• Immobilier : les APL « accession » vont disparaître dès 2018
    http://www.latribune.fr/vos-finances/immobilier/immobilier-les-apl-accession-vont-disparaitre-des-2018-752645.html

    Les #APL_accession, qui facilitent l’emprunt immobilier pour les ménages aux revenus modestes, devraient être supprimées dès le 1er janvier 2018.

    C’est un dispositif assez méconnu mais pourtant potentiellement très avantageux pour ses bénéficiaires. L’APL accession permet aux primo-accédants aux revenus modestes de se faire rembourser une partie de leurs mensualités de crédit immobilier. Malheureusement, il vit ses dernières heures...

    Passée inaperçu lors de la présentation du budget 2018 mercredi dernier, la suppression de l’APL accession a été repérée par le courtier en crédit Vousfinancer ce lundi 2 octobre, et cette mesure sera regrettée par les futurs accédants. Selon les calculs effectués par le courtier, l’APL accession pouvait presque réduire de moitié le taux d’endettement de certains de ses bénéficiaires.
    […]
    Pour justifier la suppression du dispositif dès le 1er janvier 2018, le gouvernement a parlé d’un effort en faveur de le politique d’accession à la propriété qui serait désormais « prioritairement porté sur le PTZ, qui sera prorogé ». Sachant que le prêt à taux zéro, qui existait déjà, a été prolongé mais réduit sur certaines zones, la fin du dispositif des APL accession doit surtout s’expliquer par une logique d’économie budgétaire.

  • Edouard Philippe veut s’en prendre aux aides au logement
    http://www.latribune.fr/vos-finances/immobilier/edouard-philippe-veut-s-en-prendre-aux-aides-au-logement-742849.html

    Edouard Philippe va-t-il mettre les aides au logement au tapis ? Dans son discours de politique générale, prononcé devant l’Assemblée nationale le 4 juillet, le Premier ministre a déclaré vouloir « repenser les politiques publiques inactives » en prenant l’exemple des aides au logement, qui coûtent cher et ne donnent « pas assez de résultats »
    […]
    Les derniers chiffres connus sur les aides au logement remontent à 2014. Et leur montant, 17,7 milliards d’euros, représentait à l’époque 1% du PIB Français. Le terme aide au logement regroupe en réalité trois dispositifs distincts :
    • l’aide personnalisée au logement, réservée aux locataires de logements conventionnés (logements sociaux),
    • l’allocation de logement familiale (ALF)
    • l’allocation de logement sociale (ALS) destinée aux ménages du secteur privé qui n’ont ni accès à l’APL, ni à l’ALF. Cette catégorie concerne principalement les étudiants.
    Ces trois aides sont perçues par 6,3 millions de foyers, et c’est un des principaux reproches qui leur est fait : elles concernent trop de monde, et des gens qui n’en ont pas forcément besoin. Une des pistes de réforme pourrait être celle d’un recentrage des aides sur les plus démunis. Les dernières ministres du logement avaient d’ailleurs déjà commencé à réduire le public touché.

  • Banque : le médiateur de la FBF déplore le manque de connaissance des clients
    http://www.latribune.fr/vos-finances/banques-credit/services-bancaires/banque-le-mediateur-de-la-fbf-deplore-le-manque-de-connaissance-des-client

    Paul Loridant, médiateur de la Fédération Bancaire Française, a publié son rapport d’activité 2016, qui laisse transparaître une hausse notable du nombre de réclamations reçues. Si celles-ci sont si nombreuses, c’est selon lui parce que les clients méconnaissent trop souvent la loi ou les conditions commerciales.

    A qui la faute ? Les litiges entre les clients et leurs banques semblent de plus en plus nombreux, et les solutions tardent à venir. Selon le rapport d’activité du médiateur de la Fédération Bancaire Française (FBF), le nombre de courriers reçus par l’instance est en hausse de 34%, passant de 4.184 en 2015 à 5.593 en 2016.

    Cette forte hausse est principalement due à celle des « courriers dont l’objet du litige se situe hors du champ de compétence du médiateur, qui passent de 626 en 2015 à 1837 en 2016  », précise le rapport. L’instance serait en quelque sorte victime de son succès, car comme l’explique Carole de Gaulle, responsable du service médiation, le recours auprès de la FBF devient de plus en plus un réflexe, poussant les clients mécontents à faire appel directement au médiateur sans passer par leur banque.

