RT en Français — Actualités internationales

http://francais.rt.com

  • La Grèce vend ses aéroports à l’Allemagne / Sputnik France - Actualités - Prises de Position - Radio
    http://fr.sputniknews.com/international/20150818/1017618369.html

    On nous en parlait il y a trois semaines (http://seenthis.net/messages/392769) et bien c’est fait.

    L’opérateur allemand Fraport AG a acheté quatorze aéroports régionaux grecs situés sur des îles très fréquentées par les touristes, dont Corfou, Zakynthos, Kefalonia, Mykonos, Rhodes et Santorin, pour un montant total de 1,23 milliard d’euros.

    Ainsi, Berlin a fini par persuader Athènes de vendre des sites d’infrastructure convoités depuis longtemps par les sociétés allemandes. La majeure partie des fonds obtenus grâce à la privatisation seront destinés à rembourser les prêts octroyés à la Grèce par ses créanciers internationaux. L’Allemagne a quant à elle prêté 60 mds EUR à Athènes.

  • 132 manifestants arrêtés lors de la seconde journée de manifestations à Ferguson
    http://dndf.org/?p=14357

    http://francais.rt.com/international/5480-direct–seconde-journee-manifestations extrait Des manifestations ont repris à Ferguson, après la nuit agitée qui a suivi le premier anniversaire de la mort du jeune noir tué par un policier blanc. La police menace d’utiliser des gaz lacrymogènes pour tenter (...) — Nouvelles du monde

  • Le Premier ministre finlandais Juha Sipilä à l’origine d’un projet de revenu universel

    http://francais.rt.com/international/4605-finlande-fin-travail-revenu

    Un revenu universel pour tous. Une utopie ? Pas nécessairement puisque la Finlande envisage la possibilité d’attribuer une allocation de base pour tous ses citoyens.
    (...)
    La Finlande envisage en effet d’allouer un revenu universel qui pourrait atteindre environ 1000 euros par mois pour tous ses citoyens. Ce projet figure en effet dans la déclaration de politique générale du nouveau et très raisonnable gouvernement de centre droit du premier ministre finlandais Juha Sipilä.
    (...)
    Ce projet et son application vont être attentivement suivis par ceux qui prônent [revenudebase.info] l’instauration de cette allocation universelle, ou revenu inconditionnel d’existence, pour lutter contre la pauvreté et le chômage. Des économistes très sérieux estiment en effet que la robotisation rend le travail de plus en plus rare et qu’il devient nécessaire de déconnecter le revenu de toute activité professionnelle.

    #rdb #scandinavie

  • Les français veulent Varoufakis dans leur gouvernement — RT en Français
    http://francais.rt.com/france/4085-petition-pour-varoufakis-gouvernement-hollande

    Un groupe de citoyens vient de créer une pétition sur change.org demandant au gouvernement français de nominer Yanis Varoufakis à la tête du ministère des finances aux dépens de Michel Sapin.

    La pétition adressée au président François Hollande a été mise en ligne hier. Pour l’instant elle a recueilli 500 signatures.


    https://twitter.com/WeWantVarou/status/618712611694075904/photo/1

    L’homme vient en effet de démissionner de son poste homologue au sein du gouvernement grec. Selon les initiateurs de la pétition il est donc « libre ».

    #Yanis_Varoufakis

  • Journaliste israélien : « Selon Netanyahou, Kerry devait quitter la table pour faire paniquer l’Iran »

    6 juil. 2015 16:22 — RT en Français
    http://francais.rt.com/opinions/3992-journaliste-israelien-comparer-iran-daesh

    A l’approche du délais des négociations sur le programme nucléaire de l’Iran, le Premier ministre israélien continue de s’opposer à un accord avec Téhéran. Le journaliste israélien d’origine iranienne Meir Javedanfar explique cette position ferme.

    « Le Premier ministre [Benyamin] Netanyahou estime que l’Occident est trop doux envers l’Iran », a raconté Meir Javedanfar dans un entretien avec RT, en soulignant que le dirigeant israélien croyait notamment que les américains seraient en mesure d’obtenir encore plus de concessions de la part des iraniens. C’est cette ligne qui est partagée par la plupart des membres du gouvernement de l’Etat hébreu, selon le journaliste.

    « L’opinion partagée par une majorité dans les cercles du Likoud est qu’à un moment donné, les Américains devaient quitter la table des négociations afin de faire paniquer les iraniens et obtenir plus de concessions », a expliqué Javedanfar.

  • Iran : Les USA « prêts à arrêter les négociation » —
    RT en Français – 5 juil. 2015 15:12
    http://francais.rt.com/international/3961-nucleaire-iranien--usa-prets-arreter-n%C3%A9gociations

    Le secrétaire d’état américain John Kerry s’est exprimé depuis Vienne, dimanche 5 juillet, sur les négociations sur le programme nucléaire iranien. Il a précisé que les puissances "n’avaient jamais été aussi proches d’obtenir un accord."

