• SI BOUTEFLIKA M’AVAIT ECOUTE… - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/08/si-bouteflika-m-avait-ecoute.html

    Le jour de la proclamation des résultats officiels de l’élection présidentielle d’avril 1999 par le Conseil constitutionnel, j’ai fait remettre cette lettre en mains propres par le défunt Larbi Belkheir à M. Abdelaziz Bouteflika. Dix-huit ans après, ce message résonne dans sa conscience et dans la nôtre comme la preuve qu’il a fait le choix entre le bien qu’il pouvait faire au pays et le mal contre lequel je l’avais mis en garde. Voici le texte intégral de cette lettre datée du 20 avril 1999 :
    Monsieur le président de la République,
    A la veille de votre investiture, et alors que vous n’êtes pas encore entièrement happé par les nécessités de votre charge, je voudrais vous présenter mes sincères félicitations et mes meilleurs vœux de succès dans tout ce que vous entreprendrez pour le bien de notre pays et, par la même occasion, vous faire part de quelques réflexions destinées à l’homme, plus qu’au Président.
    Quelles que furent mes positions à l’égard de votre candidature vous êtes aujourd’hui le Président de tous les Algériens et, par conséquent, le mien. Cela est désormais une donnée de l’Histoire que je regarde avec un état d’esprit positif et bienveillant, et dont je puise par ailleurs le droit de vous adresser cette « naciha » (conseil) au sens noble et islamique du terme. Rien de ce que vous allez lire n’est étranger à votre culture et à votre connaissance du monde. Néanmoins, j’ai tenu à vous en entretenir ne serait-ce que pour satisfaire à l’impulsion qui m’a inspiré cette initiative.
    Il y a fort longtemps, le simple citoyen que vous étiez jusqu’à aujourd’hui 11h00 avait connu les splendeurs et les misères de la vie publique. Vous avez connu les joies de la vie et les honneurs du monde avant de connaître l’amertume de leur brusque privation. Vous avez connu le tumulte du succès et la solitude du pestiféré. Vous avez été porté aux nues puis traîné dans la boue. Vous avez donc eu tout loisir de mesurer la vanité des choses et la versatilité des hommes.
    Mais voilà que vous êtes de nouveau porté par un courant ascendant et que vous vous retrouvez entouré et adulé comme aux plus beaux jours. Ni les choses ni les hommes n’ont changé. Mais vous, avez-vous changé ?
    Le pouvoir, vous y étiez puis vous en avez été éloigné. Vous y revoilà derechef, pour vous ne savez combien de temps. Vous êtes appelé à le quitter une autre fois, mais en le quittant cette autre fois, et pour de bon, vous ne trouverez pas devant vous un désert à traverser, mais le tribunal de la postérité à affronter. Votre comptable et votre juge ne sera ni l’électorat ni l’opinion internationale, mais l’Histoire et Dieu.
    Votre parcours, vos souffrances d’hier, vos peines d’aujourd’hui devant la perfidie de vos concurrents, votre niveau intellectuel, votre expérience, votre sens de l’Etat, votre âge enfin ne vous prédisposent pas à un mandat terne et placide, à une figuration sans relief, à un accommodement pusillanime avec une situation où le sang et l’encanaillement généralisé font bon ménage.
    En revenant au pouvoir en 1958 au milieu d’une crise de la taille de celle que nous vivons actuellement, le général de Gaulle a eu ces mots : « C’est en un temps, de toutes parts sollicité par la médiocrité, que je devrais agir pour la grandeur ».
    Seul, âgé, navigant au milieu d’un océan d’hostilité, il était revenu au pouvoir avec à l’esprit un grand projet, celui de réconcilier son peuple, de tirer son pays des rets de la guerre d’Algérie et de réformer en profondeur les institutions françaises selon un plan dont il avait annoncé les grandes lignes à Bayeux douze ans plus tôt. Homme de mission et de devoir, visionnaire, il accomplit inexorablement sa tâche puis s’en alla prendre place dans la mémoire reconnaissante de son peuple.
