• BASTARD OPERATOR FROM HELL #1 - 8416 views (5.6.2023)
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      le premier #BOFH

      Simon Travaglia
      unread,
      Jun 9, 1992, 11:14:40 PM
      to

      BASTARD OPERATOR FROM HELL #1
      It’s backup day today so I’m pissed off. Being the BOFH, however, does have
      it’s advantages. I assign the tape device to null - it’s so much more
      economical on my time as I don’t have to keep getting up to change tapes every
      5 minutes. And it speeds up backups too, so it can’t be all bad.

      A user rings

      “Do you know why the system is slow?” they ask

      “It’s probably something to do with...” I look up today’s excuse “.. clock
      speed”

      “Oh” (Not knowing what I’m talking about, they’re satisfied) “Do you know
      when it will be fixed?”

      “Fixed? There’s 275 users on your machine, and one of them is you. Don’t be
      so selfish - logout now and give someone else a chance!”

      “But my research results are due in tommorrow and all I need is one page of
      Laser Print..”

      “SURE YOU DO. Well; You just keep telling yourself that buddy!” I hang up.

      Sheesh, you’d really think people would learn not to call!

      The phone rings. It’ll be him again, I know. That annoys me. I put on a
      gruff voice

      “HELLO, SALARIES!”

      “Oh, I’m sorry, I’ve got the wrong number”

      “YEAH? Well what’s your name buddy? Do you know WASTED phone calls cost
      money? DO YOU? I’ve got a good mind to subtract your wasted time, my wasted
      time, and the cost of this call from your weekly wages! IN FACT I WILL! By
      the time I’ve finished with you, YOU’LL OWE US money! WHAT’S YOUR NAME - AND
      DON’T LIE, WE’VE GOT CALLER ID!”

      I hear the phone drop and the sound of running feet - he’s obviously going to
      try and get an alibi by being at the Dean’s office. I look up his username
      and find his department. I ring the Dean’s secretary.

      “Hello?” she answers

      “Hi, SIMON, B.O.F.H HERE, LISTEN, WHEN THAT GUY COMES RUNNING INTO YOUR OFFICE
      IN ABOUT 10 SECONDS, CAN YOU GIVE HIM A MESSAGE?”

      “I think so...” she says

      “TELL HIM `HE CAN RUN, BUT HE CAN’T HIDE’”

      “Um. Ok”

      “AND DON’T FORGET NOW, I WOULDN’T WANT TO HAVE TO TELL ANYONE ABOUT THAT FILE
      IN YOUR ACCOUNT WITH YOUR ANSWERS TO THE PUURITY TEST IN IT...”

      I hear her scrabbling at the terminal...

      “DON’T BOTHER - I HAVE A COPY. BE A GOOD GIRL AND PASS THE MESSAGE ON”

      She sobs her assent and I hang up. And the worst thing is, I was just guessing
      about the purity test thing. I grab a quick copy anyway, it might make for
      some good late-night reading.

      Meantime backups have finished in record time, 2.03 seconds. Modern technology
      is wonderful, isn’t it?

      Another user rings.

      “I need more space” he says

      “Well, why don’t you move to Texas?” I ask

      “No, on my account, stupid.”

      Stupid?!?.... Uh-Oh..

      “I’m terribly sorry” I say, in a polite manner equal to that of Jimmy Stewart
      in a Family Matinee “I didn’t quite catch that. What was it that you said?”

      I smell the fear coming down the line at me, but it’s too late, he’s a goner
      and he knows it.

      “Um, I said what I wanted was more space on my account, please

      “Sure, hang on”

      I hear him gasp his relief even though he covered the mouthpeice.

      “There, you’ve got plenty of space now”

      “How much have I got”

      Now this REALLY PISSES ME OFF! Not only do they want me to give them
      extra disk, they want to check it, to correct me if I don’t give them enough.
      They should be happy with what I give them and that’s it!!!

      Back into Jimmy Stewart mode.

      “Well, let’s see, you have 4 Meg available”

      “Wow! Eight Meg in total, thanks!” he says pleased with his bargaining power

      “No” I interrupt, savouring this like a fine red, at room temperature “4 Meg in
      total...”

      “Huh?... I’d used 4 Meg already, How could I have 4 Meg Available?”

      I say nothing. It’ll come to him.

      “aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaagggggghhhhhH!”

      I kill me; I really do!
      –-

      +-----------+ Terminal Sticker: “My other terminal is a chunk of shit too”
      |+----+ | +----------------------------------------------------------+
      || | | | Simon Travaglia, Computer Services, University of Waikato|
      |+----+VT100| | Priv. Bag, Hamilton, New Zealand. s...@grace.waikato.ac.nz|
      +-----------+ +----------------------------------------------------------+

      The telephone pole was approaching fast, I was attempting to swerve out of
      it’s path when it struck my front end.

