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  • L’Égypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait être utilisée pour abriter des Palestiniens - sources - 16/02/2024 | Zonebourse
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    L’Égypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait être utilisée pour abriter des Palestiniens

    L’Egypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait accueillir des Palestiniens au cas où une offensive israélienne à Rafah provoquerait un exode à travers la frontière, ont déclaré quatre sources, dans ce qu’elles ont décrit comme une mesure d’urgence de la part du Caire.

    L’Égypte, qui a nié avoir entrepris de tels préparatifs, a maintes fois tiré la sonnette d’alarme quant à la possibilité que l’offensive dévastatrice d’Israël à Gaza déplace des Palestiniens dans le Sinaï - ce qui, selon le Caire, serait totalement inacceptable -, faisant écho aux mises en garde d’États arabes tels que la Jordanie.

    Les États-Unis ont déclaré à plusieurs reprises qu’ils s’opposeraient à tout déplacement de Palestiniens hors de Gaza.

    L’une des sources a déclaré que l’Égypte avait bon espoir que les pourparlers visant à conclure un cessez-le-feu permettraient d’éviter un tel scénario, mais qu’elle établissait la zone à la frontière à titre de mesure temporaire et de précaution.

    Trois sources de sécurité ont déclaré que l’Égypte avait commencé à préparer une zone désertique avec quelques installations de base qui pourraient être utilisées pour abriter les Palestiniens, soulignant qu’il s’agissait d’une mesure d’urgence.

    Les sources avec lesquelles Reuters s’est entretenu pour cet article ont refusé d’être nommées en raison du caractère sensible de la question.

    Israël a déclaré qu’il lancerait une offensive pour s’emparer du « dernier bastion » du Hamas à Rafah, où plus d’un million de Palestiniens ont trouvé refuge après son offensive dévastatrice à Gaza.

    Israël a déclaré que son armée élaborait un plan d’évacuation des civils de Rafah vers d’autres parties de la bande de Gaza.

    Toutefois, Martin Griffiths, responsable de l’aide humanitaire des Nations unies, a déclaré jeudi qu’il était « illusoire » de penser que les habitants de Gaza pourraient être évacués vers un lieu sûr et a mis en garde contre le risque de voir les Palestiniens se répandre en Égypte si Israël lançait une opération militaire à Rafah.

    Il a qualifié ce scénario de « cauchemar égyptien ».

    L’Égypte a présenté son opposition au déplacement des Palestiniens de Gaza comme faisant partie du rejet arabe plus large de toute répétition de la « Nakba », ou « catastrophe », lorsque quelque 700 000 Palestiniens ont fui ou ont été forcés de quitter leurs maisons lors de la guerre qui a entouré la création d’Israël en 1948.

    La première source a déclaré que la construction du camp avait commencé il y a trois ou quatre jours et qu’il offrirait un abri temporaire en cas de passage de la frontière « jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée ».

    Interrogé sur les récits des sources, le chef du service d’information de l’État égyptien a déclaré : "Cela n’a aucun fondement dans la vérité : « Cela n’a aucun fondement. Nos frères palestiniens ont dit et l’Égypte a dit qu’il n’y avait pas de préparation à cette éventualité ».

    La Fondation du Sinaï pour les droits de l’homme, une organisation militante, a publié lundi des images montrant des camions de construction et des grues travaillant dans la zone, ainsi que des images de barrières en béton.

    Citant une source non identifiée, la Fondation du Sinaï a déclaré que les travaux de construction étaient destinés à créer une zone sécurisée en cas d’exode massif de Palestiniens.

    Reuters a pu confirmer qu’une partie de la vidéo se trouvait à Rafah grâce à la position des bâtiments, des arbres et des barrières, qui correspond à l’imagerie satellite de la zone.

    Reuters n’a pas été en mesure de confirmer la localisation de l’ensemble de la vidéo ni la date à laquelle elle a été filmée.

    LES LIENS AVEC ISRAËL SOUS PRESSION

    Quelque 1,5 million de Palestiniens se trouvent actuellement à Rafah, soit plus de la moitié de la population de la bande de Gaza, selon l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens.

    Israël affirme qu’il doit étendre son assaut à Rafah pour éliminer le Hamas, le groupe à l’origine de l’attaque du 7 octobre qui a fait 1 200 morts en Israël et 250 autres personnes enlevées, selon les décomptes israéliens.

    Avec plus de 28 000 personnes déjà tuées lors de l’offensive israélienne à Gaza, selon les autorités sanitaires de la bande de Gaza dirigée par le Hamas, le sort des personnes réfugiées à Rafah est devenu un sujet de préoccupation internationale, y compris pour les alliés occidentaux d’Israël.

    Le président américain Joe Biden a déclaré au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qu’Israël ne devrait pas procéder à une opération à Rafah sans un plan visant à assurer la sécurité des personnes qui y sont réfugiées.

    Un porte-parole du département d’État américain a déclaré : « Le président a clairement indiqué qu’il ne soutenait pas le déplacement forcé des Palestiniens de Gaza. Les États-Unis ne financent pas de camps en Égypte pour les Palestiniens déplacés ».

    Le bureau de M. Netanyahu a ordonné à l’armée d’élaborer un plan d’évacuation de Rafah. Mais aucun plan n’a encore vu le jour.

    Lors d’une interview accordée à ABC News, M. Netanyahu a déclaré que les Palestiniens pourraient se rendre dans les zones situées au nord de Rafah et libérées par l’armée.

    Avi Dichter, ministre israélien de l’agriculture et du développement rural, a déclaré mercredi que l’évacuation était « une question militaire » et que l’armée israélienne savait comment procéder.

    Dans des commentaires à la radio de l’armée israélienne, M. Dichter a déclaré qu’il y avait « suffisamment de terres à l’ouest de Rafah » et a mentionné Al Mawasi, une zone sur le littoral vers laquelle l’armée israélienne a déclaré que les civils devaient fuir au début de l’offensive.

    La guerre de Gaza a mis sous pression les relations entre l’Égypte et Israël, qui ont signé un accord de paix en 1979.

    Le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit, ancien ministre égyptien des affaires étrangères, a déclaré en début de semaine que les actions israéliennes menaçaient la continuité des accords avec l’Égypte et la Jordanie, en référence aux traités de paix conclus avec ces deux États arabes.

    Le ministre égyptien des affaires étrangères, Sameh Shoukry, a déclaré le 12 février que l’Égypte avait maintenu l’accord pendant 40 ans et qu’elle continuerait à le faire tant que les deux parties s’y engageraient.

    • L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza

      https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/17/l-egypte-construit-une-zone-de-securite-dans-le-sinai-en-prevision-d-un-even

      Des engins de chantier aménagent un espace dans l’optique d’une offensive israélienne sur Rafah, le dernier sanctuaire de l’enclave palestinienne.

      Par Hélène Sallon (Beyrouth, correspondante)

      Publié hier à 12h59, modifié hier à 15h08

      Dans le Sinaï égyptien, le long de la frontière avec la bande de Gaza, entre les terminaux de Rafah et de Kerem Shalom, des engins de chantier aplanissent le sol d’une étroite bande de terre. Des images satellites, analysées par l’agence Associated Press vendredi 16 février, montrent que des travaux sont en cours dans ce périmètre. Des grues et des camions y sont visibles. Des barrières de béton ont été dressées pour ceinturer cette zone d’environ 20 kilomètres carrés.

      Selon l’ONG Sinai Foundation for Human Rights, qui a révélé l’existence de ce chantier le 12 février, l’endroit est destiné à accueillir des réfugiés palestiniens, dans l’éventualité où l’Egypte devrait faire face à un exode massif depuis Gaza. Des entrepreneurs locaux ont dit à l’ONG avoir été chargés des travaux par l’entreprise Sons of Sinai, propriété de l’homme d’affaires Ibrahim El-Argani, proche de l’armée égyptienne. Il est prévu que des murs de 7 mètres de haut soient construits, sous la supervision du génie militaire, et sous forte présence sécuritaire.

      Des sources égyptiennes ont confirmé, sous couvert de l’anonymat, au Wall Street Journal l’aménagement d’une zone de sécurité, pouvant accueillir jusqu’à 100 000 personnes. Une source égyptienne indique au Monde que la peur de faire face à un afflux de déplacés en cas d’offensive israélienne sur la ville de Rafah explique cette décision. Le chef des services de communication de l’Etat, Diaa Rashwan, a toutefois nié l’existence d’un tel projet. Il a rappelé que l’Egypte s’oppose à tout déplacement forcé de Gazaouis sur son territoire du fait de la guerre entre Israël et le Hamas dans l’enclave palestinienne.

      Le Caire n’a pas beaucoup d’options

      Ce scénario pourrait cependant se matérialiser si le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, mettait à exécution sa menace, agitée depuis le 7 février, de lancer une offensive sur Rafah, qui est devenue le dernier refuge de plus d’1,4 million de Gazaouis. « La décision de lancer l’offensive sur Rafah n’a pas été prise. Nétanyahou souhaite en faire un moyen de pression dans les négociations de trêve avec le Hamas. Mais s’il n’y a pas d’accord, il sera difficile pour les Israéliens d’éviter une offensive », estime Laure Foucher, spécialiste du Moyen-Orient à la Fondation de recherche stratégique (FRS).

      Le Caire et Washington exhortent Israël à renoncer à cette opération, invoquant des « conséquences humanitaires dévastatrices ». Ils exigent qu’un plan d’évacuation des déplacés de Rafah vers le nord de l’enclave soit mis sur pied. Vendredi, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a assuré qu’« Israël n’a pas l’intention d’évacuer des civils palestiniens vers l’Egypte », ni de mettre en danger l’accord de paix signé en 1978 avec Le Caire. L’armée israélienne n’a toutefois pas dévoilé de plan pour la prise en charge des civils palestiniens dans le nord de l’enclave, qu’elle a réduit à l’état de ruines.

