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  • Syriens au #Liban : évacuations, exploitation et frustration

    Dans la #Bekaa, plus de 3 000 réfugiés syriens ont été déplacés de force autour d’un aéroport militaire. Syriens et Libanais s’y adonnent à un dangereux dialogue de sourd, faisant planer la menace d’un retour forcé en Syrie. Reportage


    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/syriens-au-liban-vacuations-exploitation-et-frustration-1752704378
    #réfugiés_syriens #réfugiés #asile #migrations #Nofal #camps_de_réfugiés

  • Tous unis contre les musulmans : Israël flirte avec l’extrême droite européenne
    Middle East Eye | Meron Rapoport | 14 avril 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/tous-unis-contre-les-musulmans-isra-l-flirte-avec-l-extr-me-droite-eu

    (...) Les attentats comme celui de Stockholm deviennent de plus en plus banals – de Charlie au Bataclan en passant par Nice, Berlin et Londres –, et la plupart des Israéliens sont de plus en plus convaincus que l’Europe est maintenant en train d’apprendre à ses dépens ce que nous, les Israéliens, savons depuis tant d’années : la guerre contre l’islam et l’islamisme est inévitable et Israël est aux avant-postes dans cet éternel choc des civilisations.

    Voici un exemple typique de cette approche : au cours des quatre épisodes de sa série, « L’islam d’Allah », diffusée en 2012, le célèbre chroniqueur de télévision Tzi Yehezkeli, expert des « questions arabes » sur la chaîne 10 en Israël, a décrit une Europe soumise à la menace d’une minorité musulmane, toujours plus nombreuse, et qui refuse obstinément de s’intégrer, déterminée à lui ôter sa nature libérale et chrétienne pour imposer à la place un État fondé sur la charia. Les attentats sanglants à Paris et ailleurs, qui ne sont survenus que plus tard, ont servi à confirmer la prédiction d’Yehezkeli, et fait de lui un prophète local.

    Le « danger musulman »

    Attitude qui provient, évidemment, du discours anti-arabe et antimusulman de plus en plus prégnant en Israël ces dernières années. Mais cela ne s’arrête pas là : si l’Europe prenait enfin conscience de la gravité du « péril musulman », comme l’affirme cette tendance, elle comprendrait aussi le rôle essentiel joué par Israël dans la guerre contre « l’islam radical », et lui en serait très reconnaissante. Grâce à cet ennemi commun, Israël pourrait enfin sortir de son isolement.(...)

  • « Let it shine » : des solutions solaires pour les soins de santé à Gaza
    Middle East Eye | Jillian D’Amours | 7 avril 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/let-it-shine-des-solutions-solaires-pour-les-soins-de-sant-gaza-15776

    « Une chose qui ne peut jamais être arrachée à un peuple, c’est le soleil. » Voici l’idée qui sous-tend un effort international visant à apporter l’électricité de manière ininterrompue aux hôpitaux de la bande de Gaza à l’aide de panneaux solaires.

    Suite à une campagne de collecte de fonds réussie qui s’est conclue en 2015, les organisateurs soutiennent que le premier centre de santé de Gaza – l’hôpital al-Aqsa à Deir al-Balah – devrait fonctionner 24 heures sur 24 avec de l’énergie renouvelable d’ici la fin du mois d’avril.

    « C’est un projet d’environnement durable, a déclaré Ben Thomson, un médecin canadien qui a aidé à lancer le projet. « Cette énergie sera toujours là. C’est une source d’énergie durable qui est exploitée de manière à sauver la vie des gens... c’est une victoire pour tout le monde. »

    « Une chose qui ne peut jamais être arrachée à un peuple, c’est le soleil »

    Au prix de 200 000 dollars par système, des panneaux solaires seront d’abord installés à l’hôpital al-Aqsa, puis à l’hôpital Kamal Adwan de Beit Lahia et à l’hôpital pédiatrique Rantisi de la ville de Gaza. Un système plus vaste sera également mis en place dans l’hôpital européen de Khan Younès.

    Une campagne Indiegogo pour financer le projet de ces hôpitaux a recueilli plus de 215 000 dollars de dons de la part de plus de 1 150 mécènes en 2015.

    Les organisateurs se sont associés à Islamic Relief Canada et au Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), qui coordonne le transport de l’équipement –panneaux solaires, batteries et alternateurs – à Gaza.

    #Somoud

  • Richard Falk : la colère envers mon rapport sur l’apartheid met en danger la liberté d’expression
    Middle East Eye | Richard Falk | 29 mars 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/richard-falk-la-col-re-envers-mon-rapport-l-onu-392190213

    Je suis arrivé à Édimbourg le 13 mars pour entamer une série de conférences de dix jours organisées par mon éditeur, Pluto, pour le lancement de mon nouveau livre, Palestine’s Horizon : Towards a Just Peace.

    La phase écossaise de cette visite s’est déroulée sans heurts avec des entretiens et des discussions très suivies à Aberdeen, Glasgow et Édimbourg sur les thèmes principaux du livre.

    Puis, le 15 mars, le calme a été brisé.

    La Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO) a publié un rapport que j’ai co-écrit avec Virginia Tilley, politologue à l’Université du Sud de l’Illinois, lequel cherchait à déterminer s’il existait des preuves suffisantes pour conclure que les formes de contrôle exercées par Israël sur le peuple palestinien constituaient le crime international d’apartheid.

    Il s’agissait d’une étude universitaire qui analysait les questions pertinentes du point de vue du droit international et résumait les pratiques et les politiques israéliennes présumées discriminatoires.

    Avant d’être publiée, cette étude avait été envoyée par la CESAO pour examen à trois éminents spécialistes internationaux des droits de l’homme et du droit international, et chacun avait présenté des avis très favorables à la contribution scientifique du rapport.

    Alors pourquoi cette véritable tempête ? Dès sa sortie à Beyrouth lors d’une conférence de presse à laquelle le professeur Tilley et moi avons participé via Skype, la furie s’est déchaînée.

    D’abord, le rapport a été dénoncé par la nouvelle ambassadrice américaine à l’ONU, Nikki Haley, et par le diplomate et agitateur israélien Danny Danon.

    Rapidement a suivi une déclaration publiée par le nouveau secrétaire général des Nations unies, António Gutteres, indiquant qu’« en l’état, le rapport ne représente pas les vues du secrétaire général » et qu’il a été publié « sans consultation auprès du Secrétariat de l’ONU ».

    La directrice de la CESAO, Rima Khalaf, titulaire de la haute fonction de secrétaire générale adjointe, a été chargée de retirer notre rapport du site web de la CESAO et a choisi de démissionner par principe plutôt que de se plier à cet ordre.

    Interprétation académique

    Il y a tellement de « fausses informations » entourant cette réponse à notre rapport qu’il devient difficile de séparer la vérité de la rumeur.

    L’ambassadrice Haley, par exemple, a affirmé avec autosatisfaction : « Lorsque quelqu’un publie un rapport faux et diffamatoire au nom de l’ONU, il convient que cette personne démissionne ».