    Il y a des attitudes et des gestes qui marquent la conscience humaine, fondent de nouvelles valeurs et fournissent des repères durables aux générations qui viennent après. Deux jours avant sa mort, malade et extrêmement affaibli, le Prophète fit une dernière apparition publique dans la mosquée de Médine pour dire ceci : « La mort est une nécessité, et aucun homme ne peut y échapper. Mais il y a après la mort un jour de justice et de réparation où les créatures réclameront les unes contre les autres ; les grands de la terre réclameront contre les petits, et les petits contre les grands ; il n’y aura pas plus de faveur pour moi que pour personne. Pendant que je suis encore avec vous, adressez-moi vos réclamations. Si j’ai frappé quelqu’un d’entre vous, qu’il me frappe. Si j’ai offensé quelqu’un, qu’il m’en fasse autant. Si j’ai pris le bien de quelqu’un, qu’il me le reprenne. Purifiez-moi de toute injustice afin que je puisse paraître devant Dieu ».
    De son côté, Salah-Eddine al-Ayyoubi a fait promener dans les rues de Damas à la veille de sa mort le drap blanc qui devait lui servir de linceul et fait crier par un héraut : « Voilà, de toutes ses richesses, ce que le grand Saladin, vainqueur de l’Orient et de l’Occident, emporte dans sa tombe ».
    A l’autre extrémité du registre des réactions humaines, on peut noter l’attitude d’un Napoléon qui, de retour au pouvoir après son exil sur l’île d’Elbe donna libre cours à l’immense orgueil qui l’habitait : « Des milliers de siècles s’écouleront avant que les circonstances accumulées sur ma tête aillent en puiser un autre dans la foule, pour reproduire le même spectacle. Mon nom durera autant que celui de Dieu… » Hitler, pour sa part, était assuré que le IIIe Reich durerait mille ans.
    Autrefois vous avez été, de l’avis général, un brillant ministre. A l’avenir, vous devrez avoir, outre la brillance, les autres qualités de l’or : la pureté et la valeur. En suivant à la télévision votre campagne électorale, j’ai tenté, à travers vos paroles et vos gestes, de décrypter votre pensée réelle. Par moments, je croyais voir et entendre Kadafi, Castro ou Saddam, et je me sentais alors pris de peur pour l’avenir de mon pays.
    Par contre, je n’ai pas été choqué par vos jugements désabusés sur l’état de notre pays et les reproches que vous adressiez à nos compatriotes. Cela donnait parfois l’impression que vous mettiez votre personnage sur un plateau de la balance et la nation toute entière sur l’autre, mais je n’ai pas pour autant pris cela pour l’expression d’un orgueil démesuré. Tandis que vos concurrents rivalisaient de populisme, d’hooliganisme et de niaiseries, vous vous distinguiez par l’effort de faire comprendre à vos compatriotes qu’ils avaient eux aussi leur part de responsabilité dans la crise.
    Les mots sont des êtres vivants, disait Victor Hugo. De son temps la science n’avait pas encore mis en évidence le rôle physico-chimique des idées, vraies ou fausses, et leur action sur le système neuro-cérébral. Les mots peuvent en effet tuer ou guérir.
    Il est vrai par exemple que notre peuple déteste la « hogra ». Mais en réalité il ne la déteste que quand il en est la victime car pris individuellement, chaque Algérien est un « haggar » en puissance, quand ce n’est pas en actes quotidiens dont il n’a pas conscience. Il est bon qu’il le sache afin qu’il s’améliore.
    Les mots, les discours véhiculent des idées, des modes de pensée, des directives d’action et, par leur référence à des idéaux ou à des systèmes de valeurs, deviennent de redoutables moyens d’opérer sur l’esprit et l’inconscient des gens. C’est dans ce sens que toute idéologie devient à la longue une psychologie. Or, le problème fondamental de l’Algérie dont tout découle est justement de nature psychologique.