      #internet #informatique #admin #wtf #histoire #usenet

  • Sophie Orange : « On enferme les bacheliers dans un destin scolaire »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/211217/sophie-orange-enferme-les-bacheliers-dans-un-destin-scolaire

    Le projet de loi modifiant l’accès à l’université en premier cycle a été adopté à l’Assemblée nationale le 19 décembre. L’accès à l’université est désormais conditionné à la possession d’un certain nombre de compétences. La sociologue Sophie Orange considère qu’une #sélection est ainsi installée et que cela va fragiliser les plus faibles.

    #France #APB #Parcoursup #Université

    • Je regardais ce qui concerne la sociologie et on attend seulement des prétendants qu’ils aiment la discipline. C’est vague et peut prêter à toutes les interprétations. Comment les collègues du secondaire vont-ils traiter cela et le traduire en objectifs concrets ? En filigrane, toutefois, on y voit les figures repoussoirs. La maîtrise de la langue écrite et la pratique de l’écriture durant la scolarité ne sont pas ce qui a cours dans les filières professionnelles, car ce n’est pas au programme. Eux vont passer à la trappe, car c’est un critère facile de sélection.

      On fonctionne à l’envers, on a une conception de l’orientation et de la réussite des élèves et étudiants qui est peu ambitieuse, il me semble. On ne se demande pas comment on peut leur apprendre des choses, leur transmettre des savoirs, mais on les juge sur ce qu’on ne leur a pas appris. On les pénalise sur des choses dont ils ne sont pas responsables. On n’est pas dans une conception de la réussite du plus grand nombre, mais dans une simple gestion des flux. Les bacs professionnels qui vont en BTS échouent pour la moitié d’entre eux. Les évincer des licences ne règle rien. Il faut arrêter de diaboliser leur présence qui est très minoritaire. Sans compter que, quoi qu’on en dise, certains réussissent à l’université.

    • http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article7937

      Comme prévu, le projet de loi de modification de l’accès au premier cycle à l’université a été adopté à l’Assemblée nationale, mardi 19 décembre, en scrutin public et en procédure accélérée, avec 361 voix pour, 129 voix contre. La majorité LREM a voté pour, appuyée par certains députés UDI. Les élus de gauche – Nouvelle Gauche, La France insoumise et communistes – et Les Républicains se sont exprimés contre pour des raisons opposées. Les premiers se sont élevés contre l’instauration d’une sélection et les seconds ont jugé que cette réforme n’allait pas assez loin.

      Le projet de loi modifie profondément le visage de l’université (lire notre article sur le sujet). Dès 2018, les universités pourront étudier les profils des bacheliers en consultant leur dossier déposé sur la nouvelle plateforme Parcoursup qui succède au décrié APB. Pour établir leur choix, les filières auront une somme d’« attendus » pour chaque licence, c’est-à-dire les compétences requises pour intégrer tel ou tel cursus. Ceux-ci seront nationaux, même si les universités pourront préciser leurs spécificités locales. Le cas échéant, les futurs bacheliers qui n’auraient pas le niveau requis se verront proposer une remise à niveau et ne pourront être refusés que si les capacités d’accueil sont épuisées. Le recteur, dans le cadre d’une commission, devra proposer à toutes et tous une place dans une autre filière.

      La réforme de l’accès à l’université a été votée sans encombre par les députés le mardi 19 décembre. Est-ce qu’elle introduit un bouleversement profond de manière générale ?

      Sophie Orange : Oui, on peut dire ça comme ça dans le sens où elle introduit sans aucun doute une sélection à l’entrée du premier cycle universitaire. Le gouvernement sait très bien communiquer là-dessus. Ils ont beau euphémiser la réalité avec des termes comme « prérequis » ou « attendus », le résultat est là, il n’existe plus d’accès de droit à l’université. Nous avons affaire à une transformation profonde du système français et, d’une certaine manière, à une remise en cause du service public.

      Qui sont les gagnants et les perdants dans ce nouveau système d’orientation ?

      Les perdants vont évidemment être les publics les plus fragiles scolairement et socialement, qui ne sont pas ajustés au modèle universitaire. Jusque-là, ils entraient dans les premiers cycles en ayant connu par exemple une orientation vers la voie professionnelle qu’ils ne souhaitaient pas. Ils se dirigeaient alors vers la voie classique pour ouvrir leur champ des possibles. Les universités, avec leurs attendus, vont leur barrer la route objectivement. Subjectivement, en amont, les bacheliers qui avaient du mal à se sentir légitimes à aller à l’université vont renoncer à aller à l’encontre de ces freins symboliques. Il y a, avec cette loi, une mise en garde incroyable qui va renforcer l’autocensure. Mettre ces panneaux contribue aussi à bien faire peser sur les épaules des jeunes la responsabilité de leur échec.