    Bémol : pour qu’un litige puisse être traité par le médiateur de la FBF, il faut que le client ait auparavant pris contact avec sa banque afin de régler le problème. Les cas où le client n’a pas effectué cette démarche représentent donc la majorité des litiges situés « hors du champ de compétence » et feraient, selon le médiateur, gonfler artificiellement les statistiques. Il n’en demeure pas moins que les requêtes des consommateurs, si elles ne sont pas effectuées dans les règles, portent bien souvent sur un vrai motif de réclamation.

    Bref, si les réclamations concernant les banques augmentent c’est parce que leurs clients sont trop c…s

  • Les jeunes pourraient travailler plus longtemps…et moins profiter de leur retraite
    http://www.latribune.fr/vos-finances/retraite/les-jeunes-vont-travailler-plus-longtemps-et-moins-profiter-de-leur-retrai

    Les générations futures risquent de l’avoir mauvaise... En effet, selon un dossier de l’Insee sur l’espérance de vie en retraite, faisant partie du portrait social de la France publié le 22 novembre 2016, les personnes nées en 1990 pourraient travailler plus longtemps que celles nées en 1960, pour vivre moins longtemps à la retraite (sans incapacité). C’est en tout cas ce que prévoit un des scénarios de l’étude, en faisant l’hypothèse que le mécanisme d’allongement de la durée de cotisation prévu par la réforme des retraites de 2014 se poursuive sur le long terme.

  • Etudiants boursiers : comment toucher l’aide à la recherche du premier emploi (#ARPE). C’est l’une des concessions faite à la mobilisation contre la #loi_travail, une mesurette qui n’a pas même réussi à amadouer l’Unef.
    http://www.latribune.fr/vos-finances/etudiants-boursiers-comment-toucher-l-aide-a-la-recherche-du-premier-emplo

    126.000 jeunes diplômés d’origine modeste pourraient bénéficier à la rentrée 2016 de ce ballon d’oxygène. L’objectif de cette aide est de faciliter l’arrivée des #étudiants_boursiers sur le marché du travail. ...[Ce] dispositif permettant aux jeunes #diplômés qui bénéficiaient de bourses pendant leurs études de continuer à les toucher pendant quatre mois après l’obtention de leur diplôme.

    Si vous êtes récemment lauréat, que vous n’êtes plus en formation et que vous recherchez du travail, vous pouvez donc faire votre demande sur le site du ministère de l’Education nationale dédié aux demandes d’aides (ou celui du ministère de l’Agriculture pour les étudiants de la filière agricole) à partir du 22 août 2016. Vous devrez obligatoirement effectuer ces démarches dans un délai de quatre mois « à compter de la date à laquelle les résultats de l’examen conduisant à la délivrance du diplôme ont été rendus publics », précise le décret.
    Les critères pour bénéficier de l’ARPE
    Le montant de l’aide sera « équivalent à celui de la bourse sur critères sociaux perçue lors de votre dernière année d’études (de 100 à 550 euros par mois) », précise le site etudiant.gouv.fr, ou de 300 euros si vous avez eu votre diplôme par la voie de l’#apprentissage. Vous y avez donc droit si vous avez été diplômé en 2016 et que vous étiez boursier lors de votre dernière année scolaire, peu importe votre échelon. Les conditions de ressources pour en bénéficier sont donc logiquement les mêmes que pour toucher les bourses sur critères sociaux. Pour les apprentis, le plafond de revenus (le votre ou celui du foyer fiscal auquel vous êtes rattaché) est fixé à 33.100 euros. Enfin, dernière condition à respecter pour bénéficier de l’ARPE : il faut être âgé de moins de 28 ans.
    Une aide non cumulable avec le RSA
    Cette condition d’âge est significative, tant l’ARPE est surtout pertinente pour les (très) jeunes diplômés. En effet, elle n’est pas cumulable avec le revenu de solidarité active (RSA), pour sa part plutôt destiné aux personnes de plus de 25 ans (les conditions pour en bénéficier avant étant assez drastiques). Le RSA présente l’avantage d’être, à taux plein, d’un montant similaire au montant maximum de l’ARDE - 524,68 euros pour une personne seule au RSA [mais plus de 90% des allocataires se voit retranché 12% de cette somme théorique, toujours claironnée, rarement atteinte- en raison du « forfait logement »] , contre 550 euros d’ARPE pour un boursier d’échelon 7 - sans être restreint dans le temps.

