts.

    Alors il fallait chosir :

    Was willst du, das Ritterkreuz oder dein eigenes Kreuz?

    Il fallait se décider entre la croix de chevalier (une médaille militaire) et sa propre « croix » (synonyme pour ses épaules et la vie).

    2.

    Wenn es heißt „Freiwillige vortreten“, geh einen Schritt zur Seite, damit die Dummen durchkönnen.

    Quand on appelle les volontaires à avancer il faut s’écarter pour laisser passer les imbéciles.

    L’expression « Helden des Alltags » doit nous faire croire qu’il y a de bons héros. C’est faux parce que chaque héro sans exception agit contre sa propre raison d’être qui est de vvre.

    Par contre il est normal qu’on se « sacrifie » quand on est condamné. C’est un acte unique et raisonnable qui prouve notre qualité d’Homme.

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Franciszka_Mann
    Le SS tué par Franciszka Mann est mort en tant que héros des génocidaires tandis ce qu’elle a défendu sa dignité et la dignité humaine.

    Dans nos pays un tel destin nous est généralement épargné mais nous pouvons apprendre à nous protéger contre les pièges qu’on nos tend derrière l’écran de fumée idéologique. Les héros et les condamnés de notre histoire sont de bons repères pour tenir le cap.

    #héroïsme #guerre

  • Explosion in Berlin-Charlottenburg : Unbekannte sprengen Blitzer am Kurfürstendamm
    https://www.berliner-zeitung.de/news/berlin-charlottenburg-explosion-von-blitzer-am-kurfuerstendamm-li.2

    C’est la guerre. Après de nombreux assassinats et des agressions quotidiennes contre les autres automobilistes, motards, cyclistes et piétons la guérilla des conducteurs death-proof vient de faire sauter une colonne radar placée au début de son circuit préféré Kurfürstendamm à Berlin-Halensee.

    12.12.2023 von Eva Maria Braungart - Trümmerteile des Blitzers flogen bis zu 60 Meter weit. Bereits Ende Oktober explodierte ein Blitzer in der gleichen Straße.

    Unbekannte haben in der Nacht zu Dienstag einen Blitzer auf dem Berliner Kurfürstendamm in Charlottenburg gesprengt. Ein Passant gab an, dass das Gerät gegen 2.15 Uhr explodierte. Wie die Berliner Polizei mitteilte, flogen Trümmerteile der Säule bis zu 60 Meter weit durch die Luft.

    Die alarmierten Einsatzkräfte sicherten am Ort Spuren, die auf die Verwendung eines pyrotechnischen Gegenstands schließen lassen. Der polizeiliche Staatsschutz ermittelt zu dem oder den Tätern und fertigt offenbar mehrere Anzeigen an. Darunter sei das Herbeiführen einer Sprengstoffexplosion und schwere Sachbeschädigung.

    Bereits am 20. Oktober wurde eine Blitzersäule ebenfalls am Kurfürstendamm gesprengt. Die Kosten eines Blitzers belaufen sich je nach Ausstattung auf 80.000 bis 130.000 Euro.

    Kurfürstendamn
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Kurf%C3%BCrstendamm

    Straßenlänge: 3500 Meter
    ...
    Der Kurfürstendamm wurde um 1542 als Dammweg vom Berliner Stadtschloss zum Jagdschloss Grunewald angelegt und diente zunächst als Reitweg für den Kurfürsten Joachim II.

    #Berlin #Halensee #Kurfürstendamn #excès_de_vitesse

  • Otto Bauer’s Theory of Nationalism Is One of Marxism’s Lost Treasures
    https://jacobin.com/2023/11/otto-bauer-austro-marxism-nationalism-theory-history

    26.11.2023 by Ronaldo Munck - If we look around the world today, we can see the critical importance of nationalism, whether ethnic or cultural, from Spain to Nagorno-Karabakh, the Uyghur question in China, or the unwinding of the formerly United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland.

    One might have expected Marxism, as the self-proclaimed “science of history,” to play a major role in analyzing — if not intervening in — such situations, which are bound to multiply as globalization unravels and its contradictions increase. Yet Marxists seem to be torn between Eric Hobsbawm’s admonition not to “paint nationalism red” and the somewhat wooden and not exactly operational Leninist principle of “the right of nations to self-determination.”

    Could Otto Bauer’s forgotten work The Question of Nationalities and Social Democracy — written in German in 1907, translated into English in 2000, and then promptly ignored — help us develop a theory of nationalism?

    Bauer’s understanding of nationalism was subtle and sophisticated, and fully deserves to be rescued from obscurity. But we can only make sense of Bauer’s contribution by setting it within its complex historical context, instead of seeing it as disembodied political theory.
    Austro-Marxism

    Otto Bauer was born in Vienna, in 1881, to a wealthy Jewish factory-owning merchant family in a rapidly industrializing Austria. This was a multicultural and multiethnic environment with a thriving labor and socialist movement, made famous in the Red Vienna period of 1918–34. Bauer became active in the framework of that movement, representing the Social Democratic Workers’ Party (SDAP) in the imperial parliament and editing its monthly magazine, The Struggle.

    When the Habsburg empire joined the Central Powers during World War I, Bauer served as an Austrian army officer and became a prisoner of war in Russia before he was allowed to return home in 1917. Before and after the war, he was a leading figure in the political current known as Austro-Marxism. In the wake of the October Revolution, the Austro-Marxists sought to develop a “third way” between the Communist International launched by the Bolsheviks and social democracy.

    Bauer’s stint as Austria’s foreign minister in 1918–19 after the collapse of the Habsburg Empire, with his SDAP colleague Karl Renner as chancellor, was followed by a period of futile compromise with the rising forces of reaction. His life ended in political defeat. The rise of Austro-Fascism and the outbreak of civil war in 1933–34 prompted him to leave Austria, and he died in Parisian exile in 1938.

    While the counterrevolution won out in Austria in the 1930s, Bauer’s theory and practice is a fragment of the history of Marxism that should not be ignored. It remains a fundamental part of the Marxist legacy that warrants attention today.

    Although it is sometimes compared to the Frankfurt School, Austro-Marxism was a philosophy of practice, not one of contemplation. It included major figures in Marxist economics (Rudolf Hilferding), philosophy (Max Adler), and law (Karl Renner), as well as Bauer himself. Bauer’s own definition of Austro-Marxism saw it as a synthesis between day-to-day realpolitik and the revolutionary will to attain the ultimate goal: the seizure of power by the working class.
    The National Question

    The context in which Bauer wrote The Question of Nationalities and Social Democracy, which was originally his PhD thesis, was the outbreak of national questions and conflicts throughout the Austro-Hungarian Empire. Towards the end of the nineteenth century, the development of capitalism had generated great social turmoil. The population of Vienna quadrupled due to internal migration in the fifty years leading up to 1917, with a multinational working class emerging.

    The burgeoning SDAP and the trade unions affiliated to it were in danger of being torn apart between their dominant German-speaking core and members from the peripheral nations. We should recall that before its breakup after 1918, the empire contained fifteen nationalities in a territory the size of the Iberian Peninsula.

    Faced with this situation, Bauer sought to develop a complex and sophisticated theory of nationalism — one that was not at all colored by sympathy towards his subject, we might add. For Bauer, modern nations can be understood as communities of character (Charakter gemeinschaften) that have emerged out of communities of fate (Schicksals gemeinschaften).

    This is a much more subtle and nonreductionist approach when compared to the orthodox Marxist theory of nationalism, as codified by Joseph Stalin and propagated throughout the world by the pro-Soviet communist movement. Stalin defined a nation as “a historically constituted, stable community of people, formed on the basis of a common language, territory, economic life, and psychological make-up manifested in a common culture.” This does not help us in a multinational context.

    Bauer saw the main strength of his work as being its description of the derivation of nationalism from the process of economic development, changes in the social structure, and the articulation of classes in society. However, much of his work and the debates to which it gave rise centered on his definition of a “nation” as the totality of human beings bound together through a common destiny into a community of character.

    Bauer viewed the nation as a “community of fate” whose character resulted from the long history of the conditions under which people labored to survive and divided the products of their work through the social division of labor. Before dismissing this conception of the nation as merely a form of idealism, as many critics have, we should note that Bauer repeatedly criticized forms of “national spiritualism” that depicted the nation as “a mysterious spirit of the people.” He also explicitly rejected psychological theories of the nation.
    A Product of History

    Bauer’s working definition of the nation was a methodological postulate that posed “the task of understanding the phenomenon of the nation” as

    explaining on the basis of the uniqueness of its history all that constitutes the peculiarity, the individuality of each nation, and which differentiates it from other nations, that is, showing the nationality of each individual as the historical with respect to him, and the historical within him.

    For Bauer, it was only by pursuing this task of uncovering the national components that we could dissolve the false appearance of the nation’s substantiality, to which nationalist conceptions of history always succumb.

    In Bauer’s perspective, the nation is above all a product of history. This is true in two respects: firstly, “in terms of its material content it is a historical phenomenon, since the living national character which operates in every one of its members is the residue of a historical development.” Secondly, “from the point of view of its formal structure it is a historical phenomenon, because diverse broad circles are bound together in a nation by different means and in different ways at the various stages of historical development.”

    In short, the ways in which the “community of character” is engendered are historically conditioned. It follows that this “community of character” is not a timeless abstraction but is continually modified over time. For Bauer, the different forms of “national character” are specific to a particular period and thus cannot be traced back to the origins of time, as nationalist mythology might suggest.

    He does not see national character as an explanation in itself, but rather as something that needs to be explained. In this framework, we cannot simply take internationalism for granted as a given, nor can we ignore national characteristics in the name of such internationalism. We must rather show how those characteristics are the result of historical processes.

    While Bauer’s theory of nationalism suffers from almost total oblivion today, even — or perhaps especially — amongst Marxists, in its day it was the subject of intense polemics. His thinking was rejected by both the Second (social-democratic) and the Third (communist) Internationals between which the Austro-Marxists fell.
    The End of Non-History

    One of Bauer’s major innovations was to openly reject the view of Frederick Engels that Slavic nations like the Czechs were “non-historic,” in contrast with what he saw as the great “historic” nations such as Germany, Poland, and France. For Engels, the “non-historic” nations were incapable of forming a state of their own and could only serve as tools of counterrevolution if they attempted to do so.

    Bauer agreed that there were peoples in Central and Eastern Europe who one might refer to as “non-historic,” but he disagreed with Engels on the question of their future prospects:

    The nations without history are revolutionary, they also struggle for constitutional rights and for their independence, for peasant emancipation: the revolution of 1848 is also their revolution.

    For Bauer, the category of “nations without history” did not refer to a structural incapacity of the nation to develop. Rather, it referred to a particular situation in which a people that had lost its ruling class in a previous phase had therefore not experienced its own cultural and historical development.

    He showed in detail how the “awakening of the nations without history” was one of the major revolutionary changes at the turn of the century. According to Bauer, it was one of the progressive features of capitalist development to have reawakened the national self-consciousness of these peoples and confronted the state with the “national question.”

