La Société générale abandonne Alpha Coal, une victoire non-violente pour le climat

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  • Ces sauveteurs du #Climat qui commencent à inquiéter l’industrie pétrolière
    http://www.bastamag.net/May-Boeve-350-org-Il-y-a-beaucoup-plus-de-gens-prets-a-agir-pour-le-climat

    Blocages de projets polluants, marches mondiales pour le climat, campagne contre l’industrie pétrolière et gazière : les actions organisées par 350.org – un réseau de militants du climat né dans les campus nord-américains – commencent à rencontrer un succès populaire qui contredit l’ambiance de résignation face au changement climatique. Leur campagne pour le désinvestissement des énergies fossiles a réussi à mobiliser une large coalition d’acteurs, allant des militants de l’action directe de la mouvance (...)

    #Résister

    / #Altermondialisme, Indignés de tous les pays..., #Amériques, #Eviter_le_dépôt_de_bilan_planétaire, #Le_défi_du_réchauffement_climatique, #Entretiens, Climat, #Finance, A la (...)

    #Indignés_de_tous_les_pays...

  • « La bataille du climat se joue maintenant, si on la perd, on perd toutes les autres » - Txetx Etcheverry :
    http://www.reporterre.net/Txtex-Etcheverry-La-bataille-du

    La réflexion nous a fait comprendre qu’il ne fallait pas aborder le problème du #climat comme problème, mais par les solutions. Les gens ne se sentent pas de prise sur le changement climatique, parce qu’il parait trop abstrait, immense et complexe, et d’autre part parce que les seules solutions envisagées jusqu’alors étaient l’accord de 200 chefs d’Etat.
    Les gens se sentent impuissants. #Alternatiba prend la question par l’autre bout : on ne dit plus qu’il faut attendre d’une grande réunion internationale la solution magique au réchauffement climatique. On dit qu’on peut faire plein de choses tout de suite, à partir des individus, des collectifs et des territoires.


    Pourquoi faire du climat la mère de toutes les luttes écologistes ? Est-ce plus important que la biodiversité, par exemple ?
    Le climat détermine tous les autres pans de la vie sur Terre, les conditions de guerre et de paix, les possibilités de maintenir une démocratie. Et la biodiversité ne résistera pas au changement climatique s’il s’aggrave encore. Tout le reste est conditionné par le climat.
    Et puis, il y a une donnée particulière dans le climat, c’est le calendrier : on a dix ou quinze ans pour empêcher de passer à des seuils d’emballement irréversibles. Certes, en biodiversité, il y a aussi un calendrier pressant et on franchit des seuils, mais il y a des choses plus ou moins réversibles, on arrive à faire revivre des sols bétonnés et pollués…
    En ce qui concerne le climat, une fois qu’on a franchi le seuil, c’est fini. Si l’on croit ce que nous disent les scientifiques, cette bataille est centrale. Si on la perd, on perd toutes les autres. Et cette bataille se joue maintenant.

    Certains reprochent à Alternatiba que son ouverture dilue sa substance radicale.
    Il faut assumer les conséquences de l’ouverture aux autres ! Quand on fait un processus très large, avec beaucoup de personnes qui n’ont jamais milité, et avec des niveaux de conscience très inégaux, il peut y avoir beaucoup de contradictions. Cela va se gérer petit à petit, par la pratique de débat collectif.
    Tout ne sera pas politiquement correct, et d’autres militants peuvent trouver qu’on ne va pas assez loin. Les polémiques autour d’Alternatiba nous reprochent de ne pas être assez anticapitaliste, d’avoir demandé des subventions à une mairie ou de frayer avec telle personne qui n’est pas recommandable...
    C’est un véritable mal en France. Dès que des mouvements sont lancés, on leur tombe dessus avec une suspicion énorme. On les accuse de ne pas être assez ceci, ou de ne pas avoir fait cela. Et du coup, on casse ces mouvements avant même qu’ils connaissent le processus de maturation qui doit les faire évoluer.
    Il y a vraiment un problème dans l’ensemble de la gauche française – et quand je dis gauche, je parle de la gauche sociale, la gauche syndicale, écologiste, altermondialiste, décroissante, libertaire… Je n’arrête pas d’entendre des polémiques entre les uns et les autres sur le niveau de pureté de décroissance, sur l’obscurantisme, sur une démarche pas encore assez écolo, etc. Les gens perdent une énergie terrible à alimenter ces polémiques au lieu de la consacrer à convaincre le reste de la population.