    En résumé, le coup de pouce octroyé par cette première mesure de la loi Travail devrait avoir une portée assez faible, sa durée et son spectre étant assez limités.

  • Les perdants de la réforme des APL
    http://www.toutsurlimmobilier.fr/les-perdants-de-la-reforme-des-apl.html

    L’Assemblée nationale a voté mercredi 4 novembre 2015 en première lecture la réforme des aides au logement préparée par le gouvernement dans le cadre du projet de Budget pour 2016. Certains allocataires vont en faire les frais alors que d’autres, dont les étudiants, sont préservés. Décryptage.
     

    Qui va payer la réforme des aides au logement ? Le vote en première lecture du volet Logement du projet de loi de finances pour 2016 (PLF 2016) mercredi 4 novembre 2015 par l’Assemblée nationale apporte des éléments de réponse à cette question sensible. Certains profils d’allocataires risquent en effet de voir leurs aides diminuer, voire disparaître. D’autres en revanche s’en tirent à bien meilleur compte...

    QUI EST PERDANT ?

    Les propriétaires d’un petit patrimoine (30.000 euros et plus)
    Le patrimoine des bénéficiaires va être intégré dans le calcul des aides au logement, à l’instar de ce qui existe déjà pour le revenu de solidarité active (RSA). Un seuil de 30.000 euros a ainsi été fixé, à partir duquel le patrimoine sera intégré en partie aux revenus. Une limite bien inférieure à celle proposée par les députés (75.000 euros). Selon les élus, 10% des allocataires vont être impactés, soit environ 650.000 foyers.

    Ce n’est toutefois pas l’intégralité du patrimoine qui va être prise en compte. Selon le député PS de Paris #Christophe_Caresche, seulement « 3% du patrimoine (...) serait intégré à l’assiette des revenus. Donc en réalité, l’impact serait limité » . Pour autant, cette augmentation des revenus retenus pour le calcul des aides devrait aboutir mécaniquement à une diminution du montant versé.

    Les Parisiens et les locataires qui paient un loyer élevé
    Si vous payez un loyer très élevé, votre allocation va peut-être bientôt baisser. La réforme fixe en effet des limites au-delà desquelles le montant de l’aide au logement diminuera. « Il est probable que nombre des ménages assumant une charge aussi élevée par rapport aux revenus qu’ils déclarent bénéficient de ressources plus larges qui, si elles étaient prises en compte, diminueraient le montant de l’aide qui leur est versée. La #dégressivité_de_l'allocation contribuera à corriger ce décalage » , justifie l’exposé des motifs de l’amendement porté par Christophe Caresche instaurant cette nouveauté.

    Concrètement, un célibataire parisien ou francilien qui paie un #loyer supérieur à 732 euros verra son allocation logement baisser. Pour un couple sans enfant, le montant à ne pas dépasser se situe à 883 euros. « Ce sont des montants de loyer excessivement réduits par rapport à la réalité du marché. Si vous retenez ce seuil pour Paris, nombreux sont les ménages qui verront leurs APL baisser » , a dénoncé le député PS de Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg. Une location parisienne se négocie en effet à 24,8 euros du mètre carré en moyenne selon l’observatoire Clameur* : à un tel prix, le locataire d’un 30 mètre carré (744 euros par mois) verrait alors son aide au logement diminuer.

    Dans les grandes agglomérations (plus de 100.000 habitants) et en Corse, les limites à ne pas excéder se fixent respectivement à 638 et 781 euros. Partout ailleurs, elles se situent à 598 et 725 euros.

    Les enfants dont les parents paient l’ISF
    Cette mesure symbolique devrait concerner peu de monde mais corrige une aberration. Les jeunes dont les parents s’acquittent de l’impôt de solidarité sur la fortune ne toucheront plus d’aide au logement, une restriction qui s’applique aussi bien à l’aide personnalisée au logement (APL) qu’aux allocations de logement sociale et familiale (ALS et ALF).

    comme dit par
    http://seenthis.net/messages/425289
    c’est sur cet amendement uniquement que la presse titre aujourd’hui, bien entendu, car c’est un joli appât à plèbe stupide qui laisse entendre, et ça a été clairement dit lors des débats, qu’on fait UN PEU DE JUSTICE SOCIALE.
    cet amendement est non recevable évidemment et va péter au conseil constitutionnel dans pas deux jours, tout simplement parce qu’il crée une exception de prise en compte du foyer fiscal de rattachement pour les fils de familles imposées à l’ISF, quand aucun autre étudiant rattaché au foyer fiscal parental ne voit ce paramètre pris en compte.