    « Nous ne sommes pas là où nous devrions être sur un certain nombre de points majeurs des négociations », a concédé John Kerry, en ouverture de son intervention, dimanche 5 juillet.

    Alors que les négociations continuent, à Vienne, entre les grandes puissances du P5+1 (USA, France, Russie, Royaume-Uni, Allemagne et Chine) et l’Iran, le chef de la diplomatie américaine s’est exprimé devant un parterre de journalistes.

    Une intervention au cours de laquelle le secrétaire d’état a soufflé le chaud et le froid, montrant qu’il aurait souhaité se trouver à un stade plus avancé des négociations, mais précisant que les puissances « n’avaient jamais été aussi proches d’un accord ».

    • Nucléaire/Iran : Il est maintenant temps de conclure un accord
      AFP / 05 juillet 2015 17h37
      http://www.romandie.com/news/NucleaireIran--Il-est-maintenant-temps-de-conclure-un-accord/609473.rom

      Nous espérons avoir un accord juste (...) et en sortir la tête haute pour montrer au monde que les pays peuvent s’entendre (...) mais nous avons encore des questions difficiles à résoudre, a-t-il ajouté.

      Si des choix difficiles sont fait rapidement au cours des prochains jours, nous pourrons parvenir à un accord cette semaine. S’ils ne sont pas fait, nous n’y parviendrons pas, a-t-il ajouté. Les négociateurs se sont théoriquement laissé jusqu’au 7 juillet pour parvenir à un accord.

      Les autres ministres du P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Russie, Chine, France et Allemagne) sont attendus en fin de journée dans la capitale autrichienne.

  • Pascal #Boniface, directeur de l’#IRIS, dénonce ceux qu’il appelle les pompiers pyromanes et qui instrumentalisent les maux qu’ils prétendent combattre. Il décrit un système médiatique de plus en plus coupé de l’opinion publique française.


    Le directeur de l’IRIS (Institut de Relations Internationales et stratégiques) ne manie pas la langue de bois et le prouve dans son dernier ouvrage, Les Pompiers pyromanes. A travers des figures comme #Bernard-Henri-Levy, la journaliste Caroline #Fourest ou encore l’imam Hassen Chalgoumi, le chercheur démontre comment ces personnalités à l’omniprésence médiatique contribuent à dresser au final les communautés les unes contre les autres.
    http://francais.rt.com/opinions/3804-pascal-boniface-pompiers-pyromanes

    • Joseph Stiglitz : « Comment je voterais au référendum grec »
      Mercredi, 1 Juillet, 2015 | L’Humanité |
      http://www.humanite.fr/joseph-stiglitz-comment-je-voterais-au-referendum-grec-578354

      «  En fait, écrit Joseph Stiglitz dans un article paru lundi ( The Guardian), les leaders européens ont commencé de révéler la vraie nature du litige autour de la dette (...) Celle-ci porte bien davantage sur des enjeux de pouvoir et de démocratie que sur la monnaie et l’économie.  » «  Les dates butoirs sont destinées à forcer la Grèce à accepter l’inacceptable – pas seulement des mesures d’austérité mais de nouvelles politiques régressives et punitives.  » Dans ces conditions, conclut l’économiste «  un vote “oui”, le 5 juillet, signifierait la dépression quasiment sans fin (...)  » d’un pays qui a «  vendu l’ensemble de ses actifs et dont les plus brillants de ses jeunes ont dû émigrer.  » «  À l’inverse, un vote “non” laisserait au moins ouverte la possibilité que la Grèce puisse, avec ses fortes traditions démocratiques, reprendre sa destinée en main.  » Et même s’ils restent confrontés à d’immenses difficultés, «  les Grecs pourraient y gagner l’opportunité de construire un avenir bien plus riche d’espoir  ».

  • Pascal Boniface dénonce les pompiers pyromanes — RT en Français
    30 juin 2015
    http://francais.rt.com/opinions/3804-pascal-boniface-pompiers-pyromanes

    Le directeur de l’IRIS (Institut de Relations Internationales et stratégiques) ne manie pas la langue de bois et le prouve dans son dernier ouvrage, Les Pompiers pyromanes. A travers des figures comme Bernard-Henri Levy, la journaliste Caroline Fourest ou encore l’imam Hassen Chalgoumi, le chercheur démontre comment ces personnalités à l’omniprésence médiatique contribuent à dresser au final les communautés les unes contre les autres.

