Transferts de fonds et aide au développement : les chiffres « un peu » honteux.
Depuis plusieurs décennies, la communauté internationale n’arrive pas à « obliger » les nations riches à consacrer au moins 0,7 % de leur PIB à l’aide au développement, à quelques exceptions près : la Norvège, la Suède et la FInlande. C’est tout.
Depuis quelques années, le montant des envois d’argent des travailleurs migrants dans leur pays d’origine dépassent très largement l’aide au développement, et l’écart se creuse. Quand aux IDE, c’est toujours relativement peu comparé aux fonds consacrés à la spéculation et aux produits dérivés : 600 milliards contre 720 000 milliards, soit 1200 fois plus pour la spéculation, ou 1200 fois moins pour le développement.
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