    Le rapport était clairement étiqueté comme étant le travail d’universitaires indépendants et ne reflétait pas nécessairement les opinions de l’ONU ou de la CESAO. En d’autres termes, il ne s’agissait pas d’un rapport de l’ONU, ni d’un rapport approuvé par l’ONU.

    Au-delà de cela, comment pourrait-il être « faux et diffamatoire » alors que son analyse ne représentait ni plus ni moins qu’une interprétation savante d’un concept juridique et une présentation des pratiques israéliennes ?

    L’ambassadeur Danon, comme Haley, a qualifié le rapport de « méprisable » et de « mensonge flagrant ». Il a apparemment oublié que différents dirigeants israéliens avaient averti depuis au moins 1967 que si un État palestinien séparé n’était établi bientôt, Israël deviendrait un État d’apartheid.(...)

  • Offre spéciale pour le Liban : un voyage dans le temps avec l’armée israélienne
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/offre-sp-ciale-pour-le-liban-un-voyage-dans-le-temps-avec-l-arm-e-isr

    Bennett regrette une prétendue promesse israélienne faite au gouvernement des États-Unis en 2006 « de ne pas frapper les infrastructures du #Liban » pendant la guerre qui a duré 34 jours cet été-là – une promesse qui a, selon le ministre de l’Éducation, entravé une victoire israélienne. Il propose la formule suivante pour les conflits futurs :

    « Les institutions du Liban, ses infrastructures, ses aéroports, ses centrales électriques, ses carrefours, les bases de l’armée libanaise – tout cela devrait constituer des cibles légitimes si une guerre éclate. »

    Outre l’approbation on ne peut moins subtile de #crimes de #guerre, il existe un autre problème majeur avec le raisonnement de Bennett : #Israël ne s’est jamais vraiment soucié de faire la distinction entre civils et militaires.

    D’une part, tous les éléments de sa liste de « cibles légitimes » ont déjà été bombardés en 2006. Harel devrait techniquement le savoir puisque lui-même les a signalées à l’époque, mais il a néanmoins décidé désormais qu’« il est intéressant d’écouter » les opinions de Bennett sur ces questions.

    On ne peut que supposer que si le Hezbollah appelait à bombarder aveuglément les carrefours de Tel Aviv, le phénomène serait considéré comme tout autre chose qu’« intéressant ».

    Quant aux prochains massacres israéliens de civils libanais, cela relèverait davantage d’une continuation de la routine habituelle que d’une nouvelle stratégie.

    En 2006, la plupart des 1 200 personnes tuées au Liban étaient des civils, dont des #enfants abattus à bout portant par un hélicoptère israélien alors qu’ils tentaient d’évacuer leurs villages en vertu d’ordres explicites israéliens.

    Parmi les personnes se classant également de toute évidence dans la catégorie des civils figurait la centaine de réfugiés qui ont été éliminés par Israël en 1996 alors qu’ils s’abritaient dans un complexe des Nations unies dans la ville libanaise de #Cana.

    En remontant un peu plus loin dans le temps, l’invasion israélienne du Liban en 1978 a tué des milliers de Libanais et de Palestiniens, tandis que l’invasion suivante de 1982 a exterminé quelque 20 000 personnes, des civils en grande majorité.

    Si les dirigeants israéliens se souciaient un tant soit peu des analyses de cause à effet, ils pourraient penser que l’origine du Hezbollah n’est autre que l’affaire de 1982 – et que bombarder des gens de façon à les renvoyer au Moyen-Âge n’est probablement pas la meilleure façon de réfréner l’animosité envers Israël.

    #victimes_civiles #impunité #complicité

  • En Cisjordanie, l’hôtel Banksy provoque la colère des militants palestiniens
    Sheren Khalel |12 mars 2017 | Dernière mise à jour : 13 mars 2017 | Traduction de l’anglais (original) par Dominique Macabiès.
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/en-cisjordanie-l-h-tel-banksy-provoque-la-col-re-des-militants-palest

    L’hôtel Banksy a ouvert le 11 mars (MEE/Sheren Khalel)

    (...)« La pire vue du monde »

    Situé à seulement quelques mètres d’une partie du mur de séparation d’Israël, l’hôtel se vante d’offrir « la pire vue du monde ».

    L’une des pommes de discorde les plus importantes se trouve sur un panneau placé à l’entrée de l’hôtel :

    « Vous avez réussi ! Bienvenue en Cisjordanie – grand lieu d’histoire, marqué par des conflits. Vous pourriez croire opportun de choisir votre camp maintenant – mais n’en faites rien : ce mur est un mensonge. Il voudrait vous faire croire à tort qu’entre les gens qui vivent ici, il existe une simple séparation. Or, c’est faux. La plupart des Palestiniens vivent dans de bien pires conditions que leurs voisins. De nombreux Israéliens désapprouvent les cruautés infligées par le mur, mais d’autres Israéliens craignent pour leur sécurité. Cette exposition évoque le mur sous des angles bien différents et contient donc des informations qui risquent de choquer bien des gens ».

    « Au mieux, l’hôtel soutient la ‘’normalisation’’ et banalise le sort des Palestiniens, où qu’ils soient », explique à MEE Amjad al-Qaisi, conseiller au Centre al-Haq pour le droit international appliqué.

    « Au début, j’ai trouvé cette idée sympathique, car elle attirait l’attention sur le mur, l’occupation et les violations des droits humains qui lui sont associées, mais j’ai ensuite lu le panneau, et ça m’a vraiment écœuré », admet Qaisi, également membre du Réseau de soutien juridique du Centre de ressources BADIL pour les droits des réfugiés et des résidents palestiniens.

    « Tout cette idée selon laquelle un ‘’grand nombre d’Israéliens’’ sont opposés au mur et qu’il leur pose problème, qu’il y a deux camps et que tous les deux désirent la paix, et qu’il n’y a que quelques extrémistes dans chaque camp, est vraiment problématique, et c’est tout le sens de ce panneau. »

    Selon Qaisi, d’autres personnes impliquées dans le projet, dont quelques habitants, auraient dû y réfléchir à deux fois, mais « malheureusement, il y a en jeu d’autres parties prenantes qui cherchent à en tirer des avantages personnels ».

    « Ce concept d’aller boire un café ou de prendre une bière ensemble, comme semble le suggérer l’hôtel, ne reflète en rien la réalité du terrain. On est ici en présence d’une forme brutale de colonisation qui s’accompagne de déplacements forcés de populations et de l’effacement de l’identité palestinienne. »

    « Dans une telle situation, il est malencontreux de parler de rassembler les deux camps. Le pire, c’est que cela alimente le récit israélien et les stéréotypes que l’on rencontre dans le monde entier – quand des personnes des quatre coins du monde viendront voir ce projet, la première réaction de la majorité d’entre elles sera ‘’Waouh, c’est un projet vraiment sympa parce qu’il réunit deux populations qui ont un problème l’une avec l’autre sans véritable raison de s’en vouloir’’. Or, c’est là une très dangereuse simplification de ce qui se passe en réalité. »(...)