    QUI EST PRÉSERVÉ ?

    Les étudiants [sauf dans les deux cas précédemment relevés, le seuil de loyer va ci jouer fortement, ndc]

    Le scénario était connu à l’avance. En commission, les députés avaient adopté un amendement afin de prendre en considération les ressources des parents ainsi que l’éloignement du domicile familial pour l’attribution des allocations aux étudiants non boursiers. L’idée étant de ne plus verser d’aides au logement à un jeune issu d’un foyer aisé et/ou vivant dans la même agglomération que ses parents.

    Comme annoncé par l’exécutif avant le vote en séance publique, l’Assemblée nationale a finalement abandonné cette disposition, afin de préserver l’universalité des allocations logement. « Cet amendement aurait [eu] pour conséquence de baisser le montant de l’aide perçue par une part importante des étudiants non boursiers – environ 495.000 étudiants », a indiqué la ministre du Logement Sylvia Pinel lors du vote en séance publique.

    Les salariés précaires de moins de 25 ans

    Initialement, la réforme portée par le gouvernement prévoyait de supprimer une dérogation au calcul des #APL favorable aux salariés de moins de 25 ans en contrat à durée déterminée (CDD). Celle-ci leur permet « de continuer à bénéficier d’une APL calculée sur la base de leurs revenus de l’année N-2, souvent proches de 0 ».

    « Autant cette mesure nous paraît juste lorsqu’elle concerne les allocataires bénéficiant d’un contrat à durée indéterminée (CDI), autant nous considérons que la dérogation pourrait être maintenue pour ceux dont la situation professionnelle est plus incertaine », a expliqué Daniel Goldberg devant l’Hémicycle. Les élus du Palais Bourbon ont donc retoqué cette mesure afin de protéger les jeunes salariés en CDD. En revanche, le gouvernement pourra supprimer par décret la dérogation pour les salariés de moins de 25 ans en CDI, cette disposition ne relevant pas du pouvoir législatif.

    *Statistiques arrêtées en août 2015

    #revenu_théorique

    Pour mémoire, une analyse située

    point APL vite fait

    à l’amendement sur la prise en compte du patrimoine à partir de 75000 euros
    le gouvernement a avisé qu’il rejetterait l’amendement sauf à rédiger un sous amendement établissant la prise en compte du patrimoine à partir de 30000 euros...
    sous amendement et amendement adoptés.

    dans les faits : à partir d’un patrimoine (immo/épargne) de 30000 euros, le barème applicable au RSA sera appliqué, c’est à dire une entrée de 3% dudit patrimoine dans l’assiette annuelle
    (alors que ça nous rapporte jamais 3% mais bon passons ils s’en foutent le but de cette réforme n’est pas de prendre en compte les gens mais de convaincre bruxelles qu’on fait assez chier nos pauvres à son goût)
    traduction : tu prends 3% de ton patrimoine et tu enlèves ça de ton droit à APL actuel

    où c’est immonde ? pour les Rsastes, pardi ! leur Rsa est déjà amputé du patrimoine ! une amputation de l’APL en prime sur la même base est une ure et simple double peine !
    moyens de contrer : conseil constitutionnel. je sais pas quelle asso/groupement a les moyens de tenter ça mais sanctionner financièrement DEUX FOIS une même personne sur un patrimoine pour chacune de ses ressources n’est pas conforme à la constitution ça revient à une double imposition, ça c’est sûr et certain. bien entendu (j’ai suivi le vote en live, je me suis imposé ça, oui) AUCUN député présent (ils étaient pas 15...)n’a évoqué ce point. Evidemment.

    autre écueil : au décret d’application il est tout à fait probable (voire certain) que d’autres plafond seront évoqués. si à 30KE on retient 3% dans l’assiette annuelle, rien n’empêche qu’à 50KE ce soit 7% et qu’à 100KE ce soit 10% par exemple. là dessus notre défense est pour le moment NULLE, les intéressés par notre sort sont au nombre de ZERO.