      « Les Egyptiens sont pragmatiques. Si les Gazaouis n’ont pas d’autre choix que de fuir vers l’Egypte, ils les accueilleront pour les protéger mais, derrière de hauts murs, pour ne pas qu’ils s’installent en Egypte », estime Khalil Sayegh, un analyste palestinien. Le Caire n’a pas beaucoup d’options. « Tirer sur les Gazaouis qui tenteraient de fuir vers le Sinaï provoquerait un tollé au sein de l’opinion égyptienne, qui soutient les Palestiniens, et serait une violation du droit international », poursuit M. Sayegh.

      Inquiétudes

      La perspective d’un déplacement des Palestiniens dans le Sinaï suscite des inquiétudes. « En cas d’afflux massif, cette zone pourrait rapidement ressembler à un camp de concentration. Et, il n’y a aucune garantie qu’ils pourront revenir à Gaza », déplore l’expert palestinien. Les Palestiniens craignent qu’Israël ne cherche à provoquer une seconde Nakba (« catastrophe »), le nom donné à l’exode forcé de 700 000 Palestiniens, lors de la création d’Israël en 1948. Des réfugiés qui n’ont jamais pu rentrer sur leurs terres.

      « Une nouvelle crise des réfugiés signerait l’arrêt de mort d’un futur processus de paix », a alerté Filippo Grande, le directeur de l’agence des Nations unies en charge des réfugiés (HCR), dans un entretien à la BBC vendredi. Le chef du HCR a appelé à « éviter à tout prix » un exode des Palestiniens vers l’Egypte, estimant qu’une fois sortis de Gaza, les réfugiés ne pourraient plus y retourner. Le HCR et l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des déplacés palestiniens, disent ne pas être impliqués dans des préparatifs pour l’accueil de réfugiés palestiniens dans le Sinaï.

      Hélène Sallon(Beyrouth, correspondante)

  • Russia’s Novatek Halts Baltic Fuel-Making Plant After Fire - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-21/novatek-s-ust-luga-terminal-is-on-fire-leningrad-governor-says

    • Ust-Luga gas-condensate plant isn’t operating, Novatek says
    • Ukraine media say an attack was carried out by Kiev forces

    Russia’s Novatek PJSC has halted fuels production at a plant at the Baltic Sea port of Ust-Luga following a fire.

    The blaze was the result of “external influence,” Novatek said based on preliminary information, without elaborating.

    • Oust-Louga est le terminal de Nord Stream 2.

      Ust-Luga - Wikipedia
      https://en.wikipedia.org/wiki/Ust-Luga


      (carte de février 2021)

      In October 2021, Gazprom and RusGazDobycha announced they would build a plant to process ethane-containing natural gas and a large-scale liquefied natural gas (LNG) production plant, Baltic LNG, with a capacity of 13 million tons of LNG per year.[5][6] High-ethane gas from the Tambeyskoye gas field and the Achimov and Valanginian deposits of the Nadym-Pur-Taz region will supply the plant.

    • la carte provient de cet article (02/2021) québécois sur la géopolitique du GNL et des gazoducs…

      L’avenir du projet de Gazoduc GNL Énergie Saguenay se joue à Berlin | L’aut’journal
      https://lautjournal.info/20210211/lavenir-du-projet-de-gazoduc-gnl-energie-saguenay-se-joue-berlin

      Des environnementalistes ont amplement démontré la nocivité du projet de Gazoduc GNL au Saguenay. Des économistes ont établi noir sur blanc que le projet était économiquement non viable et déficitaire pour Hydro-Québec. Malgré tout, le projet risque d’aller de l’avant, parce qu’il s’inscrit dans des enjeux géostratégiques qui dépassent le Québec.

      Bien que ses promoteurs se gardent de l’évoquer, le Gazoduc GNL Énergie Saguenay fait partie de la stratégie américaine pour remplacer en Europe l’approvisionnement en gaz naturel russe par du gaz de schiste américain. Et tout se joue autour du projet Nord Stream II.

      Ce gazoduc de 1 200 kilomètres de long sur fonds marin reliant la Russie à l’Allemagne doit acheminer 55 milliards de mètres cubes de gaz par an en Europe. Il doit être exploité par le géant russe Gazprom, mais il est cofinancé par cinq groupes européens pour un coût total de 9,5 milliards d’euros. Il devait initialement être terminé fin 2019. Aujourd’hui, complétée à 94%, sa construction a été interrompue par la menace de sanctions extraterritoriales américaines. Par exemple, le groupe norvégien DNV GL, qui devait certifier la conformité du tuyau, a cédé devant les pressions américaines. Et sans certification, les assureurs ne suivront pas.

      Dans son livre The Room Where It Happened (Simon and Schuster), John Bolton, le conseiller à la Sécurité nationale dans l’administration Trump, raconte à de nombreuses reprises l’importance qu’accordait Donald Trump à l’interruption de ce projet et l’ampleur des pressions exercées par le président américain sur les dirigeants européens et plus particulièrement Mme Merkel, les menaçant même, si le projet n’était pas abandonné, de sortir de l’OTAN ! « Pourquoi payer pour la défense de l’Allemagne, alors que celle-ci ne consacre même pas 2% de son budget aux dépenses militaires et va envoyer des milliards d’euros à Poutine en échange de son gaz ? »

      Démocrates et Républicains ayant fait cause commune au Congrès pour l’adoption de sanctions aux entreprises impliquées dans la construction de cet oléoduc, il est prévisible que Joe Biden brandira les mêmes menaces.

    • Russia’s Key Oil-Export Route Faces Baltic Drone Attack Threat - Bloomberg
      https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-22/baltic-drone-attacks-puts-russia-s-key-oil-export-route-at-risk


      Novatek site near Ust-Luga, Russia.
      Photographer: Google Maps/Google Maps

      • Attack shuts Novatek plant close to major oil-export terminals
      • Russia has few alternatives if attacks disrupt crude exports

      A new front opened in Russia’s war on Ukraine that highlights the vulnerability of oil exports from the nation’s western ports, after reports of drone attacks against facilities on the Baltic coast.

      Last week, the first ever Ukrainian drone reached Russia’s Leningrad region, some 1,000 kilometers (620 miles) from the border. That aircraft was downed over the privately-owned Petersburg Oil Terminal without causing damage, according to Russian authorities.

      A second drone attack on Sunday, which an official with knowledge of the matter said was organized by Ukraine’s secret services, was more disruptive. It caused a fire that shut down a Novatek PJSC gas-condensate plant in port of Ust-Luga that supplied fuel to the Russian army, according to the official who spoke on condition of anonymity.

      The facility was also close to some of Russia’s most important oil-export terminals. As the war in Ukraine once again enters a phase of attrition targeting energy infrastructure, these attacks are worrying oil-market watchers.

      “Regular attacks or heavier drones may disrupt Baltic port operations and cause reductions of export volumes,” said Sergey Vakulenko, an industry veteran who spent ten years of his 25-year career as an executive at a Russian oil producer. If that happened, “Russia would not have many viable alternatives.”

      Keeping Russia’s oil exports steady is crucial for the Kremlin, which receives some 30% of total budget revenues from the nation’s energy industry. The flow of petrodollars is helping to finance the war in Ukraine as it nears its third year, while also funding domestic spending in the run-up to presidential elections in March.

      A serious disruption to Baltic exports would also be felt around the world. Russia is a top-three global oil producer and the largest supplier to China last year. The crude market is already on heightened alert after attacks on shipping in the Rea Sea, and despite its support for Ukraine the West has long been reluctant to see Russian oil taken off the global market because of the impact it would have on prices.

      “A halt in Baltic exports would be a major shock,” said Viktor Kurilov, senior oil markets analyst at consultant Rystad Energy A/S.

      Two major Baltic oil terminals run by state-owned Transneft PJSC — Ust-Luga and Primorsk — shipped around 1.5 million barrels a day, more than 40% of the Russia’s total seaborne crude exports on average from January to November last year, according to Bloomberg calculations based on the industry data. In addition, some cargoes of Kazakh crude are also loaded at Ust-Luga.

      The facilities load more than 75% of Urals, Russia’s main crude-export blend that is shipped to dozens of nations, according to data from intelligence firm Kpler.

      In the event of an attack, it would be next to impossible for the nation’s producers to redirect flows of this size to any other port, according to analysts.

      There are export terminals in the Barents Sea, but they are “accessible by rail only and have limited capacity,” said Vakulenk?, who is now a scholar at the Carnegie Endowment for International Peace in Berlin. “The route to China and Pacific ports is full, so not a single barrel can be diverted there.”

      The Black Sea port of Novorossiysk could accept an extra 300,000 barrels a day, not enough to cover for Ust-Luga flows, estimated Viktor Katona, Kpler’s lead crude analyst. In addition, Novorossiysk is even more vulnerable to air drones attacks from Ukrainian territory and there is also a threat from marine drones, Vakulenko said.

      Crude exports were briefly halted on Sunday after the drone attack on the Novatek facility, but resumed on Monday morning, according to vessel-tracking data compiled by Bloomberg. Right now the risk of a full halt in Baltic shipments seems minimal, said Rystad’s Kurilov.

      To counter further attacks, Russia has put its key infrastructure in the Baltic Leningrad region on “high-alert mode,” according to the regional authorities.

      “Security units and law enforcement agencies received orders to destroy unmanned aerial vehicles if they are detected in territories,” adjacent to the regional strategic infrastructure, the authorities said in a Telegram statement late on Sunday.

    • Comment l’Ukraine a créé des trous dans les défenses russes pour frapper le très précieux terminal gazier d’Oust-Louga - Geo.fr
      https://www.geo.fr/geopolitique/russie-comment-ukraine-cree-trous-dans-defenses-antiaeriennes-pour-frapper-preci

      En se jouant intelligemment des défenses antiaériennes russes, l’Ukraine multiplie les frappes profondément en territoire russe. Et réussit quelques très gros coups, comme celui sur le terminal gazier du port d’Oust-Louga ou l’usine d’armement de Toula.

