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  • In search of lost time : Why is everyone so busy ? | The Economist

    http://www.economist.com/news/christmas-specials/21636612-time-poverty-problem-partly-perception-and-partly-distribution-w

    THE predictions sounded like promises: in the future, working hours would be short and vacations long. “Our grandchildren”, reckoned John Maynard Keynes in 1930, would work around “three hours a day”—and probably only by choice. Economic progress and technological advances had already shrunk working hours considerably by his day, and there was no reason to believe this trend would not continue. Whizzy cars and ever more time-saving tools and appliances guaranteed more speed and less drudgery in all parts of life. Social psychologists began to fret: whatever would people do with all their free time?

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    Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales

    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1997_num_47_6_395223

    Elias et le « retour » du temps

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    Lettres-Philosophie au Lycée Leconte de Lisle : Bibliographie sur le temps vécu

    http://lettres-philosophie.blogspot.no/2013/09/bibliographie-sur-le-temps-vecu.html

    Bibliographie sur le temps vécu
    Le temps vécu, quelques lectures pour bien débuter

    Pour ne pas tout oublier de l’année dernière, une citation en guise de préambule : « La pensée en s’exprimant dans une image nouvelle s’enrichit en enrichissant la langue. L’être devient parole. La parole apparaît au sommet du psychisme de l’être. La parole se révèle le devenir immédiat du psychisme humain », Gaston BACHELARD, L’Air et les songes (1943)

    L’adjectif « vécu » mérite une explication que le même auteur peut apporter. En effet, il nous met en garde dans les Fragments d’une poétique du feu (1988) contre la tendance de certains philosophes à faire du vécu un donné indépassable, une évidence primordiale, quand le vécu est par nature confus : « Un des leitmotive de la phénoménologie appliquée est la détermination, en conscience première, des expériences vécues. Ce qu’on vit soi-même, en soi-même, a, pense-t-on, un privilège de conscience claire. Mais comment croire qu’on tienne la vie, toute la vie, la vie en profondeur, dans un événement passager, dans l’intensité relative d’un choix psychique exceptionnel. […] Et comment ne pas incorporer avec le vécu la plus grande des indisciplines qu’est le vécu imaginé ? Le vécu humain, la réalité de l’être humain, est un facteur d’être imaginaire. » Cette bibliographie ne se plie à aucune mode phénoménologique, ni valorisation naïve des perceptions, ni dédain de la science et de sa rationalité propre. Elle repose, de plus, sur la distinction du temps vécu et du temps subjectif que certains ont fâcheusement tendance à oublier.

    #temps #pas_le_temps #du_temps #norbert_elias