    Le contexte politique est cependant propice à des récupération dangereuses ou contre-productives. Comment éviter le piège de ce grand « confusionnisme » écologiste ?
    Je me poserais ce genre de questions si j’étais un mouvement massif pesant sur la réalité. Aujourd’hui, la priorité est de peser sur les choses. Notre obsession est de toucher les gens non conscientisés, de créer des dynamiques de masse et un vrai rapport de force dans la société, de porter un autre discours, de mener des campagnes gagnantes. C’est ça qui doit nous guider en premier lieu et nous aider à mûrir. Si on attend d’avoir dépassé les contradictions et d’avoir la vision parfaite pour agir, on n’agira jamais.
    S’il n’y avait pas Alternatiba, ce style de confusionnisme existerait de toute façon. Le gouvernement et les multinationales alimenteront quoi qu’il en soit les discours sur le #nucléaire, sur les #agrocarburants, sur la #géo-ingénierie, etc. Avec Alternatiba, on va aller sur près de 180 territoires différents, à la rencontre de centaines de milliers de personnes. Et ce sera avec un discours clair sur les #fausses_solutions, avec des conférences sur ces questions.

    « Ce n’est pas la conscience qui crée la pratique, mais la pratique qui crée la conscience » : vous mettez en œuvre l’adage de Saul Alinsky.
    C’est par la lutte de terrain plutôt que par les grands discours que se constitue une identité : tu peux parler très bien d’écologie, d’anticapitalisme et de société idéale, ça ne t’amènera pas grand-monde. Par contre, si une Ligne à grande vitesse doit passer dans ton jardin... Il faut accepter que les gens viennent comme ils sont, au niveau de conscience qui est le leur.


    Vous vous dites « radicalo-pragmatique » http://www.politis.fr/Bizi-la-grande-force-d-un-petit,25032.html. A Grenoble, Eric Piolle utilise la même formule. Est-ce la nouvelle ligne politique des écologistes ?
    On se considère comme radicaux car on croit vraiment au slogan « changer le système pour ne pas changer le climat ». Il faut mettre autre chose en place que le #capitalisme, la croissance et le #productivisme si on veut rester dans les limites possibles de la Terre.
    Mais on est pragmatiques car on a conscience du rapport de force. On ne parle pas de révolution, pour l’instant, on est incapables de la faire. Donc on lance des dynamiques qui permettent de créer des rapports de force favorables, d’être demain en capacité de gagner, même des petites batailles.
    On ne monte jamais en haut d’une montagne d’une traite, mais en plusieurs étapes. Je me souviens d’une personne qui nous reprochait de défendre une politique cyclable à Bayonne, au prétexte qu’une fois acquise, elle profiterait à Decaux qui mettrait plein de vélos partout avec sa publicité. Mais avec ce raisonnement, les féministes auraient-elles dû batailler pour le droit à la contraception ? Parce qu’à la fin, c’est un grand laboratoire pharmaceutique qui récupère la mise.
    La seule question pertinente de la #radicalité est de savoir si elle change les rapports de force et si elle transforme la #société. Il y a un déphasage, en France, entre le discours radical et l’action réelle. Il faut être à la fois dans la radicalité et la résistance, en puisant dans la désobéissance civile et l’action directe non-violente, et dans un travail large, qui formule des propositions parlant à la population et aux élus.
    L’un n’empêche pas l’autre, au contraire : la force qu’on a pour nos dernières actions médiatiques, quand on va déverser des tonnes de charbon devant la #Société_Générale http://seenthis.net/messages/319482 ou saisir des chaises à la banque #HSBC http://seenthis.net/messages/357311, on la tire aussi de notre nombre. On a dans notre réseau beaucoup de gens très différents, ça nous donne une vraie légitimité et rend le travail plus compliqué pour les policiers ou les juges, qui ne peuvent pas nous traiter comme des voyous.
    Face à l’Etat et sa #répression, il faut allier l’action radicale et le soutien des masses. C’est tout l’intérêt de la stratégie non-violente.