      Le temps passe, les cibles visées et frappées par l’Ukraine s’éloignent en territoire russe, et leur importance dans la machine de guerre du Kremlin ne cesse croît. Ainsi, samedi 20 janvier et ainsi que l’a rapporté TF1, un terminal gazier du port d’Oust-Louga, sur la mer Baltique, à quelques encablures de Saint-Pétersbourg mais à près de 900 kilomètres de la frontière ukrainienne, était frappé par une ravageuse attaque de drones.

      Un peu plus tard, l’attaque était revendiquée par le renseignement militaire de Kiev, mené par le très en vue Kyrylo Boudanov qui, récemment interviewé par le Monde ou le Financial Times, promettait notamment que ce type d’opération n’était pas près de cesser.

      Des dégâts bien plus importants que prévu
      Cette frappe sur les installations de Novatek fait suite à une première attaque essuyée quelques jours plus tôt par Saint-Pétersbourg – une ville hautement symbolique, puisque c’est celle où Vladimir Poutine a ses racines politiques.

      Malgré les images d’impressionnants incendies diffusées sur les réseaux sociaux, les dégâts infligés au complexe ont été d’abord été difficiles à évaluer. Mais selon Reuters, les installations portuaires ont lourdement souffert : elles pourraient nécessiter plusieurs semaines, voire mois, avant d’être à nouveau opérationnelles, selon des experts moscovites interrogés par l’agence.

      Selon les autorités ukrainiennes, et ainsi que l’a rapporté la BBC, les usines d’Oust-Louga raffinaient du pétrole pour les troupes russes en guerre sur son territoire. C’est en outre de ce port que partent nombre de tankers allant abreuver, malgré les sanctions, les pays d’Asie qui continuent d’acheter à vil prix le brut de l’Oural, ou en l’occurrence un sous-produit nommé naphta, l’une des briques essentielles de la pétrochimie.

      Oust-Louga et les installations de Novatek contribuent ainsi à alimenter les caisses de l’économie de guerre russe – la Chine est devenue le premier client de la Russie en 2023, comme l’a expliqué CNN.

      Les défenses antiaériennes russes, grandes absentes
      Comme l’ont rapporté le Kyiv Post ou Defence Blog, à cette attaque du port d’Oust-Louga s’est ajoutée quelques heures plus tard celle d’une usine d’armement située à Toula, à environ 170 kilomètres au sud de Moscou. De manière ironique, voire piquante, le renseignement ukrainien assure que cette unité produisait ou réparait pour la Russie certains éléments de sa défense antiaérienne, notamment les fameux systèmes Pantsir.

      Et c’est précisément là que le bât blesse, et qu’il blesse mortellement pour les installations russes. Ainsi que l’explique Business Insider, à la suite de l’Institute for the Study of War dans un point de situation daté du 21 janvier, ces défenses antiaériennes semblent étrangement inefficaces voire inopérantes face à la multiplication de ces attaques à longue distance. Celles-ci qui pourraient être menées avec les drones produits de manière domestique par la très créative industrie de l’armement ukrainienne, et dont certains sont désormais dotés de réacteurs et d’une portée dépassant les 1 000 kilomètres.

      « Les forces russes qui utilisent des systèmes à courte portée comme les Pantsir pourraient ne pas pouvoir couvrir toutes les cibles potentielles de l’Oblast de Leningrad sans apporter de nouvelles batteries dans la zone, et la poursuite de ces frappes ukrainiennes dans la profondeur pourrait accroître la pression sur l’ensemble des défenses antiaériennes russes », est-il écrit par les analystes du centre de réflexion basé à Washington.

      Selon un rapport de Newsweek, dont la source est une chaîne Telegram pro-russe nommée VChK-OGPU, c’est d’autant plus vrai que Vladimir Poutine et le Kremlin auraient retiré certaines batteries de la zone de Saint-Pétersbourg / Leningrad pour les poster près de la résidence du président russe, à Valdaï.

      La stratégie de Kiev est donc des plus malines, et présente un double avantage. Elle pousse la Russie à se découvrir, donc à créer des « trous » dans sa couverture aérienne, donc à ouvrir un accès à des cibles qui seraient, avec des défenses efficaces, plus difficilement accessibles.

      Or, comme les frappes du week-end l’ont démontré, ces cibles désormais accessibles peuvent avoir un intérêt stratégique important, qu’elles touchent directement la production militaire du Kremlin, ou qu’elle le heurte là où cela pourrait faire de plus en plus mal dans les prochains mois, au portefeuille.

    • Le port russe d’Ust-Luga continue d’exporter du pétrole brut et du carburant alors que le terminal de Novatek est fermé -Le 23 janvier 2024 à 12:40 | Zonebourse
      https://www.zonebourse.com/cours/matiere-premiere/WTI-2355639/actualite/Le-port-russe-d-Ust-Luga-continue-d-exporter-du-petrole-brut-et-du-carbu

      Le port d’Ust-Luga, sur la mer Baltique, exportait du pétrole brut et du carburant mardi, à l’exception du terminal de Novatek, qui est resté fermé après avoir été endommagé par un incendie, selon les données de LSEG et des sources industrielles.
      Novatek a déclaré dimanche qu’elle avait été contrainte de suspendre certaines opérations dans l’immense terminal d’exportation de carburant de la mer Baltique et des « processus technologiques » dans son complexe de production de carburant en raison d’un incendie, déclenché par ce que les médias ukrainiens ont qualifié d’attaque de drone.

      Les analystes estiment qu’il faudra des semaines pour relancer les opérations à grande échelle dans le complexe et le terminal.

      Le port géant d’Ust-Luga, situé dans le golfe de Finlande à environ 170 km à l’ouest de Saint-Pétersbourg, expédie un large éventail de marchandises, dont des produits pétroliers et gaziers, vers les marchés internationaux.

      Ses installations comprennent un terminal pour les exportations de pétrole brut et trois terminaux pour le traitement des cargaisons de carburant, y compris le terminal de Novatek.

      Selon les données du LSEG, 5,2 millions de tonnes de naphta ont été expédiées vers l’Asie en 2023 à partir du port d’Ust-Luga, dont 2,8 millions de tonnes à partir du terminal de Novatek.

      Selon les données de suivi des navires de LSEG, deux pétroliers, Adebomi et Bay Global, sont actuellement en cours de chargement au terminal d’exportation de brut.

      Le naphta et le fioul sont chargés sur les pétroliers Clearocean Apollon Clyde Noble au terminal pétrolier d’Ust-Luga, situé à proximité.

      Un autre terminal, appelé Portenergo, accueille les pétroliers Joyce (essence) et Alcor (gaz de pétrole liquéfié).

      Le Minerva Julie, qui devait charger du carburant au terminal Novatek au cours du week-end, est actuellement à l’arrêt au large.

      Le complexe reçoit du condensat de gaz, un type de pétrole léger, pour le traitement de quelque 7 millions de tonnes métriques par an provenant de l’usine Purovsky de Novatek en Sibérie occidentale pour la production ultérieure de produits pétroliers, tels que le naphta, le carburéacteur et le gasoil.

      Novatek produit principalement du naphta pour l’Asie, notamment la Chine, Singapour, Taïwan et la Malaisie, ainsi que du kérosène pour Turkish Airlines, qui est livré à Istanbul.

  • Israël dit avoir tiré un missile pour intercepter un objet menaçant près d’Eilat - 18/01/2024 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Israel-dit-avoir-tire-un-missile-pour-intercepter-un-objet-menacant-pres

    JERUSALEM, 18 janvier (Reuters) - L’armée israélienne a dit avoir tiré un missile pour intercepter un objet jugé menaçant au-dessus de la mer Rouge jeudi, alors que les sirènes d’alerte venaient de retentir dans la station balnéaire d’Eilat.

    Tout danger est désormais écarté, a ajouté l’armée dans un communiqué, sans préciser la nature de l’objet menaçant ni s’il a été intercepté.

  • Māori Party MPs Hana-Rawhiti Maipi-Clarke and Tākuta Ferris, National’s Tim Costley make maiden speeches - NZ Herald
    https://www.nzherald.co.nz/nz/politics/maori-party-mps-hana-rawhiti-maipi-clarke-and-takuta-ferris-nationals-tim-costley-make-maiden-speeches/HYLFIRTMMZA4VPFLCUBGR5SWLI

    Hana-Rawhiti Maipi-Clarke delivers maiden speech
    https://www.youtube.com/watch?v=7ZOIIk9A6-8

    “Aotearoa, Te Whare Paremata, are you ready?” asked Te Pāti Māori’s Hana-Rawhiti Maipi-Clarke in a rousing maiden speech in which she promised to hold the Government to account she says is “attacking” her personally as Māori.

    She was one of two from Te Pāti Māori’s new MPs to give their maiden speeches today, followed by Tākuta Ferris who deviated from the traditionally personal maiden speech to assert in no unclear terms Māori had never given up sovereignty, and it would be the work of his life in Parliament to make this clear.

    It was a speech that more than left its mark after the politics of the past week with the new Government at the other end of the spectrum starting its plans to pull back on the use of te reo Māori and prepare to challenge the place of Te Tiriti o Waitangi in society today.

    je n’ai pas trouvé de transcription intégrale de son discours, mais le contenu est largement détaillé dans l’article ci-dessus

    Hauraki-Waikato MP Hana-Rawhiti Maipi-Clarke maiden speech dedicated to tamariki Māori - NZ Herald
    https://www.nzherald.co.nz/waikato-news/news/hauraki-waikato-mp-hana-rawhiti-maipi-clarke-maiden-speech-dedicated-to-tamariki-maori/IGIBEKBPURFZBLMQAOQRW2A5BE

    Dressed in a white suit with a red blouse and her dark hair down, Maipi-Clarke’s outfit for the maiden speech could be interpreted as a tribute to the Tino rangatiratanga flag, further emphasising her words.

