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  • Das Foto, dass wir gerne drucken würden - B.Z. Berlin


    Décidément ce journal de droite n’apprécie pas du tout le sénateur de la culture du gouvernement de Berlin.

    Das Landgericht Berlin droht Senator Lederer mit Ordnungshaft ...
    25. Nov. 2018 ... Der Direktor der Gedenkstätte Hohenschönhausen, Hubertus Knabe, darf an seinen Arbeitsplatz zurückkehren.

    Ce gros titre fait croire aux lecteurs moins avertis que le le sénateur risque une peine de prison à cause de sa politique. Bien entendu ce n’est pas le cas.

    Après la réunion commémorative à l’occasion du centenaire de la fondation du parti communiste allemand (KPD) la droite crie au scandale et essaye de ridiculiser les figure de proue de la gauche. Klaus Lederer est le politicien le plus populaire de la ville et voilà une belle occasion pour le présenter dans une pose typique pour l’ère de Staline.

    Il est vrai que la tête d’Ernst « Teddy » Thälmann est plus réussie que celle du beau Klaus.

    Enfin pour compléter voici une petite collection de gros titres du journal B.Z.

    „Kriminelle Energie!“ CDU-Vize fordert Rücktritt von Lederer
    29. Nov. 2018 ... CDU-Politiker Arnold Vaatz wirft Kultursenator Klaus Lederer (Die Linke) schwere Rechtsverstöße im Fall Knabe vor.

    Hat Lederer in Hohenschönhausen doch ein falsches Spiel gespielt ...
    25. Okt. 2018 ... 9. von Klaus Lederer (Linke) gefeuert: Hubertus Knabe, Leiter der Gedenkstätte Hohenschönhausen

    Kultursenator Lederer sperrt das Mauermuseum auf Twitter
    27. Aug. 2018 ... Kultursenat gegen Mauermuseum – Klaus Lederer (44, Linke) gegen Alexandra Hildebrandt (59

    Ex-Gedenkstätten-Leiter Hubertus Knabe klagt sich vorerst ...
    24. Nov. 2018 ... Berlins Kultursenator Klaus Lederer will dagegen vorgehen. Wegen Sexismus- Vorwürfen gegen seinen Stellvertreter musste Hubertus Knabe, ...

    Ist Klaus Lederer ein guter Senator oder ein ...
    14. Juni 2018 ... Der Eigentümer wollte das Radialsystem veräußern und Kultursenator Klaus Lederer machte sich für den Ankauf stark. Die rot-rot-grüne ...

    #Allemagne #politique #presse #communisme #droite #histoire #rofl

  • Lectures géographiques d’un journaliste français à Berlin

    http://journals.openedition.org/echogeo/16427

    Je suis très curieux de savoir ce que @klaus pense de cet entretien... C’est un journaliste du Monde (personne n’est parfait) qui raconte son expérince urbaine alors qu’il est correspondant du journal.

    Après des études à l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm et à Sciences Po Paris, titulaire d’une agrégation d’histoire puis d’une thèse en histoire contemporaine, Thomas Wieder devient journaliste au Monde dans le service politique, puis son correspondant en Allemagne à partir de 2016. Son témoignage montre quelle place a la géographie dans son métier et éclaire sur une géographie citadine qui mobilise au quotidien représentations héritées de la ville, analyses statistiques, espaces repères, comparaisons avec Paris, rapport singulier aux distances.

    #berlin #urban_matter

    • L’excès de voiturisme à Berlin ...

      7 -
      ... c’est une ville où la circulation automobile demeure encore aujourd’hui beaucoup plus fluide qu’à Paris, de sorte qu’on peut envisager de la traverser pratiquement d’un bout à l’autre en mettant le temps qu’il faut aujourd’hui à Paris pour se rendre dans un arrondissement voisin.

      ... m’a fait échanger la voiture contre la moto. La description idyllique est datée, là c’est le bouchon permanent á cause d’une politique de transition chaotique de la ville automobile à la ville-où-on-ne-sait-pas-comment-se-déplacer.

      Mais il est vrai qu’à Paris c’est le vélo qui s’impose si on veut se déplacer vite et sans les inconvéniants du métro. Berlin par contre est trop grand pour les adeptes du cyclisme moins fanatiques. J’ai une connaissance qui y fait chaque jour deux fois 15 km á travers la circulation dense. Elle est bien en forme, mais elle dévéloppe un côté agressiv pas très agréable.

      Je n’ai pas encore tout lu.

    • euh ...

      Certes, les loyers restent encore bien moins chers qu’à Paris

      ... c’est encore vrai pour les quartiers en dehors du centre dont la surface correspond à celle de Paris intra muros .
      cf. https://seenthis.net/messages/747182


      Le problème : tout est déjà pris. À l’exception de ceux qui disposent d’un patrimoine assez comfortable pour être en position de pouvoir choisir entre l’achat et la location d’un appartement, les berlinois ne déménagent plus. Seule execption pour les indigènes : passer à côté de la file d’attente parce qu’on a des relations.

      Pour les nouveaux arrivants il y a deux types de solution pour se loger :

      1. Tu es plus ou moins pauvre

      a) Tu dors dans la rue. C’est le cas des européens de l’Est peu qualifiés qui prèrent vivre à la rue Berlin à la mort dans le froid de leur ville d’origine. C’est également le cas des victimes du système Dublin privés de statut officiel.

      b) Tu deviens coloc dans un appartement trop cher pour son locataire. Pour la majorité des étudiants et jeunes employés étrangers c’est la première étape pour se faire une vie à Berlin.

      c) Tu t’inscris sur les listes d’attente de bailleurs municipaux et associatons de copropriété peu chers. Tu aura un appartement quelques années plu tard.

      2. Tu es détenteur d’un patrimone

      a) Tu loues plus cher que tes revenus actuels te le permettent et tu consommes tes épargnes en espérant trouver un travail mieux payé.

      b) Tu achètes ou tu loues prèsque au prix parisien. Là c’est pour tout de suite ou prèsque.

      c) Tu es très riche. Pour toi Berlin est un bain de jouvence qui va rajeunir et toi et tes investissements.

    • C’est vrais ...

      6 -
      7 - Depuis longtemps Berlin se revendique comme ville de « mixité sociale ».

      ... mais la Berliner Mischung date d’une époque quand le propriétaire vivait au premier étage derrière la belle facade de son immeuble qui s’étandait sur parfois sur 10 cours intérieures de plus en plus insalubres où s’entassaient les prolétaires qui travaillaient dans les petites usines et manufactures du bloc.

      Cette forme de cohabiation sociale n’a plus de raison d’être économique. Elle a continué à exister à Berlin après la guerre et a survécu les années 1970 quand cette forme de vie a disparu. C’était dû au côté château de la belle au bois dormante qu’avait la ville pendant la séparation entre Est et Ouest.

      La mixité sociale d’aujourd’hui est alors un projet politique qui veut améliorer la sécurité et la qualité de vie pour les habitants mais plutôt que de s’imposer il faut un grand effort de la gauche pour la défendre et lui donner une nouvelle raison d’être.

      cf. https://de.wikipedia.org/wiki/Meyers_Hof

    • 5 - (TW). Je suis arrivé à Berlin à l’été 2016.

      Quand Thomas Wieder arrive à Berlin la ville est en pleine crise migratoire. La situation dans le centre d’acceuil pour réfugiés sur les lieux de l’ancien hôpital de Moabit resssemble à un camps au milieu du désert. La réaction des institutions municipales face aux événements est aussi confuse que celle des administrations à Berlin-Est à partir du mois de novembre 1989. D’abord on essaie de tout régler comme prévu alors qu’il n’y a plus rien de prévisible, ensuite on abandonne son poste ou essaie de trouver des solutions improvisées.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Fl%C3%BCchtlingskrise_ab_2015_in_Deutschland

      Dans les deux années après son installation la ville change radicalement parce que les conséquences de la spéculation immobière commencent à se sentir de plus en plus et l’arrivé de nouveaux habitants du monde entier sur le marché du travail a des répercussions sur toute structure en place.

