Substitution contextuelle : on commence par définir une substitution « toute bête » (non contextuelle), ce qui nous permet d’identifier (et de tester) la chaîne qui provoque la substitution :
►http://pastebin.com/fB8Zb6P2
(ici, les couples « ta », « tc », « te », « tg », « tm »).
Une fois que cette séquence de remplacement est validée (tester la compilation), il suffit d’indiquer quel est le (ou les) glyphe(s) qui est réellement remplacé, en le(s) marquant par une apostrophe. Ici, on ne remplace que le « t » (par un beau « t » doté d’une barre allongée et surélevée du meilleur effet) :
►http://pastebin.com/9Y1N2KbU