    #Banksy

  • Le document israélien de 40 ans qui forme l’épine dorsale d’un État d’#apartheid
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/le-document-isra-lien-de-40-ans-qui-forme-l-pine-dorsale-d-un-tat-d-a

    Selon le document, cinq sujets doivent être abordés : le « problème » démographique et ses ramifications nationalistes arabes, les dirigeants arabes et leur impact, l’économie et le travail, l’éducation et, enfin, la mise en œuvre de la loi. Le document propose également des recommandations pour résoudre ces problèmes dans le cadre d’une stratégie visant à apprivoiser les Arabes et à garantir la suprématie juive.

    1. Écraser la défiance arabe

    Le citoyen arabe moyen n’est plus inférieur, ni vaincu, malgré toute la bonne volonté de l’État, indique le #rapport_Koenig. Au contraire, la communication entre les citoyens arabes en Israël et les Palestiniens en Cisjordanie a encouragé les citoyens arabes à « se tenir debout » et les a motivés à exprimer leurs opinions nationalistes.

    [...]

    #Israel #Israël #Palestine

  • Yahya Sinouar, le chef de l’espionnage du Hamas qui surveille Gaza | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/yahya-sinouar-le-chef-de-l-espionnage-du-hamas-qui-surveille-gaza-669

    Yahya Sinouar (55 ans), membre de l’aile armée du Hamas, a été élu lundi dernier à la tête du bureau politique de Gaza.

    Il a remplacé Ismaël Haniyeh, qui est considéré par beaucoup d’observateurs comme le successeur le plus probable du chef du Hamas en exil Khaled Meshaal.

    Yahya Sinouar, diplômé en arabe, est né dans le camp de réfugiés de Khan Younis, dans le sud de Gaza.

    Il a fondé le « Majd », l’un des services de renseignement du Hamas, et a été arrêté par Israël en 1988 pour « activité terroriste » et condamné à quatre peines d’emprisonnement à perpétuité.

    Sinouar a été libéré en octobre 2011 en vertu d’un accord visant à échanger plus de 1 000 prisonniers palestiniens contre la libération de Gilad Shalit, un soldat israélien capturé cinq ans plus tôt.

    Depuis sa libération, Sinouar travaille comme membre du bureau politique du Hamas à Gaza, menant des négociations pour l’échange de prisonniers avec Israël et organisant des réunions de réconciliation avec la faction rivale du Hamas, le Fatah.

  • Quand Netanyahu refusa la paix
    Le Premier ministre israélien a rejeté en février 2016 un plan de paix ouvrant la voie à une normalisation des relations avec les États arabes de la région.
    Par Armin Arefi
    Modifié le 20/02/2017 à 18:58 -
    http://www.lepoint.fr/monde/quand-netanyahu-refusa-la-paix-20-02-2017-2106189_24.php

    On peut répéter à l’envi vouloir la paix au Proche-Orient, et être prêt à reprendre sans condition des négociations directes avec les Palestiniens, tout en rejetant le moment venu une occasion rare de mettre fin à un conflit vieux de soixante-neuf ans. Voici l’étonnant paradoxe révélé par le quotidien israélien Haaretz au sujet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Dans son édition de dimanche, le journal de centre gauche affirme que le chef du gouvernement israélien a rejeté un plan de paix selon lequel plusieurs pays arabes de la région étaient prêts à reconnaître Israël comme « État juif » et à pousser à une reprise des négociations directes entre les deux camps, deux demandes-clés maintes fois formulées par le Premier ministre israélien.

    À l’initiative de ce plan de paix israélo-arabe, l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry, qui a secrètement réuni le 21 février 2016 à Aqaba, dans le sud de la Jordanie, Benjamin Netanyahu ainsi que deux chefs d’État arabes en paix avec l’État hébreu : le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, et le roi de Jordanie Abdallah II. Son objectif : faire accepter par les trois dirigeants un plan de paix régional visant à encourager l’Autorité palestinienne à reprendre les négociations de paix avec le soutien des pays arabes de la région. Absent du sommet d’Aqaba, le président palestinien Mahmoud Abbas en a toutefois été informé, affirme Haaretz. Contacté par l’Agence France-Presse, un responsable américain a confirmé l’existence de cette réunion. Tout comme la présidence égyptienne.(...)

    https://seenthis.net/messages/571334

    • Israël, la Jordanie et l’Égypte ont tenu un sommet secret pour la paix il y a un an
      MEE et agences | 20 février 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/isra-l-la-jordanie-et-l-gypte-ont-tenu-un-sommet-secret-pour-la-paix-

      John Kerry aurait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens

      Un plan pour une initiative de paix régionale a été présenté au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou il y a un an lors d’un sommet secret du secrétaire d’État américain John Kerry, a rapporté Haaretz dimanche, citant des anciens responsables (restés anonymes) de l’administration Obama.

      Netanyahou n’a pas accepté ce projet, affirmant qu’il aurait du mal à obtenir l’approbation du plan par son gouvernement de coalition, a rapporté Haaretz. Toutefois, le sommet a peu après servi de base à des pourparlers entre Netanyahou et le chef de l’opposition israélienne Isaac Herzog sur l’établissement éventuel d’un gouvernement d’union, bien que cela ne se soit jamais concrétisé.

      Selon l’article, le sommet s’est déroulé dans la station balnéaire égyptienne d’Aqaba et comprenait le roi Abdallah II de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi.

      Le journal israélien a indiqué que Kerry avait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens, soutenues par les nations arabes.(...)

  • Maroc : trois mois après la mort de Mouhcine Fikri, le Rif ne décolère pas | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/trois-mois-apr-s-la-mort-de-mouhcine-fikri-le-rif-ne-d-col-re-pas-193

    Il aura fallu de nouveaux affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre pour qu’Al Hoceima, petite ville côtière du nord-est du Maroc, fasse à nouveau parler d’elle dans les médias.

    Pourtant, depuis la mort de Mouhcine Fikri, un vendeur de poisson de 31 ans écrasé par une benne à ordures, cette région du Rif ne décolère pas. Depuis trois mois, des manifestations et des sit-in sont organisés dans la ville et les villages alentour.

    Dimanche, alors que les habitants d’Al Hoceima voulaient commémorer l’anniversaire de la mort d’Abdelkrim el-Khattabi, icône de la région, figure militaire de la résistance contre l’occupation espagnole et française, et fondateur d’une éphémère République indépendante au début du XXe siècle, la situation a dégénéré.

    Dès le matin, les habitants se sont réveillés avec des barrages dans toute la région. Les forces de l’ordre avaient été massivement déployées. Plus l’heure de la marche approchait, plus les tensions étaient perceptibles.