    Les formes politiques, sociales et économiques que revêt notre crise ne sont que les effets d’une cause qui ressortit plus à la psychologie dans laquelle nous a formés le discours public depuis trente ans qu’aux données strictement politiques et économiques. En vertu des vicissitudes de son histoire, notre pays n’a pas définitivement cimenté son unité psychique et notre peuple, brave et candide au demeurant, ne s’est pas mué en société fonctionnelle et homogène.
    Nous n’avons pas suffisamment entrepris et agi ensemble à travers les âges, nous n’avons pas accumulé les réserves nécessaires en réflexes, mécanismes et habitudes de vivre ensemble, pour mûrir et nous établir définitivement comme nation au sens subjectif du terme. Si cela avait été, nos rangs ne se seraient pas disloqués sous les premiers coups de boutoir de l’idéologie islamiste ou de la politisation de la question amazighe. La force n’est pas un moyen de pallier durablement l’insuffisance de liant social et la quasi-inexistence de l’esprit civique. Les prodigalités économiques non plus.
    En déversant beaucoup d’argent sur un pays, en emplissant les ventres de ses habitants, on peut les maintenir dans un certain état de docilité et de stabilité, mais pas en faire un corps civique homogène. Une telle politique a un nom : « acheter la paix sociale ». De mon point de vue c’est pire, c’est de l’encanaillement ! A la première interruption du flot de la manne ainsi que cela s’est vu en 1988, l’unanimisme apparent se rompt et les rangs se dispersent. Le premier charlatan, le premier populiste, le premier nihiliste venu peut alors plonger le pays dans l’anarchie et la guerre civile.
    Dans les années 1960 et 1970 le liant social installé dans la psychologie des Algériens par la Révolution de Novembre avait tenu bon car il agissait encore sur les esprits d’un peuple réconcilié avec son histoire. Ce dernier était par ailleurs conforté par la certitude que son pouvoir travaillait à le doter d’un Etat pérenne et d’une économie de développement. Le contexte international, marqué par la rivalité Est-Ouest, la montée des nationalismes et le romantisme révolutionnaire baignait alors dans l’ambiance florissante des « Trente glorieuses ». Tout cela n’est plus aujourd’hui…
    En septembre 1972, au sommet des « Non-alignés » d’Alger feu le président Boumediene déclarait avec une sincère indignation : « Nous représentons les quatre-cinquièmes des populations du globe, nous possédons les trois-cinquièmes des richesses du globe, et pourtant nous ne sommes rien. C’est cela qui doit changer ». Trente ans après, cela a effectivement changé, mais dans le sens du pire. Une des deux superpuissances de l’époque – bipolarité par rapport à laquelle se justifiait le non-alignement — a été réduite à une complète impuissance. Le Tiers-Monde, comme unité distincte, n’existe plus.
    Dans son dernier livre, « Le grand échiquier : l’Amérique et le reste du monde », Zbinew Brzezinski désigne l’Eurasie comme le principal enjeu géopolitique des prochaines décennies et la décrit — ainsi que l’avait fait Boumediene pour le Tiers-Monde - avec pratiquement les mêmes termes : « Le plus grand continent à la surface du globe, 75% de la population mondiale, 60% du PNB mondial, les trois-quarts des ressources énergétiques connues… ».
    Le nouvel ordre international annoncé par G. Bush au début de cette décennie n’est certes pas celui auquel vous travailliez vous-même au début des années 1970 avec foi et acharnement. Dans la nouvelle configuration mondiale l’Afrique n’est plus qu’un appendice inerte du continent eurasien, tandis qu’un pays de la dimension de la Grande-Bretagne est néanmoins qualifié par Brzezinski d’« acteur géostratégique à la retraite ».
    Tout au plus, dans les nouvelles conditions et eu égard à sa situation objective, notre pays pourra-t-il prétendre à moyen terme au rang de « pivot géopolitique » (Etat dont l’importance tient moins à sa puissance qu’à sa situation géographique sensible) à l’instar de la Turquie, de l’Iran, de l’Ukraine, de l’Azerbaïdjan ou de la Corée du Sud…