    At the beginning of the twentieth century, he saw peoples such as the Czechs going through a process of capitalist and state development, which in turn led to the emergence of a cultural community, in which the ties of a once omnipotent traditional society were broken. The masses were thus being called on to collaborate in the transformation of the national culture.

    Bauer also carried out a detailed consideration of the relationship between class struggle and nationalism. In a striking phrase, he wrote that “nationalist hatred is a transformed class hatred.” He was referring specifically in this context to the reactions of the petty bourgeoisie in an oppressed nation as it was affected by shifts in population and other convulsions engendered by capitalist development. But the point is a more general one, and Bauer shows clearly how class and national struggles are intertwined.

    He gave the following example in the case of the Czech worker:

    The state which enslaved him [or her] was German; German too were the courts which protected property owners and threw the dispossessed into jail; each death sentence was written in German; and orders in the army sent against each strike of the hungry and defenceless workers were given in German.

    According to Bauer, the workers of the “non-historic” nations adopted in the first instance a “naive nationalism” to match the “naive cosmopolitanism” of the proletariat of larger nations. Only gradually in such cases does a genuinely internationalist policy develop that overcomes both “deviations” and recognizes the particularity of the proletarians of all nations.

    Although Bauer preached the need for working-class autonomy in the struggle for socialism as the best means for seizing power, he argued that “within capitalist society, national autonomy is the necessary demand of a working class that is compelled to carry out its class struggle within a multinational state.” This was not merely a “state-preserving” response, he argued, but rather a necessary aim for a proletariat that sought to make the whole people into a nation.
    Bauer in Our Time

    Bauer’s work represents a major break with economic determinism. In his interpretation, politics and ideology no longer appear as mere “reflections” of rigid economic processes. The very context in which Austrian social democracy operated made it particularly sensitive to cultural diversity and to the complex social processes of economic development.

    Bauer’s treatise on the national question implicitly rejected the economic determinism and basic evolutionism of Second International Marxism. In terms of its substantial contribution, Bauer advanced a concept of the nation as historical process, in pages of rich and subtle historical analysis. The nation was no longer seen as a natural phenomenon, but as a relative and historical one.

    This allowed Bauer to break decisively with the Engels position on “non-historic” nations. As with Antonio Gramsci’s much more influential work on the national-popular, we can find in Bauer’s work a welcome move beyond the (mis)understanding of the nation and of nationalism as “problems” — and not just an integral element of social organization — that has characterized so much Marxist theorizing on the subject.

    A modern-day reader of Bauer’s book might find some of its case studies obscure and its language archaic. However, critical engagement with Bauer can help us develop a more adequate Marxist theoretical practice with regard to nationalism. Can we really sustain the idea, as many Marxists did in Bauer’s time, that the advent of socialism will resolve the national question?

    Does Bauer’s rejection of the Bolshevik path to power make him simply a failed reformist or does it situate him, like Gramsci, as a theorist of revolution in the Western democracies? Can his “constructivist” theory of the nation provide us with a starting point for understanding the national question in the era of late globalization?

    Today, Bauer’s work is immediately relevant to our thinking on multiculturalism, of which it can be seen as a precursor. To be clear, Bauer’s central argument is to reject any essentialist principle in the conceptualization of the national question. For Bauer, we cannot think of modern nations in terms of “metaphysical theories” (such as notions of national spiritualism) or “voluntaristic theories” (as in Ernest Renan’s theory of the nation as a “daily plebiscite”). National identities are not “naturally given” and invariable but are rather culturally changeable.

    However, Bauer’s approach to the nation-state is very different from the dominant liberal one today. In the liberal nation-state, it is the cultural practice of the dominant national group that prevails. Multiculturalism is thus always limited by this hegemony and multicultural states cannot easily be constructed. Any commitment to cultural pluralism can amount to little more than a token commitment to diversity within overwhelmingly assimilationist structures.

    Bauer criticized the attitude of the early 1900s “German Austrian” workers’ movement as a “naïve cosmopolitanism” which rejected national struggles as diversionary and advocated a humanistic world citizenship as its alternative. There were clear echoes of this attitude in the promotion of “global cosmopolitanism” during the early 2000s. In that sense, we very much need a Bauer 2.0 to move beyond such naïve and complacent indifference to the national question today.

    Bauer fundamentally disagreed with the idea that the national movements were simply an obstacle for the class struggle and that internationalism was the only way forward. He was convinced that it was only the working class that could create the conditions for the development of a nation, proclaiming that “the international struggle is the means that we must use to realize our national ideal.”

    In his view, it was socialism that would consolidate a national culture for the benefit of all. In brief — and I realize this is a controversial statement — working-class consciousness has a class character but also, at the same time, a national character.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Otto_Bauer

    Otto Bauer, Die Nationalitätenfrage und die Sozialdemokratie (1907)
    https://www.marxists.org/deutsch/archiv/bauer/1907/nationalitaet/index.html

    Verlag der Wiener Volksbuchhandlung Ignaz Brand, Wien 1907.
    Sonderausgabe aus dem II. Bande der Marx-Studien – herausgegeben von Dr. Max Adler und Dr. Rudolf Hilferding.
    Die Rechtschreibung wurde weitgehend der neuen Orthografie angepasst.
    Transkription u. HTML-Markierung: Einde O’Callaghan für das Marxists’ Internet Archive.

    #austromarxisme #socialdémocratie #Autriche #histoire #socialisme

  • Encore un petit peu de négationnisme pro-israélien ? Hop : Andrew Roberts, « British historian, journalist and broadcaster. Author of ’Napoleon the Great’, ’Churchill : Walking with Destiny’, ’George III’. Member of the House of Lords », t’explique que le Hamas est pire que les nazis, parce que les nazis n’aimaient pas tellement tuer les juifs, en fait : What Makes Hamas Worse Than the Nazis
    https://freebeacon.com/culture/what-makes-hamas-worse-than-the-nazis

    Ça t’explique que les Nazis étaient moins pires que le Hamas, parce qu’ils n’utilisaient pas de caméros Go-Pro pour filmer leurs exactions.

  • « Le Hamas est une création d’Israël »
    https://www.telepolis.de/features/Juedische-Identitaet-verstehen-Ein-Wegweiser-abseits-von-Vorurteilen-95344

    Dans cet article sur l’identité juive Daniela Dahn cite une interview de The Intercept avec un général israëlien qui décrit comment se passait la transmission d’argent du gouvernement d’Israël aux islamistes . C’était une conjuration d’ennemis jurés dans le but de torpiller la solution à deux États. Ils ont mis 35 ans pour y arriver mais on ne peut que constater le succès du complot. Ils sont responsables pour les victimes des deux côtés du conflit.

    Si on considère que le Hamas n’aurait pas atteint la position qu’il occupe aujoutd’hui sans ce soutien, on doit accepter la conclusion que le gouvernement d’Israël porte a responsabilité pour les tueries du Hamas depuis au moins trente ans.

    Cette tragédie confirme la déclaration de la chanson Solidaritätslied
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Solidarit%C3%A4tslied

    Reden erst die Völker selber
    Werden aie schnell einig sein.

    Les manifestants israëliens contre le gouvernement de droite ont raison. Il est toujours possible de retourner sur le chemin de la paix.

    https://www.youtube.com/watch?v=L6pISIqyX_Y&pp=ygURc29saWRhcml0w6R0c2xpZWQ%3D

    „21.11.2023 Daniela Dahn
    ...
    Die Hamas muss vernichtet werden“, heißt es. Wer genau ist da zum Töten freigegeben? Die Hamas hatte sich als Zweig der Muslim-Bruderschaft zu Beginn der ersten Intifada von der weitgehend säkularen PLO abgespalten. Weil sie die Zweistaatenlösung, zu der sich der Realist Jassir Arafat schweren Herzens durchgerungen hatte, nicht mittragen wollte. Das kam einigen israelischen Führern sehr gelegen, da sie bekanntlich den Palästinensern auch keinen souveränen Staat gönnten.

    Seit 1987 förderte daher Israel den Aufstieg der islamischen Hamas. Brigadegeneral Yitzak Segev sagte dem Investigativ-Portal The Intercept, er habe von der israelischen Regierung ein Budget für die Hamas bekommen, das an die Moscheen übergeben wurde. „Die Hamas ist, zu meinem großen Bedauern, eine israelische Kreation.“ Ministerpräsident Jitzchak Rabin habe dies später als fatalen Fehler eingestanden.

    Auszug aus : Jüdische Identität verstehen: Ein Wegweiser abseits von Vorurteilen

    Les chrétiens et l’occident y sont également pour quelque chose.

    Palestinalied (la chanson des croisés allemands) de Walther von der Vogelweide
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Chant_de_Palestine

    Paroles

    8. Dans le royaume dont il a parlé
    Existe une justice absolue,
    Où l’orphelin sera vengé
    La veuve pourra faire un procès
    Et les pauvres s’armer
    Contre la violence qu’on leur a faite
    Là, le bien sera récompensé
    ...
    11. Chrétiens, Juifs et profanes
    Affirment que c’est leur héritage !
    Dieu et sa Trinité jugent de cela.
    Tout le monde lutte pour cela.
    Mais nous sommes dans notre droit,
    Et c’est ce droit qu’Il nous accorde.

    Tradition

    C’est l’unique chanson de Walther von der Vogelweide dont, non seulement le texte, mais aussi la mélodie originale sont parvenus à l’époque moderne.

    #Israël #Palestine #Hamas #OLP #histoire #complot #croisades

  • Nach Gaza ein Gedicht zu schreiben, ist barbarisch
    https://www.titanic-magazin.de/index.php?id=index


    Ça marche ! D’abord tu assassines, ensuite tu prétends que c’était la faute aux poèmes (et aux poètes). Il y a même un terme technique pour le truc : on parle de « Aufarbeitung » quand on se fait profiter de l’auto-absolution laïque à l’Allemande.
    La revue satirique Titanic propose à l’Israël de suivre l’exemple allemand et je vous jure que la rédaction a raison. C’est une bonne chose de se sentir bien après une bonne absolution.

    A propos de la phrase d’Adorno
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Nach_Auschwitz_ein_Gedicht_zu_schreiben,_ist_barbarisch

    Aufarbeitung
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Aufarbeitung

    #parodie

  • Operation Thunderbolt (Film)
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Operation_Thunderbolt_(Film)


    Pour les admirateurs de Klaus Kinski. L’acteur joue le rôle du méchant qui porte le nom Wilfried Böse (Wilfried le Méchant #ROFL).

    Cette oeuvre glorifie „Yoni“ Netanyahu, le frère de notre „Bibi“ préféré. Quelques politiciens israëliens de l’époque jouent leur propre rôle. Bref, le film est un must pour te mettre à l’aise avant de descendre dans la rue pour montrer ta solidarité avec les sionistes qui se défendent contre les Böse . A ne pas rater l’apparition de notre playboy berlinois Rolf Eden, connu pour ses boîtes de nuit au serveuses à poil. Ah, je savoure la nostalgie de la belle époque !

    Film von Menahem Golan (1977)

    Operation Thunderbolt (hebräisch מבצע יונתן, Mivtsa Yonatan) ist ein israelisches Filmdrama von Menahem Golan aus dem Jahr 1977. Es behandelt die Operation Entebbe.