    étude de cas pour calmer les idiots : 100KE ça te paraît une grosse somme ? imagine que tu aies eu un accident de bagnole que tu sois devenu handicapé des 4 membres (pour faire simple je prends un handicap physique, que les familles de handis mentaux me pardonnent, vous savez qu’ils pigent que ça en première instance, hein) et que le responsable ait été condamné à cette somme en dommages et intérêts à ton égard. et bien c’est un capital et ça ne suffira malgré tout pas à réaménager ton logement, acheter un fauteuil de compète pour pas te pécho 12 escarres par jour et un véhicule où ton fauteuil passe. si tu me crois pas vas vite checker les tarifs de ces choses là et leur prise en charge par la sécu/les assureurs avant de l’ouvrir et de risquer que je t’insulte. bisous.

    sur l’amendement plafond de loyer.
    le gouvernement a émis la même réserve que ci dessus et fait passer de la même manière un sous amendement établissant le plafond de loyer à 2.5 fois le loyer référence.
    un député a émis un doute quant à une potentielle réaction du marché parisien (et autres grandes agglomérations, zone de tension 1 pour la CAF), il lui a été répondu qu’on pourrait corriger le tir au décret d’application au besoin.
    amendement ET sous amendement posant la base de travail à 2.5x le loyer de référence adoptés.

    dans les faits : si ton loyer est > 250% loyer de référence caf (APL max, quoi), ton APL sera diminuée, de combien on sait pas, CF décret d’application à venir (allô la défense ? y’a quelqu’un ?)

    où c’est immonde : 250% du loyer référence c’est PAS ASSEZ pour plein de gens INDEPENDEMMENT de la zone de résidence, CAR depuis la loi Boutin de 2009 les locataires réputés insolvables (pas de cdi, pas 3 fois le loyer hors charges de revenus fixes) n’ont plus accès au marché « licite » de la location et ne peuvent plus espérer se loger que par le marché dit « direct », de propriétaire à locataire sans intermédiaire agence ou assureur anti loyers impayés, ce qui les expose à tous les abus imaginables le premier étant un loyer PLUS CHER QUE LA MOYENNE DU SECTEUR.
    (rappel : bien avant la loi Boutin les étrangers en situation irrégulière étaient déjà soumis à ce régime bananier des proprios, il se trouve juste que tout le monde s’en tapait, de la même manière que tout le monde se tape maintenant que ça soit fait aux pauvres....jusqu’au jour où ce sera pour vos gueules aussi et là il sera trop tard) (je dis ça JUSTE pour vous culpabiliser, OUI, et aussi pour vous faire la PEUR qui doit vous être faite, toutafé, j’assume) (bonus : si c’est pas vous ce sera vos gosses) (de rien)

    autre écueil : Le bémol du gouvernement qui nous dit qu’on pourra rectifier le tir au besoin sur le décret d’application de ces amendements est une catastrophe pour la zone 3 de la CAF car : si on monte le barème à 280% par exemple (amendement principal, donc plafond attendu) pour la zone 1, aka les grandes agglomérations, alors la PERTE D ECONOMIES AFFERENTE DEVRA ETRE REPERCUTEE et elle le sera FORCEMENT sur la zone 3, aka la rase campagne, là où sont les plus pauvres d’entre les pauvres, exilés, rejetés, et surtout PAS DEFENDUS, par personne, qui risque de se manger un plafond de loyer à 200% du loyer de référence pour compenser, ce qui ne dérangera personne, 80% de la plèbe française étant en ville.
    J’en appelle ici à la vigilance du seul collectif de cambrousse que je connaisse aka le collectif RSA ARIEGE. Entendez moi silvouplé vous serez seuls nous n’avons environ RIEN dans les autres départements ruraux.