    #Al_Hoceima #Rif #Abd_el_Krim

  • Ces citoyens français complices de la politique israélienne en Palestine
    Middle East Eye | Thomas Vescovi | 1 février 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/ces-citoyens-fran-ais-complices-de-la-politique-isra-lienne-en-palest

    Affiche du programme Sar’El, qui propose à des volontaires non-israéliens de vivre trois semaines dans une base militaire israélienne

    (...) La France en tête de l’émission de volontaires

    Les Français sont désormais les plus représentés parmi les volontaires : en 2015, 43 % d’entre eux venaient de l’Hexagone, 90 % étaient répartis dans des unités combattantes

    Plusieurs reportages ont déjà fait état de la présence de citoyens français dans l’armée israélienne. Selon Le Nouvel Obs, le programme Mahal comptait près de 500 Français lors de l’opération israélienne contre la bande de Gaza durant l’été 2014. L’un d’entre eux, Jordan Bensemhoun, a été tué dans le quartier de Shuja’iyya à Gaza. Les députés Jean-Jacques Candelier (PCF) et Pouria Amirshahi (ex-PS) avaient immédiatement questionné le gouvernement sur d’éventuelles poursuites judiciaires à leur encontre et sur les activités de ces jeunes qui « alimentent les tensions entre les peuples et importent […] un conflit qui met en danger l’unité nationale ».

    Mais les cas s’accumulent. Le 30 octobre 2015, c’est une soldate franco-israélienne, Alison Bresson, qui exécute à un check-point, sur la route de Naplouse, Qasem Saba’aneh, 19 ans, et blesse grièvement Fares Al Na’asane, 17 ans. En 2016, elle a été invitée à allumer une des douze torches traditionnelles lors de la cérémonie de la fête nationale israélienne, Yom Ha’atzmaout.

    Le ministère français de la Défense s’appuie sur une convention signée le 30 juin 1959, et publiée au Journal Officiel le 19 décembre 1961, faisant état d’un accord entre le gouvernement de l’État d’Israël et les autorités françaises sur l’autorisation du service militaire pour les doubles nationaux. Cependant, les soldats volontaires n’ont pas la citoyenneté israélienne. Ils sont français, et ne peuvent donc pas bénéficier de la protection de cette convention.(...)

  • La langue arabe en tête des charts israéliens grâce à trois sœurs yéménites
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/la-langue-arabe-en-t-te-des-charts-isra-liens-gr-ce-trois-s-urs-y-m-n

    Article d’octobre 2015

    Smadar Lavie, activiste féministe mizrahie et universitaire en poste à l’université Berkeley de Californie, [...] a avancé l’idée que ce phénomène « renforce en vérité le statu quo entre #mizrahim et #ashkénazes au sujet du contrôle du pouvoir, tout en faisant progresser sans interruption le projet sioniste qui vise à acquérir plus de contrôle sur un maximum de territoires peuplés d’un minimum de non-juifs. »

    Elle a soutenu que mettre l’accent sur la #culture #arabe en oblitérant les questions politiques arabes fonctionnait comme un « mécanisme d’abrutissement », dans la mesure où les guerres menées en permanence par Israël contre les #Palestiniens poussent les mizrahim à s’engager contre ces derniers, ce qui les décourage de se battre contre le #racisme entre communautés juives.

    En outre, la culture « n’est pas dangereuse et opère harmonieusement tant qu’elle ne s’attaque pas aux relations entre #Israël et ses voisins arabes. » Ceci permet à Israël de se présenter comme un pays tolérant et multiculturel tout en dissimulant la réalité de ses pratiques politiques, a-t-elle argumenté.

    Bien qu’elle affirme se réjouir du fait que la culture mizrahie ait infiltré les « bastions » de l’élite culturelle ashkénaze en Israël, Smadar Lavie regrette qu’« en définitive, ça ne débouche sur aucune amélioration du quotidien de la majorité mizrahie en Israël. Le #néolibéralisme israélien profite principalement aux élites industrielles et entrepreneuriales ashkénazes. L’écart entre les classes se creuse, et il est de plus en plus difficile de parvenir à une certaine stabilité pour la plupart des ménages mizrahim en termes de logement et de nourriture. Les chansons poétiques ou en arabe à la mode qui sont interprétées par des mizrahim n’apportent pas de réponse à ce genre de problèmes ».

    En plus de la suppression de leur culture, les mizrahim ont été relégués au dernier rang de la société juive israélienne depuis leur arrivée dans le pays, où on les a forcés à vivre dans des villes de développement situées en périphérie ou dans des ghettos urbains, et où ils se sont vu refuser l’accès à l’emploi et aux études.

    Même aujourd’hui, les mizrahim ont cinq fois plus de risques d’être au chômage que les ashkénazes, et ont environ moitié moins de chances d’entrer à l’université ; de plus, les salaires moyens des juifs mizrahim sont en général environ un tiers moins élevés que ceux de leurs homologues ashkénazes.

    Pour Smadar Lavie, ces réalités économiques — et les 60 ans de racisme institutionnalisé dont elles sont le reflet — éclipsent tout débat sur une éventuelle « renaissance mizrahie » qui s’inspirerait de chansons comme « Habib Galbi ».

  • Israël poursuit ses dirigeants pour tous leurs méfaits, sauf le véritable crime : l’occupation
    Gideon Levy | 23 janvier 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/isra-l-poursuit-ses-dirigeants-pour-tous-leurs-m-faits-sauf-le-v-rita

    Un nuage sombre menace l’avenir politique du Premier ministre israélien.

    Benyamin Netanyahou est soupçonné d’avoir commis une série de crimes, principalement regroupés en deux dossiers. Le premier implique le fait d’avoir accepté des cadeaux du producteur de films israélo-américain Arnon Milchan.

    S’élevant à plusieurs dizaines de milliers de dollars, les cadeaux de Milchan, offerts au cours de plusieurs années, auraient compris des cigares de luxe et du champagne livrés à la résidence du Premier ministre. Milchan a des intérêts commerciaux en Israël sur lesquels Netanyahou, qui est également ministre de la Communication de l’État, exerce une influence considérable. Dans un cas, Netanyahou serait intervenu avec le secrétaire d’État américain John Kerry pour aider Milchan à obtenir un visa américain de longue durée. Netanyahou a déjà été interrogé sur ce dossier.

    Le second dossier est plus compliqué. La police a obtenu des enregistrements de conversations continues entre Netanyahou et un autre Arnon, Arnon Mozes, éditeur et rédacteur en chef de Yediot Aharonot, jusqu’à récemment le plus grand quotidien d’Israël. La police s’est procuré ces enregistrements par hasard, au cours d’une autre affaire, en enquêtant sur un ancien assistant de Netanyahou.

    Ces enregistrements, récemment divulgués dans les médias, ont suscité la fureur en Israël. Le dialogue entre les deux hommes, un Premier ministre en activité et un éditeur de premier plan, ressemble à une discussion pragmatique entre deux hommes d’affaires cyniques voire, au pire, entre deux escrocs mafieux. On les entend négocier un échange de bons procédés par lequel une couverture plus favorable du Premier ministre dans le journal Yediot Aharonot serait récompensée avec certains avantages pour le journal.(...)