    Kritik
    Für das Lexikon des internationalen Films war Operation Thunderbolt „zu sehr von einer einseitigen Ideologie geprägt, um ein annähernd authentisches Bild liefern zu können. Die bloße Heroisierung der Kommandoaktionen verstellt den Blick auf die eigentlichen Probleme des Nahost-Konflikts.“

    Auszeichnungen
    Operation Thunderbolt wurde 1978 für einen Oscar als Bester fremdsprachiger Film nominiert.
    DVD Bearbeiten

    Handlung

    Im Sommer 1976 wollen zahlreiche Passagiere, darunter neben Israelis auch US-Amerikaner, Franzosen und Deutsche, von Tel Aviv nach Paris fliegen. Flug 139 landet planmäßig in Athen zwischen, wobei unbemerkt Terroristen an Bord gelangen. Durch einen fingierten Stromausfall werden dabei keine Taschenkontrollen durchgeführt. Kurz nach dem Start gen Paris bringen deutsche und palästinensische Terroristen die Besatzung in ihre Gewalt. Anführer der Gruppe sind die Deutschen Wilfried Böse und Gabriele, die sich Halima nennt. Sie setzen Flugkapitän Michel Bacos davon in Kenntnis, das Böse von nun an das Kommando hat. Er gibt Anweisung, dass das Flugzeug einen neuen Kurs gen Südwest einschlägt. Ein Kopilot aktiviert das Signal, dass das Flugzeug entführt wurde.

    In Israel sorgt das Signal für Hektik, der Entführung wird höchste Priorität eingeräumt. Erste Pressekonferenzen geben als Gebot der Stunde jedoch Abwarten ab, da niemand weiß, wo das Flugzeug landen wird. An Bord müssen die Passagiere unterdessen ihre Pässe abgeben. Eine schwangere Passagierin ritzt sich, sodass sie stark zu bluten beginnt. Bei einer ersten Zwischenlandung der Maschine in Bengasi wird die Frau einem Krankenwagen übergeben. Das Flugzeug hebt zur Bestürzung des israelischen Militärs jedoch erneut ab und beendet seinen Flug schließlich in Entebbe. Dies sorgt in Israel für Probleme, da man mit Uganda keine diplomatischen Beziehungen pflegt.

    Wie in Libyen, wo den Entführern Grüße von Muammar al-Gaddafi ausgerichtet wurden, zeigt sich auch in Uganda, dass die Entführer einen guten Kontakt zu den Machthabern pflegen. Böse und Gabriele verstehen sich selbst als „Friedenskämpfer“. Unverständnis von Passagieren, dass Deutsche Israelis entführen, begegnen sie mit einer Ablehnung des deutschen Staates, der zerstört werden müsse. Ihr Ziel ist es, 43 Terroristen aus israelischen Gefängnissen freizupressen, wobei sie von Machthaber Idi Amin, der vor Ort erscheint, unterstützt werden. Sie setzen der israelischen Regierung eine Frist von 24 Stunden. In der Flughafenhalle von Entebbe trennen sie die israelischen Geiseln von den anderen, die freigelassen werden. Nur die französische Crew weigert sich, die Passagiere im Stich zu lassen, und verbleibt mit den Israelis im Flughafengebäude. Gen Israel machen die Entführer deutlich, dass sie nach Ende der Frist mit Erschießungen der Geiseln beginnen werden.

    In Israel wächst der Druck, den Forderungen der Geiselnehmer nachzugeben. Öffentlich geht die Regierung daher auf die Forderungen der Geiselnehmer ein, was mehr Zeit bringt. Eine kleine Einheit unter Colonel Yonatan Netanyahu, genannt Yoni, plant unterdessen die Befreiung der Geiseln, wobei das Überraschungsmoment eine entscheidende Rolle spielen soll. Mit nur vier Militärmaschinen, die Wagen, die als offizielle ugandische Regierungswagen getarnt sind, sowie mehrere schnelle Jeeps transportieren, sollen die Geiseln nachts gerettet werden. Die Einheit plant den Angriff und übt die Abläufe, die so schnell wie möglich erfolgen müssen. In Entebbe wird unterdessen die alte Dora Bloch in ein Krankenhaus gebracht, nachdem sie durch verschlucktes Essen zu ersticken drohte.

    Da die Frist für eine Freilassung der Terroristen nahe ist, fliegen die vier Militärmaschinen gen Entebbe, bevor die Mission durch die Regierung autorisiert wurde. Erst in der Luft erhalten sie die Einwilligung. In Entebbe gelingt es der Gruppe um Yoni, die Geiseln zu befreien. Neben den Geiselnehmern kommen dabei auch drei Geiseln ums Leben. Yoni wiederum wird von einem Wachturm aus von ugandischen Soldaten angeschossen und verstirbt auf dem Rückweg nach Tel Aviv. Dora Bloch bleibt im Krankenhaus in Uganda zurück. In Tel Aviv werden die Militärmaschinen von jubelnden Menschenmassen empfangen, wobei sich die Freude bei vielen mit der Trauer der wenigen, die Angehörige verloren haben, mischt. Yonis Freundin, der der Soldat vor seiner Abreise noch die Ehe versprochen hatte, wird von den Männern seiner Einheit tröstend in die Mitte genommen und vom Rollfeld geführt.

    Operation Thunderbolt war eine von mehreren Verfilmung, die kurz nach der Operation Entebbe erschienen. Der Fernsehfilm Unternehmen Entebbe war bereits im Jahr der Entführung 1976 erschienen, ...die keine Gnade kennen folgte im Januar 1977 ebenfalls im Fernsehen. Operation Thunderbolt war schließlich der erste Kinofilm über die Geiselbefreiung. Wie in den früheren Filmen wurde auch im Kinofilm die Rolle des Wilfried Böse von einem deutschsprachigen Schauspieler übernommen, so war nach Helmut Berger (1976)[1] und Horst Buchholz (1977, TV)[2] nun Klaus Kinski als Böse zu sehen. Eine Besonderheit des Films war, dass neben Familienmitgliedern der Geiseln auch zahlreiche Entscheidungsträger wie Shimon Peres, Jigal Allon, Moshe Dayan und Jitzchak Rabin selbst im Film auftreten.[3] Im Film bleibt das Schicksal von Dora Bloch offen, da zu der Zeit noch nicht bekannt war, dass sie durch Idi Amins Truppen aus Rache ermordet wurde.

    Der Film wurde in bzw. bei Eilat (Szenen in Entebbe), Tel Aviv (Flughafen Ben Gurion) und Jerusalem (Knesset-Szenen) gedreht. Er kam 1977 in die israelischen Kinos. In Deutschland war er erstmals am 21. Mai 1987 auf Sat.1 zu sehen.

    Der Film wurde 2019 unter dem Titel ’Operation Entebbe’ in Deutschland auf DVD veröffentlicht.

    Film
    Deutscher Titel
    Operation Thunderbolt
    Originaltitel
    מבצע יונתן / Mivtsa Yonatan
    Produktionsland
    Israel
    Originalsprache
    Hebräisch,
    Englisch,
    Deutsch,
    Arabisch,
    Spanisch
    Erscheinungsjahr
    1977
    Länge
    124 Minuten
    Stab
    Regie
    Menahem Golan
    Drehbuch
    Ken Globus,
    Menahem Golan,
    Clarke Reynolds
    Produktion
    Sybil Danning,
    Yoram Globus,
    Menahem Golan
    Musik
    Dov Seltzer
    Kamera
    Adam Greenberg
    Schnitt
    Dov Hoenig
    Besetzung

    Yehoram Gaon: Yonatan „Yoni“ Netanyahu
    Gila Almagor: Nurit Aviv
    Assi Dayan: Shuki
    Klaus Kinski: Wilfried Böse
    Sybil Danning: Halima
    Arik Lavie: Dan Schomron
    Shmuel Rodensky: Familienoberhaupt
    Shaike Ophir: Gadi Arnon
    Reuven Bar-Yotam: Avraham Ben-David
    Gabi Amrani: Gavriel
    Mark Heath: Idi Amin
    Henri Czarniak: Michel Bacos
    Rolf Eden: Air France Co-Pilot
    Shoshana Shani-Lavie: Alma Raviv
    Oded Teomi: Dan Zamir
    Shimon Bar: deutscher Arzt
    Ori Levy: Mordechai Gur
    Rachel Marcus: Dora Bloch
    Mona Silberstein: Naomi Tal
    Avraham Ben-Yosef: Prof. Avner Tal
    Hi Kelos: US-amerikanischer Reporter
    Natan Cogan: Grossman
    Gad Keiner: Rogman

    Rolf Eden
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Rolf_Eden

    Mit 14 verließ Rolf Eden die Schule und verdiente sein Geld als Musiker. Im ersten arabisch-israelischen Krieg von 1948 kämpfte er in der Einheit Palmach zusammen mit Yoram Kaniuk unter Jitzchak Rabin

    Voilà le film en v.o. sous-titrée en anglais. Merci Youtube !
    https://www.youtube.com/watch?v=D_GQdH1V7As

    #Entebbe #Israël #Ouganda #cinéma #terrorisme #sionisme #machisme #Berlin #histoire #trash #wtf

  • Oberlandesgericht : Cloudflare haftet als Täter für Urheberrechtsverletzungen
    https://www.heise.de/news/Oberlandesgericht-Cloudflare-haftet-als-Taeter-fuer-Urheberrechtsverletzungen-
    Attention à ce que fabriquent vos clients. L’exemption des poursuites contre les violations du droit d’auteur pour les prestateurs de services internet ("Providerprivileg") vient de subir un coup grave.

    Cloudflare vient d’être condamné pour complicité directe de la distribution illégale d’oruvres protégés par le portail
    ddl-music. Ses services servent à obfusquer l’adresse ip du portail et le caching des donnés par son CDN fait de Cloudflare un participant actif de l’infaction parce que l’entreprise devient propriétaire des données distribuées.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Providerprivileg
    C’est une décision inquiétante car elle rend caduc le « Providerprivileg » imscrit dans la loi allemande.

    7.11.2023 von Stefan Krempl - Das Oberlandesgericht Köln hat Cloudflare dazu verdonnert, den Zugang zu einem urheberrechtlich geschützten Musikalbum über das Portal ddl-music.to zu sperren.

    Cloudflare haftet als Betreiber eines Content Delivery Networks (CDN) für den beschleunigten Abruf von Internetinhalten nicht nur als Störer, sondern als Täter von Urheberrechtsverletzungen. Das US-Unternehmen, das auch Cybersicherheitsservices und verteilte DNS-Dienste bereitstellt, habe keinen Anspruch auf die für Zugangsprovider im Telemediengesetz (TMG) und im EU-Recht vorgesehenen Haftungsprivilegien, hat das Oberlandesgericht Köln (OLG) nach Angaben des Bundesverbands Musikindustrie (BVMI) am Freitag entschieden. Cloudflare werde zudem verpflichtet, den Zugang zu einem urheberrechtlich geschützten Musikalbum über die Domain ddl-music.to zu sperren. Konkret geht es um „Herz Kraft Werke“ von Popstar Sarah Connor.