    RT France : Vous dites que ces pompiers pyromanes ne sont plus crédibles mais sont incontournables. Comment expliquez-vous ce paradoxe et qu’est-ce que cela dit de la scène médiatique et intellectuelle française ?
    Pascal Boniface : C’est effectivement un paradoxe. Ce sont des gens qui n’ont plus de public, pour la plupart d’entre eux en tout cas. Par exemple Bernard-Henri Levy est présent dans tous les médias. Pourtant, ses livres ne se vendent plus, personne n’est allé voir son film et sa pièce de théâtre a été un échec pathétique. Mais il est toujours très présent médiatiquement car ses amis, éditorialistes ou directeurs de journaux, continuent à l’inviter. Il y a là une sorte de coupure entre la base du public et une élite tournée sur elle-même qui n’est plus en phase avec la réalité. Or cette même élite dénonce la populisme alors que, par son attitude, elle le nourrit.
    (...)
    RT France : La question du conflit israélo-palestinien semble très présente dans le paysage médiatique et intellectuel français. Mais ne pensez-vous pas que cette question, dont on disait qu’il ne fallait pas l’importer en France, l’est déjà ?
    Pascal Boniface : Ce conflit est importé depuis très longtemps, notamment du fait d’une partie des organes communautaires juifs qui demandent la solidarité avec Israël. Ils importent eux-mêmes ce conflit . L’absence de perspective de paix au Proche-Orient rend le climat intellectuel un peu plus pesant encore en France. Du fait de cette non assurance de Paix, très rapidement l’accusation d’antisémitisme est produite à l’égard de ceux qui ne sont pas antisémite mais critiquent simplement le gouvernement israélien. Par exemple, si on critique Vladimir Poutine en France, on ne dira pas que l’on fait du racisme anti-russe mais qu’on exerce une opinion politique. Mais si on critique Benjamin Nétanyahou, l’accusation d’antisémitisme viendra très vite.

  • Israël contre-attaque pour saper la crédibilité du rapport de l’ONU sur Gaza
    Conseil des droits de l’homme - mardi 30 juin 2015
    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/b52efc94-1f34-11e5-8d1d-5895281d1863/Isra%C3%ABl_contre-attaque_pour_saper_la_cr%C3%A9dibilit%C3%A9_du_rapport_de

    L’Etat hébreu a boycotté le débat sur la guerre de Gaza au Conseil des droits de l’homme, tout en mobilisant ses supporters pour dénoncer « l’obsession » de l’ONU contre Israël

    Israël a choisi les coulisses du Conseil des droits de l’homme pour faire valoir son point de vue. Même si la commission d’enquête de l’ONU soupçonne aussi le mouvement islamiste Hamas de crimes de guerre, l’Etat hébreu a brillé par son absence lundi lors du débat sur le conflit de Gaza de l’été dernier.

    « Le Conseil a adopté 61 résolutions contre Israël, soit plus que tous les autres pays du monde réunis. C’est comme s’il avait mis une étoile jaune sur mon pays. Voilà pourquoi je suis à l’extérieur de la salle », a lancé l’ambassadeur israélien Eviatar Manor.

    Au même moment, près d’un millier de supporters d’Israël dénonçaient sur la place des Nations « l’obsession » contre l’Etat hébreu. L’ONG pro-israélienne UN Watch avait aussi invité plusieurs anciens hauts gradés britanniques et américains, qui ont rédigé un rapport alternatif à celui de la commission de l’ONU. Ils arrivent à la conclusion opposée : Israël a pris toutes les précautions pour éviter les pertes civiles lors de son offensive pour stopper les tirs de roquettes et détruire les tunnels menaçant son territoire.
    (...)
    Le Conseil des droits de l’homme va décider d’ici à vendredi du suivi qu’il compte donner à ce rapport, considéré de l’avis général des diplomates comme équilibré. C’est là que les choses se corsent. Le projet de résolution ne mentionne pas explicitement le Hamas.

    Les Etats-Unis ou le Royaume-Uni, ont eux aussi boycotté le débat sur Gaza. Leur abstention, voire leur opposition, ainsi que celle de certains pays européens ne va pas empêcher l’adoption de la résolution par une majorité du Conseil. La cause palestinienne rassemble au-delà des pays arabes et de la conférence islamique.

    La résolution devrait aussi appeler Israéliens et Palestiniens à collaborer avec la Cour pénale internationale (CPI). Le Conseil n’a pas le pouvoir d’ordonner une saisie de la cour. Depuis que les Palestiniens ont ratifié le statut de Rome, la CPI est compétente pour poursuivre les crimes commis à Gaza. La décision revient à la procureure Fatou Bensouda, qui a ouvert un examen préliminaire pour savoir s’il y avait matière à enquête.

  • موسكو تفاجيء الجميع بالحديث عن تحالف رباعي سعودي سوري تركي اردني لمواجهة خطر “الدولة الاسلامية” ووجود المعلم فيها للحصول على الضوء الاخضر.. هل يقف اردوغان خلف هذا التحول؟ وهل طلب الامير محمد بن سلمان من موسكو تأسيسه؟ | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=279677

    Etonnant édito d’ABA, l’éditorialiste du Rai al-yom...