    La politique internationale dans les années 1960 et 1970 se faisait plus avec les mots et les attroupements sur les places qu’avec les missiles guidés au laser. Aujourd’hui, même la possession d’un arsenal nucléaire ne sert à rien si elle n’est sous-tendue par la force économique, financière et technologique. Il reste heureusement Dieu comme on doit se dire dans les chaumières d’Irak ou de Serbie. Jésus disait aussi : « Dieu fait luire son soleil sur les bons et sur les méchants, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes ».
    Mais il reste que Dieu ayant décidé depuis la dernière Révélation faite à notre saint Prophète de ne plus intervenir directement dans les affaires humaines, c’est aux hommes, et dans notre cas particulier, c’est à vous, Monsieur le Président, qu’il incombe de conduire notre nation vers le salut.
    Notre pays a trop longtemps souffert de l’ignorance de ses dirigeants, lesquels ont, pour la plupart, consacré leurs maigres ressources mentales et intellectuelles à manigancer et à intriguer pour acquérir ou sauvegarder un statut illusoire, au lieu d’accomplir un rôle dont ils n’avaient aucune idée et pour lequel ils n’étaient assurément pas faits…
    Aujourd’hui que le sort vous a désigné pour présider à nos destinées à l’orée du troisième millénaire, il vous faudra mettre au service de cette mission votre conscience, votre expérience et vos compétences. Eduquez le peuple, éveillez-le, réformez son Etat, son école, son université ; frappez son imagination, secouez son esprit, soulevez son âme, donnez aux Algériens le sens du devoir, inculquez-les les notions de mérite et de dévouement ; nettoyez la justice et l’Administration, encouragez la culture (la vraie), éloignez les « baraghits » et la médiocrité !
    C’est de leur plus haut responsable que les citoyens d’un pays attendent d’habitude l’exemple et l’indication du chemin à suivre. Ils sont inconsciemment portés à attendre de lui les gestes symboliques, les preuves de sa sincérité et les manifestations de sa compétence. Vous avez parlé d’« esprit chevaleresque », donnez-en des illustrations concrètes, montrez que vous êtes magnanime tout en étant intraitable…
    Vous pouvez réaliser la « réconciliation » à condition qu’elle ne soit pas comprise comme une reconnaissance de l’efficacité du recours à la violence pour faire valoir des thèses car, sitôt la paix obtenue avec ceux-ci, ceux-là seront tentés de prendre leur place au maquis et d’attendre que vienne le président qui leur offrira « rahma » et « réconciliation ». Notre pays ne pourra pas survivre à une autre guerre civile et nul ne pourra alors éviter l’intervention armée de l’étranger pour nous aider à « régler » nos problèmes…
    Méditant sur son itinéraire politique avant sa chute Nixon écrit dans ses Mémoires : « Un ennemi est un ami que je n’ai pas rencontré ». Cette sentence vaut aussi bien pour vous qu’à votre propos. La majorité des Algériens actuels ne vous connaissent pas. Ils ne vous ont pas rencontré et ne savent de vous que ce qu’ils ont entendu ou lu sur vous. Vous êtes aujourd’hui en face d’eux, vous avez l’occasion de vous faire connaître d’eux pour ce que vous êtes réellement et, selon ce qu’ils découvriront, ils seront vos amis ou vos ennemis.
    Un homme d’Etat qui regarde vers le haut et non vers le bas, qui scrute l’horizon de l’Histoire au lieu des coulisses du pouvoir, qui n’agit pas en fonction du seul court terme, qui ne flatte pas l’ignorance et les défauts de ses concitoyens pour s’en faire aimer, finira par gagner l’affection de son peuple et forcer le respect de l’étranger. Ce que nous appelons dans le langage moderne la « légitimité par l’action », les anciens Chinois l’appelaient le « mandat du Ciel ».
    C’est ce qui est présentement entre vos mains. Que Dieu vous assiste dans l’accomplissement de cette haute et noble mission.
    Texte écrit par : Noureddine Boukrouh