    • Sophie Orange, maîtresse de conférences en sociologie à l’université de Nantes, spécialiste de l’orientation post-bac et coauteure avec Romuald Bodin de L’université n’est pas en crise (Éditions du Croquant), considère que cette réforme accroît les inégalités, fige les destins scolaires et qu’elle se résume à de « la gestion de flux ».

      Tout l’été, l’exécutif a insisté sur le fiasco APB avec les naufragés de l’orientation et a aussi martelé la nécessité d’en finir avec le tirage au sort. Est-ce que la situation était si critique ou s’agissait-il simplement de communiquer là-dessus pour faire accepter la réforme ?

      On s’est trompé de coupable. On a érigé le logiciel APB en épouvantail, en lui faisant porter toute la responsabilité de certaines difficultés d’orientation. Le tirage au sort concerne une faible part des orientations, même s’il y a eu une hausse cette année. En réalité, le cœur du problème, c’est que les universités n’ont pas assez de place, elles ne peuvent pas absorber toutes les demandes et deviennent « en tension ». On a voulu faire croire que la faillite était simplement technique. Les politiques n’ont pas voulu anticiper l’afflux supplémentaire d’étudiants [39 000 environ cette année – ndlr], qui ne sont pas nés hier. On a laissé pourrir la situation même si, en effet, cela a été pire lors de cette session 2017. La seule interrogation pertinente est : « Est-ce qu’on veut faire réussir les bacheliers ? » Si la réponse est oui, il faut investir. Là, tout ce qu’on va faire, c’est mieux distribuer et ranger les étudiants dans les cases qui existent.

      Quels sont les effets pervers de cette réforme ? Va-t-il y avoir des disparités entre les établissements ?

      Cette réforme contient plusieurs dangers. On va rigidifier les parcours des étudiants. Le destin scolaire et social va être encore plus déterminé par l’origine scolaire, qui est elle-même sociale. L’université avait le mérite d’autoriser les trajectoires atypiques et laissait un peu de jeu dans les cursus des uns et des autres. Là, on enferme les bacheliers dans un destin scolaire écrit d’avance. On va accroître l’homogénéisation des profils. Il n’y aura plus de mixité.

      Cette individualisation au niveau de la gestion des attendus se fera selon les moyens et les choix des établissements. Il y aura la possibilité de choisir les étudiants selon des critères différents. Le cadre national de la licence et l’équité territoriale sont bel et bien remis en cause. Suivant le prestige symbolique des différents établissements, ils auront la possibilité d’exiger des critères plus ou moins exigeants. Cela va figer les hiérarchies et les disparités entre les établissements. Il n’y aura donc plus de licence disciplinaire, mais une par établissement.

      Les valeurs symboliques des diplômes vont aussi être différenciées. Une licence obtenue à Saint-Denis, Limoges ou à la Sorbonne, ce ne sera plus pareil. Il y a une remise en question du service public.

      APB laisse place à Parcoursup, est-ce que cela change fondamentalement la procédure ou n’est-ce qu’un changement cosmétique ?

      [[lire_aussi]]C’est la même chose qu’APB. Il ne faut pas se focaliser sur les outils. Ce sont deux applications techniques, il est préférable d’analyser l’idéologie qui les irrigue. Parcoursup sert la libéralisation des parcours et des individus qui avait déjà cours avec APB. L’individu est considéré comme rationnel et comme ayant les mêmes ressources que tous.

      Cette fois-ci, les élèves de Terminale vont avoir des réponses au fil de l’eau, il n’y aura plus de calendrier collectif. Ce processus très individualisé va correspondre aux bacheliers les plus à l’aise avec les stratégies scolaires et les temps longs. Ceux qui sont seuls pour gérer leur orientation le seront encore plus. Ils vont être en difficulté et seuls face à leur destin, car ils n’ont pas les ressources sociales et culturelles pour bien maîtriser ce genre de dispositif.

      La hiérarchie des vœux disparaît : les très bons élèves vont avoir tous leurs choix, les autres pas forcément, est-ce que ça fausse le jeu ?

      Je trouve que c’est une bonne chose, car c’est difficile pour les bacheliers de faire un classement sur quelque chose dont ils n’ont pas connaissance. Mais on ne sait pas encore comment ça va fonctionner. Cela va surtout compliquer le travail des administratifs, qui vont devoir gérer énormément de dossiers. Le délai de mise en œuvre, dès 2018, est par ailleurs aberrant. On se lance dans cette aventure, on met des attendus dont on nous demande de les déterminer de façon rapide dans les établissements d’enseignement supérieur. On ne peut plus s’opposer à cette réforme. Il faudra mettre en pratique ces attendus. On n’a déjà pas le temps de tout faire dans de bonnes conditions. On va devoir trouver des façons de faire pour aller vite, donc pas forcément bien.

