Quatre jours plus tard
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Je passe mon temps depuis mercredi sur mon ordinateur à lire, compiler, commenter, sur tout ce qui a trait aux attentats terroristes qui ont endeuillé la République Française et choqué le monde démocratique entier.
J’ai du mal à prendre le recul nécessaire de mes émotions, et je sais bien que je ne suis pas la seule. La somme d’écrits ~ et les hashtags autour de #CharlieHebdo et toutes les déclinaisons qui ont été faites sur le slogan censé clamer sa solidarité avec l’identité de chacune des victimes (et non pas, comme il semble être mal compris une reconnaissance de facto d’un soutien inconditionnel des positions reconnues à chacune de ces victimes) sont bien le signe de l’émoi généralisé.
Il y a ce besoin normal de partager : De se retrouver ensemble : De parler. De ne rien dire. Il y a les mots qui (...)