      La modification des quartiers accélère encore. Au fur et à mesure la gentrification s’étend à tous les endroits épargnés jusqu’à cette période.

    • La chute des murs de Jéricho
      http://www.interbible.org/interBible/caravane/voyage/2007/voy_070126.html
      C’est une belle histoire ...

      (Jos 6,2-5) : Josué et ses hommes devaient faire le tour de Jéricho une fois par jour pendant six jours, accompagnés de sept prêtes portant l’Arche d’alliance et sept trompettes en corne de bélier, puis effectuer sept tours de la ville le septième jour, après quoi les prêtres devaient sonner de leurs trompettes, le peuple pousser un grand cri, et alors les murs de Jéricho s’effondreraient.

      ... qui a été entièrement inventée.

      D’ailleurs si les Israélites avaient décidé de prendre la ville, ils n’auraient pas eu besoin d’en faire sept fois le tour pour s’apercevoir que Jéricho avait déjà été détruite depuis longtemps... En effet, l’archéologie montre qu’à l’époque présumée de l’épisode, Jéricho était déjà en ruines et n’était plus habitée depuis environ trois siècles.

      Ce qui est vrai en ce qui concerne Jericho l’est encore davantage pour Berlin. Il n’y a jamais eu de chute du Mur . Après des protestations le gouvernement de la RDA arrête de refuser à ses citoyens de quitter le pays comme il bien leur semble. Pendant ce processus politique assez mal géré - pour éviter des victimes - les gardes frontière acceptent le soir du 9 novembre 1989 de laisser passer tout le monde.

      L’expression chute du Mur est un terme de la guerre froide inspiré par un mythe biblique. Elle suggère l’intervention d’une force providentielle à l’origine d’événements sociaux, politiques et économiques. Cette vision idéologique des événements sert à cacher les véritables forces et mobiles afin de nous empêcher d’utiliser les leçons historiques pour « faire tomber » des régimes en place actuellement.

      9 - ... les ex-quartiers de Berlin-Est sont ceux qui ont le plus évolué en trente ans. Délaissés à la chute du Mur, certains ont rattrapé voire dépassé certains quartiers de l’Ouest en termes de gentrification, comme Prenzlauer Berg et Mitte qui ont perdu tout le caractère « alternatif » qu’ils avaient dans les années 1990 et encore au début des années 2000. Aujourd’hui, ce processus de gentrification s’étend à d’autres quartiers de l’ex Berlin-Est plus périphériques, comme Pankow (au Nord) ou Friedrichshain (à l’Est).

      Les lieux dits alternatifs à Berlin sontun peu cachés. Ce sont des îlots qui témoigent d’une époque passé. Ce constat concerne la ville entière.

      La meilleure source pour se rendre compte de quoi on parle quand on évoque le mouvement alternatif à Berlin, c’est une carte du mouvement des squats entre 1070 et aujourd’hui.
      https://seenthis.net/messages/739643

      Sous les coups des gentrificateurs il est d’autant plus important de conserver et propager les leçons apprises par l’avènement et la disparition de structures autonomes libertaires à Berlin-Ouest. Ceci est aussi important que la conservation des expériences et leçons appris à travers la tentative de réaliser un socialisme autoritare à l’Est.

      #socialisme #mouvement_alternatif

    • Là encore le journaliste raconte l’histoire de Berlin, l’ex-ville-du-mur . Cette approche est erronnée car elle met l’accent sur un bref interlude historique qui n’est aujourd’hui qu’une USP (unique selling proposition) de la part de l’office du tourisme municipal. Berlin est l’ancienne et l’actuelle capitale de la plus grande puissence politique et ećonomique en Europe centrale et continue son développement suivant ce paradigme.

      - 10 Près de trente ans après la chute du Mur, l’Est et l’Ouest continuent néanmoins de charrier des clichés qui leur sont propres. Ainsi, l’Ouest a toujours la réputation d’être plus bourgeois et résidentiel à cause de certains quartiers comme Charlottenburg ou Grünewald, mais cela ne doit pas faire oublier le fait que certains des quartiers les plus pauvres et cosmopolites du Berlin d’aujourd’hui, comme Neukölln, au sud, ou Wedding, étaient jadis à l’Ouest du Mur…

      Les deux facteurs principaux pour le développment des villes européennes sont d’ordre géographique y compris de climat et sociologique avec les facteurs économiques comme moteur de propulsion.

      Initialement Berlin est constitué de quelques maisons autour d’une île . Cette configuration structurelle ne change pas pendant des siècles jusqu’au début de l’industralisation.

      Depuis les vents de l’ouest courants et la pollution des cheminées industrielles et d’habitation font fuir la bonne société vers l’ouest. C’est ainsi qu’à Berlin et à Londres prospèrent les beaux quartiers appellées Westend . A l’est de la ville se développe une ceinture d’habitations ouvrières et d’usines exposée aux nuages noirs polluantes. Cette situation reste inchangeée jusqu’à la disparition des industries berlinoises après 1989 et le remplacement de la quasi totalité des chauffages « prussiennes » au charbon dans les années 1990. Encore au début de cette décennie on sentait l’arrivée de l’hiver par son odeur de charbon brulé et de soufre.

      Voici la raison principale pour la popularité de #Moabit, #Wedding, #Gesundbrunnen, #Prenzlauer_Berg, #Friedrichshain, #Kreuzberg et #Neukölln : Depuis l’an 2000 on peut y respirer librement pour la première fois depuis 150 ans.

      En réalité, certains quartiers qui se trouvaient de part et d’autre du Mur se sont rapprochés avec le temps. Ainsi de Kreuzberg (Ouest) et Friedrichshain (Est), qui constituent aujourd’hui un seul et même arrondissement et présentent une assez grande homogénéité sociale, culturelle et politique : aux élections régionales de 2016, les Verts y ont ainsi obtenu environ 30 % des voix, bien plus que partout ailleurs à Berlin.

      Thomas Wieder parle ici de l’arrondissement Friedrichshain-Kreuzberg, ces quartiers pas seulement séparés par le mur mais par la rivière de la Spree. J’ai de fortes doutes s’il sont vraiment aussi homogènes comme il dit. Quand on regarde de près la carte des résultats électoraux on y identifie des disparité remarquables. Je commence à douter encore plus de sa description quand je regarde aussi l’autre arrondissements unique d’aujourd’hui dont les quartiers font partie des deux Berlin jusqu’en 1989.

      On risque de se tromper sur Fredrichshain et Kreuzberg, mais à Berlin Mitte on constate une situation complètement disparate. C’est une combinaison de Gesundbrunnen (ouest), Wedding (ouest), Moabit (ouest), Tiergarten (ouest) et Mitte (est). Gesundbrunnen , Wedding et Moabit sont des quartiers ouvriers « rouges », Tiergarten est un quartier chic et bourgeois à toutes les époques, Mitte est traditionellement l’endroit avec le plus de disparités sociales imaginables. Le Kaiser y vit à quelques centaines de mètres des juifs de l’Est les plus pauves d’Allemagne. Cette disparité sociale continue à marquer le centre de Berlin au sein des quartiers comme au niveau de sa structure générale.

    • Il a parfaitement raison quand il décrit l’implémentation des quartiers #Potsdamer_Platz et #Regienrungsviertel.

      - 12
      – 13 ... c’est un espace quasi autonome, où l’on n’a aucune raison de se rendre au quotidien. Une sorte d’espace à part, beaucoup moins intégré à la vie quotidienne que ne le sont les lieux du pouvoir politique à Paris.

      Chacun des quartier est le fruit de quelques réunions au plus haut niveau du pouvoir sans la moinde concertation ou participation des berlinois.

      C’est surtout le chancelier Helmut Kohl qui y impose sa vision de la capitale allemandes. La nation, c’est à dire tout le monde y compris les gens simples, ne compte pas. Dans les momente historiques décisifs c’est ou la révolution ou la dictature. Les joyaux de la « Berliner Republik » expriment la volonté des détenteurs du pouvoir de prendre des décisions rapidement afin de ne pas être incommodé par cet animal capricieux qu’est le peuple.

    • On parle, ...