    https://www.facebook.com/permalink.php

  • #Rennes bastion du PS et sa maire Nathalie la Taloche (à béton ou 1ère tête à claques ; une pour chaque mandat de la dame cumularde au possible) Quelques véridiques citations (page 6) relevées dans Episode 1 de http://hubertlehobbit.blogspot.fr

    « rénover la France pour qu’elle devienne capable d’innover et de pros-pérer dans le grand vent qui se lève »

    Jeanne-Emmanuelle Hutin.

    « développer en chacun ses capacités d’initiative, d’en-treprise, d’invention, de recherche ».

    Paul Burel.

    « ne pas négliger les efforts indispensables pour rester dans la course du monde »

    Jean Boissonnat.

    « construire l’avenir sur le roc de la réalité (éco-nomique) et non pas sur le sable des illusions amère »

    François-Régis Hutin.

  • Sans titre
    http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=861078710645705&id=673380382748873

    Center Parcs de Roybon : le préfet envisage une expulsion des opposants en juilletwww.ledauphine.comLe préfet de l’Isère envisage de procéder à une expulsion des militants opposés au Center Parcs de Roybon au mois de juillet, en cas de rejet par le tribunal administratif des recours des opposants au projet de village vacances.

  • Aidez le documentaire "The End of Meat" à voir le jour ! Le tournage a duré un a...
    http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=856515427768700&id=673380382748873

    Aidez le documentaire « The End of Meat » à voir le jour ! Le tournage a duré un an, et maintenant les réalisateurs ont besoin de dons pour que ce documentaire puisse exister. Imaginez une société dans laquelle les animaux ne seraient plus exploités par l’humain. Une société dans laquelle les droits des animaux seraient respectés, et où leurs besoins seraient pris en considération. Une société dans laquelle notre relation avec eux serait basée sur la compassion et la compréhension plutôt que sur la domination. The End of Meat est un documentaire qui explore l’idée d’un monde « post-viande ». On y retrouvera des interviews de philosophes, scientifiques, artistes et activistes qui partagerons avec nous leurs sentiments et idées progressistes sur le rôle que les animaux joueraient dans notre société. Pour en (...)

    • Pas de plainte, circonstances « pas claires » pour le YNet, mais suffisamment de temps pour que faire des déclarations aux médias :

      Since horowitz refused to file a complaint with local police, the circumstances surrounding the attack remain unclear.

      […]

      Horowitz refused medical care and did not file a complaint with local police. “I didn’t want to spend all night at the (police) station. I don’t know if the attack was racially motivated , but wither way it’s annoying: In Israel I was criticized by the right and in France the Arabs beat me up.”

      Je vois à l’instant qu’Electronic Ali se pose des questions : Did Israeli filmmaker Yariv Horowitz fabricate story of brutal attack by “Arab youths” in France ?
      http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/did-israeli-filmmaker-yariv-horowitz-fabricate-story-brutal-atta

      I spoke with Karine Paravisini, the police commissioner of Aubagne by telephone today.

      Paravisini confirmed that police and emergency medical services (pompiers) had been called to attend the scene of an incident. She did not know who had called them.

      Paravisini said that when police arrived on the scene Mr. Horowitz appeared to be fine and refused medical assistance. “He was not unconscious, and if he had been he would have been taken to the hospital. We would not leave a person who was seriously injured in the street just like that.”

      Paravisini said that Horowitz refused to make a police report and police had no reports from any third parties or witnesses regarding an attack and no suspects since no complaint had been made.