  • Hundreds denounce deadly Umm al-Hiran raid in Israel, occupied Palestinian territory
    Jan. 19, 2017 11:36 A.M. (Updated: Jan. 19, 2017 12:16 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=775001

    BETHLEHEM (Ma’an) — Palestinian citizens of Israel and their supporters took to the streets in Israel and the occupied Palestinian territory on Wednesday to protest an evacuation raid in a Bedouin community in the Negev which turned deadly earlier in the day, with one Palestinian citizen of Israel and an Israeli police officer dying in disputed circumstances.

    Hundreds of demonstrators gathered in Umm al-Hiran, where Bedouin resident Yaqoub Moussa Abu al-Qian, 47, was shot dead by Israeli police, who claimed that the math teacher was carrying out a vehicular attack which killed police officer Erez Levi, 34.

    However, a number of witnesses and Palestinian officials with Israeli citizenship have disputed Israeli security forces’ version of events, saying that police officers opened fire on Abu al-Qian despite him not representing a threat, causing him to lose control of his vehicle and fatally hit Levi.

    Knesset member Ayman Odeh, the head of the Joint List, which represents parties led by Palestinian citizens of Israel, was injured in the head and back during the raid, although witnesses and police disputed how he had been injured and by whom.

    The High Follow-Up Committee for Arab Citizens of Israel, a division of Israel’s parliament, the Knesset, declared three days of mourning in Palestinian-majority towns and villages in Israel following the deadly raid.

    The committee also called for Palestinian citizens of Israel to launch a general strike on Thursday, and for teachers to discuss the recent events in Umm al-Hiran with students.

    https://seenthis.net/messages/561578

    #israël #démolitions #bédouins #colonisation_intérieure

    • Family of slain Palestinian teacher demands investigation into his death
      Jan. 19, 2017 10:40 P.M. (Updated: Jan. 19, 2017 10:40 P.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=775010

      BETHLEHEM (Ma’an) — The family of Yaqoub Moussa Abu al-Qian, a math teacher and Palestinian citizen of Israel who was shot dead by Israeli police on Wednesday, demanded on Thursday that Israeli police open an investigation into his death.

      NGO Adalah — The Legal Center for Arab Minority Rights in Israel, who is representing Abu al-Qian’s family, released a statement Thursday demanding an investigation be opened into the circumstances of the death of Abu al-Qian, who Adalah said was 50-years-old, though earlier reports claimed he was 47-years-old.

      Israeli police claimed that the math teacher was carrying out a vehicular attack which killed police officer Erez Levi, 34, though a number of witnesses and Palestinian officials with Israeli citizenship have disputed Israeli security forces’ version of events, saying that police officers opened fire on Abu al-Qian despite him not representing a threat, causing him to lose control of his vehicle and fatally hit Levi.

      Israeli Knesset member Taleb Abu Arar said that the police killed Abu al-Qian “in cold blood," Israeli news site Ynet quoted him as saying. "The police shot him for no reason. The claims that he tried to run over police are not true.”

    • PHOTOS: Israel demolishes homes in Umm el-Hiran amid violence

      Israeli authorities begin demolishing the Bedouin village of Umm el-Hiran in preparation for its replacement with a Jewish town, following violence which left a Bedouin man and an Israeli police officer dead, and a Palestinian MK wounded.
      By Activestills |Published January 19, 2017
      Photos by Keren Manor and Faiz Abu Rmeleh
      https://972mag.com/photos-israel-demolishes-homes-in-umm-el-hiran-amid-violence/124583


      Umm el-Hiran before and after Israeli bulldozers carried out demolitions, January 18, 2017. (Keren Manor/Activestills)

    • Démolition de maisons palestiniennes : manifestations et appels à la grève générale

      Nouvelles protestations après la mort de l’instituteur palestinien tué par la police israélienne pendant des manifestations contre les démolitions de maisons à Umm al-Hiran

      MEE | 19 janvier 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/d-molition-de-maisons-palestiniennes-manifestations-et-appels-la-gr-v

      Des milliers de Palestiniens ont participé mercredi à une série de manifestations qui se sont propagées dans les villages palestiniens au milieu d’appels à la grève générale. Ces manifestations ont suivi la mort d’un instituteur, tué par les forces israéliennes lors de manifestations contre les démolitions de maisons dans le sud du pays.

      « Nous sommes descendus dans la rue pour protester et faire entendre la voix du peuple palestinien », explique Kholoud Abu Ahmed, un Palestinien d’Israël, d’Haïfa. « Nous n’accepterons pas d’être expulsés de nos maisons, marginalisés et tués [par les autorités israéliennes]. »

      Les officiels israéliens prétendent que Yacoub al-Qiyan a été tué alors qu’il menait sa voiture sur les officiers de police dans le village bédouin de Umm al-Hiran dans le désert du Néguev. Les habitants du village, toutefois, ont rapporté qu’al-Qiyan était simplement en train de conduire jusqu’à l’endroit où avaient lieu les démolitions pour parler aux autorités et tenter d’empêcher les destructions.

      Selon un officier, un agent de police israélien, Erez Lévi, a été soi-disant percuté et tué. Un député palestinien connu d’une liste commune, Ayman Odeh, a aussi été blessé à la tête par une balle en caoutchouc tirée par la police.(...)

  • De Beyrouth, #Martin_Chulov du Guardian affirme qu’ en #Syrie l’#Iran est en train d’installer des chiites (de toute nationalité) dans des zones préalablement habitées par des sunnites.
    https://www.theguardian.com/world/2017/jan/13/irans-syria-project-pushing-population-shifts-to-increase-influence

    Et sa source est un groupe genre #al-qaida :

    Labib al-Nahas, the chief of foreign relations for #Ahrar_al-Sham, who led negotiations in Istanbul, said Tehran was seeking to create areas it could control. “Iran was very ready to make a full swap between the north and south. They wanted a geographical continuation into Lebanon. Full sectarian segregation is at the heart of the Iranian project in Syria. They are looking for geographical zones that they can fully dominate and influence. This will have repercussions on the entire region.

    • The propaganda of Martin Chulov: FAKE NEWS Propaganda in the Guardian newspaper
      http://angryarab.blogspot.fr/2017/01/the-propaganda-of-martin-chulov-fake.html

      And here I used to recommend the Guardian newspaper as an alternative to US media after Sep. 11. Now the Guardian has become indistinguishable from the New York Times and Washington Post in its propaganda coverage of Syria. This story is — simply put — made up. As you all know, Syrian rebels regularly, if not daily, produce fake news and spread them throughout social media and they are often carried in Gulf regime media, which in turn inspire Western media to reproduce them citing the authority of Qatari regime or Saudi regime media. This story is made up by Ahrar Ash-Sham. And you will see in dispatches by Western correspondents in Beirut, like Chulov, a reference such as this: “said one senior Lebanese leader”. Lebanon is deeply divided between two camps: one camp is led by HIzbullah and the other is led by the Saudi embassy in Beirut. To which camp do you think this Lebanese “leader” belongs to? And they cite “a Lebanese leader” as if any of the Lebanese leaders are independent and neutral about the war in Syria. This is like citing “a US leader” in a story about Israel.

