Je sais, on va dire que je règle de vieux comptes, que la période est au deuil. Mais je viens de voir passer sur ma page ce joke (ci-dessus) concernant Richard Malka, l’avocat de Charlie Hebdo. Et je vous le balance tel que je le reçois. Je suis d’accord avec le contenu de ce qui est écrit. Mon propos n’a strictement rien à voir avec le fait que Malka qui a trusté depuis une semaine tous les plateaux télé, était l’avocat de Clearstream et m’a pourri la vie. Il a fini par perdre. Et je n’ai aucune rancoeur le concernant. La haine ou la colère sont de très mauvais conducteurs. Donc je suis zen.
Non, si je passe sur ma page ce montage d’Yves Lespagnard (un scénariste et réalisateur belge de mes amis), c’est parce que j’ai beaucoup travaillé cette année sur et avec Cavanna, ses amis, ses ennemis. Mon premier film ("Cavanna même pas mort", 52 minutes) est prêt pour Angoulême. Le second -90 minutes pour le ciné- est en préparation. Bref, en travaillant sur ce sujet (Charlie, HK), je peux vous affirmer ici que ni Val, ni Malka ne sont légitimes pour représenter ne serait-ce qu’un pour cent de l’énergie et de l’esprit de Charlie Hebdo.
Sur ce, que ceux qui continuent à vomir continuent. Ce n’est pas très grave. C’est sur eux qu’ils vomissent. Pour les autres, merci.