    "Moscou surprend tout le monde avec une coalition quadripartie saoudo-syro-turco-jordanienne pour affronter le danger de l’Etat islamique’ et la présence de Moallem (à Moscou) a pour but d’obtenir le feu vert.... Erdogan est-il derrière cette évolution ? Le prince Moh ben Salman a-t-il demandé à Moscou de la créer ?

    En gros, je résume : Quand Moallem va à Moscou, c’est toujours pour une raison importante. Ici, il s’agit d’un changement non seulement pour la Syrie mais pour toute la région, à cause des succès de l’EI qui menacent tout le monde. Le plus important, c’est qu’il y a un plan russo-syrien, qui pourrait inclure la Turquie et la Jordanie, pour affronter l’EI.
    Si les Russes font ce pas, c’est qu’ils ont des assurances des trois autres partenaires potentiels pour une association des Syriens. (...) La politique, ce sont des intérêt, pas des principes, et la coalition pourrait relayer celle des USA qui ne fonctionne pas contre l’EI. Si cette coalition à 4 devait se faire, ce ne sera pas facile d’imaginer. (...)

    C’est le moins qu’on puisse dire !

    • Poutine exprime son soutien aux autorités syriennes et appelle à combattre ensemble Daesh
      29 juin 2015
      http://francais.rt.com/international/3767-poutine-soutien-damas-combattre-ensemble

      Après une rencontre avec le ministre des Affaires étrangères de Syrie Walid Mouallem, le président russe a promis le soutien de la Russie si la Syrie décide de créer une coalition régionale pour contrer le « mal commun » qu’est Daesh.

      Le dirigeant russe a appelé les pays du Proche et Moyen-Orient à faire face ensemble au terrorisme, la menace majeure à la sécurité de cette région, ainsi qu’aux pays au-delà de la zone d’influence des extrémistes. « Nous estimons que pour combattre efficacement le terrorisme et le radicalisme, il faut unir les efforts de tous les pays de la région », a estimé Vladimir Poutine devant les journalistes.

      Il a ajouté que la Russie estime que la Turquie, la Jordanie et l’Arabie Saoudite rejoindront une coalition anti-Daesh, si jamais elle est créée un jour.

      « En se basant sur tous nos contacts avec les pays de la région, (…) nous pouvons dire que tous sont prêts à contribuer dans la lutte contre ce mal », a raconté Poutine. Il a appelé ces pays à mettre de côté leurs problèmes et à unir leurs efforts devant l’ennemi commun.

    • http://information.tv5monde.com/en-continu/syrie-poutine-promet-de-soutenir-damas-y-compris-militairement

      Mais M. Mouallem s’est montré sceptique. « Je sais que Poutine est un homme qui fait des miracles, mais une alliance avec l’Arabie saoudite, la Turquie, le Qatar ou les Etats-Unis nécessite un grand miracle », a-t-il dit avec humour.
      « Comment ces pays qui ont encouragé et financé le terrorisme peuvent-ils devenir des alliés contre le terrorisme », a-t-il souligné. Le régime syrien accuse ces pays de financer les rebelles qu’il combat depuis plus de quatre ans.

  • L’euro, ou la haine de la démocratie - Frédéric Lordon - Les blogs du Diplo
    http://blog.mondediplo.net/2015-06-29-L-euro-ou-la-haine-de-la-democratie

    C’est qu’on peut difficilement porter la démocratie en bandoulière, en faire des chartes à enluminures ou des hymnes à la joie, un modèle offert au monde (éventuellement à coup de frappes aériennes), et la bafouer à ce point à domicile.

    (...)

    Car les 80 points de PIB de dette pris depuis 2008 ne sont pas, comme le répète l’éditorialisme en pilotage automatique, « la dette de la Grèce » : c’est la dette de l’impéritie européenne, la dette de la plus gigantesque erreur de politique économique de l’histoire du capitalisme, la dette de l’acharnement idéologique, dit plus brièvement : la dette de la zone euro – et par conséquent la dette dont il n’est que justice que la zone euro se la carre dans le train.

    (...)

    En écrivant en janvier que l’alternative de Syriza était de passer sous la table ou de la renverser( [7] et qu’il n’y aurait pas de tiers terme, en particulier que l’idée d’obtenir quoi que ce soit des institutions européennes, ou pire encore d’engager leur transformation de l’intérieur, était un rêve de singe, il faut bien avouer qu’on n’était pas prêt à parier grand-chose sur l’hypothèse du renversement. Hic Rhodus hic salta [8] comme dit l’adage latin. Et c’est là qu’on voit les vrais hommes politiques. Pour toutes les erreurs stratégiques qu’il a commises jusqu’ici, il se pourrait bien que Tsipras en soit un. C’est qu’il faut une sacrée consistance pour faire face à ce mélange de périls et de chances qui s’offre à lui aujourd’hui – qui s’offre à lui ? non, qu’il a fait advenir en se tenant au plus près de l’essence de la politique : la proposition faite au peuple de décider souverainement.