    • Festival International du Film d’Aubagne
      il y a 4 heures
      http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=10151516338493360&id=139115833359

      Mais il convient de rétablir certaines vérités :
      1 - Ce ne sont pas des hommes qui ont commis l’agression mais un jeune mineur qui était avec d’autres jeunes de son âge.
      2 - Celui-ci n’était pas arabe.
      3 - Les événements qui ont déclenché le coup (un seul coup) n’ont rien à voir avec une agression raciste.
      4 - Après avoir été aidé par les organisateurs du festival, Yariv Horowitz a été vu par les pompiers qui n’ont relevés qu’une blessure mineure. Ils lui ont proposé d’aller voir la police. Le réalisateur a refusé. Sa blessure étant minime il n’a pas souhaité non plus aller à l’hôpital.
      5 - Loin du lynchage, Yariv Horowitz a repris le cours du festival dès le lendemain et a participé aux différents événements jusqu’à la fin du festival.
      6 - Il est monté sur scène le soir de la remise des récompenses avec le sourire pour recevoir son prix : mention spéciale du jury pour la qualité de sa mise en scène.

    • L’agression du cinéaste israélien fait débat | La Provence
      http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2287599/lagression-du-cineaste-israelien-fait-debat-sur-le-web.html

      Yariv Horowitz, cinéaste israélien a été agressé le 21 mars à Aubagne lors de la présentation de son long-métrage Rock The Casbah au festival du film d’Aubagne, rapporte le site "JewPop". Depuis informations et désinformations circulent sur internet, notamment sur des sites communautaires. « Jewpop » constate « le silence des médias français sur l’agression ». Desinfos.com pousse plus loin en affirmant que le cinéaste a été « gravement lynché après la projection de son film ». D’autre part, de nombreuses rumeurs circulent sur les éventuels agresseurs. 

      Gaëlle Rodeville, déléguée générale du Festival international du film d’Aubagne, souhaite faire une mise au point face à l’ampleur que prend la désinformation autour de l’agression du cinéaste israélien, Yariv Horowitz, présent sur le festival avec son film « Rock the Casbah » en compétition internationale. 

      "Nous étions sur place lors de l’agression du réalisateur Yariv Horowitz le jeudi 21 mars à 22h30. Il ne nous appartient pas de juger à qui revient la faute et aucune agression n’est excusable. Mais il convient de rétablir certaines vérités : ce ne sont pas des hommes qui ont commis l’agression mais un jeune mineur qui était avec d’autres jeunes de son âge ; pour nous, celui-ci n’était pas arabe. 3 - Les événements qui ont déclenché le coup (un seul coup) n’ont rien à voir avec une agression raciste, ni un lynchage...

      Désinformation à Aubagne : le CRIF pris la main dans le sac
      http://www.europalestine.com/spip.php?article8201

      Email adressé par l’attaché de presse du Festival à Electronic Intifada :

      « Aubagne, le 30 mars 2013

      "...."

      "Nos déclarations sont étayées par des témoins et par des vidéos. Nous demandons au réalisateur Yariv Horowitz de retirer les déclarations qu’il a faites au journal israélien Haaretz, et de faire preuve de retenue à propos d’allégations dont le seul effet est de renforcer le communautarisme. Nous appelons à la raison, et demandons aux journalistes d’exercer leur métier de manière professionnelle, sans alimenter la haine avec des informations partiales et non vérifiées ».

    • His lies about brutal “Arab” attack in France exposed, Israeli director Yariv Horowitz concocts new ones- http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/his-lies-about-brutal-arab-attack-france-exposed-israeli-directo

      Instead of taking responsibility for blaming “Arab” youths as he did unambiguously and repeatedly, Horowitz now blames an “Arab” man who allegedly approached him the next day for attributing the attack to Arab youths! For Horowitz, who apparently doesn’t check his earlier claims before issuing new contradictory ones, it seems Arabs are responsible for everything!

    • De la plume même de Richard Abitbol, président de la « Ligue de défense juive »
      AGRESSION de Yariv Horowitz : EXAGERATION ou MENSONGE VOLONTAIRE ? | Ligue de Defense Juive
      http://www.liguedefensejuive.com/agression-de-yariv-horowitz-exageration-ou-mensonge-volontaire

      Afin de faire du buzz on fait croire à une agression antiisraélienne ou antisemite.