    • la séquence du haka est très largement relayée sur les réseaux, mais sans son nom ni le sens de son message politique…
      (en même temps, si on réfléchit deux secondes, celui-ci est assez évident…)

      petit rappel :

      Le virage à droite de la Nouvelle-Zélande sur les questions maories révèle de nouvelles lignes de fracture - 10/12/2023 | Zonebourse
      https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-virage-a-droite-de-la-Nouvelle-Zelande-sur-les-questions-maories-reve

      Les projets du gouvernement conservateur néo-zélandais visant à revenir sur les réformes relatives aux droits des Maoris ont ravivé la question raciale en tant que sujet politique brûlant dans ce pays du Pacifique, qui était auparavant salué dans le monde entier pour ses avancées en matière de droits des indigènes.
      Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de Nouvelle-Zélande ce mois-ci pour protester contre des propositions de loi et des plans que les critiques décrivent comme le recul le plus important des droits des Maoris depuis des décennies, mais qui, selon le nouveau gouvernement, répondent aux préoccupations des électeurs quant à l’orientation de la politique de ces dernières années.

      Le gouvernement de centre droit, qui a remporté les élections d’octobre, promet de défaire les politiques du précédent gouvernement travailliste progressiste, en particulier celles qui promeuvent l’utilisation officielle de la langue maorie et cherchent à améliorer le niveau de vie et les droits des indigènes.

      L’émergence du bloc conservateur, une coalition dirigée par le Premier ministre Christopher Luxon du parti national, survient également au moment où le nombre de députés maoris atteint un niveau record, certains d’entre eux étant les principaux défenseurs du nouveau programme.

      Parmi eux, David Seymour, chef du parti ACT New Zealand, partenaire de la coalition junior, un parti libertaire à l’origine d’un projet de loi controversé qui redéfinirait l’interprétation juridique du traité de Waitangi, le document fondateur du pays qui sous-tend les revendications de souveraineté des Maoris.

      "Où en sera la Nouvelle-Zélande dans 50 ans si la voie actuelle se poursuit, où les Kiwis se voient offrir des droits différents en fonction de leur ascendance ? a déclaré M. Seymour en réponse à des questions envoyées par courrier électronique par Reuters.

      Le vice-premier ministre Winston Peters, vétéran de la politique et chef du parti New Zealand First, partenaire de la coalition, qui est d’origine maorie et écossaise, souhaite également plus de clarté sur la manière dont le traité est défini dans la loi. M. Peters n’était pas disponible pour un entretien avec Reuters.

      Le gouvernement Luxon cherche également à lever l’interdiction de fumer, à relancer l’exploration pétrolière et gazière et à se retirer de la Déclaration nationale des Nations unies sur les droits des peuples autochtones.

      Ce virage à droite s’inscrit dans un contexte plus large de frustration des Néo-Zélandais de la classe moyenne face à l’augmentation du coût de la vie et de colère du secteur rural face à l’accroissement de la réglementation en matière d’environnement.

      Bon nombre des politiques que le gouvernement cherche à annuler ont été introduites par l’ancienne première ministre travailliste Jacinda Ardern, qui s’est fait connaître dans le monde entier au cours de la dernière décennie en tant qu’innovatrice socialement progressiste, alors que de nombreux autres pays occidentaux semblaient s’orienter vers une politique populiste.

      Il est peu probable que la politique étrangère de la Nouvelle-Zélande change considérablement avec Luxon, qui annonce une approche bipartisane. Toutefois, M. Peters, qui est également ministre des affaires étrangères, a déclaré le mois dernier qu’il souhaitait renforcer l’engagement stratégique et sécuritaire des États-Unis.

    • First words: The parliamentary maiden speech - New Zealand Parliament
      https://www.parliament.nz/mi/get-involved/features/first-words-the-parliamentary-maiden-speech

      When an MP enters Parliament for the first time, there is a lot of interest in how they start their parliamentary career.

      The maiden speech is an opportunity for new MPs to make a strong start and set the tone for their time in Parliament. It’s an important speech, and many MPs refer back to them when they make their valedictory speech at the end of their parliamentary term.

      What do they talk about?
      New MPs get 15 minutes for their maiden speech. This gives them time to cover a range of topics.

      Typically, MPs talk about their hopes and aspirations for their time in Parliament and what they hope to achieve. Maiden speeches usually have a deeply personal element, with MPs mentioning their upbringing, the beliefs and values that prompted them to enter Parliament, and the character of the community they represent.

    • comme d’autres membres de son parti maori, elle avait également bien personnalisé son serment d’allégeance obligatoire (à prononcer lors de l’installation)
      Tuesday, 5 December 2023 - Volume 772 - New Zealand Parliament
      https://www.parliament.nz/en/pb/hansard-debates/rhr/combined/HansD_20231205_20231205

      CLERK: Honourable members, I will now read the Commission authorising me to administer the Oath or Affirmation of Allegiance required by law to be taken or made by members.

      In accordance with section 11 of the Constitution Act 1986 I, the Rt Hon Dame Kiro, Governor-General of New Zealand, authorise you,
      David Martin Wilson, Clerk of the House of Representatives,
      to administer to members of Parliament the Oath or Affirmation of allegiance to His Majesty the King, required to be taken or made by every such member before that member shall be permitted to sit or vote in the House of Representatives.
      […]
      HANA-RAWHITI MAIPI-CLARKE (Te Pāti Māori—Hauraki-Waikato): Ko ahau, ko Hana-Rawhiti Kareariki Maipi-Clarke, e oati ana ka noho pūmau taku pono ki ā tātau mokopuna e ai ki te tikanga Māori. Ka kawe ahau i āku mahi me ōku herenga, me te whakamahi hoki i tōku mana e ai ki Te Tiriti o Waitangi, ki a Kīngi Tūheitia Pōtatau Te Wherowhero Te Tuawhitu.

      [I, Hana-Rawhiti Kareariki Maipi-Clarke, swear that I bear true allegiance to our future generations in accordance with tikanga Māori. I will perform my functions and duties and exercise my powers in accordance with Te Tiriti o Waitangi. Honour the Treaty and King Tūheitia Pōtatau Te Wherowhero Te Tuawhitu.]

      Waiata
      Kuīni Wikitōria, he aha taku hē i muia ai aku whenua tūpuna e te riri Pākehā?
      Ka hoki te mana o tō kupu.
      Mokopuna [indistinct] ana
      Te ahiahi i runga i te huarahi [indistinct].

      [Queen Victoria, what is my error that my ancestral lands have become surrounded by the Pākehā war?
      The authority of your word returns.
      Grandchildren [indistinct]
      The evening on the path [indistinct].
      ]

      E oati ana ka noho pūmau taku pono. Ko ahau, ko Hana-Rawhiti Maipi-Clarke, e oati ana ka noho pūmau taku pono ki a Kīngi Tiare te Tuatoru me tōna kāhui whakaheke, e ai ki te ture. Ko taku Atua nei hoki taku pou.

      [I swear that I will be faithful and bear true allegiance. I, Hana-Rawhiti Maipi-Clarke, swear that I will be faithful and bear true allegiance to His Majesty King Charles III, His heirs and successors, according to law. So help me God.]

    • totalement inimaginable en France, où l’article 2 (premier alinéa) de la Constitution précise La langue de la République est le français. et donc impose le français à l’Assemblée), certains nouveaux élus prononcent leur serment en anglais et le répètent dans leur langue d’origine :

      Melissa Lee

      본인, 멜리사 이지연 은 법에 따라 찰스 3세 국왕 폐하와그의 후계자 및 왕위 계승자에게 진심으로 충성을 다할것을 선서하며, 신의 이름으로 맹세합니다

      Chun Ho Carlos Cheung

      本人,Chun Ho Carlos Cheung,謹此宣誓將依法竭誠效忠查理斯三世國王陛下及其世襲繼承人和繼任者。願主佑我。

  • L’éviction du PDG d’OpenAI met en lumière le débat sur la réglementation européenne -Le 21 novembre 2023 à 10:40 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/cours/action/OUSTER-INC-120216302/actualite/L-eviction-du-PDG-d-OpenAI-met-en-lumiere-le-debat-sur-la-reglementation

    Alors que l’Union européenne se rapproche de l’adoption d’un vaste ensemble de lois régissant l’intelligence artificielle, des législateurs et des experts affirment que l’éviction surprise du PDG d’OpenAI, Sam Altman, souligne la nécessité d’adopter des règles strictes.

    M. Altman, cofondateur de la startup qui, l’année dernière, a donné le coup d’envoi du boom de l’IA générative, a été brusquement licencié par le conseil d’administration d’OpenAI la semaine dernière, provoquant une onde de choc dans le monde de la technologie et incitant les employés à menacer de démissionner en masse de l’entreprise.

    De l’autre côté de l’Atlantique, la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’UE peaufinent les détails de la loi sur l’IA, un ensemble de lois radicales qui obligeraient certaines entreprises à réaliser des évaluations de risques approfondies et à mettre leurs données à la disposition des régulateurs.

    Ces dernières semaines, les discussions ont achoppé sur la question de savoir dans quelle mesure les entreprises devraient être autorisées à s’autoréguler.

    Brando Benifei, l’un des deux législateurs du Parlement européen qui mènent les négociations sur les lois, a déclaré à Reuters : Le drame compréhensible autour d’Altman qui a été licencié d’OpenAI et qui rejoint maintenant Microsoft nous montre que nous ne pouvons pas compter sur des accords volontaires négociés par des leaders visionnaires.

    La réglementation, en particulier lorsqu’il s’agit des modèles d’IA les plus puissants, doit être solide, transparente et applicable pour protéger notre société.

