Expulsion imminente de 250 Roms du plus grand bidonville parisien
▻http://www.franceinfo.fr/actu/societe/article/expulsion-imminente-de-400-roms-du-plus-grand-bidonville-parisien-763395
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L’expulsion, nommée « mise à l’abri » par la Mairie de Paris, a commencé ce matin
▻http://seenthis.net/messages/455436 -
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A propos des expulsions des camps Roms en Ile-de-France :
relogement vs « évacuation » - Vacarme
►http://www.vacarme.org/article2716.htmlrelogement vs « évacuation »
les bidonvilles en France, d’hier à aujourd’huipar Lola Schulmann
En 1966 environ 75 000 personnes vivent dans des bidonvilles en France. Pour l’essentiel des travailleurs et leurs familles, plus pauvres que les pauvres, aux 4⁄5e immigrés. La question est prise dans celle d’une crise du logement persistante, et posée comme telle par les groupes et partis mobilisés. Aujourd’hui 15 à 20 000 y vivent encore. Mais on parle à peine de crise du logement. Plutôt de « campements illicites ». Parce que la plupart de leurs habitants sont roms ? Sans droits, pas de toit ; sans toit, pas de droits, semble dire l’adage français.
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Le contre-projet d’un architecte pour éviter l’expulsion d’un bidonville
Olivier Leclercq a imaginé avec les habitants d’un #campement du nord de Paris, qui commencent à être évacués ce mercredi, la construction d’un village de maisons écologiques, à ses yeux plus efficace pour l’insertion à long terme.
►http://www.liberation.fr/france/2016/02/02/le-contre-projet-d-un-architecte-pour-eviter-l-expulsion-d-un-bidonville_
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Bidonville Porte de #Clignancourt : « L’expulsion met en danger les familles »
300 à 400 #Roms vivant sur un bidonville situé sur les rails désaffectés de la petite ceinture, dans le 18e arrondissement de #Paris entre la Porte de Clignancourt et le Pont des Poissonniers, sont expulsés ce mercredi 3 février. La Préfecture de police et la ville de Paris estiment que le bidonville est dangereux notamment en raison du risque d’incendie dans les cabanes en bois. Le Secours Catholique, qui accompagne ces familles principalement roms et roumaines, s’oppose à cette expulsion. Hannah Yous est animatrice « Familles à la rue » à la délégation de Paris.
▻http://www.secours-catholique.org/actualites/bidonville-porte-de-clignancourt-lexpulsion-mettrait-en-danger-l
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L’expulsion du bidonville des Poissonniers, à Paris, était illégale
L’expulsion des habitants du bidonville des Poissonniers (XVIIIe) était… illégale ! Le 3 février dernier, quelque 350 roms et roumains qui avaient construit, avant l’été 2015, des dizaines de cabanes de bric et de broc sur la ligne inutilisée de la petite ceinture, ont été évacués, et provisoirement dirigés vers des hôtels de petite couronne.
▻http://www.leparisien.fr/informations/l-expulsion-du-bidonville-des-poissonniers-a-paris-etait-illegale-18-02-2
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relogement vs « évacuation », les bidonvilles en France, d’hier à aujourd’hui, Lola Schulmann via @vacarme
►http://www.vacarme.org/article2716.htmlEn 1966 environ 75 000 personnes vivent dans des bidonvilles en France. Pour l’essentiel des travailleurs et leurs familles, plus pauvres que les pauvres, aux 4⁄5e immigrés. La question est prise dans celle d’une crise du logement persistante, et posée comme telle par les groupes et partis mobilisés. Aujourd’hui 15 à 20 000 y vivent encore. Mais on parle à peine de crise du logement. Plutôt de « #campements_illicites ». Parce que la plupart de leurs habitants sont roms ? Sans droits, pas de toit ; sans toit, pas de droits, semble dire l’adage français.
Les bidonvilles en Ile-de-France en 1966.
Évacuations des bidonvilles en Île-de-France en 2013.#Bidonvilles #prolétariat #migrants #logement #politiques_publiques
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Montreuil vendredi 23 janvier, a partir de 18h30 #Ciné club à l’invitation des archives Getaway
►http://getaway.eu.org/accueil
à Comme Vous Emoi, 5 rue de la Révolution, Montreuil, M° Robespierre.
Entre les deux projections, on mange un peu : il y a du pain et chacun peut amener de quoi tartiner. Après on en parle. Dans la discussion, il pourra être aussi question des séances à venir du ciné-club.
–> La Ville bidon, Jacques Baratier, 1976, 80’, 16 mm. Un promoteur, un architecte, des ferrailleurs, des prolétaires, un élu, un sociologue, des policiers, une ville nouvelle en projet, une décharge, des caravanes et Fiona : une fiction qui montre la restructuration urbaine sur fond de cité de transit et de bidonville. Son décor se trouve planté à la marge de la ville, aux interstices de ses zones de relégation.
–> Précédé de : Images de bidonvilles, fragments de rushes et extraits Rushes tournés en 16 mm noir et blanc à Saint-Denis en 1969, suivis d’extraits d’une émission télévisée tournée dans un bidonville et opposant la sauvagerie à l’intégration dans les villes nouvelles. -
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Une modeste contribution... Bientôt on couvrira la France entière avec le même sujet, et ça va chier : je sortirai mes nouveaux crayons de couleur pour l’occasion.
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Expulsions de terrain : sans titre mais pas sans droits, revue de jurisprudence, Gisti
►http://www.gisti.org/publication_pres.php?id_article=4822Les moyens juridiques utilisés pour déloger les occupant·e·s dits « sans droit ni titre » de terrains ou de squats sont sans lien avec leur nationalité. Si le Gisti – qui consacre son activité à la défense des #étrangers et étrangères – a décidé d’élaborer un outil destiné aux personnes menacées d’expulsion, c’est en constatant que les #Roms, ou les personnes considérées comme telles, qu’ils soient ressortissants d’État tiers ou de l’Union européenne, sont les victimes de politiques et de pratiques d’exclusion particulièrement ciblées.
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