      Depuis quelque temps, nous assistons à une recrudescence de dénonciations de faux actes antisémites : cela est indécent et coupable.
      Indécent, car au vu de la recrudescence et de la montée en puissance des actes antisémites avérés, nul besoin est d’en rajouter ; indécent, vis-à-vis des véritables victimes de l’antisémitisme ; indécent, car cela décrédibilise notre action auprès de la presse et des autorités ; enfin, indécent vis-à-vis de l’image de notre communauté.
      Coupable car la volonté de « tirer le premier » de certaines institutions ne tient absolument pas compte de l’intérêt communautaire mais de celui de « paraître » ; coupable, car ces réactions sont motivées par une volonté de communication interne, bien plus que de celle de défendre notre communauté ; coupable, car ces fausses déclarations sont immédiatement décortiquées par nos ennemis pour jeter le doute sur la multitude d’actes antisémites qui eux sont réels !!!
      Nous nous souvenons tous de la triste affaire du R.E.R D, cette fausse alerte sur un acte antisémite qui n’en était pas un, et qui a causé un tort profond à la lutte contre l’antisémitisme en France. Déjà alors, le B.N.V.C.A avait mis en garde sur une hyper-réactivité sans avoir contrôlé les faits.
      Puis nous avons eu « l’agression présumée » d’un garçon de 12 ans dans le métro parisien alors qu’il attendait le bus qui devait l’emmener à l’école. Or, après enquête, le B.N.V.C.A a pu affirmer que cette agression n’avait jamais eu lieu.
      Ensuite, il y eut l’annonce d’une agression qui aurait eu lieu vendredi 2 novembre à Nice. Il s’agissait d’un différend de voisinage qui aurait dérapé.
      Nous avons eu également la dénonciation « d’une agression antisémite » qui aurait été commise à Sarcelles contre un membre de la communauté juive, et rapportée dans Le Parisien du 2/11/12, il s’agissait en fait d’un bizutage lié à Haloween.
      De cette communication incontrôlée, nous venons, à nouveau, d’en faire les frais cette semaine avec « l’agression présumée » d’un cinéaste israélien à Aubagne.

      Après enquête du B.N.V.C.A, il semble que cette histoire n’ait rien à voir avec un quelconque acte antisémite ou antisioniste. D’ailleurs, le film de Yariv Horowitz est plutôt pro-palestinien.
      Après enquête, il apparaît que la police et les services médicaux ont bien été appelés sur les lieux de « l’incident », sans authentification de l’appel, mais que lorsque ceux-ci sont arrivés sur les lieux Monsieur Horowitz était en forme et a refusé toute assistance médicale.
      Selon le Commissariat, « Il n’était pas inconscient, et s’il l’avait été, il aurait été emmené à l’hôpital. Nous n’aurions jamais laissé une personne qui aurait été grièvement blessée dans la rue comme ça. ».
      La Police confirme que Monsieur Horowitz a refusé de déposer plainte ou d’établir un rapport de police, et qu’aucun témoin n’est venu au commissariat pour rapporter un tel incident.
      Il semble que le déroulé de l’histoire soit le suivant : Jeudi dernier ( et non le 28) Yariv Horowitz présente son film (pro-palestinien) qui est accueilli très chaleureusement par le public du festival (il a d’ailleurs eu le prix spécial du jury).
      Il a eu une altercation avec des jeunes d’Aubagne (jeunes environs 15-17 ans) au sujet d’un mauvais geste, qui n’a rien à voir avec le fait qu’il soit réalisateur, ni même israélien ! L’incident s’est produit sans aucun rapport avec la projection contrairement à ce qui a été rapporté ; et que ces incidents n’ont eu aucun caractère de gravité (comme décrits plus haut). Et d’ailleurs, le lendemain, le jeune cinéaste faisait la fête avec l’équipe du festival avant de prendre l’avion et de rentrer tranquillement chez lui en Israël.
      Au vu de tout ceci, la dénonciation, par certaines institutions communautaires, d’un « lynchage antisémite » sur ce jeune cinéaste et dire qu’il aurait été « agressé et battu par un groupe d’individus qui l’ont projeté à terre et lui ont donné des coups de pieds, ce vendredi 29 Mars 2013, juste après la projection de son film… Et qu’après avoir perdu connaissance, il a été soigné sur les lieux. » sans avoir pris la peine de vérifier les faits relève de l’inconscience coupable !
      Il est clair que cette information a été « repiquée » d’un media internet et reprise sans aucun contrôle alors que l’incongruité de la date aurait du suffire pour insuffler le doute ( le Festival s’étant terminé le 23 Mars !) ; d’autant plus que la date mentionnée est différente suivant les différents medias qui ont relaté le présumé incident !!!