      Les « attendus » ont été rendus publics, mais sont très vagues. Est-ce néanmoins une bonne méthode pour sélectionner les profils ?

      Je regardais ce qui concerne la sociologie et on attend seulement des prétendants qu’ils aiment la discipline. C’est vague et peut prêter à toutes les interprétations. Comment les collègues du secondaire vont-ils traiter cela et le traduire en objectifs concrets ? En filigrane, toutefois, on y voit les figures repoussoirs. La maîtrise de la langue écrite et la pratique de l’écriture durant la scolarité ne sont pas ce qui a cours dans les filières professionnelles, car ce n’est pas au programme. Eux vont passer à la trappe, car c’est un critère facile de sélection.

      On fonctionne à l’envers, on a une conception de l’orientation et de la réussite des élèves et étudiants qui est peu ambitieuse, il me semble. On ne se demande pas comment on peut leur apprendre des choses, leur transmettre des savoirs, mais on les juge sur ce qu’on ne leur a pas appris. On les pénalise sur des choses dont ils ne sont pas responsables. On n’est pas dans une conception de la réussite du plus grand nombre, mais dans une simple gestion des flux. Les bacs professionnels qui vont en BTS échouent pour la moitié d’entre eux. Les évincer des licences ne règle rien. Il faut arrêter de diaboliser leur présence qui est très minoritaire. Sans compter que, quoi qu’on en dise, certains réussissent à l’université.

      L’orientation devient très importante dans ce processus ; comment est-ce que cela va se répercuter sur les différents acteurs ?

      La pression sur les enseignants du secondaire sera accrue. Ils ne vont prendre aucun risque, de peur que l’élève n’échoue. Avant, c’était la responsabilité de la collectivité. Les parents les plus éloignés de l’école vont avoir peur et ne pas avoir les ressources nécessaires pour digérer les informations. Désormais, il n’y a plus de droit à l’erreur. À 18 ans, on ne sait pas forcément ce qu’on va faire plus tard et ce n’est pas très grave. Les parcours linéaires ne sont pas majoritaires et c’est tant mieux.

      Or ici on transforme le système en quelque chose de plus élitiste. C’est assumé. Emmanuel Macron a dit lui-même que l’université n’était pas pour tout le monde. Il remet en cause la mixité scolaire et sociale.

      https://groups.google.com/forum/#!msg/sociologuesdelenseignementsuperieur/Wh8HxtC7J98/TsS3l3NiAAAJ

  • About Soulseek
    http://www.slsknet.org/news/node/680

    Soulseek is an ad-free, spyware free, just plain free file sharing network for Windows, Mac and Linux. Our rooms, search engine and search correlation system make it easy for you to find people with similar interests, and make new discoveries!

    https://en.wikipedia.org/wiki/Soulseek

    Soulseek Technical Discussion–Google Groups
    https://groups.google.com/forum/#!forum/soulseek-discussion

    Welcome to the official Soulseek technical discussion group!

    Please keep chatter focused on technical discussion of the Soulseek client and software environment.
    If you’re posting about a problem with the client, please specify whether you’re using SoulseekQt or Soulseek NS (no longer supported), the client build number (should appear at the top of the client application window), and what operating system you’re on.

    Download Utopia: A 17-Year-Old File-Sharing Program Is Still the Best Place to Find Obscure Music
    http://gizmodo.com/download-utopia-a-17-year-old-file-sharing-program-is-1769008601

    Soulseek is the creation of Nir Arbel, a programmer who worked on the development team behind the original release of Napster, and it functions in similar ways. What started in 1999 as a means of trading techno and dance tracks grew to encompass rare and obscure music of all genres, slowly becoming an audiophile’s paradise. Vinyl rips of unknown soul groups? Cassette-only harsh noise? Rare compilations from a long-dead black metal label? It’s all there. You can also download the new Justin Bieber album, but with a glut of legal ways to listen to Purpose, it’s certainly not where Soulseek shines.
    ...
    The mid 2000s also saw second generation P2Ps and early Bittorrent indexes land in the crosshairs of trade organizations like the RIAA —and the majority went belly-up. Their replacements were blogs that used file storage services like Megaupload and Rapidshare to disseminate obscure music, and Grooveshark-style unsanctioned streaming sites for more populist tastes. By 2012, Megaupload had been taken to court, Rapidshare was neutered, and niche blogs had no reliable way to share their prized collections. Between 2014 and 2015 just about every streaming service that wasn’t legally buttoned up either shut down or was acquired and revived under corporate auspices. Sexier options and a split in the core client meant Soulseek’s user base declined significantly during this time, but it wasn’t enough to fell it completely.