    Comme Roosevelt se déclarait fier en 1936 d’être devenu objet de haine de l’oligarchie capitaliste qu’il avait décidé de défier carrément, Tsipras peut s’enorgueillir des tombereaux d’injures que lui réserve une oligarchie d’un autre type, le ramassis des supplétifs d’une époque finissante, et qui connaitront le même destin qu’elle, la honte de l’histoire. La première chose que Jean Quatremer a cru bon de tweeter consiste en photos de queues devant les distributeurs à billets. Et d’annoncer avec une joie mauvaise : « La Grèce sera donc en faillite mardi à minuit. Accrochez-vous ! ».

    On voudrait que quelque archiviste de talent, conscient de ce qui se joue d’historique ces jours-ci, s’attache à collecter tout ce qui va se dire et qui méritera de rester, tout ce que pense et dit l’oligarchie quand, à l’épreuve d’un moment critique, elle jette enfin le masque – car cette fois-ci le masque est bel et bien jeté. « La Grèce, c’est fini » titre le JDD du 28 juin, dirigé par Denis Olivennes, l’un des Gracques à qui l’on doit cette tribune à valeur de document quasi-psychiatrique publiée dans Les Echos, où l’on apprenait qu’il était urgent de « ne [pas laisser] Monsieur Tsipras braquer les banques » [9], textuellement, alors que le refus de restructurer la dette grecque jusqu’en 2012 n’a pas eu d’autres finalités que de sauver les banques allemandes, françaises, etc., ces banques où, précisément, prolifère la racaille Gracque, en effet la vraie racaille dans la société française – pas celle de Sarkozy –, ces « anciens hauts fonctionnaires socialistes » comme ils aiment à se présenter eux-mêmes, et qui en disent assez long sur l’état réel du « socialisme » français – pour ceux qui ne s’en seraient pas encore aperçus.

    #Grèce

    • sinon "Par un paradoxe qui doit tout aux coups de fouet de l’adversité, il se pourrait que cette avalanche de haine, car il n’y a désormais plus d’autre mot, soit le meilleur ciment des gauches européennes, et leur plus puissant moteur. Car la guerre idéologique est déclarée. Et il faudra bien cet état de mobilisation et de colère pour supporter ce qu’il va falloir supporter. Il ne faut pas s’y tromper : sauf à ce que tout l’euro parte en morceaux à son tour, hypothèse qui n’est certainement pas à exclure mais qui n’est pas non plus la plus probable, les yeux injectés de sang d’aujourd’hui laisseront bientôt la place à l’écœurant rire triomphateur des Versaillais quand la Grèce passera par le fond du trou. Car elle y passera. Elle y passera au pire moment d’ailleurs, quand Espagnols et Portugais, sur le point de voter, se verront offrir le spectacle du « désastre grec » comme figure de leur propre destin s’ils osaient à leur tour contester l’ordre de la monnaie unique. Ce sera un moment transitoire mais terrible, où, sauf capacité à embrasser un horizon de moyen terme, les données économiques de la situation n’offriront nul secours, et où l’on ne pourra plus compter que sur la colère et l’indignation pour dominer toutes les promesses de malheur. En attendant que se manifestent les bénéfices économiques, et plus encore politiques, du geste souverain."

    • Que le gouvernement Syriza, à l’encontre de ses propres engagements électoraux, ait accepté de se couler dans la logique du mémorandum et de jouer le jeu de l’ajustement budgétaire n’était pas encore assez : car la Troïka ne demande pas qu’un objectif global, mais aussi la manière. Il n’est pas suffisant que la Grèce s’impose une restriction supplémentaire de 1,7 point de PIB, il faut qu’elle la compose comme il faut. Par exemple l’augmentation du taux d’imposition sur les sociétés de 26% à 29%, ainsi que la taxe exceptionnelle de 12% sur les profits supérieurs à 500 000 euros ont été refusées par la Troïka au motif qu’elles étaient… de nature à tuer la croissance ! – ou quand l’étrangleur déconseille à ses victimes le port du foulard. En revanche la Troïka tient beaucoup à ce qu’on en finisse avec la petite allocation de solidarité servie sur les retraites les plus pauvres – le décile inférieur a perdu jusqu’à 86 % de revenu disponible de 2008 à 2012 [1] … c’est donc qu’il reste 14 bons pourcents : du gras ! Elle refuse la proposition grecque de taxer les jeux en ligne, mais demande la fin du subventionnement du diesel pour les agriculteurs – des nantis. Et tout à l’avenant.