    • Cela fait un moment que je pense que les « conférences » n’aident pas à constituer des « nous » capables d’agir pour modifier ensemble et publiquement leurs modes de vie.
      Elles médusent et flattent plus qu’autre chose, elles encouragent des « nous » idéologiques sans rompre avec la logique de consommation (d’idées ;-)).
      Les manières plus humbles, plus terre-à-terre, de s’entre-influencer sont lentes mais me semblent davantage capacitantes = converser sans cesse sur le quotidien partagé, essayer de dépasser les échanges de convictions ou de rumeurs par de l’enquête et de l’expérimentation… L’échelle communale et celle de l’entreprise sont évidemment cruciales et un drapeau (alternatiba ?) n’y a guère de sens.

  • Charbon contre #Climat : quand l’avenir de l’humanité se joue, en partie, en Australie
    http://www.bastamag.net/Charbon-contre-climat-quand-l-avenir-de-l-humanite-se-joue-en-partie-en

    C’est une victoire pour le climat et la Grande barrière de corail. Pour la première fois, les banques françaises viennent de s’engager clairement à ne pas investir dans l’extraction des vastes réserves de charbon du Bassin de Galilée, au Nord-ouest de l’Australie. Une démarche qui n’aurait pas été possible sans la campagne acharnée menée par les militants écologistes et altermondialistes, en Europe comme en Océanie. Mais la bataille ne fait que commencer, et nous concerne tous. Car l’exploitation de ce (...)

    #Résister

    / A la une, #Altermondialisme, #Asie_et_Pacifique, #Le_défi_du_réchauffement_climatique, #Eviter_le_dépôt_de_bilan_planétaire, #Enquêtes, Climat, Biodiversité, #Multinationales, (...)

    #Biodiversité #Finance

  • Climat : les COP servent elles vraiment à quelque chose ? » Bizi !
    http://www.bizimugi.eu/fr/climat-les-cop-servent-elles-vraiment-a-quelque-chose

    Depuis 20 ans maintenant, chaque fin d’année, une COP (Conférence des parties) a lieu dans un pays différent. La vingtième, donc la COP20, vient de s’achever à Lima et a passé le relai à la #COP21 qui se déroulera à Paris. La COP21 aura une importance particulière car elle est censée accoucher d’un accord définissant la lutte commune des Etats contre le #changement_climatique à partir de 2020.

    Ces impressionants sommets de l’ONU se déroulent sur un espace énorme, pendant 12 jours, nuit et jour. Des autobus spéciaux emmènent jour comme nuit les milliers de participants accrédités et badgés à l’intérieur du lieu, gigantesque, où se tiennent les réunions de négociation, mais également d’innombrables rencontres, discussions de couloirs, opérations de #lobbying, actions revendicatives strictement encadrées par la police de l’ONU et la sécurité ultra-présentes.

    On peut se demander ce qui se joue vraiment dans ce processus qui absorbe l’énergie, le temps et les moyens financiers de tant de pays, d’ONG, de réseaux militants, quand on voit l’absence de résultats probants depuis ces 20 années de COP ( + 60 % d’émissions mondiales depuis 1990). Les + 2°C, zone d’impact majeur des conséquences du #réchauffement_climatique pour l’ensemble de la planète, qui était l’objectif à ne pas dépasser à l’horizon 2100 à l’époque du sommet de Copenhague vont peut-être franchis dès 2030.

    En discutant en tête à tête avec certains acteurs de la délégation française, on voit qu’en fait, les gens ont intégré le fait qu’on allait les dépasser, et ce à court terme. Ce qui rejoint la déclaration qu’avait faite Laurence Tubiana, l’ambassadrice pour le climat du gouvernement français, en novembre “A Paris, nous ne serons pas en capacité d’être dans un scénario de limitation du réchauffement à 2 °C. C’est pour cela que nous devons chercher un plan à 2050 qui nous permette de revenir sur la bonne trajectoire.” Que de tels constats d’échecs, annonciateurs de tant de drames humains à une échelle planétaire, ne fassent pas la Une de nos journaux est bien révélateur du chemin restant à parcourir pour une réelle prise de conscience sur ce que signifie vraiment le dérèglement climatique en cours.