    Das OLG hält so laut dem BVMI ein Urteil des Landgerichts Köln vom September 2022 „teilweise aufrecht“. Bei der niederen Instanz hatte das Plattenlabel Universal Music bereits Ende 2020 eine einstweilige Verfügung erreicht, wonach Cloudflare der Störerhaftung unterliegt. Demnach kann der CDN-Betreiber prinzipiell zur Verantwortung gezogen werden für Urheberrechtsverletzungen, selbst wenn diese auf Drittseiten erfolgen. Mit zum Verhängnis wurde Cloudflare dabei, dass seine Produkte durch verteilte Zwischenspeicherung in Proxy-Servern direkten Internetverkehr von Kundenservern fernhalten, Zugriffe auf das Domain Name System (DNS) mit eigenen Resolvern umleiten und so die Identität der Seitenbetreiber verschleiern können.
    Täterhaftung

    „Der CDN-Dienst ermöglicht Betreibern von strukturell rechtsverletzenden Webseiten eine Anonymisierung, indem die Identität von Cloudflare an die Stelle des wahren Host Providers gesetzt wird“, schreibt der BVMI dazu. Kunden könnten sich so „der Rechtsverfolgung entziehen“. Das Cloudflare-CDN spiele damit „für die Zugänglichmachung illegaler Inhalte eine zentrale Rolle“. Das Geschäftsmodell von DDL-Music sei zudem klar auf illegale Downloads geschützter Werke ausgerichtet gewesen. René Houareau, Geschäftsführer Recht & Politik beim BVMI, freute sich daher, dass das OLG „durch die Verschärfung der Haftung als echte Täterhaftung ein weiteres Zeichen gegen die illegale Nutzung von Musikaufnahmen“ setze.

    Der Bundesgerichtshof (BGH) habe im Juni 2022 grundsätzlich die Täterhaftung für Sharehosting-Plattformen etabliert, die das OLG nun „präzise weiter ausinterpretiert“ habe, erklärte Houareau. Erstmals habe das OLG Köln zudem in einer Entscheidung vom 9. Oktober 2020 eine einstweilige Verfügung gegen Cloudflare bestätigt und „damit die Störerhaftung von Anonymisierungsdiensten etabliert“. Eine Sprecherin des OLG Köln antwortete am Dienstagnachmittag inhaltlich nicht auf eine Anfrage von heise online zum weiteren Beschlusstenor und Aktenzeichen. Der DDL-Music-Fall erinnert auch an die Auseinandersetzung zwischen Sony Music und dem DNS-Dienst Quad9, in der das Landgericht Leipzig diesen Anfang März ebenfalls nicht nur als Störer, sondern als Täter von Urheberrechtsverletzungen verurteilte.

    DDL-Music ist bereits seit zwei Jahren offline, sodass das neue Urteil für den Zugang zu diesem Angebot keine Rolle mehr spielt. Plattenfirmen dürfte es nun aber leichter fallen, Cloudflare und weitere CDNs dazu anzuhalten, andere Warez-Portale zu blockieren. Derzeit ist unklar, ob der Fall noch vor dem BGH landen könnte.

    #Allemagne #justice #internet #droit_d_auteur #fai

  • Opinion | Yevgeny V. Prigozhin, the Man Challenging Putin for Power
    https://www.nytimes.com/2023/01/26/opinion/russia-putin-ukraine-wagner.html

    Zygar est un journaliste russe de qualité qui a choisi le camp états-unien. Son déménagement à Berlin ne semble pas avoir été accompagné des problèmes qui se posent typiquement aux réfugiés russes pacifistes et déserteurs. Ce n’est pas une voix indépendante. Si on n’oublie pas son affiliation, on peut le lire sans tomber dans le piège des malentendus et éléments obscurcis qu’il nous tend. Ses textes complètent l’image que nous avons de la Russie.

    Il a un point faible évident : comme tous les auteurs bourgeois ses textes ne proposent jamais d’analyse permettant de percer le brouillard idéologique qui les entoure. On ne le lit alors que pour sa contribution de « faits » si chers au journalisme bourgeois. Il nous permet également la découverte d’une perspective impérialiste sur les choses qu’il traite, car ses textes sont lus avec attention par les autres membres de son camp. Il a un style agréable à lire. Tant mieux. Pour une fois je découvre une source du camp impérialiste dont la lecture ne fait mal au coeur.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Michail_Wiktorowitsch_Sygar

    26.1.2023 by Mikhail Zygar - Guest Essay

    Mr. Zygar is a Russian journalist and the author of “All the Kremlin’s Men: Inside the Court of Vladimir Putin.”

    This guest essay published in January. The mercenary leader Yevgeny V. Prigozhin is now involved in what Vladimir Putin has called “an armed rebellion” against the Russian military.

    President Vladimir Putin of Russia, it seems, has finally noticed that the war in Ukraine created a dangerous competitor to his power: Yevgeny Prigozhin, the founder of the private military company, the Wagner group, whose troops fight alongside the Russian Army.

    Depending on your point of view, Mr. Prigozhin could be considered either the person of the year or the villain of the year. Mr. Putin is, according to many sources in Moscow, confident that he can weaken Mr. Prigozhin, who has clashed with the military’s general staff. However, the effect could be the opposite, with more people seeing Mr. Prigozhin as the most probable favorite to succeed Mr. Putin.

    From the very beginning of the war against Ukraine, Mr. Putin made sure that rivals to his power could not emerge and took great pains to ensure that the conflict does not create a popular military leader who could pose a threat. It worked. In the summer of 2022, for instance, the ambitious Gen. Alexander Lapin was the recipient of a small online public relations campaign glorifying him. This immediately cost him his job — and a brief but powerful media war against him was launched by Mr. Prigozhin, who controls a series of online troll factories.

    According to my sources close to the Russian administration, Mr. Putin then perceived Mr. Prigozhin solely as a counterweight to the generals. The Russian president saw Mr. Prigozhin as his man, an obedient tool and easy to use.

    Yet in recent years, Mr. Prigozhin has made a very unexpected career. At first, he was known as Putin’s chef, who managed to become a state contractor of school lunches for Russian children all across the country. Then he created the troll factory, the Internet Research Agency, and he was singled out in Robert Mueller’s investigation into interference in the 2016 election. Finally, Mr. Prigozhin became famous as the founder of the Wagner group, whose contractors fought in Africa, Syria and now Ukraine.

    Those achievements alone guaranteed Mr. Prigozhin responsibility for Mr. Putin’s most delicate assignments. But this year, Mr. Prigozhin moved into another league, surpassing all of Mr. Putin’s other friends in power. These include Defense Minister Sergei Shoigu; the Russian Security Council secretary, Nikolai Patrushev; the C.E.O. of Russia’s state-owned defense giant, Rostec, Sergei Chemezov; and Mr. Putin’s closest friend, Yury Kovalchuk. Mr. Prigozhin bypassed all of them and appears to be the most important player in Russia. He is both the most popular political operator and the one who is feared by Russian high officials and businessmen.

    Mr. Prigozhin’s meteoric political rise began this summer when he started touring Russian prisons and recruiting prisoners for his private Wagner army, offering pardons to those who fight on the front lines in Ukraine: six months of service and then freedom.

    To do this, Mr. Prigozhin had to take on several key Russian security agencies at once: the Federal Penitentiary Service, a state within a state in Russia, the F.S.B., the Interior Ministry, the Prosecutor General’s Office and the Investigative Committee. All of those groups have a special status, they report only to President Putin, and no one dares to argue with them. But then the situation changed — a joker appeared, who can beat all the aces at the same time. If Mr. Prigozhin can free any prisoner, his powers are unlimited.

    The next sign of Mr. Prigozhin’s new status was his open confrontation with the Ministry of Defense and the military’s general staff.

    This conflict was a new phenomenon for the Russian political system. In the past, some subordinates of Mr. Putin usually did not allow themselves to publicly attack subordinates. But, in 2022, that changed. When the invasion started, Mr. Putin was obsessed with the war. It’s his only interest, sources claim. Only those people who are on the front lines have direct access to Mr. Putin and former members of the inner circle who ended up in the rear became less significant.

    Mr. Prigozhin managed to create for himself the image of the most effective warrior. He is not subordinate to the Ministry of Defense, he is not included in the system of military bureaucracy, and he determines his own tasks, goals and time frames. According to my sources, Mr. Putin was fine with this arrangement. And he allowed Mr. Prigozhin to rudely and publicly criticize other generals. Mr. Putin has a low opinion of them, so he didn’t scold the Wagner founder.

    Last fall, Yevgeny Nuzhin, a former Russian prisoner who defected to Ukraine after being recruited by the Wagner group and ended up back in Russia after a prisoner swap, was killed with a sledgehammer. A video of this massacre emerged in November and was most likely intended as a warning to all future deserters.

    Surprisingly, this barbarity has a lot of fans. Stores in Russia began to sell “Wagner Sledgehammers,” as well as souvenirs and car stickers with Wagner symbols. Mr. Prigozhin, who put out a statement supporting Mr. Nuzhin’s killing, became somewhat of a folk hero.

    The most radical politicians and businessmen have been drawn to Mr. Prigozhin. Those I speak with tell me that the leader of Chechnya, Ramzan Kadyrov, who previously had a direct line to Mr. Putin, now reports to Mr. Prigozhin. The businessman Konstantin Malofeev, owner of the ultraconservative channel Tsargrad TV, who supported Russia’s attack on Donbas in 2014, as well as the ideologist of modern Russian fascism, the philosopher Aleksandr Dugin, also praised Mr. Prigozhin. In addition, his group of influence includes the leaders of the so-called Donetsk and Luhansk republics. In general, this is the most influential clan in modern Russia, since it is those who are at the front who carry the most weight in the eyes of Mr. Putin.

    Mr. Prigozhin has also become the hero for “patriotic” military reporters (those who work for propagandist media and express openly fascist views).

    But Mr. Prigozhin already seems like a completely independent political player. He started fighting against the governor of St. Petersburg, Alexander Beglov, a longtime associate of Mr. Putin. “People like Mr. Beglov will be crushed by our society like bugs, sooner or later,” he recently wrote.

    By the end of 2022, many Moscow businessmen and officials strongly believed that Mr. Prigozhin was a real threat. “The sledgehammer is a message to all of us,” one oligarch told me. For several months last year questions swirled about why Mr. Putin would not put Mr. Prigozhin in his place, as he did to so many others.

    On Jan. 10, Mr. Prigozhin reported on his company’s Telegram channel that Wagner militants had taken the Ukrainian city of Soledar. This was his most powerful propaganda victory and convincing proof that Wagner is one of the most combat-ready Russian units. My sources in Moscow say some high-ranking officials started discussing — supposedly half-jokingly — if it was the right time to swear allegiance to Mr. Prigozhin before it was too late.

    The Ministry of Defense claimed that the seizure of Soledar was their achievement, which was immediately denied by Mr. Prigozhin and numerous military correspondents. For propagandists, such an insignificant victory caused absolute rapture. Here is one of the characteristic comments: “Wagner PMC stormed the Russian city of Soledar and killed all the occupants. Not exchanged, namely killed. Like mad dogs. Therefore, Yevgeny Viktorovich Prigozhin is a real Russian politician. He says what the good Russian people want to hear and does what they expect from their army.”