    Lundi, Reuters a rapporté que la France, l’Allemagne et l’Italie étaient parvenues à un accord sur la manière dont l’IA devrait être réglementée, ce qui devrait accélérer les négociations au niveau européen.

    Les trois gouvernements soutiennent « l’autorégulation obligatoire par le biais de codes de conduite » pour ceux qui utilisent des modèles d’IA générative, mais certains experts ont déclaré que cela ne serait pas suffisant.

    Alexandra van Huffelen, ministre néerlandaise de la numérisation, a déclaré à Reuters que la saga OpenAI soulignait la nécessité de règles strictes.

    Elle a déclaré : Le manque de transparence et la dépendance à l’égard de quelques entreprises influentes soulignent clairement, à mon avis, la nécessité d’une réglementation.

    Gary Marcus, expert en IA à l’université de New York, a quant à lui écrit sur la plateforme de médias sociaux X : "Nous ne pouvons pas vraiment faire confiance aux entreprises pour autoréguler l’IA, alors que même leur propre gouvernance interne peut être profondément conflictuelle.

    "S’il vous plaît, ne videz pas de sa substance la loi européenne sur l’IA ; nous en avons plus que jamais besoin. (Reportage de Martin Coulter et Supantha Mukherjee ; Rédaction de Susan Fenton)

  • Israël frappe une ambulance dans la ville de Gaza, plusieurs personnes auraient été tuées - 03/11/2023 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Israel-frappe-une-ambulance-dans-la-ville-de-Gaza-plusieurs-personnes-au

    Ashraf al-Qidra, porte-parole du ministère de la santé à Gaza, a déclaré que l’ambulance faisait partie d’un convoi qu’Israël avait pris pour cible au départ de l’hôpital al-Shifa, ajoutant qu’un « grand nombre » de personnes avaient été tuées et blessées, sans toutefois donner de chiffres.

    M. Qidra a indiqué qu’Israël avait pris pour cible le convoi d’ambulances à plusieurs endroits, notamment à l’entrée de l’hôpital al-Shifa et sur la place Ansar, située à un kilomètre de là.

    Gaza : Israël confirme avoir ciblé une ambulance, « utilisée » selon elle par le Hamas
    https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/direct-guerre-entre-israel-et-le-hamas-l-etat-hebreu-annonce-le-renvoi-

  • Les #États-Unis envisagent d’étendre l’accès à leurs #bases aux Philippines, selon un amiral -Le 14 septembre 2023 à 08:42 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/cours/indice/MSCI-TAIWAN-STRD-107361484/actualite/Les-Etats-Unis-envisagent-d-etendre-l-acces-a-leurs-bases-aux-Philippine

    Les Philippines ont augmenté cette année le nombre de bases accessibles à l’armée américaine, qui est passé de cinq à neuf, ce qui a irrité la #Chine, puissance régionale, qui considère cet accord comme provocateur et susceptible d’accroître les tensions.

    L’amiral John Aquilino a déclaré qu’il avait discuté avec le chef militaire philippin, Romeo Brawner, d’une nouvelle augmentation du nombre de bases auxquelles les forces américaines pourraient avoir accès dans le cadre de l’accord de coopération renforcée en matière de défense (Enhanced Defense Cooperation Agreement - EDCA).

  • Réaction à la demande de mise en accusation de Joe Biden par les républicains de la Chambre des représentants des États-Unis - 12/09/2023 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Factbox-Reaction-a-la-demande-de-mise-en-accusation-de-Joe-Biden-par-les

    Les républicains de la Chambre des représentants des États-Unis poursuivent leur enquête sur la destitution du président démocrate Joe Biden, alléguant qu’il a profité de son mandat de vice-président, bien qu’ils n’aient présenté aucun élément de preuve.

    Le président de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, a lancé mardi cette enquête après que certains républicains ont menacé de l’évincer de son poste s’il n’enquêtait pas sur M. Biden, qui cherche à se faire réélire en 2024.

    Les républicains, qui contrôlent de justesse la Chambre des représentants, ont accusé M. Biden d’avoir profité, alors qu’il était vice-président de 2009 à 2017, des activités commerciales à l’étranger de son fils Hunter Biden, une allégation que la Maison-Blanche dément.

    Apparemment, dénoncer des faits de corruption, c’est du campisme et on peut renvoyer les différents protagonistes dos à dos.

    • https://video.twimg.com/amplify_video/1702022717325852672/vid/avc1/876x480/aWD5aTgZFLj6bm5C.mp4

      https://twitter.com/WilliamReymond/status/1702022892630982736

      « C’est une diversion pour oublier les 4 inculpations de Donald Trump »

      Ken Buck est un RÉPUBLICAIN élu à la Chambre des Représentants. Un membre du Freedom Caucus qui regroupe les élus ultra-conservateurs du Parti.

      Ces derniers jours, Buck s’est exprimé sur l’absence de preuves contre Joe Biden.

      Alors que les républicains en cherche[nt] depuis… 2018.

      À l’époque, Trump était président et une enquête avait été menée sous l’autorité de Barr, son ministre de la Justice.

      Depuis 2022, le GOP contrôle la Chambre des Représentants et, après celui de la Présidence, utilise celui du Congrès pour « enquêter sur Biden »

      Résultat ? Pour plusieurs républicains dont Buck, il n’existe aucune preuve des accusations qui sont amplifiées depuis 2018 par Trump et ses alliés.

      C’est sûrement pour cela d’ailleurs que McCarthy a décidé hier d’avancer sur une enquête en destitution sans la soumettre aux votes

      L’absence de preuves et la fragilité de sa majorité ne garantissant pas un succès.

      Sans surprise, les médias ont révélé hier que Trump était directement impliqué dans la décision de McCarthy.

      Pour être élu speaker au bout de 15 tours, McCarthy a accepté une clause folle : l’opposition d’un élu de sa majorité suffit pour entraîner un nouveau vote sur sa fonction.

      Le laissant donc à la merci de la frange la plus extrémiste du parti et donc de Donald Trump.

      Hier, Buck a confirmé tout cela. Et il est même revenu sur le rôle de Trump.

      Il a précisé ainsi que ces dernières semaines, Trump avait clairement demandé l’impeachment de Biden.

      C’est une idée défendue par Bannon depuis la campagne de 2022. La stratégie a un nom : “flood the zone with shit”

      Inonder la zone avec de la merde… Rendre la vérité inaudible. Limiter l’impact des véritables problèmes judiciaires de Trump avec des théories du complot et un immense écran de fumée : l’impeachment de Joe Biden.

      Comme le dit Buck lui-même, tout cela est une stratégie de diversion pour oublier les 4 inculpations de Trump.

      Mais l’analyse ne doit pas s’arrêter là.

      […]

  • L’agence de recherche sur le #cancer de l’#OMS va déclarer l’#édulcorant #aspartame comme cancérogène possible - sources | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/cours/action/PEPSICO-INC-39085159/actualite/L-agence-de-recherche-sur-le-cancer-de-l-OMS-va-declarer-l-edulcorant-as

    L’un des #édulcorants artificiels les plus répandus dans le monde devrait être déclaré #cancérogène possible le mois prochain par un organisme de santé mondial de premier plan, selon deux sources ayant connaissance du processus, ce qui l’opposera à l’industrie alimentaire et aux autorités de réglementation.

    • Après le silence de la semaine, place à la communication des banques ce week-end. « Il n’y a aucun risque de contagion possible entre les événements que nous constatons et les banques françaises », a martelé samedi matin sur France Inter Philippe Brassac, le patron du Crédit Agricole et président tournant de la Fédération bancaire française (FBF).

      Mais en coulisse, le secteur encaisse le choc de la semaine. « On a changé d’époque, estime un grand banquier. Il y a plus de prudence et d’attention autour des questions de liquidité et de solvabilité. Tout ce qui s’est passé est la conséquence de la violence de la remontée des taux, analyse un autre. Et on est loin d’en avoir vu la totalité des effets ».

      Cela pourrait prendre plusieurs trimestres. D’ici là, chacun se prépare à passer au grill des investisseurs lors de la présentation des résultats du premier trimestre, début mai. A cette occasion, les banques devront faire la transparence sur l’impact sur leurs comptes de la baisse de valeur de leur portefeuille obligataire.

      « Ce qui est sûr, c’est que l’épisode Credit Suisse, après le choc de la guerre en Ukraine et l’interdiction de verser des dividendes pendant la crise du Covid, va finir de dégoûter les investisseurs internationaux des actions bancaires européennes », redoute déjà un banquier à son retour de Londres.

      (les Échos)

    • Après que la BNS (banque nationale suisse) a accepté de renflouer Credit Suisse par un prêt de 50 milliards de francs suisses, voilà-t-y pas que UBS joue l’éléphant dans le magasin de porcelaine en annonçant son intention de racheter Credit Suisse pour 3milliards de francs. Ça commence à faire désordre et « les marchés » réagissent négativement.
      https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/le-rachat-de-la-honte-la-presse-helvetique-tres-critique-a-legard-du-sauvet

      Après le sauvetage de Credit Suisse par sa rivale UBS, l’heure n’est toujours pas à l’apaisement. Dans la presse locale, les réactions de rejet pleuvent depuis dimanche soir. « Le rachat de la honte », titre « la Tribune de Genève ». « C’est un mauvais scénario, prévisible mais qui n’a pas été anticipé à temps. Une erreur, une de plus dans la gestion de cette crise », écrit le quotidien francophone.

      https://www.boursorama.com/bourse/actualites/cac40-sous-les-6900-pts-les-valeurs-bancaires-en-net-repli-9ef0996639ff7

      CercleFinance.com) - La bourse de Paris cède près de 0,5% ce matin, autour des 6890 points, pénalisée par le lourd recul des bancaires, avec notamment -6,4% sur Société Générale et -5% sur BNP Paribas.

