• Signalé par @reka, voici les actions menées à #Osnabrück contre les #expulsion :

    How to Stop a Deportation

    A short film that wants to encourage people to resist against deportations!

    https://www.youtube.com/watch?v=g2Umb7MyDhw

    #renvoi #expulsion #résistance #solidarité

    Telefonkette gegen Abschiebungen

    Worum geht’s: Einige von euch werden durch das große Medienecho vielleicht schon mitbekommen haben, dass in Osnabrück gerade eine ganze Reihe von Abschiebungen nach dem DublinIII-Verfahren geplant sind/waren und durch das Osnabrücker Bündnis gegen Abschiebungen verhindert werden konnten. Das DublinIII-Abkommen legt fest, dass Geflüchtete Menschen nur in dem europäischen Land, in das sie zuerst eingereist sind, einen Asylantrag stellen können. Das Ersteinreiseland ist also für das weitere Schicksal des geflüchteten Menschen zuständig. Für Deutschland, das ja keine EU-Außengrenze hat, eine recht praktische Regelung. Für die Geflüchteten eher weniger, denn die Zustände in den meisten Ersteinreiseländern sind katastrophal: Oft bekommen die Geflüchteten kein Asyl, sondern nur eine “Duldung”, das heißt, dass sie keine Arbeitserlaubnis haben, und keinerlei Unterstützung bekommen. Sie werden damit in die Obdachlosigkeit, zum Betteln oder zur Kriminalität gezwungen, um überhaupt irgendwie zu überleben. Dies ist mindestens in Italien, Frankreich und den Niederlanden der Fall. In z.B. Ungarn droht außerdem Haft, Misshandlung.


    #téléphone #ligne_téléphonique

    Keine Abschiebungen aus Osnabrück
    http://osnabrueck-alternativ.de/abschiebung-verhindert

    J’en profite pour demander à ceux qui s’y connaissent ce que risquent (amendes/prison/autre formes de répression) ceux qui s’opposent aux renvois...

    • Que risque-t-on si on s’interpose lors d’une reconduite aux frontières ?
      http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/02/20/que-coute-d-intervenir-lors-d-une-reconduite-aux-frontieres_1157809_3224.htm

      Que coûte l’intervention lors d’une expulsion ou une reconduite aux frontières ? Pour le délit d’incitation à la rébellion, l’accusé risque au maximum deux mois de prison et 7 500 euros d’amende. Pour le chef d’accusation d’inciter à faire débarquer une escorte policière ainsi que l’étranger reconduit hors des frontières françaises, il encoure cinq ans et 18 000 euros d’amende. Ces peines maximales sont détaillées dans une notice d’information distribuée systématiquement depuis 2007 à tout passager qui monte dans un avion servant à une expulsion.

      En réalité, une telle sanction est rarement prononcée. La plupart des personnes reconnues coupables s’en sortent avec une condamnation avec sursis, un paiement symbolique ou simplement une relaxe. Reste que ces « réactions de solidarité ou d’indignation parmi des passagers », selon les termes d’Amnesty International, sont de plus en plus communes, alors même que les chiffres réels de reconduites à la frontière sont en baisse.

      C’était en France en 2009. Je ne sais pas si les peines ont été alourdies depuis.

    • La notice remise aux passagers d’un vol avec expulsion, sur le site de Mediapart


      (article de février 2011 http://blogs.mediapart.fr/blog/fini-de-rire/070211/en-europe-et-ailleurs-le-peuple-sans-papiers )

      Elle ne mentionne que la rébellion et pas l’incitation à la rébellion, pour lequel l’article est toujours valable

      Article 433-10 du Code pénal
      La provocation directe à la rébellion, manifestée soit par des cris ou des discours publics, soit par des écrits affichés ou distribués, soit par tout autre moyen de transmission de l’écrit, de la parole ou de l’image, est punie de deux mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende.

      En revanche, l’article L282-1 4° du Code de l’aviation civile est sans doute toujours en vigueur, mais il n’est pas accessible sur Légifrance.