    It was presumably at this moment that Mr. Putin realized that Mr. Prigozhin might be a bit too popular. So he elevated Mr. Prigozhin’s main enemies, Generals Lapin and Valery Gerasimov, and appointed General Gerasimov as commander of the operation in Ukraine. This is Mr. Putin’s traditional bureaucratic game, which has been effective but may not work this time.

    Many Russians, zombified by propaganda, are frustrated that the army is not winning. Kyiv was not taken in a few days as promised. By appointing General Gerasimov supreme commander, Mr. Putin assumes responsibility for all subsequent defeats. And it doesn’t weaken Mr. Prigozhin, who did not criticize this appointment.

    This means that, in the near future, Mr. Prigozhin may challenge the president, and Mr. Putin may no longer be able to oppose his former chef.

    #Russie #guerre #état #gouvernement #politique #mafia

  • Réduire le chômage en faisant des chômeur·euses des esclaves

    Les allocataires du RSA vont-ils vraiment être forcés à travailler ? | Alternatives Economiques
    https://www.alternatives-economiques.fr/allocataires-rsa-vraiment-etre-forces-a-travailler/00108506

    Le versement du RSA devrait être conditionné à 15 heures d’activité par semaine. Des dérogations sont prévues, mais la réforme questionne : va-t-on vers le travail gratuit ?

    https://justpaste.it/aozkk

  • Was der Kaupert nicht weiß - Dunckerstraße in Grunewald
    https://m.kauperts.de/Strassen/Toni-Lessler-Strasse-14193-Berlin

    Der unsprüngliche Name Dunckerstraße erscheint nicht in der Geschichte der heutigen Toni-Lesser-Straße. Dabei ist sie gut dokumentiert. Was ist passiert?

    Details — Toni-Lessler-Straße
    PLZ 14193
    Ortsteil Grunewald
    ÖPNV Zone B Bus X10, M29
    Verlauf von Wernerstraße bis Hubertusbader und Kronberger Straße
    Falk Planquadrat O 10

    Zuständigkeiten — Toni-Lessler-Straße
    Arbeits­agentur Berlin Nord
    Jobcenter Charlottenburg-Wilmersdorf
    Amts­gericht Charlottenburg
    Grundbuchamt Charlottenburg
    Familien­gericht Kreuzberg
    Finanz­amt Wilmersdorf
    Polizei­abschnitt A 22
    Verwal­tungs­bezirk Charlottenburg-Wilmersdorf

    Geschichte — Toni-Lessler-Straße
    Alter Bezirk Wilmersdorf
    Alte Namen Seebergsteig (1936-2003)
    Name seit 1.9.2003

    Info Lessler, Toni, * 1874 Bückeburg, † 5.5.1952 New York, Pädagogin, Opfer des NS-Regimes.

    Die Umbenennung der mittigen Mohrenstraße war ein Verlust, geschuldet der Eulenspiegelei eines tansanischen Berliners und seiner fröhliche Wokistentruppe. Denen gelang es, die historisch nicht im Ansatz rassistische sondern im Gegenteil ehrend gemeinte Bezeichnung nach ihrem Verständnis umzudefinieren. Damit hat Berlin einen wichtigen Verweis auf Ereignisse und Topologie seiner Geschichte umd eine feste Orientierungsmarke im Stadtbild eingebüßt. Halb so schlimm, lustig war es anzusehen, wie die komplette BVV Mitte nach der Pfeife von ein paar selbsternannten Moralpredigern tanzte.

    Dem Seebergsteig hingegen trauert keine Menschenseele nach, abgesehen von 74 wegen der erforderlichen Adressänderung erzürnten Villenbewohnern. Die haben nur zähneknischend akzeptiert, dass Demokratie eben nicht die Ausweitung ihres Besitzrechts über den grunewalder Gartenzaun hinaus bedeutet. Das Regelwerk namens Demokratie, in dem alle ein bischen mitbestimmen können, haben sie dabei mit allem Nachdruck für die Beibehaltung des Nazinamens eingesetzt. Hat nicht geklappt, zum Glück.

    Über Straßennamen im Bezirk entscheidet das Bezirksamt und das wiederum wird von der Bezirksverordnetenversammung, der BVV kontrolliert. Dagegen kommt nur ein Senator oder der Regierende an, aber der wird den Teufel tun und es sich wegen einer Handvoll Villenbewihner aus dem noblen Grunewald mit der Öffentlichkeit verscherzen. Die mag keine Nazis mehr, zumindest nicht so offensichtliche.

    Sehr schön an der Geschichte ist die von der Villenfraktion ins Feld geführte Unterscheidung zwischen „kulturellen Antisemiten“, und „Vorbereitern des Holocaust“. Wer wenn nicht die deutschen „kulturellen Antisemiten“ kommt denn als „Vorbereiter des Holocaust“ in Frage? Ausschließlich die Teilnehmer der Wannseekonferenz? So hätten die Grunewalder Naziliebhager es wohl gern gehabt.

    In der ehemaligen Dunckerstraße stehen einige Villen aus der Zeit ihrer Umbenennung in den antisemitischen Seebergsteig. Die Erben ihrer Erbauer wollen sich anscheinend immer noch nicht eingestehen, worauf ihr heutiger Wohlstand beruht. Nazis, das waren immer die anderen, die Fanatiker. Man selber oder Opi war nur aus Pragmatismus dabei. Irgendwer musste ja das Geld von der Straße aufsammeln, seit die Juden das nicht mehr erledigten.

    Dunckerstraße
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stra%C3%9Fen_und_Pl%C3%A4tze_in_Berlin-Grunewald

    Die Straße wurde 1898 nach dem Verlagsbuchhändler, Publizist und Politiker Franz Duncker benannt. Mit der „Arisierung von Straßennamen“ in der NS-Zeit wurde am 14. April 1936 die Dunckerstraße nach dem NS-freundlichen Theologen in Seebergsteig umbenannt.

    Franz Duncker
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Franz_Duncker

    Franz Gustav Duncker (* 4. Juni 1822 in Berlin; † 18. Juni 1888 ebenda[1]) war ein deutscher Verleger, linksliberaler Politiker und Sozialreformer.

    Wieso wollten die Massenmörder aus ganz Deutschland, die Spree Killers United , eigentlich diesen ominösen Seeberg als einen der Ihren ehren?

    Reinhold Seeberg
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Reinhold_Seeberg

    Reinhold Seeberg (* 24. Märzjul. / 5. April 1859greg. in Pörrafer (Livland); † 23. Oktober 1935 in Ahrenshoop) war ein deutscher evangelischer Theologe.
    ...
    1918/1919 wurde er Rektor der Universität Berlin.
    ...
    Als Rektor initiierte Seeberg u. a. das Gefallenendenkmal der Berliner Universität[5], dessen lateinische Inschrift Invictis victi victuri („Den Unbesiegten die Besiegten, die siegen werden“) eine kaum verhüllte Aufforderung zur Revanche für die deutsche Niederlage im Ersten Weltkrieg war.[6] Als Rektor trug er auch dazu bei, dass die Universität dem jüdischen Mediziner Georg Friedrich Nicolai die venia legendi aberkannte. Nicolai hatte ab 1914 kriegskritische Schriften publiziert.
    ...
    In seine radikale Modernitätskritik mischten sich zunehmend antiliberale Töne sowie ein rassentheoretisch begründeter Antisemitismus. Als erster akademischer Theologe griff er die These auf, Jesus sei ein Arier gewesen.

    Verstehe, Theologen gehen immer, sind halt die Guten, die man immer zu (!) Weihnachten und vielleicht (auch !) zu Ostern in ihrem Gotteshaus besucht. Man zahlt ihnen sogar Steuern, so gut sind die. Und dann ist der Mann Seeberg ja lange vor dem Holocaust gestorben, kann also nicht dabei gewesensein. Perfektes Alibi, Euer Ehren.

    Berlin: Entscheidung im Streit um den Seebergsteig, Der Tagesspiegel vom 12.12.2002
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/entscheidung-im-streit-um-den-seebergsteig-956095.html

    Die Umbenennung des Seebergsteigs wird heute voraussichtlich in der Bezirksverordnetenversammlung (BVV) CharlottenburgWilmersdorf besiegelt – gegen den Willen der CDU und der meisten Anwohner der Straße in Grunewald. SPD, Grüne, FDP und PDS wollen die Bezeichnung nach Reinhold Seeberg (1859 bis 1935) ändern, weil der Theologe ein Antisemit und „Wegbereiter“ des Nationalsozialismus gewesen sei. Der neue Name Toni-Lessler-Straße soll eine jüdische Pädagogin ehren, die bis 1939 die „Private Waldschule Grunewald“ geleitet hatte.

    Am Dienstagabend stritten darüber ein Dutzend Anwohner mit Bezirksverordneten im Rathaus Wilmersdorf. 74 der rund 100 Anwohner haben schriftlich die Beibehaltung des Straßennamens verlangt. Das Treffen kurz vor der Entscheidung nannten sie eine „Alibi-Veranstaltung“. Zum wiederholten Mal hielten sich Gegner und Befürworter der Umbenennung einige Zitate aus Seebergs Schriften vor, um ihre Standpunkte zu untermauern. Die Anwohner beriefen sich besonders auf den Historiker Günter Brakelmann. Dieser sieht in Seeberg einen „kulturellen Antisemiten“, aber „keinen Vorbereiter des Holocaust“. Zum Ärger von Mario Blochwitz, dem Initiator des Protestschreibens, war Brakelmann nicht zum Treffen eingeladen worden.

    FDP-Fraktionschef Jürgen Dittberner erinnerte daran, dass der Seebergsteig einst Dunckerstraße hieß. Erst 1936 hätten „die Nazis Seeberg aufs Schild gehoben, um den anderen Namen zu tilgen“. Das sei für die FDP der entscheidende Punkt.

    Die CDU erneuerte ihren Vorschlag, den Namen Seebergsteig einfach anders zu deuten: Zusatztafeln sollten auf den Ortsteil Seeberg in Altlandsberg hinweisen, hieß es.

    Verwirrung gab es um die Kosten der Umbenennung. Das Bezirksamt hat 1000 Euro für vier neue Schilder errechnet, jedoch übersehen, dass es acht Schilder gibt. Die CDU kritisierte den finanziellen Aufwand. Zugleich verlangte der CDU-Verordnete Joachim Dannert allerdings, den Anwohnern die Kosten einer Adressenänderung zu erstatten.

    Die Bürger erwägen gerichtliche Schritte. Schon Mitte der 90er Jahre hatten sie gegen einen Umbenennungsbeschluss der BVV geklagt. Nach einer Niederlage vor dem Verwaltungsgericht legten sie Berufung ein – bis die CDU vorübergehend die BVV-Mehrheit gewann und den alten Beschluss kippte. Trotz ihres Streits erklärten Anwohner und Politiker, einen Eklat wie bei der Rückbenennung der Jüdenstraße in Spandau vermeiden zu wollen. CD

    #Berlin #Grunewald #Toni-Lesser-Straße #Seebergsteig #Dunckerstraße #Mitte #Mohrenstraße #Antisemitismus #Straßenumbenennung #Geschichte #Nazis #Straßennamen #Bezirk #Bezirksamt #Bezirksverordnetenversammung #BVV

    • En 1929, elle rejoint le Parti social-démocrate et la presse commence à la surnommer « l’Archiduchesse rouge » en raison de son association et de son soutien financier au parti socialiste. Néanmoins, l’Autriche reste un pays conservateur et Leopold Petznek est emprisonné de la fin 1933 à juillet 1934.