    • On pourrait se perdre à l’infini dans ces détails qui disent tous le délire idéologique additionné d’instincts sociaux meurtriers – au sens presque littéral du terme, car rompre avec le fléau du gouvernement par abstractions macroéconomiques demande de prendre connaissance du tableau des conditions concrètes d’existence de la population grecque à l’époque de l’austérité, entre baisse de l’espérance de vie, explosion du taux de suicide, effondrement de la qualité des soins, etc [2]. On pourrait dire tout ça, donc, mais on n’aurait pas dit l’essentiel, qui tient à une forme de haine politique, comme il y avait jadis des haines religieuses, mais, fait inédit, une haine politique institutionnelle, une haine portée par des institutions. Depuis le premier jour, les institutions européennes n’ont pas eu d’autre projet que de faire mordre la poussière au gouvernement Syriza, d’en faire, par un châtiment exemplaire, une leçon à méditer par tous les autres pays qui pourraient avoir à l’idée eux aussi de ne pas plier, comme s’il fallait annuler l’événement de la première authentique alternance politique en Europe depuis des décennies.

    • Juncker : « égoïsme et populisme ont pris le dessus » en Europe
      29 juin 2015
      http://francais.rt.com/international/3742-juncker-afflige-par-spectacle-europe-crise-gecque

      S’adressant directement au peuple hellénique, ce dernier lui a demandé de voter « oui » et ce « indépendamment de la question posée » de lors du référendum qui doit se tenir en Grèce le samedi 5 juillet. « Un "non" serait désastreux car cela signifierait un "non" à l’Europe », a martelé le président de la Commission. « Il ne faut pas se suicider parce que l’on a peur de la mort », a ainsi conclu Jean-Claude Juncker.

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      Alexis Tsipras
      ‏@tsipras_eu

      We have justice on our side. If we can overcome fear, then there is nothing left to fear. @ErtSocial #ert #Greece

  • Alexis Tsipras annonce un référendum le 5 juillet - Politis
    http://www.politis.fr/Alexis-Tsipras-annonce-un,31716.html
    http://www.politis.fr/IMG/arton31716.jpg?1435356939
    #bam !

    « En cinq mois de négociations, on nous a demande de continuer d’appliquer des politiques que vous avez rejeté dans les urnes », a-t-il déclaré avant de résumer durement l’attitude des créanciers : « Leur but est d’humilier un peuple tout entier. » Le Premier ministre, issu de Syriza, s’est montré confiant dans le choix du peuple grec : « Je vous appelle à choisir avec la dignité qui a toujours caractérisé le peuple grec. Votre choix honorera l’histoire de notre pays. L’Europe est la maison commune des peuples. »

    #démocratie

  • L’enthousiasme des médias français pour nous révéler des infos qu’on nous cache est édifiant. Ce lundi à 13 heures :
    – rien sur les #saudileaks dans Libération
    – rien sur les #saudileaks dans Le Monde
    – rien sur les #saudileaks dans La Tribune
    – rien sur les #saudileaks dans Les Échos
    – 2 (deux, twei, two) dépêches AFP passées en « Flash Actu » sur Le Figaro
    – rien sur les #saudileaks dans l’Humanité
    – rien sur les #saudileaks dans La Croix

    Alors, les tocards, c’est quoi votre excuse cette fois-ci ?

  • La Grèce se rapproche de la Banque des BRICS — RT en Français
    20 juin 2015
    http://francais.rt.com/international/3486-lafazanis-grece-banque-brics

    Les pourparlers sont en train d’examiner la possibilité pour la Grèce de devenir le sixième participant de la Banque de développement des BRICS.

    C’est la Russie qui a révélé cette proposition faite au mois de mai dernier. Pour le moment, les parties sont en cours de « discussions préalables sur la question du rattachement éventuel de la Grèce à la banque de développement des BRICS (Alliance interétatique informelle du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud ). Pour que, une fois la Banque opérationnelle, la Grèce puisse devenir membre de plein droit », a rapporté le ministre grec de la Restructuration de la production, de l’Environnement et de l’Energie Panagiotis Lafazanis.

    Selon le ministre, les consultations sur ce rapprochement éventuel avancent « de manière très positive ». Il a souligné que la Russie se prononcerait pour le rapprochement de la Grèce à la Banque de développement. Auparavant, le vice-ministre des finances Sergei Storchak a annoncé que la banque des BRICS serait opérationnelle le 7 juillet.

    • Washington erhöht den Druck auf Europa | SZ 2015-07-08
      http://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/griechenland-krise-washington-erhoeht-den-druck-auf-europa-1.2558032

      [...]

      Der amerikanische Finanzminister Jack Lew wundert sich über die Europäer. Die Positionen von Griechenland und Brüssel seien doch gar nicht so weit auseinander, sagte er auf einer Veranstaltung der Denkfabrik Brookings. Zwischen den Parteien ginge es doch nur noch um ein paar Milliarden Euro. Jetzt habe sich die Situation so zugespitzt, dass sehr viel mehr auf dem Spiel stehe. „Das Risiko beträgt Hunderte Milliarden“, sagt Lew.