      - 18 (TW). La part des étrangers est très variable selon les quartiers de Berlin. Cela a toujours été le cas, certains quartiers comme Kreuzberg ayant accueilli de très longue date un nombre important d’immigrés, turcs en particuliers. On estime à environ 80 000 le nombre de demandeurs d’asile arrivés à Berlin entre 2015 et 2017. Même si certains quartiers en ont accueilli plus que d’autres (Neukölln, au sud-est de la ville, par exemple), leur arrivée n’a pas fondamentalement changé l’image de la ville.

      Il faudrait préciser et paler des raisons pour la présence massive des turcs et squatteurs `Kreuzberg etc.

      Mixité sociale, immigration ... au fond il ne dit rien du tout mais recrache des bribes d’infos dont on pourrait faire une critiques, mais #bof ...

  • 31.12.2018 : Die radikale Partei (Tageszeitung junge Welt)
    https://www.jungewelt.de/artikel/346323.kpd-gr%C3%BCndung-die-radikale-partei.html

    Il y a cent ans dans la nuit du 31.12.1918 au 1.1.2019 au Preußischer Landtag des ancien social-démocrates en désaccord avec la politique réactionnaire des dirigeants SPD créent le parti communiste allemand Deutsche Kommunistische Partei (KPD). Le journal Junge Welt publie des extraits de discours de quelques fondateurs.

    Peu après le 15 janvier 1919 ses membres les plus célèbres Rosa Luxemburg et Kartl Liebknecht sont assassinés avec la complicité de Gustav Noske, un haut responsable social-démocrate qui s’était donné la tâche de mater la révolution allemande avec des troupes commandés par des officiers qui allaient constituer le noyau du pouvoir nazi quelques années plus tard.

    Die Gründergeneration der Kommunistischen Partei Deutschlands hat die Partei zur Jahreswende 1918/19 als Revolutionspartei konzipiert. Die Annahme, dass Kapitalismus und bürgerlicher Staat in eine ausweglose Krise geraten seien, die entweder mit der sozialen Revolution oder einer sozialen Katastrophe enden würde, einte alle Fraktionen und Strömungen der Partei. Eine bestimmte politische Taktik war damit allerdings noch nicht verbindlich vorgegeben. Die Debatten in der jungen Partei drehten sich deshalb vor allem um die Frage, wie diese Einsicht in die politische Praxis zu übersetzen sei – auf dem Gründungsparteitag in der Form einer Auseinandersetzung über die Wahlbeteiligung bzw. über die Gewerkschaften. Anfang 1922, als die ersten, aus diesen Konflikten resultierenden Abspaltungen nach links und rechts bereits erfolgt waren, hat August Thalheimer dieses zentrale Problem der Parteientwicklung in der Zeitschrift Die Internationale noch einmal umrissen: Es liege, so Thalheimer, auf der Hand, dass, sollte die Einschätzung, der Kapitalismus befinde sich in einer finalen Krise, sich als nicht zutreffend erweisen, »für die kommunistische Politik, und also für kommunistische Grundsätze und am Ende auch für die kommunistische Partei kein Boden mehr da ist. Wenn der Kapitalismus aus dieser seiner ungeheuren Krisis zu ›normaler‹ Funktion zurückkehrt, so folgt daraus politisch die Rückkehr zur ›normalen‹ sozialdemokratischen Politik und Partei, die ihre verschiedenen Färbungen und Flügel haben mag, in der aber keine grundsätzlich verschiedenen programmatischen und taktischen Einstellungen möglich sind.« Das hieß: Eine kommunistische Partei funktioniert, wenn sie sich selber ernst nimmt, nur in Krisenphasen, in denen die Möglichkeit der Revolution zumindest angelegt ist. Ein Plädoyer gegen »kommunistische Grundsätze« ist das gerade nicht: Es ist der Hinweis, dass auch eine politische Partei, die einmal mit solchen radikalen Grundsätzen angefangen hat, gefährdet ist, »zur ›normalen‹ sozialdemokratischen Politik« herabzusinken. Die Geschichte der kommunistischen Parteien im vergangenen Jahrhundert ist auch eine Geschichte dieses Verfalls. Ein Rundgang durch die großen Themen des Gründungsparteitages lohnt sich nicht zuletzt aus diesem Grund.
    Kritik des »linken« Reformismus

    Die USPD ist tot

    »Wir sehen hier, wie die USP nicht nur in ihren Führern verderbt ist, sondern, allerdings wesentlich mit durch die Politik ihrer Führer, auch in den Massen sich der Zersetzungsprozeß in einer sehr deutlichen, in einer geradezu unerträglichen Weise geltend macht. Die Mitgliedschaften, und zwar hier unter Förderung durch den Parteivorstand, der dieser Politik noch nicht abgeschworen hat, sie gehen bei den Wahlen zusammen mit den Mehrheitssozialisten. Die Mitgliedschaften verschmelzen sich in immer größerem Umfange. Wir haben in dem einen seltenen, aber wahrscheinlich bald nicht mehr so seltenen Falle Eduard Bernsteins einen Fall der Zugehörigkeit zu beiden Parteien. Dieser Vorgang kennzeichnet die innere Zersetzung, die absolute Unhaltbarkeit der ganzen Partei, nicht nur in bezug auf einzelne Personen, sondern auch in bezug auf die Zusammensetzung der Mitgliedschaften selbst. Es ist eine Scheidung notwendig. Im Grunde ist die USP bereits heute tot, und im Grunde ist dieser Austritt aus dem Kabinett nichts anderes als ein mißglückender Versuch, den Leichnam noch einmal zum Leben zu erwecken.« (Karl Liebknecht)

    Der große Trennungsstrich

    »Es gilt nun heute, jetzt, vor aller Öffentlichkeit den großen Trennungsstrich zu ziehen. Wir haben keine Gemeinschaft mehr mit der USP, wir müssen eine selbständige Partei werden. Wenn wir heute auseinandergehen, muß eine neue Partei gegründet sein, eine Partei, die im Gegensatz zu den scheinsozialistischen Parteien steht, zu denen auch die USP zu rechnen ist, im Gegensatz zu den Parteien, die das Wort Sozialismus mißbrauchen, um die Massen zu verwirren und den herrschenden Klassen in die Hände zu arbeiten, eine Partei, die entschlossen und rücksichtslos die Interessen des Proletariats vertritt, eine Partei, die geschlossen und einheitlich zusammengesetzt ist im Geiste und im Willen, eine Partei, die ein klares Programm hat, eine Partei, in der das Ziel und die Mittel zum Ziele gewählt sind mit klarer Entschlossenheit, mit einer Entschiedenheit, die nicht verwirrt werden kann, [in der] die Mittel gewählt worden sind nach den Interessen der sozialistischen Revolution, nach den Interessen, die die sozialistische Weltrevolution erfordert.« (Karl Liebknecht)

    Mitmacherei der USPD

    »Die USP (…) entstand durch Zusammenschluß verschiedenartiger Elemente, die weder in den Grundsätzen noch in der Taktik übereinstimmen und in den offiziellen Instanzen überwiegend eine verhängnisvolle scheinradikale Impotenz verkörpern. Die Politik der USP war von Anbeginn niemals eine solche der sozialistischen Klarheit, des entschlossenen Klassenkampfes, des konsequenten Internationalismus, sondern nur eine solche der opportunistischen Verworrenheit, der ängstlichen Kompromisselei, der nationalen Rechnungsträgerei und so von Anfang an zur Aktionsunfähigkeit verdammt. Seit der Novemberrevolution hat sich die Halbheit und Unsicherheit dieser Politik bis zur völligen Prinzipienlosigkeit gesteigert. Obwohl die Mehrheitssozialisten schon am 9. November unzweideutig erklärten, daß sie eine proletarisch-revolutionäre Politik auch künftig ablehnen würden, traten Vertreter der USP in das paritätische Kabinett ein. Sie haben damit der Verwirrung und Versumpfung der Arbeiter- und Soldatenmassen stärksten Vorschub geleistet, indem sie den Ebert-Scheidemann als Feigenblatt dienten. Sie haben sich acht Wochen lang aller Verbrechen und Verrätereien der ›sozialistischen‹ Regierung, deren Ziel die Wiederherstellung und Erhaltung der kapitalistischen Klassenherrschaft ist, durch Duldung oder offene Mittäterschaft mitschuldig gemacht. Sie haben die Voraussetzungen für ein rapides Anwachsen der gegenrevolutionären Mächte schaffen helfen und in verderblichster Weise dazu beigetragen, die revolutionäre Kraft der Arbeiter zu schwächen.« (Resolution, gegen eine Stimme angenommen)

