Les conséquences macroéconomiques du vieillissement démographique

C’est vrai qu’avec tout cet argent on pourrait sauver plein d’autres gens qui ont des maladies auxquelles là illes n’y pouvaient rien.

Pareil pour la pauvreté, ça tue des gens, on y met plein de pognon, et c’est un choix personnel.

La question n’est pas là. La question c’est qu’on pleure parce que les pauvres vendeurs de tabac n’ont plus de client, parce que la sécurité sociale a un gros trou, parce que la liberté individuelle doit laisser les gamins tomber dans le panneau à 12 ans, avec cette drogue dure, et qui rapporte gros à l’état.
Tabac, alcool, toutes choses qu’on vante, et qui rendent malades, malheureux, les concernés et tout leur entourage, le boulot, les accidents, et, donc le budget santé.
La pauvreté c’est autre chose, c’est une mauvaise répartition de la richesse, et on ne la met pas en valeur, on ne la taxe pas, on ne l’affiche pas à consommer sur les écrans et les magazines.
Aucun rapport.

Y’a à nouveau de la pub pour les clopes ?

Je pense qu’il y a un rapport entre la pauvreté l’alcool et le tabagisme parce que ce sont des drogues relativement bon marché qui remplissent le ventre et servent d’anxiolitiques et de coupe faim.

Tous ensemble, fumeurs et non fumeurs,

… les deux dernières années de vie concentrent la moitié des dépenses de santé.

On trouve fréquemment dans la presse cette affirmation appliquée à la dernière année. La phrase vient du ch. 3.2 de

Les conséquences macroéconomiques du vieillissement démographique, Jean-Pierre PLANCADE
Rapport d’information n° 143 (1999-2000) fait au nom de la délégation du Sénat pour la planification, déposé le 16 décembre 1999
▻http://www.senat.fr/rap/r99-143/r99-1435.html

Avec la conséquence de bon sens qu’en aurait tirée ce bon vieux Ferdinand Lop…

Et les deux dernières années de vie concentrent bien plus de 90% des personnes. (Je parle d’une vie que ceux de un an ne peuvent pas connaitre.)

Je ne vois pas comment tu peux dire que fumer est un choix individuel quand tu dis après qu’il y a une incitation collective à fumer.