      UBS a annoncé hier soir son intention de racheter Credit Suisse pour un montant de trois milliards de francs suisses (environ trois milliards d’euros), une décision inattendue pour bon nombre d’investisseurs qui a tué dans l’oeuf les timides velléités de rebond qui se profilaient en fin de semaine dernière.

      Ceci était la partie émergé de l’iceberg mais sous la surface de l’apparence :

      Ce mariage forcé pénalise les actions des grandes banques européennes, qui se trouvent au coeur des préoccupations des marchés depuis maintenant une semaine.

      Dans ce contexte, la Banque d’Angleterre, la Banque du Canada, la Banque centrale européenne (BCE), la Banque du Japon, la Banque nationale suisse (BNS) et la Réserve fédérale des États-Unis annoncent ce jour des mesures concertées visant à améliorer l’approvisionnement en liquidités par les accords permanents de swap en dollars des États-Unis
      Le poids des créances douteuses et l’impact de la remontée des taux d’intérêt risquent en effet de pénaliser les banques les plus fragiles, faisant redouter de nouvelles faillites.

      Les investisseurs se préparent donc à affronter cette semaine les mêmes turbulences qui plombent les marchés depuis une dizaine de jours, à savoir une aggravation apparemment sans fin de la crise bancaire mondiale.

      Au vu de la méfiance qui entoure actuellement les banques européennes, la réunion du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale, qui se tiendra demain et mercredi, constitue presque un non-événement.

      *Swap, définition :
      http://financedemarche.fr/finance/swaps-definition-caracteristiques

      Ce qui est important :

      Les contrats swaps sont très majoritairement conclus de gré à gré, c’est-à-dire loin des marchés organisés. Ces échanges directs entre contreparties laissent demeurer un certain risque de crédit. Si l’une des banques citées dans l’exemple ci-dessus n’est pas capable de faire face à ses obligations, elle met en péril l’autre banque.

      Concernant ces fameux « swaps en dollars » :
      https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-banques-n-empruntent-que-des-montants-symboliques-par-le-biais-du-me

      Face au risque d’une perte de confiance rapide dans la stabilité du système financier, la Fed a déclaré qu’elle proposerait des swaps de devises quotidiens pour s’assurer que les banques du Canada, de Grande-Bretagne, du Japon, de Suisse et de la zone euro disposent des dollars nécessaires à leur fonctionnement.

      Quand on connaît la dette abyssale des États-Unis, s’assurer auprès de la Fed pour « rétablir la confiance », c’est assez, comment dire ... surprenant ?

      https://www.compteur.net/compteur-dette-usa

  • Le président péruvien Pedro Castillo arrêté par les forces des sécurité
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-president-peruvien-Pedro-Castillo-arrete-par-les-forces-des-securite-

    Pas tout à fait 5 mois après cette notification de @Kassem : https://seenthis.net/messages/924583

    Au fait, en Argentine aussi, c’est super : Condamnation historique de la vice-présidente d’Argentine, Cristina Kirchner
    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/condamnation-historique-de-la-vice-pr%C3%A9sidente-d-argentine-cristina-kirchner/ar-AA1511ff
    (Je ne sais pas comment il faut entendre l’adjectif « historique » dans ce titre !)

    Bientôt Lula de Silva de retour en prison après son élection ?

  • 8e vague de Covid : le pic est-il déjà atteint ? - AlloDocteurs
    https://www.allodocteurs.fr/8e-vague-de-covid-le-pic-est-il-deja-atteint-33519.html

    Selon le dernier bilan hebdomadaire de Santé publique France, la vague de Covid-19 se stabilise. Mais s’il y a moins de contaminations, les décès et les hospitalisations sont toujours en hausse.

    Réchauffement climatique : le pic de chaleur du mois d’octobre inquiète
    https://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/rechauffement-climatique-le-pic-de-chaleur-du-mois-d-octobre-inquiete_5

    Des températures record s’abattent sur la France pour un 19 octobre. Ces pics de chaleur ne sont pas étonnants à en croire les spécialistes, mais inquiètent la population.

    Les pics inquiètent mais ne sont que le signe que ne rien faire était la bonne solution.

  • La #dépendance de l’#Allemagne vis-à-vis de la #Chine s’accroît ’à un rythme effréné’ - IW | Zone bourse
    https://www.zonebourse.com/cours/indice/MSCI-TAIWAN-STRD-107361484/actualite/La-dependance-de-l-Allemagne-vis-a-vis-de-la-Chine-s-accroit-a-un-rythme

    L’économie allemande est devenue plus dépendante de la Chine au cours du premier semestre 2022, avec des investissements directs et un déficit commercial atteignant de nouveaux sommets, malgré la pression politique exercée sur Berlin pour qu’elle s’éloigne de Pékin, selon des recherches vues par Reuters.

  • CDC loosens coronavirus guidance, signaling strategic shift - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/health/2022/08/11/cdc-coronavirus-recommendations

    Le #CDC américain ne recommande plus la mise en quarantaine des étudiants en cas d’exposition au #COVID-19
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-CDC-americain-ne-recommande-plus-la-mise-en-quarantaine-des-etudiants

    Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont déclaré jeudi qu’ils ne recommanderaient plus aux écoles ou aux garderies de mettre les élèves en quarantaine ou d’organiser des programmes de test en cas d’exposition au COVID-19.

    #états-unis

  • Craig Murray - sur Twitter : “A strange truth. Russia continues to send gas to W. Europe, mostly to NATO countries, and increased supply since the invasion started. Much of it still transits Ukraine. Russian and Ukrainian managers and technicians still cooperate 24 hrs. Russia is still paying transit fees.” / Twitter
    https://twitter.com/realpepeescobar

    Tout est perdu sauf le gaz !

    On peut y ajouter ceci :
    https://www.zonebourse.com/cours/action/PJSC-GAZPROM-6491735/actualite/Ukraine-Les-exportations-de-gaz-russe-vers-l-Europe-se-poursuivent-norma

    KIEV/MOSCOU, 27 février (Reuters) - Le transit de gaz russe vers l’Europe via l’Ukraine se poursuit normalement dimanche, ont déclaré l’exploitant ukrainien du gazoduc et le géant gazier russe Gazprom après l’annonce d’une frappe contre une infrastructure gazière près de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine attaquée depuis jeudi par l’armée russe. (Reportage Pavel Polityuk et Vladimir Soldatkin ; rédigé par Jean-Stéphane Brosse)
    © Reuters 2022

    #ukraine #gaz

    • Ukraine : le gaz, une nouvelle arme ?
      Par Sami Ramdani GÉOGRAPHE

      L’une des armes les plus destructrices dont le Président russe dispose en Ukraine est le gaz naturel. Le pays a déjà subi des ruptures d’approvisionnements en 2006, 2009 et 2014, et l’ampleur de l’attaque russe sur l’Ukraine permet d’imaginer tous les possibles. Les approvisionnements gaziers russes se maintiendront-ils ? Vont-ils être plus limités encore que ce qu’envoie actuellement Gazprom, qui se contente de fournir le minimum des volumes contractés par ses clients européens depuis le printemps 2021 ?

      En Ukraine, face à l’envahisseur, la résistance de tous les secteurs de la société est mise à l’épreuve. Parmi les chantiers majeurs, la construction d’une architecture résiliente d’approvisionnement gazier occupe une place centrale. Pour accomplir cette tâche, les industriels nationaux, notamment le gestionnaire du réseau de gazoduc Gas Transmission System Operator of Ukraine (GTSOU), sont en première ligne. Dans l’immédiat, le PDG de l’entreprise publique rassure, les infrastructures continuent à fonctionner « normalement » à l’heure qu’il est malgré l’invasion commencée à l’aube jeudi.

      En décembre dernier, Sergiy Makogon évoquait les projets de long terme engagés par l’Ukraine pour garantir sa sécurité énergétique et être moins dépendante du bon-vouloir russe. Les autorités ukrainiennes sont mobilisées, et n’ont pas attendu l’offensive russe pour l’être. Depuis des mois déjà, les diplomates, le ministère de l’énergie, le ministère des affaires étrangères et le régulateur travaillent à augmenter les capacités d’importations de gaz aux frontières de ses voisins européens.

      L’Ukraine importe environ un tiers de ses besoins en gaz. La production domestique ukrainienne de gaz est actuellement de 20 milliards de mètres cubes (MMC) par an et la consommation est de 30 MMC. Depuis 2016, soit deux ans après l’annexion de la Crimée, l’Ukraine n’importe plus, théoriquement, de gaz directement depuis la frontière russe. Le pays dispose de deux options pour importer son gaz : les flux inversés physiques, et les flux inversés virtuels.

      Ce que l’on appelle « flux inversés » sont des flux de gaz transitant depuis l’Union Européenne vers l’Ukraine. On les qualifie d’« inversés » car historiquement, les flux régionaux de gaz traversent l’Ukraine d’est en ouest. Que l’on ne s’y trompe pas : le gaz provenant de l’UE à destination de l’Ukraine peut être issu de fournisseurs divers, mais il s’agit en grande majorité… de gaz russe ! Passé par le gazoduc Nord Stream (grand frère du projet Nord Stream 2), il est arrivé de Russie vers l’Allemagne, descendu jusqu’en République tchèque, a traversé la Slovaquie pour arriver en Ukraine…

      Pour ce qui est des « flux inversés virtuels » le gaz ne circule pas physiquement depuis l’UE vers l’Ukraine. Ce gaz est effectivement acheté par des acheteurs situés en Ukraine à des vendeurs situés en UE, mais il est physiquement déduit du flux de gaz russe transitant par l’Ukraine à destination de l’UE. Cette modalité d’achat de gaz nuance quelque peu les propos des dirigeants ukrainiens qui affirment ne plus importer directement de gaz russe.