    On sent bien un décalage réel entre le climat feutré de ces négociations, l’ambiance générale ressemblant à n’importe quelle autre grande messe sur tel ou tel thème habituel et l’enjeu historique du défi climatique. L’ambiance détendue, tranquille, normale (sur un site ou tout -la moindre bouteille d’eau- est cher, en plastique jetable…) contraste avec l’urgence et la gravité du dérèglement climatique en cours, la violence du typhon fonçant sur les Philippines, le fait que se joue, de manière irréversible, rien de moins que le maintien de conditions de vie civilisées sur terre. Et pourtant ici, tout le monde sourit, respecte les codes et les règles, et on a du mal à croire qu’on fonce vers le mur. Comment l’Histoire, les générations à venir jugeront elles tout cela ? La question se pose sérieusement.

    Que retenir de la COP de Lima :

    Depuis la sortie des ONG de la COP de Varsovie, pour y dénoncer la présence scandaleuse des lobbies de l’#énergie_fossile, et malgré le fait qu’on se rapproche à grands pas de la COP21 qui devrait accoucher de l’accord à la hauteur de la situation, que s’est il passé ?

    Lima termine sur un accord en décalage complet avec l’ampleur et l’urgence du problème climatique. Le monde est sur une trajectoire terrifiante de + 4 à 5° C par rapport à l’ère pré-industrielle (ce qui équivaut à la différence entre le climat actuel et celui de la dernière période glaciaire), voilà ce qu’il faut retenir.

    Il faut retenir également que les pays développés remettent en cause les rares acquis de la négociation internationale sur le climat depuis le sommet de Rio de 1992, comme par exemple l’acceptation de responsabilités historiques différenciées entre eux et les pays non industralisés. Les mesures qui permettraient aux pays les plus pauvres de mieux affronter le défi climatique, les questions d’adaptation, de finance, de transferts de technolgie, de réparation de pertes et dommage, sont combattues par les pays développés. Le caractère contraignant des objectifs et accords passe à la trappe, comme si l’on pouvait croire que les bonnes intentions affichées en matière de réduction de gaz à effet de serre allaient être tenues si personne n’y est obligé. Et rien n’est vraiment entrepris dans les années qui viennent alors qu’elles sont capitales pour réussir à maîtriser la trajectoire de réduction des gaz provoquant le réchauffement climatique. Les objectifs à 2030, 2050 engagent évidemment moins ceux qui les signent aujourd’hui que les décisions concrètes pouvant être prises dés 2015, et que les objectifs à horizon 2020 (pas revus à la hausse à Lima), ou 2025 comme le demandent les ONG et un certain nombre de pays.

    Quand on voit qu’en pleine COP20, le travail commun de trois seules organisations, les Amis de la Terre, ATTAC-France et Bizi !, à réussi à arracher le retrait de Société Générale du projet climaticide Alpha Coal, produisant à minima un gros retard dans la réalisation de ce projet, et donc à empêcher concrètement de très importantes émissions de #gaz_à_effet_de_serre, on se demande si la mobilisation citoyenne ne peut pas avoir plus d’impact que les possibilités réelles d’avancées qui se jouent dans les COP. On peut d’autant plus se poser cette question que tellement de choses qui ont des conséquences lourdes sur le #climat, comme par exemple le projet #TAFTA, ne sont aucunement conditionnées par le processus des COP.

    Autre question lancinante : quand on sait que l’Agence Internationale de l’Energie (donc une institution totalement impliquée dans le système actuel) calcule qu’il faudrait laisser sous le sol 2/3 des énergies fossiles actuellement connues si l’on veut éviter de dépasser les 2°C, comment se fait il que le processus de négociations des COP n’aborde même pas la question de l’#extractivisme, et ne parle pas des mesures qu’il faut prendre pour interdire toute extraction au delà d’un tiers de ces réserves connues (et donc comment se fait-il que puissent continuer -et être légales- les subventions publiques à l’exploration pour découvrir de nouvelles réserves d’énergie fossiles ?).