    • J’ai un ami Sunnite originaire de Idlib qui tient le mème discours. Il parle d’un afflux massif de chiites provenant d’autres régions, d’autres pays et que les régions sunnites seraient sous le coup d’une « colonisation de peuplement. »
      En dehors de la véracité de la chose j’ai quand mème l’impression que la question religieuse prend une place de plus en plus importante dans un pays qui semblait en dehors de ce genre de tensions. L’installation des chiites est une question que je voulais vous poser.
      Pour terminer, ses « sources » sont de Idlib et non pas du Gardian, ce qui rend pas les choses plus vraies ou plus fausses mais qui peut témoigner de l’état d’esprit qui règne là bas.

    • La question que cela pose, d’un point de vue démographique, est d’où viendrait ces masses de chiites. Dans la plupart des sources sur les appartenances religieuses en Syrie, les chiites sont généralement estimés à 1% (par exemple : https://fr.wikipedia.org/wiki/Syrie#Groupes_.2F_Population_.2F_pourcentage). Ca vaut ce que ça vaut mais de là à parler d’invasion massive... Il s’agit principalement à ma connaissance très imparfaite de communautés urbaines (notamment au sud de Damas), de quelques petites villes frontalières de la Beqaa nord (région de Hermel au Liban) et de quelques poches dont on a parlé récemment, au nord-ouest d’Alep (zones assiégées dont les populations ont été « échangées » avec les populations évacuées d’Alep. J’aurais beaucoup de mal croire que l’Iran installe des populations d’origine iranienne ou des chiites irakiens.

    • Moi aussi j’ai des doutes, car le voeu des Usa et UE quand ils ont attaqué la Syrie c’était justement de déplacer les populations en les divisant en « chiites, sunnites, Kurdes, et autres communautés » pour faire des micro-états divisés comme en ex-Yougoslavie qui a été balkanisée de la même façon.Tout a été prévu de longue date : http://armedforcesjournal.com/peters-blood-borders-map
      Les forces armées américaines se trouvent actuellement a Erbil dans le futur Kurdistan et la France participe à créer un état kurde, ce qui déplait à Erdogan bien sur ...

    • @rumor ce sont des fakes-news en vérité, la démographie des chiites ne peux pas permettre ce qui est prétendu. C’est inverser la véritable politique contre les chiites que de les accuser de favoriser leur population minime. En vérité les sunnites, et Kurdes chasseront les Yézidis et autres communautés. HRW a dénoncé le fait de crimes commis par les Kurdes pour avoir chassés les habitants de leurs maisons, et les avoir terroriser.

    • Merci pour ce signalement qui touche à une question aussi sensible que d’actualité, même si la source (Guardian Chulov), de fait, est terriblement biaisée... @rumor : les « peuplements chiites » qui hantent les cauchemars d’une bonne partie des Syriens (cf. témoignage Unagi, auquel j’ajoute le mien, au sein des milieux alaouites !!!) seraient en provenance d’Iran, voire de plus loin (Afghanistan et Cie). Pas plus crédible pour autant, mais ça fait fantasmer encore plus sur l’invasion étrangère. Il faut vraiment que ces sociétés soient en crise pour que de tels bobards puissent prendre aussi bien...

    • Se souvenir aussi que ça fait partie du plan de de déstabilisation suggéré par l’ambassade américaine en 2006 :
      https://wikileaks.org/plusd/cables/06DAMASCUS5399_a.html

      — Vulnerability:

      –- THE ALLIANCE WITH TEHRAN: Bashar is walking a fine line in his increasingly strong relations with Iran, seeking necessary support while not completely alienating Syria’s moderate Sunni Arab neighbors by being perceived as aiding Persian and fundamentalist Shia interests. Bashar’s decision to not attend the Talabani / Ahmadinejad summit in Tehran following FM Moallem,s trip to Iraq can be seen as a manifestation of Bashar’s sensitivity to the Arab optic on his Iranian alliance.

      –- Possible action:

      –- PLAY ON SUNNI FEARS OF IRANIAN INFLUENCE: There are fears in Syria that the Iranians are active in both Shia proselytizing and conversion of, mostly poor, Sunnis. Though often exaggerated, such fears reflect an element of the Sunni community in Syria that is increasingly upset by and focused on the spread of Iranian influence in their country through activities ranging from mosque construction to business. Both the local Egyptian and Saudi missions here, (as well as prominent Syrian Sunni religious leaders), are giving increasing attention to the matter and we should coordinate more closely with their governments on ways to better

  • Un responsable de la NUS a conspiré avec l’ambassade d’Israël pour évincer la dirigeante de l’union
    Middle East Eye | - Areeb Ullah | 11 janvier 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/un-responsable-de-la-nus-conspir-avec-l-ambassade-d-isra-l-pour-vince

    Richard Brooks, vice-président de l’Union nationale des étudiants, a coopéré avec des personnalités liées à l’ambassade d’Israël et a proposé des ressources pour s’opposer à Malia Bouattia

    Un haut responsable de l’Union nationale des étudiants (NUS) du Royaume-Uni a été secrètement filmé en train de conspirer pour évincer la présidente de l’organisation Malia Bouattia dans le cadre d’une opération d’infiltration impliquant l’ambassade d’Israël.
    (...)
    Bouattia, la première femme musulmane de couleur à diriger la NUS, a été critiquée par des opposants pour son antisémitisme présumé, des allégations qu’elle rejette.

    Connue pour ses années d’activisme pro-palestinien sur les campus à travers le Royaume-Uni, Bouattia affirme qu’elle se considère comme une adversaire de la « politique sioniste ».
    #Israël_UK

    https://seenthis.net/messages/559218

  • Comment un diplomate israélien a travaillé au cœur du Parti travailliste pour mettre à mal Corbyn
    Alex MacDonald et Simon Hooper | 9 janvier 2017

    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/comment-un-diplomate-isra-lien-travaill-au-c-ur-du-parti-travailliste

    Des enregistrements secrets vus par Middle East Eye ont révélé comment un diplomate israélien a cherché à créer des organisations et des groupes de jeunesse pour promouvoir l’influence israélienne au sein du Parti travailliste, dans le cadre d’un effort visant à mettre à mal le leadership de Jeremy Corbyn au sein du parti d’opposition.

    Dans des conversations secrètes filmées par un journaliste infiltré, Shai Masot, agent politique de haut rang à l’ambassade d’Israël à Londres, a décrit son projet de création d’une branche de jeunesse de l’organisation Labour Friends of Israel (LFI – « Amis travaillistes d’Israël ») et a révélé qu’il avait mis en place d’autres organisations par le passé.