    Wahlbeteiligung und Parlament

    Funktion der Nationalversammlung

    »Die Nationalversammlung wird ganz nach Wunsch der Bourgeoisie, ganz nach dem Wunsche ihrer Agenten Ebert und Scheidemann ein gefügiges Instrument in den Händen der Gegenrevolution sein. Es ist kein Zweifel, daß in dieser Nationalversammlung die Vertreter der entschlossenen revolutionären Richtung innerhalb des Proletariats in der Minderheit sich befinden werden. Parteigenossen! Trotzdem schlagen wir Ihnen vor, die Nationalversammlungswahlen nicht beiseite liegen zu lassen. Wir schlagen Ihnen vor, in diese Wahlen zur Nationalversammlung einzutreten mit aller Kraft. (Rufe: ›Niemals!‹ ›Nein!‹) Lassen Sie mich ausreden! Sprechen Sie Ihr ›Niemals!‹ erst am Schluß. Wir schlagen Ihnen vor, in diese Wahlen einzutreten und sie durchzukämpfen mit aller Erbitterung und aller Energie und aller Kampfesfreudigkeit, sage ich Ihnen, die Sie gezeigt haben in jedem Kampfe, um jede Position, die die Gegenrevolution bis jetzt vor Ihnen aufgerichtet hat. (Rufe: ›Vergeudung von Kraft!‹) Parteigenossen! Man sagt Vergeudung von Kraft. Ja, der Genosse hat recht. Wenn die Positionen, die die Gegenrevolution vor uns aufrichtet, genommen werden können ohne Kraftaufwand, ohne daß wir sie stürmen, dann hat der Genosse Kahlert recht. Solange die Bourgeoisie nicht bereit ist, das zu tun, solange wird sie uns den Kampf aufdrängen, solange sie freiwillig nicht einen Schritt zurückgeht, solange sie kämpft, solange ist es unsere Aufgabe, den Kampf mit der Bourgeoisie aufzunehmen um jede Position, in der sie sich befindet.« (Paul Levi)

    Jusqu’à la vente du terrain aux promoteurs immobiliers on pouvait visiter à Chausseestraße 121 un monument en souvenir de la fondation du prédécesseur du KPD Spartakusbund le 11. novembre 1918. Cette confédération était le fruit du travail depuis le mois d’août 1914 de socialistes de gauche rassemblés sous le nom Gruppe Internationale
    https://www.openstreetmap.org/node/2946522911

    ADN-ZB-Kohls- 8.11.1958-Spartakus-Gedenkstätte in Berlin eingeweiht. Zu einem Höhepunkt der Veranstaltungen am Vorabend des 40. Jahrestages der Novemberrevolution wurde die Einweihung der Spartakus-Gedenkstätte auf dem Grundstück Chauseestraße 121 in Berlin-Mitte am 8.November 1958. Mehrere Hundert Berliner Bürger aus beiden Teilen der Stadt, Kampfgruppen sowie Vertreter des Magistrats, der Parteien und Massenorganisationen waren zu der bedeutsamen Feierstunde erschienen. UBz: Während der Ansprache von Professor Dr.Mette, Vorsitzender des Kulturbundes Berlin.

    Inschrift im Hintergrund:
    Spartakus das heisst Feuer und Geist, das heisst Seele und Herz, das heisst Wille und Tat der Revolution des Proletariats.
    Karl Liebknecht

    Photograph: Ulrich Kohls

    Gedenktafeln in Berlin - Spartakus


    Foto : Holger Hübner

    Der Stein, der links neben einer ehemaligen Kaufhalle stand, existiert nicht mehr. Interessanterweise gab es lt. Telefonbucheintrag im Jahr 1941 hier noch das Rechtsanwaltsbüro Dr. Wilhelm Liebknecht (Tel. 41 33 10, Privatanschrift NW 87 [Hansaviertel], Klopstockstraße 20, Tel. 39 36 32).

    Im 2. Stock des früher hier stehenden - im Zweiten Weltkrieg zerstörten - Hauses, im Anwaltsbüro der Brüder Liebknecht, trafen sich am 1. Januar 1916 unter Vorsitz von Karl Liebknecht u.a. die oppositionellen SPD-Funktionäre Käthe Duncker, Hugo Eberlein, Rudolf Lindau, Franz Mehring, Wilhelm Pieck, Georg Schumann zur 1. Reichskonferenz der „Gruppe Internationale“. Sie beschlossen „zur Aufklärung, Mobilisierung und Organisierung der Werktätigen“ die Herausgabe der „Politischen Briefe“ mit dem Titel „Spartakus“ unter der Redaktion von Leo Jogiches. Die Gruppe nannte sich am 11. November 1918 in Spartakusbund um, aus diesem entstand die KPD.

    Eine große Steinwand trug zuvor dieselbe Inschrift in ganz unwesentlich veränderter Zeilenaufteilung („der Revolution“ und „des Proletariats“ bildeten jeweils eine Zeile), darunter aber stand zusätzlich: An diesem Platz stand das Haus, in dem unter Vorsitz / Karl Liebknechts am 1. Januar 1916 / die Spartakusgruppe, die Keimzelle der Kommunistischen Partei Deutschlands gegründet wurde

    Die Gedenkstätte wurde aus Anlass des 40. Jahrestags der Novemberrevolution eingeweiht


    prise de vue Google streetview 2008

    Hausnummern 121–131
    https://de.wikipedia.org/wiki/Chausseestra%C3%9Fe#Die_westliche_Stra%C3%9Fenseite_entlang


    Blick aus der Schlegelstraße auf die Chausseestraße 121–123
    Hofansicht Chausseestraße 123

    Auf dem südlich angrenzenden freien Platz wurde zu DDR-Zeiten neben der Kaufhalle in einer kleinen Grünanlage ein Spartakus-Gedenkstein auf dem Grundstück Chausseestraße 121 aufgestellt. Unter symbolischen Flammen steht auf dieser Stele in großen Buchstaben der Name des SPARTAKUS mit einem Zitat von Karl Liebknecht und auf der Rückseite wird darauf hingewiesen, dass an diesem Platz am 1. Januar 1916 der Spartakusbund als Keimzelle der Kommunistischen Partei Deutschlands gegründet wurde. Bis zur Ermordung von Rosa Luxemburg und Karl Liebknecht betrieb Liebknecht im früheren Haus Chausseestraße 121 zusammen mit seinem Bruder eine Rechtsanwaltspraxis. Das Haus Chausseestraße 121 wurde im Zweiten Weltkrieg zerstört. Der aus der DDR-Zeit stammende Gedenkstein steht nun neben dem Neubau der Nummer 121 und blieb somit als Teil der bewegten Geschichte dieser Straße


    Les nouveaus bâtiments construites à l’adresse Chausseestraße 121 sont visibles sur cette photo de satellite pris en 2018. Il n’y a plus de trace du mémorial Spartacus.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Spartakusbund
    https://de.wikipedia.org/wiki/Rosa_Luxemburg
    https://de.wikipedia.org/wiki/Karl_Liebknecht

    #Allemagne #révolution #histoire #communisme #Berlin #Mitte #Chausseestraße #Niederkirchnerstraße #Prinz-Albrecht-Straße

    • @reka C’est quand même une histoire triste, surtout quand on se rend compte que les associations réactionnaires d’anciens militaires continuent d’exister et jouissent du soutien officiel de l’armée de l’Allemagne démocratique de nos jours.