      La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël rappelle solennellement que l’information concernant les agressions antisémites est trop sensible pour être dévoyée.
      Nous appelons ceux qui sont en charge de cette veille à plus de professionnalisme, pour notre part nous ne pouvons qu’être satisfaits de la qualité des informations communiquées par le B.N.V.C.A qui se sont toujours avérées exactes comme dans les affaires ci-dessus citées.
      Dans ce contexte, il est important que les responsables communautaires ne se précipitent pas à diffuser des informations erronnées qui inquiéteraient inutilement une communauté déjà durement éprouvée.
      La situation est suffisamment grave pour ne pas être dévoyée par de fausses alertes .
      Pour notre part, nous prenons toutes les mesures nécessaires afin que toutes les informations qui nous parviennent soient minutieusement vérifiées, il y va de la crédibilité de notre lutte contre l’antisémitisme.
      Nous espérons vivement que ces dérapages ne se reproduiront plus à l’avenir, il y va de la crédibilité de notre communauté !

      Richard C. ABITBOL
      Président

  • Trop la classe : ici, Lara Fabian chante en hébreu à un événement célébrant les soixante ans d’Israël.
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=h-Uf9mWxaRE

    Alors maintenant, pour son concert prévu au Liban, ça risque d’être un peu houleux. (Si ça se confirme, nos médias en causeront et en feront une affaire de censure un peu antisémite par le Hezbollah, comme ils l’avaient fait avec Gad Elmaleh.) C’est vrai, ça, hein, si on ne peut plus chanter son amour pour le pays qui vient de massacrer les civils libanais et ensuite aller chanter son amour pour les libanais survivants…

    Lebanese activists want Lara Fabian concert ban after pro-Israel gig
    http://english.al-akhbar.com/content/lebanese-activists-want-lara-fabian-concert-ban-after-pro-israel-

    The Lebanese government is under pressure to ban a prominent Belgian singer from appearing in Lebanon after footage emerged of her performing at an event to celebrate the 60th anniversary of Israel.

    Lara Fabian, a Belgian-Italian classical singer who has sold over 15 million records worldwide, is due to perform two concerts at Casino du Liban in Jounieh on the 14th and 15th of February, with tickets costing between US$200 and US$500.

    YouTube videos have emerged showing the singer performing at a concert in France in 2008 to celebrate the creation of Israel in 1948.

    In the concert, directed by her fiance Gerard Pulliccino, Fabian sang in Hebrew in front of images of various Israeli leaders, settlements and other iconography.

    After her song finished she reportedly shouted: “I love you Israel” to the crowd. She has also performed in Israel on a number of occasions and attended pro-Zionist meetings.

  • Une définition du #Christianisme lu sur Facebook

    « Croyance qu’un juif cosmique zombie peut vous faire vivre éternellement si vous mangez symboliquement sa chair et lui dites par télépathie que vous l’acceptez en tant que maitre, pour qu’il puisse ôter de votre âme une force maléfique, présente dans l’humanité à cause d’une femme-côte qui fut persuadée par un serpent qui parle de manger le fruit d’un arbre magique. »

    http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=10150298910547200&id=757112199