    Soulseek isn’t the only P2P to survive these major crackdowns, but where single source P2Ps are concerned, it essentially stands alone—a living fossil. Former competitors that still receive software updates are prohibitively difficult for many users to configure, have transitioned away from their old protocols to become Bittorrent-only, or are virtual ghost towns.

    #musique #internet #P2P

    • Haaaaa soulseek :) J’en ai abusé à l’époque où on downloadait encore en 64k par ici, et j’ai recommencé à l’utiliser dernièrement car on y trouve très souvent les albums qu’on ne trouvera jamais en direct dl sur le web.

  • Gnutella.de: Ferrero gewinnt Rechtsstreit um Domain - CHIP
    http://www.chip.de/news/Gnutella.de-Ferrero-gewinnt-Rechtsstreit-um-Domain_34111871.html


    Cette information est quasiment introuvable chez Google, Bing etc. Heureusement il y a Metager https://metager.de/meta/meta.ger3?focus=web&encoding=utf8&lang=all&eingabe=%2BGnutella+Ferrero

    28.02.2001, 18:09
    Der Nutella-Hersteller Ferrero hat vor dem Kölner Landgericht im Streit um die Nutzung der Domain www.gnutella.de Recht bekommen.

    Das Landgericht hat den Betreibern von www.gnutella.de verboten, die Domain weiter zu benutzen oder an Dritte zu verkaufen. Bei Zuwiderhandlung droht eine Geldstrafe in Höhe von 500.000 Mark. Der Domain-Inhaber wurde in dem am Mittwoch ergangenen Urteil verpflichtet, eine entsprechende Unterlassungserklärung zu unterschreiben.

    Zur Begründung führten die Anwälte von Ferrero an, die Marke „Nutella“ sei durch die klangliche Ähnlichkeit zu „Gnutella“ in ihrem Ruf geschädigt. Wörtlich heißt es: „Millionen von Internet-Nutzern würden bei dem Wort Nutella nicht mehr an die familienfreundliche Nuss-Nougat-Creme denken, sondern ein virtuelles Konglomerat aus Urheberrechtspiraten und Kinderpornofreunden assoziieren.“

    Ferrero - Schweres, süßes Erbe
    http://www.handelsblatt.com/unternehmen/industrie/ferrero-schweres-suesses-erbe-seite-3/2802300-3.html

    Um seine Marken streitet Ferrero gnadenlos. Die Rechtsabteilung zwang die Musiktausch-Domains gnutella.de und newtella.de zur Aufgabe. Sie setzte sich gegen den Weltfußballverband Fifa durch und konnte die Fußballbildchen-Aktion fortsetzen, ohne offizieller WM-Sponsor zu sein. Im Kampf gegen ein chinesisches Produkt, das Rocher ähnelt, verurteilte ein Gericht der Stadt Tianjin den Konkurrenten zu einer Geldstrafe und zur Produktrücknahme.

    Nutella takes legal action against Gnutella | Technology | The Guardian
    https://www.theguardian.com/technology/2001/feb/28/internetnews

    28.2.2001 Gnutella, the file distribution system, has finally incurred the wrath of Nutella, the homophonous chocolate spread.

    The makers of the spread, Ferrero, obtained an interim injunction last month in Cologne, ordering Lars Gollnow, owner of www.gnutella.de, to cease and desist from using his domain name. The site is currently closed.

    Gollnow signed the letter “immediately and without argument”, said Ulrika Steiner, a legal spokesman at Ferrero’s Frankfurt office.

    Because the Gnutella system is decentralised - a downloadable, peer-to-peer system allowing users to distribute files - there is no danger of its imminent closure. Steiner could not confirm or deny whether Ferrero planned to take any action against Gnutella outside Germany.

    Thousands of users are thought to have signed up to the Gnutella service since Napster, the file swapping service for MP3s, lost its US case against the Recording Industry Association of America.

    Steiner confessed her office only became aware of www.gnutella.de shortly before then, after reading about Gnutella in a German newspaper.

    She said Ferrero acted to protect its trademark rights, and in the light of reports of a police investigation into illegal content being exchanged by Gnutella users.

    But she denied it had forced www.gnutella.de to close. “There wasn’t any content before we filed for the interim injunction,” she said.

    Gnutella’s connection with the Nutella name does not appear to be accidental. FAQs on Gnutella-hosting websites say its title is a compound of GNU, a Unix software suite, and the name of the chocolate spread.