      Par le texte suivant on apprend que le bâtiment situé à Chausseestraße 94 joue un rôle important pour la communication des traditions militaristes. A travers la petite enquête je viens de localiser la maison des anciens combattants où mon grand père se rendait régulièrement pendant son temps libre dans les années 1920/1930. Dans son texte le chef da la confération Kyffhäuser ne cache pas le fait que son association était interdite par les alliées après 1945 à cause de son rôle dans l’état nazi. Aujourd’hui les locaux de l’association se trouvent dans l’ancienne Hermann-Göring-Kaserne transformé en quartier général de francais Quartier Napoléon après 1945. On l’a fallacieusement renommé en Julius-Leber-Kaserne. Ce résistant anzi-nazi berlinois était un membre du SPD clandestin entre 33/45.

      Kyffhäuser Landesverband Berlin e.V. - Der Landesverband Berlin
      http://www.lv-berlin.de/der-landesverband-berlin


      Point de passage entre Berlin-Ouest et l’Est. Les locaux de la Kyffhäuserbund se trouvaient dans le deuxième bâtiment à droite.

      Der Landesverband Berlin, so wie wir ihn heute kennen, hat mehrere Vorgänger im 20. Jahrhundert gehabt.

      Der Landesverband Berlin – Brandenburg wurde am 01. September 1933 aus dem damaligen Provinzial-Kriegerverband Berlin und den Regierungsbezirks-Kriegerverbänden Potsdam und Frankfurt/Oder gebildet. Damit ging auch die langjährige Tradition dieser drei Verbände auf den Landesverband über. Später musste der Landesverband Berlin-Brandenburg eine Umgliederung vornehmen und zu seinem großen Bedauern die Kreisverbände des früheren Regierungsbezirks-Kriegerverbandes Frankfurt/Oder an den neu zu bildenden Landesverband Ostmark abgeben. Seit dieser Zeit umfasste der Landesverband Berlin-Brandenburg die Gebiete Groß-Berlins und des Regierungsbezirks Potsdam mit 33 Kreisverbänden, denen 1576 Kameradschaften mit 119.941 Kameraden unterstanden.

      Die Geschäftsstelle des Landesverbandes Berlin-Brandenburg befand sich in der Chaussee Str. 94. Das Haus steht heute noch und dient als Wohn – und Geschäftshaus. Bis 1990 diente das Gebäude in Teilen als Dienstgebäude der Grenzübergangsstelle Chausseestr. zwischen Berlin-Ost (Mitte) und Berlin-West (Wedding)

      In dieser Form bestand der Landesverband Berlin-Brandenburg bis zu seiner Auflösung am 03. März 1943.

      Nach 1945 erfolgte das Verbot aller Kriegervereine durch die Alliierten.

      Im Jahre 1952 erfolgte die Neugründung als „Kyffhäuser Veteranenwohlfahrtsbund“ mit dem Vorsitzenden Wilhelm Böhmer. Ab 16. Oktober 1952 erfolgte die Umbenennung in Landes- und Gebietsverband (LGV) im Kyffhäuserbund e.V. Im Jahre 1953 verfügte der LGV Berlin über 10 Kreisverbände (KV) mit 50 Kameradschaften (KK), welche bis zu einem Mitgliederbestand von 1.400 Mitgliedern im Jahre 1954 aufwuchs. Schwerpunkt der Arbeit in den Gliederungen war schon damals der Schießsport und das soziale Engagement. Im Jahre 1965 gab es im LGV auch 14 Frauenkameradschaften, sowie die Bundesfrauenreferentin Milly Lönser. Bis zum Jahre 1967 wuchs der Mitgliederbestand bis auf 2.340 Kameradinnen und Kameraden an. Bereits Ende der 70iger Jahre deutete sich ein Trend an, der bis heute nicht gestoppt werden konnte – der Mitgliederrückgang. Im Jahre 1978 umfasste der Mitgliederbestand noch 1.042 Mitglieder.

      In den achtziger Jahren wurde dann auf solider Basis durch mehrere Landesvorsitzende die Arbeit, insbesondere der Schießsport, aber auch die Sozialarbeit geleitet. Stellvertretend seien dafür genannt: Kurt Kumpf und Inge Scherf. Auch nach dem Fall der Mauer konnte der Rückgang der Mitgliederzahlen nicht gestoppt werden. Er war in zwischen auf ca. 380 Mitglieder in 12 Kameradschaften und 4 Kreisverbänden zurückgegangen. Zu Beginn der 2000er Jahre wurden dann auf Grund fehlender Notwendigkeit die vier Kreisverbände aufgelöst.

      Im Jahre 1997 erfolgte der Umzug der Landesgeschäftsstelle, von der Monumentenstr. in Kreuzberg, in die Julius-Leber-Kaserne unter das Dach des Verbandes der Reservisten der Deutschen Bundeswehr / Landesgruppe Berlin, da der Kyffhäuserbund Mitglied im Beirat für Freiwillige Reservistenarbeit ist und Anteile an der Reservisten Service Gesellschaft hält.

      Seit Anfang der 90er Jahre heißt der Landesverband nun Kyffhäuser Landesverband Berlin e.V.

      Heute gibt es noch ca. 200 Mitglieder in sechs Kameradschaften. Diese haben sich mit ganzer Kraft dem Schießsport und der Sozialarbeit verschrieben. Hier wird eine hervorragende Arbeit geleistet, z.B. in der Sozialarbeit durch unsere Landesfrauenreferentin Ursula Stalla bis zum Jahre 2016 und ab der Jahreshauptversammlung 2016 Dietrich Knüppel, oder im Schießsport durch unsere Schießwarte Uwe Zingler und Gerd Buchwald. Der Landesvorsitzende (seit 2000) Wolfram Mandry verleiht durch seine Mitarbeit im Bundesvorstand auch einem so kleinen Landesverband wie dem Berliner, Gewicht und Stimme. Die Kameradinnen und Kameraden werden auch in Zukunft alles dafür tun, dass unser Landesverband und der Kyffhäuserbund noch lange in Berlin präsent sind, denn so eine lange Tradition, die bis auf das Jahr 1786 zurückgeht, auf die wir zurück blicken können wird und darf nicht untergehen.

      Wolfram Mandry
      Landesvorsitzender

      https://de.wikipedia.org/wiki/Kyffh%C3%A4userbund

      https://www.berlin.de/mauer/orte/ehemalige-grenzuebergaenge/chausseestrasse

      #militarisme #guerre #colonialisme #revanchisme

  • Le gros titre de Bild (28.12.2018) : le cinquantième anniversaire d’un pilote de course entre la vie et la mort


    Le contenu du journal : Les ministres de la justice des Länder s’opposent à une loi qui donnerait plus de droits aux inculpés. Le coût de la présence d’un avocat pendant le premier interrogatoire serait désormais pris en charge par l’état pour les pauvres. Les ministres de Länder considèrent cette extension des droits des inculpés comme une entrave à la justice. Bild prend leur position et accuse la ministre de justice du gouvernement national de nuire à l’état de droit.

    Depuis sa fondation Bild s’adresse au réactionnaires et mène campagne contre tout progrès sociétal. Outre les nombreuses intrusions de ses reporters dans la vie privée de gens soupconnés de « vendre » le torchon est célèbre pour sa campagne contre le mouvement d’étudiants de 1968. La conséquence de cette campagne fut un attentat au révolver perpétré par un se ses fidèles lecteurs contre Rudi Dutschke, le représentant des étudiants en révolte. Il est mort des suite de l’attentat après une vie marquée par les handicaps et crises causées par sa blessure.

    Bild focalise la haine et associe des personnes aux décisions politiques qui déplaisent aux gérants du journal. Actuellement c’est la ministre de justice SPD Katarina Barley. Sur la photo on la voit quitter sa voiture blindée. On comprend pourquoi elle ne prend pas le bus comme tout le monde.

    https://katarina-barley.de
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rudi_Dutschke
    https://www.hdg.de/lemo/biografie/rudi-dutschke.html

    Ce reportage montre l’ambiance anti-communiste à Berlin en 1968 et des lecteurs de la Bild-Zeitung qui s’opposent aux étudiants de gauche.
    https://www.the-berlin-wall.com/videos/student-protests-1968-and-the-attack-on-rudi-dutschke-577
    https://www.youtube.com/watch?v=BnMadB1ABDY


    Le reportage est composé lui aussi dans une tonalité anti-communiste. Il mentionne la part de responsabilité du journal néonazi Nationalzeitung pour l’attentat mais évite d’évoquer le journal Bild et son confrère B.Z. , le journal régional publié lui aussi par les éditions Axel Springer . Ce sont ces journaux surtout qui créent l’ambiance anti-étudiants à Berlin-Ouest.