      Dass Brüssel dieses Missverhältnis eingeht, findet Lew unverantwortlich, auch wenn er es diplomatischer ausdrückt: „Das würde man eigentlich nicht machen.“ Washington will die Europäer zu einem Kompromiss drängen.

      [...]

      #géopolitique #fmi #imf #états_unis
      #auf_Deutsch

      D’ailleurs, l’article évite bien le point essentiel apparemment aussi pour des états unis et le FMI - #BRICS

      Si c’est ciblé ou que par l’aveuglement du discours allemand majoritaire reste au jugement du lecteur

  • L’Occident « pas étranger » à l’expansion de l’EI, accuse le cheikh d’al-Azhar OLJ / 09.06.15
    http://www.lorientlejour.com/article/928914/loccident-pas-etranger-a-lexpansion-de-lei-accuse-le-cheikh-dal-azhar

    L’Occident « n’est pas étranger » à l’expansion du groupe Etat islamique (EI) et a un intérêt à la « fragmentation » du monde musulman, a accusé mardi le cheikh d’al-Azhar, l’une des plus prestigieuses institutions de l’islam sunnite, dans un entretien avec l’AFP. A l’issue d’un colloque organisé à Florence (centre) sur le thème « Orient et Occident, dialogue et civilisation », Ahmed al-Tayeb, dont c’était la première venue officielle en Europe, a lourdement accusé l’Occident et en particulier les Etats-Unis.
    Déclarant s’exprimer comme « un citoyen ordinaire » - car l’université d’al-Azhar qu’il dirige au Caire, n’est « pas un organisme politique » et joue « un rôle national au service de la patrie » (égyptienne) -, l’imam a observé : « l’apparition de Daech (acronyme arabe de l’EI), d’une telle manière improvisée, nous conduit à nous demander quelles en sont les causes profondes ». Et « l’homme de la rue arabe pense que l’Occident n’est pas du tout étranger à son apparition. Les armes de Daech sont des armes américaines, elles ne sont pas fabriquées dans le monde arabe », a-t-il assuré.
    "D’où vient l’argent ?"
    L’EI « s’est développé trop vite, a-t-il poursuivi. Ce développement requiert des capitaux énormes. D’où viennent ces sommes d’argent ? L’homme de la rue dit que l’Occident n’est pas sérieux en affrontant Daech ». Le cheikh avance à l’appui de sa thèse trois présumés parachutages d’armes par des avions américains en faveur de l’EI. « Ils ont dit que c’était une erreur ! », a-t-il observé d’un ton dubitatif, sans toutefois répondre à la question de la responsabilité éventuelle de pays arabes, notamment du Golfe, dans le renforcement et le financement de l’EI.
    « Si l’ordre mondial, autrement dit l’Amérique et le monde, avaient voulu aider la coopération arabe à démanteler l’EI et ses sœurs et ses filles, ils auraient pu le faire en un seul jour », a estimé le cheikh. « L’ordre mondial veut le chaos, il semble qu’il ait l’intention de fragmenter notre région, et l’EI est un instrument très efficace. L’EI est fonctionnel pour les grandes puissances qui ne veulent pas que cette région se développe aux côtés d’Israël ».

    La version francophone de RT : http://francais.rt.com/international/3085-daesh-autorite-lislam-sunnite-accuse

    • 2 bémols et pas des moindres : la justification de la politique violemment répressive d’al-Sissi (qualifié de « démocratique ») vis à vis des FM, et le refus de répondre à la question de la responsabilité des pays du Golfe...

  • Poutine a tenu une conversation téléphonique avec Tsipras — RT en Français
    http://francais.rt.com/international/2965-vladimir-poutine-tsipras-conversation

    Les deux dirigeants ont discuté des perspectives de réalisation des accords discutés auparavant, dont la construction du gazoduc Turkish Stream, et se sont mis d’accord pour se rencontrer, a fait savoir le service de presse du Kremlin.

    « Les deux dirigeants ont discuté des étapes de réalisation des accords esquissés lors de la dernière visite d’Alexis Tsipras en Russie, dont la construction de l’infrastructure de transport gazier par les territoires turc et grec », a annoncé Kremlin dans une déclaration de presse.

    Poutine et Tsipras ont en outre décidé de se rencontrer dans le cadre du Forum économique de Saint-Pétersbourg les 18-20 juin.
    (...)
    Le projet de gazoduc Turkish Stream a remplacé le South Stream, qui était déjà en construction lorsque la Bulgarie, par lequel devait transiter le pipeline, a refusé aux autorités russes le passage de l’ouvrage dans ses eaux territoriales en Mer noire.

    Vues les difficultés de la Grèce à rembourser sa dette ,et suite à la visite de Tsipras à Moscou le 8 avril 2015, les rumeurs sur une possible aide financière de Kremlin à la Grèce ont surgi dans les médias. Cependant, le président russe Vladimir Poutine a démenti ces allégations, ajoutant que la Russie n’entendait pas aider directement Athènes, mais pourrait l’aider indirectement par des investissements dans des projets tels que Turkish Stream.