    Bien sûr, il restera toujours le fait que ces COP mettent en théorie chaque pays du monde, y compris les plus pauvres, sur un même pied d’égalité. Ces derniers peuvent en théorie y bloquer un certain nombre de choses trop à leur désavantage. Si demain ce n’est pas l’ONU qui gère ce processus de négociations sur le climat, qui le fera ? Le G20 ? Le G8 ? Les USA et la Chine ?

    Le seul aspect peut-être réellement positif de ces COP est qu’elles constituent un important moment de rencontre entre des activistes, experts, réseaux du monde entier, soit à l’intérieur de la COP elle-même, soit à l’extérieur tout au long de ces COP. Ici, à Lima, la Cumbre de los Pueblos a été le centre le plus visible de ces rencoontres, avec comme point culminant la tenue d’une manifestation de 20 000 personnes, avec beaucoup de jeunes et de femmes, de nombreux syndicalistes, et membres de communautés affectées par les conséquences du changement climatique (le Pérou est un des 4 pays au monde qui va etre le plus impacté par ce problème) et par les ravages de l’extractivisme. Autre centre très actif, la Casa de convergencia Tierra Activa qui réunissait plus les jeunes de tous pays, les secteurs plus activistes qui ont donné beaucoup de couleur et de fraicheur à la grande marche du 10 décembre. Ce sont également eux qui ont organisé la colonne qui s’est dirigées vers l’Hotel Hilton où se réunissaient les représentants des #multinationales et du monde financier qui pèsent chaque fois d’avantage sur les négociations.

    Beaucoup d’autres réunions, officielles ou informelles se succèdent également, aidant à construire des réseaux, des projets et des campagnes communes : assemblées pour la justice climatique, rencontres sur les alternatives sytémiques, rencontre tripartite entre activistes climat de Chine, d’Europe et d’Amérique Latine, innombrables discussions bi ou multi-latérales entre différentes organisations, réunions de la coalition française préparant la mobilisation en perspective de la COP21 et réunions entre cette coalition et les grands réseaux internationaux etc. Les bases d’une internationale des défenseurs du climat, les partisans d’un monde plus solidaire, plus juste, plus convivial, plus soutenable tentent de se construire.

    Pendant ces COP, mais également en dehors, se dessine peu à peu un mouvement climatique mondial, avec des moments comme les marches du 21 septembre à New York et dans le monde entier, l’extension du processus #Alternatiba, cette manif de Lima, et d’innombrables batailles communes ou différentes selon les territoires, notamment les luttes contre l’extractivisme ou les grands projets d’infrastructures liées à des logiques productivistes et développementistes du passé.

    L’avenir de ces COP dépend lui-même de la montée en puissance d’un tel mouvement pour la justice climatique. Car tant qu’il n’y aura pas un vrai rapport de force institué à l’extérieur par les communautés et les peuples contre les responsables du changement climatiques, il est probable que les discussions à l’intérieur des COP resteront centrées sur les tirets et les virgules de textes passant à côté de l’enjeu historique du problème que pose le dérèglement climatique à l’humanité entière.

    c’est toute l’inertie du scénario #brown_tech qui est à vaincre

  • Sous pression, la #Société_générale se retire d’Alpha Coal, un projet minier destructeur
    http://multinationales.org/Sous-pression-la-Societe-generale

    La Société générale vient de déclarer ce 5 décembre par communiqué de presse qu’elle se retirait du projet Alpha Coal, un projet de mine de #charbon géante en #Australie, très contestée pour ses conséquences négatives sur l’environnement. La banque française invoque le « retard » du projet pour « suspendre son mandat ». Mais la décision marque surtout le succès de la mobilisation citoyenne organisée en France contre la SocGen et Alpha Coal par les Amis de la terre, Attac et Bizi ! Ces derniers mois, la Société (...)

    Actualités

    / Australie, #Industries_extractives, #Finances_et_banques, Société générale, charbon, #Énergies_fossiles, #campagne_citoyenne, #changement_climatique, #impact_sur_l'environnement, industries (...)

    #industries_extractives
    « http://www.amisdelaterre.org/Sous-pression-citoyenne-la-Societe.html »