    #Allemagne #Berlin #politique #médias #justice #histoire

  • Voilà ce qui arrive quand à Berlin un appartement peu cher est annoncé.

    L’annonce a attiré une foule de 300 intéressés à la visite des lieux. Il s’agit d’anciens appartement sociaux dont le loyer est encore limité à € 7,10 par m². Il faut ajouter à peu près € 2,00 pour le chauffage et entre € 2,00 et € 3,00 pour les charges. Il y avait six appartementes à louer avec 2 à 4 chambres ce qui correspond à une surface entre 50 et 100 m². La chance d’obtenir un bail était alors 1 sur 50.

    Le bailleur sélectionnera les intéressés dont le revenu familial net sera le plus proche de trois fois le futur loyer.

    Que signifie ce futur loyer ?

    Ces anciens appartements sociaux n’ont pas de prix stable. Une fois la Mietpreisbindung terminée leur loyer augmente d’un seul coup au niveau du prix du marché moyen. Les appartements en question étant situés à 750 mètres de la Potsdamer Platz leur loyer augmentera à un prix entre 15 et 20 Euros par m² avec les charges et le chauffage en plus. Un Appartement de 80 m² aura un prix net charges et chauffage compris d’environ € 1700,00. Le revenu familial net exigé par le bailleur s’élève donc à € 5100,00. C’est le salaire d’un adjoint de sécretaire d’état du Land ou d’un ingénieur occupant un poste de responsabilté dans une entreprise de taille moyenne.

    Les gens qu’on voit faire la queue n’ont pas le look de cette couche sociale et n’occuperont les appartements que jusqu’à l’augmentation du loyer à venir. Sauf changement de la politique locative du gouvernement fédéral à ce moment ils seront de nouveau obligés à chercher un nouveau domicile.

    #Berlin #Kreuzberg #Hafenplatz #logement #wohnen

  • The Equal Earth map projection
    https://www.johndcook.com/blog/2018/08/10/equal-earth-projection

    The Equal Earth projection satisfies the following mathematical criteria:

    Equal area: The area of a region on the globe is proportional to the area of its projection.
    Straight parallels: Lines of equal latitude project on to horizontal lines.
    Regularly distributed meridians: At a given latitude, the spacing between lines of longitude are equal.
    Bilateral symmetry: The projection is symmetric with respect to the x-axis (equator) and y-axis (prime meridian).

    https://doi.org/10.1080/13658816.2018.1504949

  • Syncope
    http://nowodzinski.pl/syncope

    Super efficace pour définir des réglages typos de base (taille, interlettrage, longueur de ligne), permet aussi de caler un rythme vertical régulier entre titre, inters et paragraphes. Moins complexe que d’autres outils mais c’est aussi bien.

    Syncope is a WYSIWYG tool that helps web designers and developers chose the optimal vertical rhythm of the typography for their web pages.

    Basically, it’s a set of tools which adjust the rhythm and output the styles in a preferred, production–friendly format. It is also a lot of fun to play with! In fact, if it weren’t for that, this tool wouldn’t have seen the light of day.

    #typographie #webdev

  • Violences gynéco : des étriers à l’épisio, un rapport douloureux - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2018/06/28/violences-gyneco-des-etriers-a-l-episio-un-rapport-douloureux_1662694

    Une enquête du Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes, publiée ce vendredi, met en lumière le sexisme dans le suivi gynécologique et obstétrical. Des cabinets d’examen aux plus hautes instances, les dysfonctionnements persistent.

    Présentez un spéculum vaginal à un homme. Demandez-lui de le toucher, puis de dire ce qu’il ressent. « C’est primitif, effrayant, froid », s’exclame l’air médusé l’un d’entre eux dans le documentaire Paye (pas) ton gynéco, réalisé par Nina Faure (1). L’objectif du court-métrage : mieux faire entendre la voix des femmes victimes de violences gynécologiques et demander des explications aux représentants de la profession. Et là, on n’est pas déçu, quand un ponte affirme que « non, un toucher vaginal n’est pas invasif » ou lorsqu’un gynéco après une auscultation prend la tension (plutôt basse) de la patiente en s’exclamant : « Hé ben, je vous excite pas des masses. » Tellement délicat. Tellement vrai ? Ce docu, disponible depuis le 27 juin, tombe à pic alors que le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (#HCE) saisi par la secrétaire d’Etat à l’Egalité publie ce vendredi un rapport intitulé : « Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical. Des remarques aux violences, la nécessité de reconnaître, prévenir et condamner le sexisme ». Compilant des remarques faites à des parturientes - c’est-à-dire des femmes en train d’accoucher - ou patientes (du style « Vous avez mal pendant les rapports ? Mettez-y un peu du vôtre »), les 170 pages de cet état des lieux assorti de préconisations sont le fruit de neuf mois d’une enquête très attendue après la polémique qui monte depuis près de cinq ans.

    Lancé sur Twitter en 2014, le hashtag #PayeTonUtérus a fait affleurer plus de 7 000 témoignages de femmes en vingt-quatre heures. Dans la foulée, en 2015, le blog « Je n’ai pas consenti » recense une centaine de témoignages de patientes ayant subi des actes non consentis dans un cadre médical.

    Scandale, toujours cette année-là : des documents de la faculté de médecine de l’université Lyon-Sud révèlent qu’il est attendu, dans le cadre de leur formation, que les étudiants pratiquent des touchers vaginaux sur des patientes « endormies », sans leur consentement donc. Depuis, les témoignages n’ont cessé de se multiplier sur ces violences qui méritent d’être reconnues pour mieux être combattues. L’an passé, le Tumblr et la page Facebook « Paye ton gynéco » se sont créés simultanément, recensant des « témoignages de sexisme et/ou de violences gynécologiques/obstétricales ». Un pic est atteint l’été dernier lorsque la secrétaire d’Etat en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène #Schiappa, s’insurge contre le taux exorbitant (et en fait surévalué par la secrétaire d’Etat) d’#épisiotomies pratiquées lors des accouchements : tempête sur les réseaux sociaux.

    C’est dire s’il était temps qu’une enquête au-dessus de tout soupçon fasse le point. Mette au jour toutes ces fois « où les femmes ne sont pas considérées comme des êtres pensants et vivants mais seulement comme des corps » par le monde médical, comme l’explique Margaux Collet, corapporteure de ce travail qui recommande au gouvernement de réaliser la première enquête de santé publique dédiée au suivi gynécologique. Il souligne aussi la nécessité de renforcer la formation initiale et continue des professions médicales et paramédicales en matière de bientraitrance, de respect du consentement et de dépistage des violences sexistes et sexuelles ou encore de faciliter et améliorer les procédures de signalements lorsque violence il y a eu.

    En attendant, zoom sur quelques points de ce rapport.

    Accouchement : episio, c’est toujours trop

    Le chiffre évoqué l’été dernier par Marlène Schiappa avait fait l’effet d’une bombe : 75% de taux d’épisiotomies en France ? « Foutaises ! » avaient scandé les organisations représentatives des gynécologues-obstétriciens. Selon le dernier rapport de l’Institut national de la santé et de la recherche médiale (Inserm), cette intervention clinique - une incision du périnée sur quelques centimètres effectuée pour agrandir la taille de l’orifice vulvaire et faciliter l’expulsion du bébé - concerne 20% des accouchements par voie basse. Ce taux atteint 34,9% pour les primipares (premier accouchement) et descend à 9,8% pour les multipares. Oui mais problème : c’est encore beaucoup trop. Car cette « routine » dite « préventive » ne diminuerait en rien les possibilités de déchirures graves et entraîne des complications non négligeables (pertes importantes de sang, infection). En 2005, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français avait même confirmé l’absence de bénéfices de cette pratique. Certaines maternités ont réduit drastiquement la pratique. C’est le cas du centre hospitalier de Besançon et son fameux 0,3% de taux d’épisiotomies, malgré sa spécialisation dans « l’accueil de grossesses pathologiques et à grands risques ». D’autres en revanche frôlent encore les 45%. Et surtout, sans prévenir en amont les premières concernées. Selon le HCE, une femme sur deux « déplore un manque (16%) ou l’absence totale d’explication (31%) sur le motif de l’épisiotomie ».