    étude de cas sur ce point : lisez CQFD Journal de ce mois ci. (pardon mais flemme de tout re rédiger et manque de temps, dîner à faire toussa) (chez les pauvres tu sais on épluche beaucoup et ça prend un temps infini)

    pour terminer je vous laisse rire du LOL de ce vote :
    avant de parler de l’amendement sur les étudiants reliés à un foyer fiscal parental imposable à l’ISF les députés ont demandé (et obtenu) une suspension de séance de 5 minutes.
    quand ils sont revenus l’amendement proposant l’éviction de toute allocation logement d’un étudiant issu d’un foyer fiscal ISF avait occupé (lol) toute leur pause et a été présenté.
    c’est sur cet amendement uniquement que la presse titre aujourd’hui, bien entendu, car c’est un joli appât à plèbe stupide qui laisse entendre, et ça a été clairement dit lors des débats, qu’on fait UN PEU DE JUSTICE SOCIALE.
    cet amendement est non recevable évidemment et va péter au conseil constitutionnel dans pas deux jours, tout simplement parce qu’il crée une exception de prise en compte du foyer fiscal de rattachement pour les fils de familles imposées à l’ISF, quand aucun autre étudiant rattaché au foyer fiscal parental ne voit ce paramètre pris en compte. si ils ont demandé une suspension de séance c’était pour en parler et se mettre d’accord sur le fait de le voter (et comble du lol en revenant de pause ils l’ont dit^^) EN SACHANT qu’il ne va pas passer les barrières constitutionnelles MAIS il aura permis entre temps d’attirer l’attention de la plèbe et des journalistes (stupides parmi les stupides si tu veux mon avis) sur les pauvres petits enfants riches, ce qui évite qu’on s’intéresse à ce qui est fait pendant ce temps là aux VRAIS PAUVRES.

    voilà.
    c’est tout ce que j’ai à dire à propos de ça.
    FOREST GUMP

    « Afin de privilégier les ménages les plus modestes » et autres intox du #gouvernement et des média sur la réforme de l’APL
    http://seenthis.net/messages/425061

    Palme de l’#intox à Libération
    http://seenthis.net/messages/424735

    Déjà, les #expulsions sont en hausse constante
    http://seenthis.net/messages/423725

    Maîtriser les #dépenses, qui sera touché, selon Le Monde
    http://seenthis.net/messages/419506

    #précarisation #APL

  • La #Banque_de_France encadre l’usage du #Bitcoin
    http://www.latribune.fr/vos-finances/20140129trib000812561/la-banque-de-france-encadre-l-usage-du-bitcoin.html

    Dans un communiqué #publié ; ce mercredi, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) explique que l’achat ou la vente de #Bitcoins doit se faire par l’intermédiaire d’un établissement de crédit, de paiement ou de #monnaie électronique, et en rappelle la liste. […]

  • Conforté par l’état à la tête d’Orange, Stéphane Richard sera-t-il le prochain Cahuzac ? Les témoignages d’arbitraire pleuvent :

    Selon plusieurs hauts fonctionnaires, Stéphane Richard, l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde et actuel patron d’Orange, aurait insisté pour que le conflit entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais soit réglé par un arbitrage, et ce malgré leurs réticences.

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130618trib000770980/affaire-tapie-plusieurs-temoignages-a-charge-contre-stephane-richard.html

    Bernard Scemama, le président de l’EPFR (Etablissement public de financement de la restructuration), qui gère le CDR, dit avoir été convoqué à Bercy en 2007. D’après lui, la " seule instruction“ de Stéphane Richard “était d’aller à l’arbitrage", selon des propos rapportés par Le Monde. “ Une fois celui-ci décidé et la sentence tombée, Bernard Scemama aurait été incité à voté contre son annulation.

    à part cela, François Hollande annonce donc exonérer d’impôt pour 2014 les spéculateurs qui réussiront à revendre avec profit un bien immobilier. Un sens aigu de l’urgence sociale à l’oeuvre, puisqu’il ne saurait s’agir de conflit d’intérêt.

    http://www.latribune.fr/vos-finances/immobilier/20130617trib000770743/plus-values-immobilieres-hollande-veut-plus-d-abattements-a-court-terme-.h

  • Comment les assureurs identifient de mieux en mieux les risques - La Tribune.fr
    http://www.latribune.fr/vos-finances/assurance/20130403trib000757305/comment-les-assureurs-identifient-de-mieux-en-mieux-les-risques.html

    Discrètement, les assureurs s’intéressent au Big Data. L’enjeu : un changement de modèle pour l’#assurance permettant de mettre en place une tarification selon le comportement du client et non plus par groupe... Tags : internetactu2net fing internetactu #bigdata (...)