      Ce soutien financier au parti politique socialiste conduit Élisabeth-Marie à être accusée de dilapider la fortune familiale par son mari et son fils, qui déclenchent une procédure de mise sous curatelle en 1934, mais sans aboutissement.

      Elle est centriste, y’a pas de quoi s’enflammer.

  • „Da hat jemand Gott gespielt“ : Arzt der Berliner Charité schweigt nach Tod zweier Patienten vor Gericht
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/da-hat-jemand-gott-gespielt-arzt-der-berliner-charite-schweigt-nach-tod

    Doctor Death a encore frappé. Un médecin berlinois a tué par injection de sédatifs au lieu d’essayer de sauver la vie vie de patients agés qu’il jugeait voués à la mort

    La profession médicale produit systématiquement des fonctionnaires et practiciens qui jugent d’inutile la vie des patients qu’ils tuent ensuite. Sans contrôle démocratique de la profession médicale les plus radicaux parmi les médecins accèdent à de brillantes carrières et se muent en constructeurs d’usines de la mort comme Auschwitz et le camps japonais de l’Unité 731 (731部隊, Nana-san-ichi butai).

    Afin de pouvoir comprendre la signification des crimes contre les patients il faudrait continuer à analyser la professeion médicale, son pouvoir et sa relation aux patients. La cour de justice à Berlin n’y contribuera pas, mais on peut espérer que les accusés se prononcent sur leur relation aux patients et les structures de pouvoir au sein de leur profession.

    17.10.2023 von Kerstin Gehrke - Ein Facharzt der Berliner Charité sitzt fünf Monate nach seiner Verhaftung auf der Anklagebank. Mitangeklagt ist eine 39-jährige Krankenschwester. Beide schweigen zunächst.

    Bei dem Facharzt schienen Patienten in den besten Händen zu sein. Doch der Mann soll als Oberarzt auf einer kardiologischen Intensivstation zwei Patienten umgebracht haben. Die Staatsanwaltschaft wirft dem 56-jährigen Gunther S. vor, im November 2021 einen 73-jährigen Patienten und im Juli 2022 eine 73-jährige Patientin mit überdosierten Medikamenten getötet zu haben. Mitangeklagt vor dem Berliner Landgericht ist eine 39-jährige Krankenschwester.

    Nach fünfmonatiger Untersuchungshaft wurde der Facharzt für Innere Medizin, der jahrelang am Charité-Campus Virchow-Klinikum tätig war, am Dienstag in den Gerichtssaal geführt. Schweigend reagierten er und die Mitangeklagte auf die Vorwürfe. Beide wollen sich allerdings zu einem späteren Zeitpunkt äußern.

    Gegen den Herzmediziner wird wegen Totschlags in zwei Fällen verhandelt, bei der Krankenschwester geht es um Beihilfe oder auch der Täterschaft in einem Fall. Eine Nebenklage-Anwältin sagte am Rande, nachdem sie die Akte gelesen hatte, sei sie erschrocken gewesen – „nach meinem Eindruck hat da jemand Gott gespielt“.

    Keine Mordmerkmale erkennbar

    S. wurde im August 2022 suspendiert, im Mai dieses Jahres dann festgenommen. Die Staatsanwaltschaft ging bei ihrer Anklage von Mord aus. Der Mediziner habe in beiden Fällen gehandelt, „um seine Vorstellungen zum Sterben und Zeitpunkt des Lebensendes der Patienten zu verwirklichen“, heißt es in der Anklage. Er habe sich „als Herr über Leben und Tod“ aufgeführt.

    Das Landgericht bewertete den Fall jedoch bei der Eröffnung des Hauptverfahrens anders: Nach Aktenlage bestehe lediglich ein hinreichender Tatverdacht für den Straftatbestand des Totschlags, Mordmerkmale seien nicht erkennbar. Beiden Angeklagten droht nach Gerichtsangaben im Fall einer Verurteilung auch ein Berufsverbot.

    Im ersten Fall soll S. angewiesen haben, die laufende und zunächst erfolgreiche Reanimation eines Schwerkranken einzustellen. Der Arzt habe dann laut Anklage die Mitangeklagte angewiesen, dem Patienten eine – wie ihm bewusst gewesen sei – tödliche Dosis eines Sedierungsmittels zu geben.

    „Zögerlich“ soll sie gespritzt haben. Weil es wider Erwarten weiterhin Vitalzeichen gab, habe der Arzt dem Patienten eine weitere Propofol-Dosis verabreicht. Im zweiten Fall soll der Arzt einer bewusstlosen und beatmeten Patientin das Sedierungsmittel ohne medizinischen Grund gespritzt haben.

    Die Charité hatte nach eigenen Angaben im Sommer 2022 über eine Art Whistleblower-System einen Hinweis von einer Zeugin bekommen und die Ermittlungsbehörden eingeschaltet. S. sei umgehend freigestellt worden. Das System war nach einer Tötungsserie durch eine 2007 zu lebenslanger Haft verurteilte Charité-Krankenschwester eingerichtet worden. Der Prozess geht am 7. November weiter.

    A propos de la signification du procès contre les assassins en blouse blanche

    La relation entre patients et médecins est essentielle pour la constitution du pouvoir dans les sociétés modernes. C’est dans cette relation que confluent la violence et toutes les formes d’exploitation.

    Il arrive alors que même dans les hôpitaux des sociétés démocratiques les surhommes en blouse blanche n’arrivent pas à se retenir et se livrent à des actes qui ne passent pas inaperçus. Lors de ces occasions on découvre l’idée que se font ces spécimens meutriers de leur rôle de médecin.

    Dans le procès à Berlin on se prépare à accorder avec des arguments bien connus l’impunité aux accusés en mettant en cause leur mauvaises intentions lors des actes commis : La tâche du médecin étant la réduction de la souffrance humaine ils n’auraient commis qu’une erreur sur la forme de donner la mort. Il leur manqait un papier avant de pouvour passer à l’acte de tuer légalement. C’est ce qu’on voudra nous faire croire.

    La notion de patient utilisé dans cet article comprend tout. être humain soumis au pouvoir médical / des médecins. Ses autres qualités, par exemple de prisonnier de guerre, de riche ou de pauvre, d’homme ou de femme, disparaissent derrière cette relation au sur-homme capable de décider sur la vie ou la mort, de la liberté d’un condamné, de l’incarcération d’innocents, de l’attribution d’allocations sociales, de soins, de postes de travail, d’un logement ou de l’exemption de sanctions imposées par d’autres institutions et lois.

    Le pouvoir médical sur les hommes est l’unique phénomène de société moderne qui mérite qu’on l"appelle totalitaire . Face aux médecins chacun demeure patient jusqu’à ce qu’il se rebelle.

    Retournons aux événements constitutifs de la recherche et pratique médicale actuelle. Pendant la deuxième guerre mondiale la médecine moderne a trouvé dans les camps sa forme la plus pure comme l’industrie lourde l’a accompli dans les orages d’acier de la première . Les centres de recherche médicale en temps de guerre et leurs médecins profitent de la disponibilité d’un grand nombre de patients-victimes que les médecins declarent comme vies superflues.

    A travers l’énorme quantité de leurs victimes l’ingénieur et le médecin ont procédé vers une nouvelle qualité essentielle. On ne peut identifier et décrire cette qualité qu’une fois le choc et le silence entourant les crimes dépassés. On nous avertit de l’ingénieur comme demiurge créateur de l’industrialiisme conduisant l’humanité au bord de sa propre extinction. Pour arriver à l’identifier dans ce rôle a fallu deux guerres mondiales et l’explosion de la production mondiale après 1945.

    Il a fallu quelques décennies et une deuxième guerre mondiale supplémentaire pour faire évoluer le médecin soignant à la façon des shamanes vers le généticien et neurologue créateur de l’homme augmenté d’aujourd’hui.

    L’déologie raciste et eugénique comme fond de réflexion de la profession médicale suivent toujours la même logique même si on admet aujourd’hui que les différences génétiques entres les hommes du monde entier n’ont qu’une signification cosmétique.

    Nous nous trouvons alors face à une profession médicale qui suit une image arrièrée-biologiste et utopiste techno-sociale à la fois. Les Frankenstein-Mengele des camps marquent le moment clé inhumain de cette mutation professionnelle. Les professeurs occupants les chaires universitaires et leurs collègues dans l’industrie pharmaceutique se montrent en dignes successeurs de leurs ancêtres nazis et shintos. On les rencontre quand on regarde l’imposition de tel vaccin contre le covid au dépens de tel autre, l’absence de toute consultation des peuples pendant la lutte contre l’épidémie et l’investiture de nouveaux super-riches PDG-médecins-chercheurs.

    Cependant la mondialisation, les laboratoires microbiologiques et la repartition de plus en plus injuste des richesses du monde rendent inutiles les camps pour la recherche médicale. Nous constatons qu’il est devenu difficile pour les populations concernées de faire la différence entre campagnes de vaccination honnêtes, test pharmaceutiques illicites et fausses campagnes initiées par les services secretes. Toute l’Afrique et une bonne partie de l’Asie sont la cible pour les tests pharmaceutiques illégales en Europe. Aujourd’hui l’ l’Unité 731 est partout

    L’image la plus marquante de ce côté de la médecine est la rampe d’Auschwitz où les médecins SS triaient les arrivants en séparant ceux voués à la mort immédiate des autres qu’on allait utiliser jusqu’à leur mort pour le travail aux fournaux et comme victime des expériences médicales. Depuis on observe que la sélection d’êtres humains dans toutes sortes de situations se fait sous les ordres ou en collaboration avec les médecins.

    A Auschwitz les médecins allemands sélectionnaient leurs victimes selon la définition médicale de lebensunwertes Leben , les médecins japonais considéraient comme sous-hommes les prisonniers de guerre chinois et les utilisaient dans leurs recherches meurtrières. Les médecins japonais ont assassiné jusqu’à 480.000 patients dans le contexte de leurs recherches. Les victimes des projets de recherche monstrueux du docteur Mengele sont beaucoup moins nombreux, mais on peut considérer les juifs assassinés comme victimes des définitions raciales élaborées sur fond de l’idéologie raciste partagée et développée par de nombreux médecins de l’époque.

    Il était prévu par les médecins allemand et japonais de tuer tous leurs patients sans exception pendant les expériences. Dans l’antichambre des salles de vivisection japonaises il y a eu des révoltes d’hommes qui luttaient contre le sort de patient comme Franciszka Mann qui en refusant le statut de lebensunwertes Leben a tué des SS à l’entrée des chambres de gaz d’Auschwitz . Malgré les efforts des meurtriers médecins et SS il y a eu que quelques survivants qui ont témoigné de ces actes de bravoure et d’humanité.