    Masot a émis l’idée de faire participer des délégations de membres du Parti travailliste à des voyages en Israël et a indiqué à Joan Ryan, présidente des LFI, qu’il s’était vu accorder 1 million de livres (environ 1,15 million d’euros) pour financer d’autres visites.

    Il a également affirmé avoir créé un groupe appelé « City Friends of Israel » en collaboration avec l’AIPAC, une organisation de lobbying pro-israélien influente aux États-Unis.

    Qualifiant le leader travailliste Jeremy Corbyn de « fou », Masot a expliqué qu’il avait créé une branche pour les jeunes des Conservative Friends of Israel (« Amis conservateurs d’Israël ») en 2015 et qu’il souhaitait en faire de même au sein du Parti travailliste, mais qu’il n’y était pas parvenu en raison de la « crise » qui a entouré l’élection de Corbyn à sa tête.

    Masot a également qualifié les partisans de Corbyn de « tarés » et d’« extrémistes ».

    Corbyn est considéré comme favorable au mouvement Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), que Masot explique avoir été chargé de discréditer et de mettre à mal à un autre moment des enregistrements.
    (...)
    L’appel du Parti travailliste à la tenue d’une enquête a été appuyé par le Parti nationaliste écossais (SNP) ainsi que par plusieurs députés conservateurs de haut rang.

    « Nous ne pouvons pas voir Israël agir au Royaume-Uni avec la même impunité que celle dont il jouit en Palestine », a déclaré Crispin Blunt à MEE.

    « Il s’agit clairement de l’ingérence la plus obscure et déshonorante dans la politique d’un autre pays. »

    « C’est une affaire aussi sérieuse que celles impliquant les services du renseignement soviétiques, qui se permettaient de suborner la démocratie et de s’immiscer dans son processus de fonctionnement normal », a indiqué Nicholas Soames, un autre député conservateur, dans des propos accordés à Peter Oborne de MEE.

    Écrivant de manière anonyme dans le journal Mail On Sunday, un ancien ministre du gouvernement de l’ancien Premier ministre David Cameron a déclaré que la politique étrangère britannique était « prise en otage par l’influence israélienne au cœur de notre politique ».

    « Depuis des années, les CFI et les LFI travaillent avec – et même pour – l’ambassade d’Israël pour promouvoir la politique israélienne et contrecarrer la politique du gouvernement britannique et les actions des ministres qui tentent de défendre les droits des Palestiniens. »

    L’ambassade d’Israël a tenté de minimiser l’importance de Masot en le qualifiant d’« employé subalterne de l’ambassade » dont les propos étaient « totalement inacceptables »

    Elle a précisé qu’il allait « terminer très prochainement son contrat de travail à l’ambassade ».

    https://seenthis.net/messages/558537

    • Le président du Parlement britannique n’enquêtera pas sur le scandale de l’influence israélienne
      MEE | 10 janvier 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/le-pr-sident-du-parlement-britannique-n-enqu-tera-pas-sur-le-scandale
      John Bercow réagit au scandale de l’ambassade d’Israël en affirmant : « Je ne pense pas qu’il soit utile de discuter davantage »

      Le président de la Chambre des communes du Royaume-Uni a réagi au scandale actuel sur l’influence présumée d’Israël sur les hauts échelons de la politique britannique, affirmant qu’il n’est actuellement pas question d’enquêter.

      Le scandale a éclaté ce week-end quand des enregistrements divulgués ont révélé une employée du gouvernement britannique et un employé de l’ambassade israélienne supposément en train de comploter pour « faire partir » des membres de haut rang du gouvernement britannique, notamment le vice-ministre des Affaires étrangères Alan Duncan.

      Le député conservateur Sir Hugo Swire, qui préside également le Conservative Middle East Council, a soulevé lundi soir une motion d’ordre à la Chambre des communes, malgré le fait que le ministère des Affaires étrangères a déclaré dimanche qu’il considérait le sujet « clos ».

      « Beaucoup seront alarmés par les récentes informations de tentatives d’un gouvernement étranger de "faire partir" des membres de cette Chambre, notamment un ministre », a déclaré Swire, s’adressant à John Bercow, le président de Chambre des communes.

      « Compte tenu des implications très graves, a continué Swire, quelles mesures allez-vous prendre pour enquêter, notamment parce qu’une des parties aux discussions… a été ou est au moins partiellement une employée rémunérée de cette Chambre ? »

      Swire se référait à Maria Strizzolo, qui jusqu’à dimanche était une employée du ministère de l’Éducation et avait précédemment travaillé comme assistante auprès de Robert Halfon, alors vice-président du Parti conservateur.

      Strizzolo a démissionné dimanche, quelques heures après que ce scandale a été révélé par un certain nombre de publications, dont Middle East Eye.

    • Boris Johnson prétend que l’affaire du complot de l’ambassade d’Israël est « close ». Il se trompe
      Peter Oborne | 9 janvier 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/boris-johnson-pr-tend-que-l-affaire-du-complot-de-l-ambassade-d-isra-

      (...) Au final, la réaction du ministère des Affaires étrangères est auréolée du plus grand mystère. Quelques heures à peine après l’éclatement de cette affaire, la voici déclarée « close ».

      Pourquoi ? Comment en est-on si vite arrivé à une telle conclusion ? Le gouvernement de Theresa May est-il complice de cette immixtion israélienne dans le processus démocratique britannique ?

      Masot, nous le savons désormais, pense que le ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, est un « idiot ».

      C’est aussi mon avis. Si Johnson a une once de patriotisme, il a besoin de se réveiller très vite ; d’attaquer de front cette scandaleuse ingérence dans la démocratie britannique et d’annoncer une enquête sérieuse.

  • Une vidéo en caméra cachée jette un froid entre la Grande Bretgane et #israël
    http://fr.euronews.com/2017/01/08/une-video-en-camera-cachee-jette-un-froid-entre-la-grande-bretgane-et-i

    Piégé par une caméra cachée, un employé de l’ambassade d’Israël à Londres a dit vouloir “faire tomber” le secrétaire d‘État britannique à l’Europe et aux Amériques, Alan Duncan. Pour en savoir plus lisez cet article détaillé : http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/des-enregistrements-secrets-exposent-l-influence-isra-lienne-sur-le-p — Permalink

    #lobby

  • Netanyahu caught on tape negotiating mutual benefits with businessman - Israel News - Haaretz.com
    http://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.763607

    At the heart of Case 2000 is an attempt at an unambiguous deal between money and government. Sources who spoke with Netanyahu said he was surprised by evidence against him.