    Ferrero geht gegen „xnutella“-Sites vor | heise online
    http://www.heise.de/newsticker/meldung/Ferrero-geht-gegen-xnutella-Sites-vor-39998.html

    27.2.2001 Nachdem das Ende des kostenfreien Napster-Dienstes abzusehen ist, macht sich die MP3-Gemeinde auf die Suche nach Alternativen. Serverlose Peer-to-Peer Lösungen liegen dabei gut im Rennen. Viele der gängigen P2P-Clients bauen dabei momentan auf das Gnutella-Protokoll auf. Gnutella ist in aller Munde – und eben hier liegt für den Süßwarenhersteller Ferrero das Problem.

    Mit Datum vom 19. Februar 2001 erließ die 31. Zivilkammer des Landgerichts Köln auf Antrag der Ferrero-Anwälte eine einstweilige Verfügung, in der der Betreiber der Domain www.gnutella.de unter Androhung eines Ordnungsgeldes von bis zu 500.000 Mark aufgefordert wird, die Domain weder zu benutzen noch sie an Dritte zu veräußern. Der bisherige Betreiber der Page hat sich daraufhin vor dem Hintergrund drohender Prozesskosten zur Unterzeichnung einer Unterlassungserklärung verpflichtet. Damit ist www.gnutella.de praktisch offline.

    Wie die Ferrero-Anwälte in ihrem Erlassantrag vom 17. Januar ausführten, sei die Marke Nutella durch die klangliche Ähnlichkeit zu gnutella potenziell in ihrem Ruf geschädigt. In dem Dokument wird weiterhin darauf verwiesen, dass das Bayrische Landeskriminalamt wegen der Verbreitung illegaler Software, Musik und pornographischer Inhalte gegen gnutella ermittle. Der Ruf der Marke sei in Gefahr, wenn „Millionen von Internet-Nutzern bei dem Wort Nutella nicht die familienfreundliche Nuss-Nougat-Creme, sondern ein virtuelles Konglomerat aus Urheberrechtspiraten und Kinderpornofreunden assoziieren“.

    Ferrero, 1964 in der piemontesischen Stadt Alba gegründet, ist mit 15.000 Mitarbeitern in 25 Ländern der drittgrößte Süßwarenproduzent hinter Nestlé und Mars. Das Produkt Nutella wurde 1940 vom Konditor und späteren Unternehmensgründer Pietro Ferrero erfunden und zunächst in Italien unter dem Namen pasta gianduja vertrieben. Erst 1964 bekam die Creme im Zuge ihrer internationalen Vermarktung den vom englischen „nut“ abgeleiteten Markennamen Nutella. Allein in Deutschland werden pro Jahr 100 Millionen Gläser des süßen Brotaufstrichs verkauft (Boris Becker: „Weil’s einfach schmeckt“). Vor dem Hintergrund des rigorosen Vorgehens drohten die ersten erbosten Gnutella-Fans bereits, alle Produkte der Firma zur „Chocolata non grata“ zu erklären.

    Erst kürzlich hatte der Konzern bei dem Versuch, die österreichische Domain kinder.at zu stoppen, eine Niederlage hinnehmen müssen. Angespornt durch den Erfolg bei Gnutella drohen die Anwälte nun auch anderen „?nutella“-Sites mit gerichtlichem Vorgehen. Der Betreiber von knutella.de, knutella.org, knutella.net, und knutella.co.uk wurde aufgefordert, eine entsprechende Unterlassungserklärung zu unterzeichnen. Wegen der närrischen Tage stand nach 13 Uhr bei Ferrero-Deutschland leider kein Mitarbeiter für eine Stellungnahme zur Verfügung.

    History of Gnutella
    http://users.cs.cf.ac.uk/Ian.J.Taylor/cmt202/3-gnutella.pdf

    Markenrecht: Ferrero vernascht Gnutella - computerwoche.de
    http://www.computerwoche.de/a/ferrero-vernascht-gnutella,1064000

    09.03.2001 MÜNCHEN (CW) - Die deutsche Niederlassung der Firma Ferrero hat die Musiktausch-Domains www.gnutella.de und www.newtella.de über den Rechtsweg vom Web nehmen lassen. Nach Androhung eines Ordnungsgeldes von 500000 Mark durch ein Kölner Gericht entschlossen sich die Betreiber, ihre Sites abzuschalten. Laut Ferrero sei die Verwechslungsgefahr von Gnutella und Nutella, dem braunen Brotaufstrich des Konzerns, zu groß gewesen. Der gute Ruf der eigenen Marke sei in Gefahr, wenn die Internet-Nutzer damit Copyright-Piraten und Kinderpornografie assoziierten.

    eV gegen Gnutella.de–Google Groups
    https://groups.google.com/forum/#!topic/de.soc.recht.datennetze/oxT5T44PWEI

    Moin!