    Unité 731
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9_731

    Le triage à Auschwitz
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Auschwitz

    À peine sortis du train, les prisonniers subissent la Selektion. D’un côté, on fait ranger les faibles, les personnes âgées, les malades, les femmes enceintes, les enfants pour les conduire vers ce qu’on leur laisse croire être des installations sanitaires, des douches, mais en fait des chambres à gaz. D’un autre côté, on parque les adultes (en théorie à partir de 15 ans) jugés les plus valides par les SS et destinés a priori au travail forcé. Souvent, le docteur Josef Mengele ou ses "assistants" opèrent en complément une sélection parmi les nouveaux venus pour conduire des « expériences médicales ».

    Franciszka Mann
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Franciszka_Mann

    Franciszka Mann, auch Franziska Mann, Franceska Mann, Franciszka Mannówna, Künstlername Lola Horowitz (* 4. Februar 1917; † 23. Oktober 1943

    #médecine #iatrocratie #Auschwitz

  • Battle of Navarino
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Navarino


    Dans les pays capitalistes on ne nous apprend pas à l’école que les guerres et conflits actuels sont la continuation des conflits de l’ère de la montée de l’occident industrialisé capitaliste. Les nations qu’on connaît sont le produit des besoins de la restructuration du monde selon les exigences du capital industriel et financier moderne.

    L’idée de l’état nation comme expression de la volonté d’un peuple est un leurre. Les idées nationalistes ne sont que l’expression sentimentale et idéologique des forces économiques au travail. En 1827 la volonté des Grecs de se libérer de la cruelle exploitation par l’empire féodal ottoman a servi de prétexte bienvenu aux maîtres des pays capitalistes pour se défaire des douanes et rançons ottomans gênant leur commerce. Leur alliance avec la Russie féodale ne contredit pas ce résultat d’analyse historique.

    La première guerre de l’opium de 1839 se passe dans le même contexte d’expansion capitaliste lancé par la multiplication des forces productives par l’industrialisation et élimine encore des limites aux échanges commerciales et financières.

    Encore aujourd’hui les luttes de libération nationales sont soumis au forces de gravitation exercées par les poids lourds économiques et militaires. Quand on regarde le conflit en Palestine entre le peuple palestinien à qui l’état d’Israël et ses citoyens les plus brutaux ont volé ses terres, on identifie facilement les forces de gravitation antagonistes à l’oeuvre. L’Ukraine est une autre preuve exemplaire pour l’existence des mécanismes impérialistes développés d’abord àl’époque de la bataille de Navarin.

    Ces observations conduisent la conclusion qu’il n’y aura pas de libération des peuples par la création d’états nation.Pour y arrver il faudra éliminer les capitalistes et exploiteurs au pouvoir et construire des états indépendants gouvernés par les peuples en lutte pour l’union mondiale.

    Grâce au technologies de production, de communication et de transport modernes nous sommes plus proches que jamais d’une société humaine. N’oublions jamais que par rapport aux capacités entièrement développés de notre espèce nous vivons toujours en Préhistoire.

    The Battle of Navarino was a naval battle fought on 20 October (O. S. 8 October) 1827, during the Greek War of Independence (1821–29), in Navarino Bay (modern Pylos), on the west coast of the Peloponnese peninsula, in the Ionian Sea. Allied forces from Britain, France, and Russia decisively defeated Ottoman and Egyptian forces which were trying to suppress the Greeks, thereby making Greek independence much more likely. An Ottoman armada which, in addition to Imperial warships, included squadrons from the eyalets of Egypt and Algiers, was destroyed by an Allied force of British, French and Russian warships. It was the last major naval battle in history to be fought entirely with sailing ships, although most ships fought at anchor. The Allies’ victory was achieved through superior firepower and gunnery.

    #Europe #Grèce #Turquie #USA #Russie #France #histoire #guerre_de_libération #nationalisme #capitalisme.#féodalisme #industrialisation #bataille_navale #voiliers

    • 1812
      https://de.m.wikipedia.org/wiki/1812

      27. Februar: Lord Byron äußert im britischen House of Lords Verständnis für den Luddismus und verteidigt die Maschinenstürmer seines heimatlichen Wahlkreises.

      11. März: Das Preußische Judenedikt von König Friedrich Wilhelm III. verfügt die Gleichstellung jüdischer Bürger in Preußen.

      13. Mai: Ludwig van Beethoven vollendet seine 7. Sinfonie.

      12. Juni jul. / 24. Juni greg.: Napoleon befiehlt bei Kaunas den Bau von drei Schiffsbrücken und den Übergang über die Memel. Damit überschreitet er die Grenze und greift Russland an. Der Russlandfeldzug 1812 beginnt. Bis zum 30. Juni folgt die Grande Armée mit rund 500.000 Soldaten.

      18. Juni: Die Vereinigten Staaten erklären Großbritannien den Krieg: Damit beginnt der so genannte Krieg von 1812 unter Präsident James Madison

      12. August: Mit der Middleton Railway nimmt die weltweit erste Zahnradbahn in England ihren regulären Betrieb auf. Sie verbindet zum Kohletransport eine Kohlenzeche in Middleton, West Yorkshire, mit Leeds. Seit dem 24. Juni fährt auf der Strecke die Salamanca, die erste wirtschaftlich erfolgreiche Dampflokomotive Englands.
      – Jean Baptiste Joseph Fourier legt seine Arbeit über Fourier-Reihen der Akademie der Wissenschaften in Paris vor.
      – Siméon Denis Poisson entwickelt seine Poisson-Gleichung für das elektrische Potential eines stromdurchflossenen Leiters.
      – Jean Louis Burckhardt beschreibt erstmals hethitische Inschriften (Hama-Steine).

      16. Dezember: Die geschlagenen Reste der Grande Armée überqueren die Memel und erreichen Ostpreußen. Nur 5.000 von ehemals 500.000 Soldaten haben die Flucht vor den nachrückenden russischen Verbänden überlebt.

      20. Dezember: Auslieferung der ersten Exemplare von Grimms Märchen (Erstauflage)

      30. Dezember: Konvention von Tauroggen. Der preußische General Yorck schließt einen lokalen Waffenstillstand mit Russland.

      1912

      29. Dezember: Geburt meiner polnischen Großmutter in Schlesien.

      https://www.youtube.com/watch?v=3i4f3NtLp5E

  • Pour ceux qui ont perdu le fil : la doctrine militaire israélienne est fondée sur le massacre des civils et la destruction totale des infrastructures civiles. Les responsables israéliens font ce genre de menace de crime de guerre contre Gaza ou le Liban, ouvertement, à intervalle régulier, sans que ça provoque jamais la moindre réaction internationale. Et quand ils le font : (1) c’est trop tard, (2) on s’en fout.

    Doctrine Dahiya
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_Dahiya

    La Doctrine Dahiya est une doctrine militaire formulée par le général israélien Gadi Eizenkot qui se rapporte au contexte de guerre asymétrique en milieu urbain, et prône un usage de la force « disproportionné » au cours de représailles contre des zones civiles servant de base à des attaques, dans un but de dissuasion. Il s’agit, en dépit du principe de base du droit de la guerre, de ne plus faire de distinction entre cibles civiles et militaires1.

    Cette doctrine porte le nom de Dahieh Janoubyé, un quartier chiite d’habitations de Beyrouth qui abritait un bastion du Hezbollah avant d’être rasé par l’aviation israélienne au cours du conflit israélo-libanais de 2006.

    La première formulation publique de cette doctrine eut lieu en octobre 2008, dans une interview à l’agence Reuters au cours de laquelle le général Eizenkot déclare :

    « Ce qui est arrivé au quartier Dahiya de Beyrouth en 2006 arrivera à tous les villages qui servent de base à des tirs contre Israël. […] Nous ferons un usage de la force disproportionné [sur ces zones] et y causerons de grands dommages et destructions. De notre point de vue, il ne s’agit pas de villages civils, mais de bases militaires. […] Il ne s’agit pas d’une recommandation, mais d’un plan, et il a été approuvé. […] S’en prendre à la population est le seul moyen de retenir Nasrallah. »

    • Je comprend pourquoi il est comme ça notre général Eizenkot avec qui nous sommes inconditionnellement solidaires. Nos ancêtres on joué un mauvais tour à ses ancêtres en ne leur réservant que le nom de « fer de merde ».
      Ce fut le sort des juifs pauvres qui ne purent acheter un nom agréable lorsqu’on les obigeat à germaniser leur noms de famille.

      Eizen = Eisen = fer
      Kot = Scheiß = merde.

      D’après notre encyclopédie préférée il est par contre possible que les ancêtres du vaillant général étaient des petits rigolos qui furent exprès de choisir un nom bizarre pour des raisons inconnues.
      https://de.m.wikipedia.org/wiki/J%C3%BCdischer_Name

      Je nach Region konnte die Namensgebung unterschiedlich verlaufen, so dass bei der Deutung der Namen auch die Herkunftsregion eine große Rolle spielen kann. Nicht zu verkennen ist aber auch die durch die Namensanalyse vermutete Freude der Juden an Synonymen, am Denken um die Ecke, an Verballhornungen, an Wortspielereien und an (Selbst-)Ironie. Gerade ihre Mehrsprachigkeit und die Eigenart der hebräischen Schrift, nur Konsonanten abzubilden, trugen dazu wesentlich bei.

      #Eisenscheiß #wtf

    • oui mais « est-ce que vous condamnez ?! »

      La réaction Française, cette fois, a été plutôt claire, non ? Soutien total à Israël, ta doctrine on opine, Dahiya pluka, Amen. J’ai faux ?

      En tout cas merci pour le topo ; 2008 ça fait 15 ans ; avant, ils avaient une autre doctrine ou c’est juste qu’elle avait pas encore de nom ?

    • Guerre Israël-Hamas : l’armée israélienne « change les règles » dans sa guerre contre le Hamas

      L’armée assure vouloir mener cette offensive selon « les règles du droit international humanitaire », ou, du moins, son interprétation par les militaires israéliens, plus maximaliste que les armées européennes ou américaine. Ainsi, la doctrine Dahiya, élaborée en 2006 par Gadi Eisenkot, ancien chef d’état-major de l’armée israélienne – et qui vient de rejoindre, en observateur, le « cabinet de guerre » israélien –, théorise l’usage d’une force disproportionnée afin d’atteindre ses objectifs, y compris viser une zone civile pour y éliminer des cibles militaires. Le nom de la doctrine fait référence à un quartier de la banlieue sud de Beyrouth où était basée la direction du Hezbollah lors de la guerre de l’été 2006 entre le Liban et Israël. Le rapport Goldstone demandé par les Nations unies après le premier conflit entre Israël et le Hamas en 2008-2009 avait conclu que la doctrine avait été « conçue pour punir, humilier et terroriser la population civile ».