    Désolé, je n’ai trouvé un rapport en français que sur ce site d’extrême-droite :

    L’opposition veut faire tomber Netanyahou suite à un enregistrement entre le Premier ministre et un homme d’affaire
    http://alyaexpress-news.com/lopposition-veut-faire-tomber-netanyaou-suite-a-enregistrement-ent

    • Netanyahu caught on tape negotiating mutual benefits with businessman
      At the heart of Case 2000 is an attempt at an unambiguous deal between money and government. Sources who spoke with Netanyahu said he was surprised by evidence against him.
      By Gidi Weitz | Jan. 8, 2017 | 7:02 AM

      Suspicions in the main corruption affair involving Prime Minister Benjamin Netanyahu are backed by a tape documenting alleged contacts between Netanyahu and a businessman over mutual benefits, Haaretz has learned.

      At the heart of the affair, dubbed Case 2000, lies an attempt to make an unambiguous deal between money and government – not suitcases brimming with cash in return for a gas monopoly, or bank transfers to a secret account in return for franchises in natural resources or infrastructure, but the businessman’s support that would help Netanyahu remain in office in exchange for huge financial benefits.

      Even if this pact was only partly realized or was still in its infancy, the mere existence – and documentation – of such incredible negotiations demands an immediate criminal investigation. When the affair is fully revealed, the details will shed light on how decisions are made at the top.

      It may be said that the affair is based on solid evidence that will be difficult to dispute, like that provided by former Prime Minister Ehud Olmert’s bureau chief Shula Zaken about Olmert: a series of tapes in which the prime minister’s own voice is heard. People who spoke with Netanyahu over the weekend after his second police interrogation over corruption allegations said he was surprised by the evidence against him. “He didn’t expect it,” said a person who knows Netanyahu well.

      The details of the affair are sensational also because for many years Netanyahu has been perceived, and rightly so, as a stranger to the local swamp of crony capitalism, adeptly navigated by his two predecessors, Ehud Olmert and Ariel Sharon. A few years back, the man who admired the American trust-breaking president, Theodor Roosevelt, was not the cup of tea of the major players in Israel’s economy. Netanyahu has been described in the past as a cautious man whose sins, while they might infuriate the public, were minor. When the details of the “Case 2000” affair are revealed, these perceptions could crack.

      This explosive material landed on the desk of Attorney General Avichai Mendelblit back in the spring. After sitting on it for long months and withholding the information from the public with no justification, the attorney general hastened to plug the narrative beneficial to Netanyahu: The affair is serious from a public perspective and is borderline in criminal terms.

      It’s time to put an end to this spin and to two others making headlines these last few days: That Netanyahu is calm and certain that it’ll all end in hot air; and that Mendelblit is a steadfast attorney general, who conducted a comprehensive, thorough and quick investigation. These two descriptions, aggressively peddled to the public by lackeys of these two intelligent individuals, are trickery and deception.

      It appears that the minor of the two affairs involving Netanyahu, the gifts case, is being received by the public with a shrug. The explanation may be the high threshold set over the last decade, when Israel watched in wonder as a president accused of rape barricaded himself in his residence, tycoons funneled millions into the prime minister’s son’s bank account, envelopes bursting with dollars finding their way into another prime minister’s hands, a finance minister who topped off his bank account with labor unions’ funds and a defense minister who stashed away hundreds of thousands of dollars and bought himself a luxury pad with money from tycoons.

      Today, it appears that only a gas monopoly in return for suitcases of cash, or a TV franchise for a bloated bank account in the Virgin Islands under a straw man’s name will wake the public out of its stupor. This is what Israeli society has come to.

      Suspicions in the gifts affair come as no surprise. For years stories abounded of Netanyahu’s tendency to abuse his status to receive funding from wealthy individuals in Israel and abroad for his luxurious lifestyle. This included first-class flights, hotel suites, expensive Cuban cigars, champagne and suits. Despite many reports since the early 1990s, about his parsimoniousness, his bizarre funding of personal expenses from the public purse, his fondness for enjoying the good life but not paying for it, Netanyahu continued in a behavior, which mainly showed dubious judgement.

      In this affair, wealthy businessmen, above all movie producer Arnon Milchan, were allegedly asked to buy hundreds of thousands of shekels worth of luxury items for Netanyahu and his wife Sara. A report by Channel 10’s Raviv Drucker that Netanyahu had asked U.S. Secretary of State John Kerry to assist Milchan with his visa problems, proves once more that there ain’t no such thing as a free lunch, and that the friendship between Netanyahu and Milchen was not just a warm, authentic relationship that happened to develop between the huge money and a top politician.

    • Israël : la police examine un enregistrement impliquant Netanyahu
      AFP | 08/01/2017
      http://www.lorientlejour.com/article/1028010/israel-la-police-examine-un-enregistrement-impliquant-netanyahu.html

      La police israélienne, qui enquête sur une éventuelle implication de Benjamin Netanyahu dans des affaires de corruption, examine un enregistrement d’une conversation avec un patron de presse sur l’éventualité d’apporter une couverture plus favorable au Premier ministre, selon des informations diffusées dimanche.

      Selon la chaîne privée Channel 2, la police est en possession d’un enregistrement d’une conversation entre M. Netanyahu et Arnon Moses, propriétaire du quotidien Yediot Aharonot et de son site d’information Ynet.
      Ce journal fournit une couverture traditionnellement hostile à M. Netanyahu. Cette même chaîne de télévision israélienne affirme que les deux hommes discutaient d’"un accord qui aiderait le Yedioth en échange d’une couverture favorable" au Premier ministre.

      Selon Channel 2, les discussions entre M. Netanyahu et l’éditeur portaient sur la possibilité de réduire ou fermer le supplément hebdomadaire du Israel HaYom, pour donner un coup de pouce aux ventes de son rival et à la fortune de la famille Moses.
      En échange, ajoute la même source, le Yedioth baisserait le ton de sa couverture traditionnellement hostile à M. Netanyahu. La chaîne ne précise pas quand cette conversation avait eu lieu ou si un accord avait été conclu.

      Depuis son lancement en 2007, le tirage du quotidien gratuit pro-Netanyahu Israel HaYom dépasse celui de Yedioth. Le journal appartient au milliardaire américain juif Sheldon Adelson, soutien de longue date de M. Netanyahu.

      Le Premier ministre a été interrogé jeudi par les enquêteurs pendant cinq heures, pour la deuxième fois en une semaine, dans le cadre d’une enquête sur des cadeaux qu’il est soupçonné d’avoir reçus illégalement d’hommes d’affaires.

      Channel 2 avait auparavant indiqué que M. Netanyahu avait reçu pendant sept ou huit ans des boîtes de cigares de choix de la part d’Arnon Milchan, homme d’affaires israélien, producteur hollywoodien et ami du Premier ministre. La valeur totale de ces cigares s’élèverait à des dizaines de milliers de dollars, selon Channel 2.

      La chaîne affirme également que la police soupçonnait M. Milchan d’avoir offert à l’épouse du Premier ministre, Sara, du champagne rose d’une valeur d’une centaine de dollars la bouteille.
      Un avocat de Benjamin Netanyahu avait affirmé vendredi que ces soupçons étaient « dénués de toute substance ».