    Absence de consentement : violences ordinaires

    Refuser de poser un stérilet à une nullipare (qui n’a jamais eu d’enfant) en bonne santé. Introduire un spéculum sans informer la patiente en amont. Palper les seins sans demander l’autorisation. Imposer la position du décubitus dorsal (allongée sur le dos, les pieds dans les étriers) pour un examen gynécologique sans même proposer la position latérale (qui existe). Réaliser un frottis sur des femmes jeunes, au premier rendez-vous, sans nécessité médicale. Pratiquer une épisiotomie sans l’accord explicite de la femme qui accouche. Puis la recoudre légèrement plus serrée, de manière à rendre plus étroit le canal vaginal (le fameux « point du mari »)…

    Les témoignages recueillis par le Haut Conseil à l’égalité recouvrent une multitude de pratiques mais soulèvent une unique problématique : celle des violences ordinaires. Celle du mépris pour le consentement, aussi. Il y a bien la fameuse loi Kouchner de 2002, qui formule « qu’aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé » du patient. Mais dans les faits, la parole des femmes est trop souvent bafouée par les professionnels de santé. Mais comment leur apprendre à entendre une patiente dire « non, je ne veux pas » ? La question se pose quand on sait que, en moyenne, une femme va avoir 50 consultations gynécologiques et obstétricales au cours de sa vie (#frottis réguliers, renouvellement de #contraception, #IVG…).

    Instances : que d’hommes, que d’hommes

    Bien sûr, si les témoignages de #femmes mal traitées, mal respectées ou mal informées affluent, nul ne songerait à jeter l’opprobre sur celles et ceux qui accompagnent les patientes et parturientes. Un monde d’ailleurs largement féminin.

    Les hommes ne représentent que 2,6% des sages-femmes. Les femmes sont majoritaires (94%) au sein de la gynécologie médicale. Et depuis peu, la #gynécologie-obstétrique est exercée à 51% par des femmes. La parité est donc enfin atteinte.

    Mais c’est au-dessus, là où les impulsions doivent être données ou les sanctions prononcées (lire ci-dessous) que cela se gâte. Près de 90% des membres du Conseil national de l’Ordre des médecins sont des hommes ; ils représentent également 89% des doyens des facultés de médecine ; 74% des membres du bureau du Collège national des #gynécologues et #obstétriciens français et 100% des membres du bureau, du conseil d’administration, des présidents de comité, des présidents et secrétaires des commissions de l’Académie nationale de médecine.

    Autre fait préoccupant, en dépit de l’augmentation importante de la part des femmes dans le secteur médical, les relations entre les deux sexes demeurent empreintes de sexisme : 86% des internes de médecine (95% des femmes et 68% des hommes) déclarent avoir été exposés à du sexisme et près d’un interne sur dix déclare avoir été victime de harcèlement sexuel.

    Avertissements, suspensions, radiations : des plaintes qui se perdent

    C’est peut-être le constat le plus fâcheux relevé par le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes : les violences sexistes (remarques sexistes et/ou à connotation sexuelle, harcèlements, agressions, viols) dans le suivi gynécologique et obstétrical font encore trop peu l’objet de signalements et aboutissent rarement à des sanctions ou condamnations. Qui peut s’en étonner ? L’institution a étudié les 104 plaintes portées devant la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins de 2007 à 2016. Sur l’ensemble des poursuites, seules 29% ont conduit à une radiation du professionnel de santé. Pour le reste, on parle d’avertissement, d’interdiction temporaire d’exercer (d’un mois à trois ans), voire d’absence totale de condamnation (22 %). Des chiffres qui concernent uniquement les femmes qui ont osé porter plainte.

    Et toutes les autres ? Celles qui se sont murées dans le silence ? Qui méconnaissent leur droit ? Qui redoutent l’expertise judiciaire car elle comprend un examen gynécologique ?

    Difficile d’évaluer leur nombre. Mais le HCE est clair sur un point : tant que l’Ordre des médecins et des sages-femmes organisera des réunions de conciliation entre les victimes et leur agresseur, « un nombre conséquent de plaintes ne verront jamais le jour ». Pour rappel : ce mode de médiation est formellement interdit par la convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique. Que la France a ratifiée en 2014.

    Le petit documentaire :
    https://www.youtube.com/watch?v=fsRZ59Urc2I


    Et au détour des commentaires on apprend que Nisand donne des conférences sur la sexualité dans les collèges !!!! À l’aide !

    #santé_publique #sexisme #violences_obstétricales #violences_médicales

  • Au secours ! J’ai repiqué des plants la semaine dernière, et ça fait 3-4 nuits que la moitié des choses se font entièrement croqué, tous mes piments… et les melons PLUS RIEN.
    Solidarité @arno :(

    Pour les trois courgettes, c’est limace ou escargot : il y avait clairement de la BAVE, et les feuilles sont « suçotées » :
    https://framapic.org/UYl5ZEHLge7g/I9NrT1ZADWEa.JPG

    Mais pour les piments c’est CROQUÉ et parfois entièrement !
    https://framapic.org/UxysUhoFVvbN/wRN1Z5zIt8ow.JPG
    https://framapic.org/jDg9qzqeh9AV/mQyEvIPj6sc0.JPG
    https://framapic.org/ZEMNZydzRjOB/oqXcdCMvsY1b.JPG

    Et enfin les melons, il ne reste plus rien, sauf celui du milieu en photo, avec un mini reste de feuille. Les deux autres, que dalle, ya plus d’un semblant de tige qui sort de terre :’(
    https://framapic.org/FNSi0k8IHJTD/HCzXJsJ1v7IE.JPG

    Et encore pour l’instant les fraisiers, tomate, cassis, framboisier ne sont pas encore touché. Mais le basilic si pareil : croqué.

    Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin
    Quoi faire ? Savon noir ? Mais surtout savoir quel parasite ?

    #jardin #maraichage #les_malheurs_de_rastapopoulos_dans_son_jardin

    • Oui on n’est pas gâté par le temps, du coup les limaces sont partout ... j’ai perdu plein de cucurbitacées et des boutures de vigne, cassis, etc ...

      Pour tes melons je pense que c’est des limaces aussi. Pas trop de solutions. Si tu n’en as pas beaucoup, tu peux acheter du scotch de cuivre et le mettre sur un support autour de tes plants (genre bouteille coupée). Je fais ça pour mes greffes et ça marche plut bien.

      Pour le poivron, je pencherai pour une chenille mais je suis loin d’être expert...

    • Pour les piments, il y a 12 pieds, répartis sur 3 endroits (pas méga éloignés c’est tout petit, mais 3 endroits différents quand même), doit y avoir plus qu’une chenille ou alors elle est obèse à l’heure qu’il est… Faut faire quoi pour les chenilles ? Vinaigre blanc ? Savon ? Café ? (je bois pas de café mais le voisin peut-être)

    • Haha mon loulou serait trop content, il m’en a d’ailleurs parlé ya deux jours de comment apprivoiser un hérisson quand on habite près d’un bois et qu’il y a des ouvertures. Mais là on est au milieu d’un pâté de maison en centre ville donc ya pas de hérisson. Et si j’en ramène un d’autre part, j’ai une chatte ultra caline mais qui hait tous les autres animaux (elle attaque le chien du voisin). Alors je ne sais pas le comportement qu’elle aurait avec un hérisson… Peut-être qu’elle ne ferait rien, je ne sais pas, mais je ne vois pas comment tester (je ne peux pas prendre un hérisson et ne pas savoir quoi en faire ensuite si ça ne va pas avec le chat).