    Ist schon bekannt, dass das LG Koeln auf Antrag der Ferrero eine einstweilge Verfuegung gegen Gnutella.de wegen Nutella erlassen hat?

    Im Feuilleton der FAZ vom 20.02. ist ein Bericht darueber...

    Falls schon bekannt, sorry.

    Gruss

    Lutz
    –-
    Lutz Gollan

    Widerstand den Ferroristen!
    http://www.zwischengesicht.de/ferrero/ferrero.phtml

    Ferrero-Boykott

    Ferrero hat sich Ende 2000/Anfang 2001 mit fragwürdigem Verhalten in Sachen Markenrecht + Internet hervorgetan. Sowohl ihre Versuche, das normale deutsche Wort „Kinder“ allein zu okkupieren, wie auch ihre Attacke gegen xnutella, sind deutliche Zeichen für die Haltung dieser Firma. Eine Besserung ist derzeit leider nicht zu erwarten. Daher denken zur Zeit viele bisherige Kunden über einen Boykott nach.

    Hinter-Grund
    Alternativen zu Ferrero-Produkten
    Presse
    Links
    Ferrero Kontaktadressen

    Was ist an Ferreros Vorgehen falsch?

    Ferrero ist in vielen Ländern Inhaber von Marken wie „Nutella“ und „kinder“, wobei „kinder“ nur in bestimmter Schreibweise und farblicher Absetzung geschützt ist.
    Sinn solcher Marken ist es, daß sich dieser Hersteller gegen Nachahmer schützen kann, welche den Namen verwenden könnten, um ihr Produkt als das „echte“ auszugeben. Dieser Schutzwunsch ist IMHO durchaus legitim - solange er sich eben auf Süßwaren und Brotaufstriche bezieht.
    Es geht aber in diesen Fällen darum, daß Ferrero das generelle Recht an Worten beansprucht. Der Domain-Namensraum ist ein allgemeiner Begriffsraum, der nicht auf Produkte, Waren oder gar spezifisch Süßwaren beschränkt ist. Das heißt, daß Ferrero meint, ihr Recht an dem Wort „kinder“ sei höher als z.B. das von Eltern. Wenn man Ferrero dabei Recht gäbe, hieße das in letzter Konsequenz, daß Eltern, Elternverbände, Lehrer, Schulen, letztlich jeder das Wort „Kinder“ nicht mehr ohne die Genehmigung von Ferrero verwenden dürfte.
    Absurd? Sicher! Aber dennoch versuchte Ferrero dies durchzusetzen. Ferrero österreich verklagte eine Agentur, welche unter kinder.at ein Portal über Erziehungsthemen aufbaut. Zum Glück ist Ferrero damit gescheitert, da „kinder“ ohnehin nur als Wortbildmarke - d.h. in spezieller Ausgestaltung - und nicht allgemein als Wort schutzfähig ist.
    Einen Monat nachdem Ferrero österreich bezüglich kinder.at unterlegen war, nötigte Ferrero Deutschland den Betreiber von gnutella.de, eine Unterlassungserklärung abzugeben und die bis dahin gut besuchte Informationssite über eine Programmfamilie dieses Namens außer Betrieb zu setzen. Auch andere Sites im United Kingdom und USA wurden zu solchen Unterlassungserklärungen aufgefordert.
    Nun hat gnutella nicht das geringste mit Süßwaren zu tun. Es hat vielmehr mit GNU zu tun und bezieht auch daher seine Anfangsbuchstaben. Bei Gnutella handelt es sich um den Namen einer Familie von Software-Programmen. Eine Produktverwechslung kann damit ausgeschlossen werden.
    Mit welcher Begründung also verlangt Ferrero die Schließung der Domain gnutella.de? Sie mögen die darunter erhältlichen Produkte nicht und wollen nicht mit ihnen assoziiert werden. D.h. sie unterstellen, daß man von dieser Software auf den Hersteller Ferrero folgern könnte, der ja keinerlei Software herstellt und er dadurch einen Imageverlust erleiden könnte. Wiederum absurd? IMO ganz deutlich.
    Es ist auch nicht so, daß Ferrero sich kundig gemacht und vielleicht Gespräche geführt hätte. Vielmehr hat Ferrero mit einer einstweiligen Verfügung einfach ihre (finanzielle) Macht benutzt.
    Anhand des Verlaufes so weit ist abzusehen, daß Ferrero damit nicht Halt machen wird. Womöglich kann man demnächst italienische Künstler namens Raffael nur noch mit gnädiger Erlaubnis von Ferrero betrachten, und Pendeluhren müssen für „Tick-Tack“ Gebühren abführen. Das ist auch nicht absurder, sondern nur logisch fortgeführt - Klangliche ähnlichkeiten, Ignorieren der Produktklassen und des allgemeinen Kultur- und Wissenschaftsinteresse, und plumper Einsatz von Machtmitteln.
    Was kann man also tun, wenn einem dieses Verhalten mißfällt? Ferrero zeigen, was man von ihrem Verhalten hält. Mit den Füßen abstimmen. Nicht mehr Produkte von Ferrero, sondern der Konkurrenz kaufen; oder ganz darauf verzichten. Und, auch sein Umfeld informieren, daß man keine Ferrero-Produkte geschenkt bekommen möchte.
    Warum auch nicht statt 300g Massenware 100g feinster, handgefertigter Pralinen aus der Konditorei verschenken? Bei Luxus geht es doch ohnehin nicht um Gewicht, sondern Genuß. Auch die Empfänger von Geschenken werden die kleine zusätzliche Aufmerksamkeit zu würdigen wissen, daß man statt eine Packung aus dem Supermarkt mitzubringen speziell für ihre Vorlieben etwas ausgewählt hat.
    Und für die Massen-Schokoladen-Esser gibt es ja auch andere Großhersteller.
    Für den einen oder anderen wird es aber auch ein Anlaß sein, den Süßigkeitenkonsum etwas einzuschränken. Jeder wie er meint - aber jeder kann auch beitragen!