  • Fabius voit rouge dans l’affaire Orange en Israël — RT en Français
    http://francais.rt.com/france/2949-fabius-voit-rouge-dans-laffaire

    Le gouvernement par la voix de Laurent Fabius a annoncé que « la France est fermement opposée au boycott d’Israël ».

    Le socialisme à la française tel qu’on le préfère ! S’en souvenir quand on nous fera du chantage électoral... Au passage, Fabius est le grand soutien de la « révolution syrienne »... Il n’y a naturellement aucune contradiction entre son soutien indéfectible à l’Etat sioniste et sa passion pour les libérateurs syriens.

    #syrie #boycott #orange

    • De quoi Fabius est-il le nom ?

      Le PS en Seine-Maritime (2) : en Fabiusie, la tragédie du carriérisme politique
      05 juin 2015 | Par Stéphane Alliès et Mathilde Mathieu

      « Il y a un problème structurel de base dans le PS de Seine-Maritime : c’est comme si pour être militant, il fallait absolument être payé. » Cet ancien membre de cabinet du conseil général résume bien la situation du socialisme dans le département. Pendant plusieurs mois, Mediapart s’est plongé dans les méandres du carriérisme politique dans le fief de Laurent Fabius, poste avancé du socialisme à bout de souffle, où l’on ne milite guère plus que par intérêt.

      Le cas de Didier Marie, que nous avons raconté ici, est loin d’être un profil isolé. C’est tout un « système », allant du complément de rémunération aux emplois politiques croisés, qui a été construit dans le territoire haut-normand, ainsi que nous l’ont raconté une vingtaine de sources, élus, militants, anciens conseillers de cabinet ou agents administratifs.

      Emploi à la fédération, au groupe PS du conseil général, du conseil régional ou du conseil d’agglomération de Rouen, permanence dans l’une des nombreuses « maisons du département », poste d’attaché parlementaire…

      Les ressources de l’entreprise politique du PS local ont longtemps été fort vastes, un peu moins depuis la perte du conseil départemental en mars dernier. Et pour quelques fonctions où le travail est réel (secrétariat, communication, animation d’un groupe politique, travail parlementaire), on trouve surtout des « emplois politiques » concernant pêle-mêle une quantité de cadres fédéraux ou de secrétaires de section, parfois leur compagne ou compagnon, ou encore leurs enfants, rémunérés par diverses institutions, le parti, parlementaires ou collectivités. À chaque fois, la principale compétence reconnue est de faire partie du « noyau fabiusien » local, élu ne vivant pas suffisamment de son indemnité, ou militant aspirant à devenir élu.

      À la fédération du PS, dont les recettes sont pour partie d’origine étatique, neuf personnes étaient encore employées en décembre 2014, d’après un chiffre confirmé par les intéressés. Un chiffre singulier dans le fonctionnement traditionnel des fédérations socialistes, ainsi que nous l’ont certifié plusieurs sources au siège national du PS, ou dans d’autres fédérations de taille équivalente. « On est dans l’ordre de l’exceptionnel, dit un excellent connaisseur de l’appareil du parti. Partout ailleurs, il y a entre un et trois permanents rémunérés par fédération. » Ici, comme le note un ancien du département, « quasiment tout le conseil fédéral vit de la politique ».

      En Seine-Maritime, ce « CF » sortant, sorte de parlement du parti au niveau départemental, est en effet composé de personnes rémunérées ou ayant été rémunérées directement par la fédération. Il en va ainsi de Didier Marie, un cas bien particulier, mais aussi du premier fédéral adjoint Bastien Coriton ou de la députée Dominique Chauvel, mais encore d’Alexandre Cherichi, de Matthieu Manero, de Dominique Piednoël, de Charlotte Goujon ou de Mélanie Boulanger.

      http://www.mediapart.fr/journal/france/050615/le-ps-en-seine-maritime-2-en-fabiusie-la-tragedie-du-carrierisme-politique

  • Le nouveau job de Tony Blair — RT en Français
    http://francais.rt.com/international/2932-tony-blair-antisemitisme-paix-proche-orient
    4 juin 2015

    L’ex-Premier ministre britannique qui a échoué à faire avancer le processus de paix au Proche-Orient prend la tête du Conseil européen pour la tolérance et la réconciliation, organisme chargé de combattre l’antisémitisme.

    • Entre Junker (celui qui a siphonné au profit du Luxembourg les recettes fiscales de tous les autres pays de l’UE) à la tête de la Commission Européenne, et Tony Blair (qui a fait vivre sans vergogne la sanglante farce du « processus de paix ») à la tête du « Conseil européen pour la tolérance et la réconciliation », l’Union Européenne est devenue un gag monstrueux.