    • Ah ça j’ai un bon truc ! C’est clairement limaces et escargots plus leurs variantes. Le truc : coquille d’oeuf broyée au sol tout partout autour et redresser ou couper les tiges qui tombent au sol, sinon elles servent de passe plat. En attendant d’avoir assez d’oeufs, cendres, à renouveller elles. Les coquilles d’oeufs perdurent si tu arroses sans les noyer/balayer, genre goutte-à-goutte. Tu fais 4 restos et tu auras assez de coquilles pour agir (en plus de la méga omelette).

    • Bon, avec voisin on a commencé à mettre des coupelles de bière. Ça marche à… mort. Première nuit, quelques limaces. Gros orage, ça a tout dilué, on remet une bière disséminée, bam le lendemain 4 gros escargots et 3 limaces, et la nuit suivante 1 escargot de plus et 1 énorme limace. Avec 3 ramequins seulement pour l’instant.

      Il faut qu’on ajoute 2 ou 3 ramequins de plus à l’autre bout des petites buttes, histoire qu’il y en ai de chaque côté.

      Ça leur fait une belle mise en bière (par contre c’est vraiment dégueulasse après).

  • Paris 8 occupée : les étudiant-e-s dégagent un flic de leur AG !
    Publié le 11 mai 2018
    https://paris-luttes.info/paris-8-occupee-les-etudiant-e-s-10217

    Ce jeudi 10 mai 2018 se tenait l’AG de l’occupation du mouvement étudiant de la fac Paris 8 Vincennes Saint—Denis. Au cours de l’AG, certainEs d’entre nous ont repéré un individu au comportement étrange : un homme seul que personne ne connaissait et avec un look de RG. Après avoir observé un long moment son comportement suspect (il s’est déplacé plusieurs fois dans l’amphi), deux camarades ont demandé à lui parler a l’extérieur.

    Il s’est tout de suite présenté comme étant Damien Rigaud, viticulteur dans le Sud de la France, actuellement étudiant en oenologie à Bercy et habitant à Aulnay—sous-Bois. S’en est suivie une conversation absurde de plusieurs minutes où il disait être déjà venu à l’occupation des exiléEs pour apporter de la nourriture (allant même jusqu’à décrire précisément une camarade), et qu’il voulait donner un coup de main. Il s’est présenté comme un grand défenseur des réfugiéEs, ce qui lui aurait valu des problèmes avec la gendarmerie locale. Il a été jusqu’à nous dire qu’il avait l’impression d’avoir des flics en face de lui quand nous lui avons demandé s’il pouvait prouver son identité. Comme il n’avait aucun papier sur lui, nous lui avons explicitement demandé s’il était flic. Il nous affirme que non, mais une camarade insiste en lui demandant s‘il est RG : il répond qu’il ne sait pas ce que c’est, et alors que la camarade réitère plusieurs fois sa question il ne répondra jamais que ce n’est pas le cas.

    La situation se renverse ensuite très vite : nous remarquons un fil dépassant de sa sacoche, relié à un bouton sur la sangle et qui s’avèrera être une caméra. Nous alertons donc nos camarades qu’un flic est bien présent et qu’il enregistre ce qui se passe et se dit à l’AG. Alors que le RG démasqué cherchait à fuir la fac, nous avons réagi massivement afin de l’en empêcher. Nous avons bloqué les issues et insisté collectivement pour qu‘il nous remette ses enregistrements. Il a essayé de les sauver jusqu’au bout avec un entêtement inconsidéré au vu du rapport de force totalement en sa défaveur, mais nous avons réussi à récupérer tout le matériel : boitier d’enregistrement avec carte SD, caméra, micro, sacoche et prise de notes.

    Nous avons enfin inspecté les photos sur son téléphone malgré ses oppositions, pour être sûrEs qu’il n’emportait aucune preuve avec lui. Suite à cela, nous l’avons laissé partir accompagné par quelques slogans anti-flics.

    Après son départ, l’inspection du matos récupéré nous a conduitEs à remarquer la minuscule caméra intégrée au bouton. Nous avons visionné les enregistrements vidéos de l’AG : malgré sa taille la caméra donne une image grand angle avec une très bonne qualité sonore. Nous faisons peur à l’État pour que de tels moyens soient déployés contre nous pour nous observer.

    Votre tentative de casser notre lutte en nous infiltrant a échoué, et nous résisterons coûte que coûte !

    Nous appelons toutEs les étudiantEs à poursuivre la mobilisation et à réinvestir les universités : le mouvement étudiant fait peur à l’État, continuons-le !

    Flics, fachos, hors de nos facs !

    Paris 8 en lutte

    _P.-S.

    les réferences semblent être https://www.hd-protech.com/lawmate/231-camera-bouton-lawmate-bu18-avec-micro-deporte.html

    et

    https://www.hd-protech.com/cameras-d-investigation/96-enregistreur-numerique-professionnel-lawmate-pv-500-evo2-1080p.html_

  • Regard sur l’“attaque du vendredi-13”
    http://www.dedefensa.org/article/regard-sur-lattaque-du-vendredi-13

    Regard sur l’“attaque du vendredi-13”

    On connaît dans ces colonnes le colonel Pat Lang, ancien officier de la DIA, qui tient sa boutique sous le nom de Sic Semper Tyrannis, ou STT. Lang fait ici une de ses rares escapades hors-SST, – dans UNZ.com, ce 25 avril 2018, – pour nous donner son évaluation complète du résultat de “l’attaque de la nuit du vendredi-13” (heure de Washington), en avril 2018 contre la Syrie. Le titre est explicite : « Faut-il croire les Russes ? » (notre adaptation de “Are the Russians Correct ?”, reprise d’une phrase de Lang), et sa réponse se fait sous la forme une explication de divers points dont on comprend qu’ils suggèrent indirectement pourquoi c’est la version russe (71 cruise missiles abattus sur 103) qui est la bonne, – par conséquent qu’il faut “croire les Russes” parce que (...)

    • J’ai eu des contacts avec plusieurs sources étrangères ayant accès à l’information nécessaire pour avoir un jugement valide, qui me disent que les Russes ont raison. Ces personnes sont d’une orientation politique plutôt favorables aux États-Unis, tout comme leurs gouvernements. Plus des deux tiers des missiles de la coalition formée par les USA n’ont pas réussi à atteindre leurs objectifs. Pourquoi ? Toutes les raisons citées ci-dessus ont dû jouer un rôle dans cette défaite aérienne. Des armes d’attaque obsolètes, une défense aérienne entièrement intégrée et le professionnalisme des opérateurs des systèmes anti-aériens.
      […]
      Les preuves de l’attaque au gaz de Douma sont inexistantes. La film diffusé comme “preuve” a maintenant été soigneusement identifié comme une opérations de l’OI (Operationnal Information, ou “propagande”) du programme des Casques blancs financé par les Saoudiens, et en grande partie menée par les service de guerre de l’information du 77èmerégiment des services britanniques. Il semble clair que le Département de la Défense des États-Unis n’était pas au courant de ce projet d’OI et pour cette raison, le secrétaire à la défense Mattis a traversé en aveugle la phase préparatoire de l’attaque du 13 avril. Les cibles visées (détruites ou non) étaient connues depuis longtemps par la communauté du renseignement US comme des installations des anciens programmes de guerre chimique du gouvernement syrien. On a demandé aux Russes de rester à l’écart de ces régions.

    • « Or, sauf erreur, on n’a vu aucune image de ce type. »

      Or sauf erreur, on ne nous a pas montré d’image de ce type, sans doute parce qu’elle ne correspond pas à la narrative des « alliés » de la « communauté internationale » réduite à 3 pays. Les russes de leur côté ont montré quelques images. Mais comme c’est russe, c’est de la propagande.

      ‘Syrian strike was risk without benefit for US, as Russia got American weapon samples’ — RT World News
      https://www.rt.com/news/425154-syria-us-missile-russia

      On Wednesday, Moscow also announced that it was in possession of two almost intact Western projectiles from Syria, including a Tomahawk cruise missile and another unnamed one. The Russian military said it plans to study both in order to further improve the Russian air defense capabilities.

      (l’image de RT apparaît à l’édition du post, mais disparaît ensuite... vous la voyez ?)

      (et je découvre que framapic ne propose plus la rétention illimitée...)