      Les flux inversés virtuels sont économiquement avantageux puisqu’ils épargnent aux acheteurs en Ukraine d’avoir à payer les frais de transit induits par un acheminement du gaz russe à travers l’UE jusqu’à la frontière ouest ukrainienne. Cependant, ces flux inversés virtuels dépendent de la continuité du transit. La guerre déclarée jeudi menace cette continuité. La mise en service attendue du gazoduc Nord Stream 2 (qui relie la Russie à l’Allemagne via la mer Baltique) met en péril elle aussi la continuité du transit par l’Ukraine, mais le chancelier allemand Olaf Scholz en a suspendu la certification il y a quelques jours quand Vladimir Poutine a déclaré reconnaître l’indépendance des Républiques séparatistes de Doňetsk et Lougansk.

      En conséquence, le gestionnaire du réseau de gazoducs ukrainiens cherche à sécuriser un maximum de contrats avec ses voisins européens offrant des capacités « flux inversés physiques ». GTSOU vise l’obtention de capacités fermes. Les capacités fermes donnent le droit, garanti en permanence, d’utiliser un certain volume de l’infrastructure de transport du gestionnaire qui propose ces capacités – qui offre de la place dans ses tuyaux, autrement dit. Les capacités non-fermes, dites interruptibles, permettent d’utiliser un certain volume si cela est techniquement possible. Si les volumes de gaz disponibles ne permettent pas de satisfaire tous les clients, l’arbitrage sera opéré en faveur des clients ayant des capacités fermes. Ainsi, généralement, les acteurs menant des activités économiques essentielles opteront pour des capacités fermes tandis que les acteurs dont l’activité économique peut supporter une certaine instabilité d’approvisionnement fera des économies en optant pour des capacités interruptibles moins chères.

      L’Ukraine obtient des approvisionnements garantis depuis la Hongrie et la Slovaquie
      En ce début 2022, avant l’invasion russe, des étapes importantes ont été franchies dans le développement d’un approvisionnement gazier de l’Ukraine provenant de fournisseurs et de voies diversifiés. Le 1er février, les premiers volumes provenant directement de Hongrie sont arrivés en Ukraine. La voie hongroise est devenue la deuxième route garantie pour l’approvisionnement gazier de l’Ukraine, après la Slovaquie. En 2014, l’accès à 27 millions de mètres cubes par jour au point de Budince en Slovaquie était devenu la première capacité ferme en flux inversé dont l’Ukraine bénéficiait. L’accord signé par GTSOU et le gestionnaire de réseau de transport gazier hongrois, FGSZ, court jusqu’au 30 septembre 2022 et offre la capacité d’importer physiquement en Ukraine 8 millions de mètres cubes par jour (2,9 milliards par an). Le PDG de GTSOU, Sergiy Makogon, s’est félicité : “Pour la première fois depuis 2014, l’Ukraine a augmenté sa capacité d’importation de gaz ferme depuis l’Europe. Il est important qu’un nouveau contrat soit signé avec la Hongrie, depuis laquelle l’Ukraine a transporté 90 % de tout le gaz d’importation cette année par inversion virtuelle. Cela démontre la demande du marché pour la route de transport de gaz HU-UA et les avantages pour les deux pays. ».

      En atténuant l’impact de la limitation des approvisionnement russes aux européens, ces nouveaux contrats renforcent la position de l’Ukraine, qui devra remplir ses stocks dès le printemps pour faire face aux besoins de l’hiver prochain. Pour les citoyens ukrainiens l’année à venir s’annonce longue, mais pour l’industrie gazière elle va défiler à toute vitesse. Si cette première phase de l’accord entre Ukraine et Hongrie est un succès, ce qui est probable, les gestionnaires des deux pays pourraient mettre en place ces flux inversés physiques sur une base permanente avec possiblement encore plus de capacités engagées. L’ouverture de la voie hongroise contribue non seulement à la diversification des routes d’approvisionnement de l’Ukraine mais également à la diversification de ses fournisseurs en offrant un accès au terminal de gaz naturel liquide (GNL) de l’île de Krk en Croatie. Le GNL, transportable par bateaux méthaniers, permet à des fournisseurs du monde entier comme les Etats-Unis ou le Qatar d’atteindre les marchés européens. Le terminal croate a une capacité de 2,6 milliards de mètres cubes par an.

      Aux 27 millions de mètres cubes par jour convenus en 2014, GTSOU et le gestionnaire de réseau de transport gazier slovaque, Eustream, ont décidé d’ajouter temporairement, du 4 février jusqu’au 31 mars 2022, 15 millions de mètres cubes par jour de capacité ferme de transit. Ainsi, le volume total garanti pouvant transiter physiquement du 4 février au 31 mars 2022 de la Slovaquie vers l’Ukraine s’élève à 42 millions de mètres cubes par jour, soit une augmentation de 56 %. Le PDG de GTSOU, Sergiy Makogon, a remercié le président Ukrainien Volodymyr Zelensky et le Premier ministre Denys Shmyhal pour leur implication personnelle lors des négociations avec la partie slovaque.

      Par rapport à la situation en place depuis 2014 où l’Ukraine ne pouvait importer que 27 millions de mètres cubes par jour, l’Ukraine a ainsi augmenté sa capacité ferme d’importation depuis l’UE de 85.19 % pour la période février-mars 2022. Après mars 2022 et dans le contexte actuel, il reste à savoir si Eustream et GTSOU maintiendront la même capacité ferme de flux inversés physiques. L’accord avec FGSZ seul représente pour l’Ukraine une augmentation de 30% de sa capacité ferme d’importation depuis l’UE.

      La coopération de l’Ukraine avec la Pologne
      Vu d’Ukraine, la Pologne apparaît comme un partenaire doté d’un important potentiel. En effet, les gestionnaires de réseaux de transport polonais et danois, GAZ-SYSTEM et Energinet, font construire côté un gazoduc d’une capacité de 10 MMC, le Baltic Pipe, qui doit relier la Norvège et la Pologne en passant par le Danemark d’ici 2023. Les capacités du Baltic Pipe s’ajouteront aux 5 MMC du terminal GNL de Świnoujście qui doit atteindre 8,3 MMC en 2023. Ces chantiers précèdent la potentielle construction d’un terminal GNL de 4,5 MMC à Gdansk pour 2025.

      Toutefois, il subsiste des obstacles conséquents pour que l’Ukraine puisse pleinement bénéficier des infrastructures de diversification polonaises. Premièrement, il semblerait pour l’heure, difficile de mettre en place des capacités fermes de flux physique inversé entre la Pologne et l’Ukraine car il y a des stockages de gaz stratégiquement très important au sud-est du territoire polonais. Le maintien d’un certain niveau de remplissage de ces stockages ne laisserait aucune capacité ferme disponible pour les acteurs côté ukrainiens, qui doivent se contenter des capacités interruptibles.

      Avant la question de la nature des capacités offertes, la question des possibilités techniques de transporter physiquement du gaz depuis la Pologne vers l’Ukraine est déjà problématique. Actuellement, le gestionnaire polonais GAZ-SYSTEM ne peut envoyer au maximum qu’1,5 MMC/an vers l’Ukraine depuis l’interconnexion d’Hermanowice. Depuis sept ans déjà, des discussions sont entamées pour agrandir cette interconnexion et permettre à 6 MMC de transiter de Pologne vers l’Ukraine mais le projet peine à progresser faute d’investissements.

      Même si ce souci d’interconnexion venait à se régler, les infrastructures polonaises sont avant tout destinées à assurer la demande gazière polonaise qui doit significativement s’accentuer lors des prochaines années. Ces infrastructures d’importation n’offrent donc qu’une option d’approvisionnement ponctuelle pour l’Ukraine qui pourrait y recourir certes en cas d’urgence mais pas disposer d’un contrat d’approvisionnement de long terme.

      Malgré ces difficultés, des coopérations transfrontalières intéressantes sont possibles comme le démontre la collaboration entre l’entreprise étatique qu’est le fournisseur polonais PGNiG, et une entreprise privée ukrainienne, ERU. Le 1 février 2022, le premier a annoncé l’achat d’une cargaison de Gaz naturel liquéfié américain qui, après son arrivée en Pologne fin février, devrait être livrée via la frontière ukrainienne à ERU qui devrait quant à elle réceptionner le combustible jusqu’à la fin du mois de mars, pourvu que les infrastructures ne soient pas endommagées. Ce serait la deuxième fois que du gaz américain serait livré à l’Ukraine grâce à la coopération des deux sociétés. La livraison précédente était arrivée au terminal polonais en novembre 2019.

      « Il s’agit d’une nouvelle livraison de GNL américain en Ukraine effectuée par PGNiG en coopération avec ERU, qui est notre partenaire commercial stratégique sur le marché ukrainien. Les bonnes relations construites au fil des ans sont particulièrement importantes aujourd’hui, en cette période de grandes turbulences sur le marché du gaz en Europe », a déclaré Paweł Majewski, président du conseil de gestion de PGNiG. « Grâce aux investissements dans les infrastructures gazières réalisés en Pologne ces dernières années, nous pouvons renforcer la sécurité énergétique de la région en assurant à nos clients l’accès à des sources diversifiées de gaz naturel et la possibilité de choisir la meilleure offre sur le marché », a-t-il poursuivi. Dale Perry, dirigeant d’ERU, estime quant à lui que la responsabilité de la diversification des approvisionnements ukrainiens n’incombe pas qu’à l’Etat mais qu’elle relève aussi des entreprises privées.

      L’apport de ce partenariat pour la sécurité énergétique a même pris une dimension régionale en octobre 2021, lorsque les deux entreprises ont permis d’effectuer la toute première fourniture de gaz non russe à la Moldavie alors que ce pays subissait une réduction des fournitures gazières de Gazprom.