      « Ils choisissent de mettre leur vie en jeu »

      « Je ne pense pas que cette doctrine s’applique aujourd’hui, estime le professeur Gabi Siboni, de l’Institut de Jérusalem pour la stratégie et la sécurité. Nous nous occupons de cibler et de détruire des agents du Hamas et d’autres organisations terroristes. Ce sont tous des cibles militaires. » Alors que 2 300 personnes, principalement des civils, dont 600 enfants, ont déjà été tuées, M. Siboni affirme aussi qu’Israël opère selon les principes du droit international humanitaire : « C’est pour cela que l’armée a demandé à la population d’évacuer le nord de Gaza. Quant à ceux qui restent, tant pis. Ils choisissent de mettre leur vie en jeu. »

      Depuis le début de l’opération militaire sur Gaza, l’armée israélienne n’a guère détaillé les cibles qui justifieraient les frappes. Ses services de communication donnent en revanche le tonnage de bombes larguées sur l’enclave, en postant les images de ruines.

      Asa Kasher, professeur de philosophie à l’université de Tel-Aviv, qui a contribué à la rédaction du code d’éthique des forces israéliennes, explique qu’il s’agit d’une équation : « Quand on est attaqué, on peut se défendre sans enfreindre le droit international. S’il y a une position avec des civils et des combattants, on évalue les risques. Si les gains sont militairement intéressants, et les pertes civiles limitées, il faut frapper. Sinon, il faut abandonner. » Quant à l’objectif affiché de détruire le Hamas, Asa Kasher s’interroge : « Détruire le Hamas n’est pas un objectif raisonnable. Détruire leurs capacités militaires ? Oui. Leurs infrastructures financières ? Oui. Mais détruire leur haine des juifs, des Israéliens, de l’Ouest, non. Ce qu’on peut faire, c’est réduire leur potentiel jusqu’à ce qu’ils ne soient plus une source de danger. »

      https://www.lemonde.fr/international/article/2023/10/14/guerre-israel-hamas-l-armee-israelienne-change-les-regles-pour-detruire-le-h

  • In Kreuzberg liegen jetzt die ersten Stolpersteine für Schwarze NS-Opfer
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/in-kreuzberg-wurden-die-ersten-stolpersteine-fuer-schwarze-ns-opfer

    Vor der Alten Jakobstraße 134 liegen nun diese fünf Stolpersteine für die Familie Boholle. Photo : Emmanuele Contini

    Plan / Openstreetmap
    https://www.openstreetmap.org/node/2468915167

    9.10.2023 von Elizabeth Rushton - Das Verfahren zur Verlegung neuer Stolpersteine ist für den Künstler Gunter Demnig inzwischen Routine: Die Messingsteine werden behutsam in das Straßenpflaster eingefügt, sodass ihre golden glänzenden Oberflächen und die Geschichten der Opfer des Nationalsozialismus vor den Häusern, in denen diese einst lebten, zum Vorschein kommen. Mehr als 1000 solcher Steine befinden sich auf den Bürgersteigen in Berlin-Kreuzberg, mehr als 96.000 gibt es in ganz Europa.

    Doch als Gunter Demnig sich am Sonntagmorgen mit seinem vertrauten Werkzeug vor dem Haus Alte Jakobstraße 134 über fünf neue Stolpersteine beugte, war diese Verlegung anders als alle anderen im Bezirk zuvor: Damit wurden die ersten Stolpersteine in Kreuzberg für Schwarze Opfer des NS-Regimes verlegt. In dem Haus wohnte Joseph Bohinge Boholle, der 1880 in Kamerun geboren wurde und im Rahmen der Berliner Kolonialausstellung nach Berlin kam, zusammen mit seiner Frau Stefanie. Joseph und Stefanie brachten drei Kinder zur Welt – Josefa Luise, Rudolf Bohinge und Paul Artur. Im Jahr 1939 wurde der Enkel Peter, der Sohn Josefas und des niederländischen Varieté-Artisten Cornelis van der Want, geboren.

    Nachdem 1943 ein Bombenangriff der Alliierten das Familienhaus in der Alten Jakobstraße zerstört hatte, zogen Josefa, Cornelis, Peter und Stefanie nach Bromberg (heute das polnische Bydgoszcz). Ende 1944 wurden allerdings die drei Erwachsenen verhaftet. Stefanie Boholle kam entweder im Gestapo-Gefängnis in Bromberg oder im KZ Stutthof ums Leben. Josefa, ihre Brüder Paul und Rudolf sowie ihr Mann Cornelis und ihr Sohn Peter überlebten den Nationalsozialismus – Josefa wurde aber während ihrer Gefangenschaft zwangssterilisiert und starb 1955 an den chronischen Erkrankungen infolge ihrer Zeit im Konzentrationslager.


    Frank Boholle (M.) verfolgt mit seiner Familie die Stolpersteinverlegung für ihre Vorfahren. Photo : Emmanuele Contini

    Vor Nachbarn, Aktivisten und Kommunalpolitikern wie Bezirksbürgermeisterin Clara Herrmann (Grüne) sprach Frank Boholle, der Urenkel von Joseph und Stefanie, bei der Zeremonie am Sonntag von einer „großen Ehre“ für seine Familie. „Jetzt werden unsere nachfolgenden Generationen immer einen Ort haben, wo wir dieser Geschichte gedenken können“, sagte er. Er bedankte sich insbesondere bei dem Historiker Robbie Aitken, der nach der Verlegung eine Biografie der Familie Boholle vorlas, sowie bei Christian Kopp vom Verein Berlin Postkolonial, auf dessen Initiative die Verlegung erfolgt war.

    In ihrem Redebeitrag begrüßte Simone Dede Ayivi von der Initiative Schwarze Menschen in Deutschland den Schritt, der einen oft vergessenen Aspekt der NS-Geschichte näher beleuchtet. „Um die Verfolgungsgeschichte des Nationalsozialismus komplett zu erzählen, müssen alle betroffenen Gruppen miteinbezogen werden – und da sind wir noch lange nicht fertig“, sagte sie; es gebe noch große Wissenslücken zu füllen. Eine Erfahrung, die auch die Familie Boholle während der Vorbereitung auf die Stolpersteinverlegung gemacht hat. „Unsere Familiengeschichte bestand lange Zeit aus vielen Puzzlestücken“, sagte Frank Boholle. „Erst jetzt konnten wir sie zusammensetzen und die Lücken füllen.“


    https://de.m.wikipedia.org/wiki/N%C3%BCrnberger_Gesetze

    Siehe auch https://seenthis.net/messages/927660

    Berliner Kolonialausstellung 1896
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Berliner_Kolonialausstellung

    Kolonien des deutschen Kaiserreichs
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Deutsche_Kolonien

    #Deutschland #Kamerun #Berlin #Kreuzberg #Alte-Jakobstraße #Geschichte #Kolonialismus #Rassismus #Nazis

  • Klassenkampf gegen Völkerkampf, Max Adler
    https://www.digitale-sammlungen.de/en/view/bsb11125668?page=4

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Max_Adler_(Jurist)

    Max Adler
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Max_Adler_(Jurist)

    Max Adler (* 15. Jänner 1873 in Wien, Österreich-Ungarn; † 28. Juni 1937 ebenda) war ein österreichischer Jurist, Politiker und Sozialphilosoph; er war ein maßgeblicher Theoretiker des Austromarxismus. Er war ein Bruder von Oskar Adler.

    #guerre #socialisme #histoire #Autriche #existentialisme

  • Kauperts Bekenntnisse - die vielen Namen der Dorotheenstraße
    https://m.kauperts.de/Strassen/Dorotheenstrasse-10117-Berlin

    Es geht natürlich um die Dorotheenstraße in 10117 Berlin-Mitte. Die namensgebende Dame war im aufstrebenden Preußen des 19. Jahrhunderts so populär, daß noch heute drei weitere Straßen in Adlershof, Lichterfelde und Wannsee nach der Kurfürstin von Brandenburg aus dem 17. Jahrhundert, der zweiten Frau Friedrich Wilhelms (der mit dem Reiterstandbild, nicht der mit dem U-Bahnhof), des „großen Kurfürsten“ benannt sind.

    Und so beschreibt uns Herr Kaupert die Geschichte der heutigen Dorotheenstraße zwischen #Am_Kupfergraben bis #Ebertstraße und #Scheidemannstraße:

    Geschichte — Dorotheenstraße Alter Bezirk Mitte
    Alte Namen Am Bauhof (um 1696-1822), Hinter dem Observatorium (18. Jh.-1822), Hinter Gasse (17. Jh.-18. Jh.), Letzte Straße (18. Jh.-1822), Clara-Zetkin-Straße (1951-1995)
    Name seit 25.4.1822

    Die Dorotheenstraße trägt ihren Namen, wie wir der Liste ihrer früheren Bezeichnungen eine Zeile über der Angabe „seit 25.4.1822“ entnehmen können, in der Tat erst seit 1995, denn unmittelbar zuvor hieß sie nach der Frauenrechtlerin und kommunistischen Reichstagsabgeorneten und Kampfgefärtin Rosa Luxemburgs Clara Zetkin.

    Die Sortierung der Straßennamen erschwert dem Leser die historische Einordnung der Bezeichnungen, unterstellt, dass hier nur ungeschickte Überlegungen zum Layout der Danenbankeinträge sichtbar werden. Unterschwellig ider ausdrücklich zeigt sich hier jedoch eine revisionistische Sicht auf die deutsche Geschichte. Die heutige Benennung nicht mit dem Datum der Widmung durch die zuständige BVV Mitte zu bezeichnen sondern mit dem des preußischen Erlaß von 1822, tut so, als ob mit der Umbenennung ein voheriger Zustand wieder hergestellt worden wäre, und die Epoche der Clara-Zetkin-Straße nicht existiert hätte. Zurück nach Preußen, die Kontinuität der Geschichte ist bis 1822 wieder hergestellt. Wem gehört der Verlag heute? „Zepter und Krone GmbH“ heißt die Dachgesellschaft und Besitzer des „Kaupert“ heute. Wenn das kein Zufall ist.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Kaupert_(Verlag)

    Und so würde eine zutreffend fortlaufend sortierte Liste der historischen Bezeichnungen der heutigen Dorotheenstraße aussehen:

    Am Bauhof (um 1696-1822), Hinter dem Observatorium (18. Jh.-1822), Hinter Gasse (17. Jh.-18. Jh.), Letzte Straße (18. Jh.-1822),
    Dorotheenstraße (25.4.1822 - 1951)
    Clara-Zetkin-Straße (1951-1995)
    Name seit 1995

    Die Neubenennung als Dorotheenstraße erfolgte in einem neuen historischen Kontext und hat deshalb eine neue Bedeutung. Im Jahr 1822 wurde der Kurfürstin Dorothea gedacht, im Jahr 1995 hingegen sollte der kommunistischen Frauenrechtlerin ausdrücklich nicht mehr grdacht werden. Frag heut mal wen auf der Straße nach Dorothea. Niemand kennt sie. Das ist nicht weiter schlimm, denn ihre Epoche haben wir seit lamgem hinter uns gelassen. Und niemand soll mehr an die olle Clara erinnert werden. Das ist schade, denn sie hat viel für die Frauen von heute erreicht.

    Erstaunlich, wie ideologisch nicht nur eine Straßenumbenennung sindern auch ihre Abbildung im Code von Datenbankabfragen und Layoutanweisungen sein kann.

    #Dorotheenstraße #Clara-Zetkin-Straße #Straßenumbenennung