      Une future option grecque pour l’Ukraine
      Le développement dynamique du secteur GNL dans la région se confirme avec la décision finale d’investissement concernant le développement d’un terminal à Alexandroupolis en Grèce, prise le 27 janvier 2022 par les actionnaires de la société grecque Gastrade. Le terminal, d’une capacité de 5,5 MMC par an, devrait être opérationnel d’ici la fin de l’année 2023. A terme, le GNL provenant de Grèce pourrait atteindre l’Ukraine via l’interconnexion gazière Grèce-Bulgarie actuellement en construction puis le Trans-Balkan pipeline qui traverse la Roumanie et la Moldavie. Historiquement le Trans-Balkan pipeline servait à faire transiter le gaz russe depuis l’Ukraine vers les Balkans. Le lancement du Turkish Stream par Gazprom pour atteindre les Balkans via la Mer noire sans passer par l’Ukraine a vidé le Trans-Balkan pipeline… qui est désormais disponible pour alimenter l’Ukraine en flux physique inversé. Certes Kiev a perdu des revenus de transit, mais au moins les caractéristiques techniques du tuyau permettent de l’utiliser en sens inverse, pour fournir l’Ukraine en gaz provenant de fournisseurs internationaux via les Balkans. L’Ukraine n’est donc pas tout-à- fait perdante en termes de sécurité énergétique.

      Des opportunités offertes par les normes européennes
      Le 9 février, le groupe de coordination pour la sécurité de l’approvisionnement en gaz de la Communauté de l’énergie s’est réuni et s’est félicité des progrès ukrainiens pour s’approvisionner en gaz depuis l’Union Européenne. Le directeur de la Communauté de l’énergie Artur Lorkowski a déclaré “La mise en place d’un cadre juridique et réglementaire solide est le meilleur instrument pour renforcer la sécurité énergétique. Le cas de l’Ukraine montre comment l’adoption de la législation de la Communauté de l’énergie apporte des avantages concrets aux consommateurs et à l’industrie.”. Ce que le PDG de GTSOU, Sergiy Makagon, a approuvé en saluant l’étroite collaboration du Secrétariat de la Communauté de l’énergie avec les autorités ukrainiennes.

      De tels échanges entre l’Ukraine et ses voisins européens sont effectivement rendus possibles par la récente adoption des normes européennes par le secteur gazier ukrainien. En créant un gestionnaire de réseau de transport indépendant, GTSOU, l’Ukraine s’est dotée depuis le 1er Janvier 2020 d’une entité capable d’offrir des produits commercialement intéressants.

      En intégrant son réseau à celui de ses voisins européens, l’Ukraine sécurise ses approvisionnements mais permet également à l’Europe centrale et orientale de développer une architecture résiliente pour son approvisionnement gazier. Les capacités ukrainiennes, notamment de stockage, permettront de faire transiter selon un axe nord-sud le GNL des terminaux de la Baltique, de l’Adriatique et grecques. Avec 31 MMC de capacités de stockage, l’Ukraine détient les troisièmes capacités les importantes du monde derrière les Etats-Unis et la Russie. Sur ces 31 MMC, 10 MMC se situent aux frontières de l’UE favorisant les synergies potentielles. Ces capacités de stockage ukrainiennes permettraient d’accumuler du GNL bon marché en été pour l’écouler lors des périodes de forte demande hivernales atténuant ainsi les coûts pour les consommateurs européens.

      Les coopérations avec la Hongrie et la Slovaquie offrent à l’Ukraine un accès garanti au marché mondial. La Slovaquie est un partenaire d’autant plus important que cette voie permettra également à l’Ukraine d’importer du GNL depuis la Pologne puisqu’un interconnecteur Pologne-Slovaquie doit être opérationnel en 2022. Mais si les contrats acquis par le gestionnaire du réseau de gazoducs ukrainiens sont des étapes importantes pour le renforcement de la sécurité énergétique du pays, cela n’est pas suffisant dans un contexte de marché gazier très tendu, où la Russie envoie aux européens le minimum de volume possible et où les fournisseurs internationaux alternatifs proposent une offre limitée. Ces initiatives seront d’autant moins suffisantes si Vladimir Poutine décide d’utiliser pleinement le gaz comme une arme dans sa nouvelle guerre, et va jusqu’à rompre l’approvisionnement.

      Sami Ramdani
      GÉOGRAPHE, DOCTORANT PARIS-8 VINCENNES, L’INSTITUT FRANÇAIS DE GÉOPOLITIQUE

  • Les #Etats-Unis enverront [de la matière première pour la fabrication de #vaccins contre le #Covid-19] en #Inde
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Coronavirus-Les-Etats-Unis-enverront-du-materiel-medical-en-Inde--330629

    25 avril (Reuters) - Les Etats-Unis fourniront immédiatement de la matière première pour la fabrication de vaccins contre le Covid-19, des équipements médicaux et du matériel de protection afin d’aider l’Inde à répondre à l’augmentation massive de cas de coronavirus, a annoncé dimanche la Maison Blanche.

    U.S. to send vaccine materials and other supplies to hard-hit India, officials say.
    https://www.nytimes.com/live/2021/04/25/world/covid-vaccine-coronavirus-cases#us-vaccines-india-covid

    Under pressure from vaccine makers in India who say they need supplies to combat a surge in coronavirus cases, the Biden administration said on Sunday that it had partially lifted a ban against the export of raw materials needed to make vaccines.

    [...]

    Asked on Thursday why America would not lift its ban on exporting raw materials, Ned Price, a State Department spokesman, told reporters that “the United States first and foremost is engaged in an ambitious and effective and, so far, successful effort to vaccinate the American people.”

    The resistance was met with criticism from Indian politicians and health experts.

    “By stockpiling vaccines & blocking the export of crucial raw materials needed for vaccine production, the United States is undermining the strategic Indo-US partnership,” Milind Deora, a politician from Mumbai, one of the hardest-hit cities, said on Twitter.

    The statement on Sunday marked a change in approach: [...]

  • Nissan a représenté 1.244 millions d’euros des pertes de Renault au 2e trimestre - Boursorama
    https://www.boursorama.com/bourse/actualites/nissan-a-represente-1-244-millions-d-euros-des-pertes-de-renault-au-2e-t

    Nissan a représenté 1.244 millions d’euros des pertes de Renault au titre du 2e trimestre 2020, annonce mardi le constructeur français.

    Et la question du jour est : est-ce un séparateur de milliers, ou de décimales ?

  • Le Royaume-Uni durcit le confinement à Leicester après une flambée de cas de Covid-19
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-royaume-uni-durcit-le-confinement-a-leicester-apres-une-flambee-de-coron

    Les commerces « non essentiels », qui avaient rouvert mi-juin en Angleterre, devront à nouveau fermer à partir de mardi et les écoles dès jeudi, a déclaré le ministre de la Santé, Matt Hancock, à la chambre des Communes. Il a précisé que ces mesures seraient réévaluées dans deux semaines. « Nous devons contrôler ce virus. Nous devons maintenir les gens en sécurité. Ces actions sont aussi profondément dans l’intérêt national », a-t-il indiqué alors que le déconfinement doit connaître une étape majeure samedi en Angleterre avec la réouverture des pubs, restaurants, hôtels et coiffeurs. « Des actions locales comme celles-ci sont un outil important de notre arsenal pour faire face à des épidémies alors que nous remettons le pays sur pied ».

    « Nous ne pouvons pas recommander un assouplissement du confinement le 4 juillet à Leicester », a-t-il insisté, appelant les quelque 340.000 habitants de la ville à rester chez eux « autant que possible ». Près de 3000 cas ont été enregistrés à Leicester depuis le début de l’épidémie en mars, dont 866 au cours des deux dernières semaines, selon les autorités locales. En annonçant la levée progressive du confinement, le gouvernement avait prévenu qu’il pourrait mettre en place des restrictions au niveau local, en fonction de la situation, pour contenir une nouvelle vague incontrôlée de contaminations.

  • Spie : contrat pour la Potsdamer Platz à Berlin | Zone bourse
    https://www.zonebourse.com/SPIE-22363257/actualite/Spie-contrat-pour-la-Potsdamer-Platz-a-Berlin-30667316
    Wem gehört die Stadt

    25/05/2020 | 13:10
    Spie indique avoir remporté en août 2019 un contrat avec IMPPV portant sur la conception d’un nouveau centre de contrôle pour l’ensemble des biens immobiliers de la Potsdamer Platz, à Berlin, projet qui doit s’achever en mai 2021.

    Sa filiale Telba Gmbh réalise les travaux portant sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu’un parking souterrain sous toute la superficie de la place.

    Le contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité des 16 bâtiments à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques. Le système complet assurera la gestion d’environ 40.000 points de données et 700 caméras vidéo.

    #Berlin #Potsdamer_Platz #Tiergarten #Mitte #Immobilien #Videoüberwachung #CCTV

  • Israël interdit les exportations agricoles palestiniennes via la Jordanie
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Israel-interdit-les-exportations-agricoles-palestiniennes-via-la-Jordani

    RAMALLAH, Cisjordanie, 8 février (Reuters) - Israël a intensifié la guerre commerciale avec les Palestiniens en mettant un coup d’arrêt à leurs exportations agricoles via la Jordanie, a annoncé samedi le ministre palestinien de l’Agriculture, Riyad al-Attari.

    « Hier, le directeur des passages israéliens a informé tous les exportateurs et toutes les parties concernées que tous les produits agricoles palestiniens seraient interdits d’exportation vers les marchés mondiaux via le point de passage jordanien à partir de dimanche », a-t-il déclaré.

    Les responsables israéliens et jordaniens n’ont pas fait de commentaire à ce sujet dans l’immédiat.

    Selon le ministre palestinien, une soixantaine de produits agricoles palestiniens sont exportés vers une centaine de marchés à travers le monde. La nouvelle interdiction concerne l’huile d’olive, les dattes et les herbes médicinales, d’après des exportateurs palestiniens.