    Alternativen zu Ferrero-Produkten
    Ich versuche im folgenden Alternativen zu Ferrero-Produkten aufzulisten. Mit den Herstellern habe ich nichts zu tun, Beiträge zu dieser Aufstellung nehme ich gerne entgegen unter ferreroboykott@zwischengesicht.de
    Alle genannten Warenzeichen sind selbstverständlich Eigentum ihrer Inhaber.
    ...
    Presse
    Ferrero und Markenrecht

    Ferrero geht gegen „xnutella“-Sites vor
    Rückschlag für Ferrero im „kinder.at“-Markenstreit
    Süßwarenkonzern will „Kinder“-Domain freiklagen

    Ferrero in Zusammenhang mit Korruption

    tagesschau.de: Ferrero und Spendenaffäre bei der Hessen-CDU
    spiegel.de zum gleichen Thema

    Andere Links

    Nuss-Nougat-Cremes auf frankenscout.de - eine recht umfassende Liste von Nuß-Nougat-Cremes mit Tests und Beschreibungen
    Milchschnitte-Schreiben Vorlage eines Schreibens an Ferrero bzw. deren „Website-Team“. Auf Zusender-Wunsch gespiegelt
    Dokumentation der kinder.at-Klage auf kinder.at

    Danke den Zusendern!

    Ferrero Kontaktadressen

    Tel: Ferrero OHG mbH (0 69) 68 05-0, 60599 Frankfurt, Hainer Weg 120

    http://www.nutella.at/pages/Kontakt_feedback.html
    Und hier:
    domain: ferrero.de
    descr: Ferrero OHGmbH
    descr: Hainer Weg 120
    descr: D-60599 Frankfurt am Main
    http://www.kindersurprise.org.uk/ferrero.htm
    http://www.sammlernews.de/Ferreroadressen.htm
    http://www.businessguide.de/bp/job-karriere/firmenprofile/85.htm
    Personalabteilung
    Marketing: Marion.Ernst@Ferrero.de
    Vertrieb: Andreas.Weßling@Ferrero.de
    Produktion: Guido.Gerlach@Ferrero.de

    http://www.wuv.de/servlet/wuv/news/archiv_newsliste.html?term=ferrero&page=1
    http://de.news.yahoo.com/010215/3/1cga4.html
    http://www.nutellausa.com

    Technische Informationen über die Website nutella.de:

    (Nutzungsbedingungen siehe denic.de)
    ++++++++++++++++++++++++++++++++
    Domainname: nutella.de
    Domaininhaber: Ferrero OHGmbH
    Hainer Weg 120
    D-60599 Frankfurt am Main
    Germany
    Administrativer Ansprechpartner: HK109-RIPE
    Technischer Ansprechpartner: IN53-RIPE
    Zonenverwalter: IN53-RIPE
    Nameserver: ns.internet.de
    Nameserver: ns.ruhrgebiet.net
    Status: konnektiert
    Letzte Aktualisierung: Dienstag, 5. Oktober 1999
    Stand Datenbank: Dienstag, 27. Februar 2001
    Personendaten
    Name: Hans Korrell
    Kontakttyp: Person
    Adresse: Ferrero OHmbH
    Hainer Weg 120
    Stadt: Frankfurt/Main
    PLZ: 60599
    Land: GERMANY
    NIC-Handle: HK109-RIPE
    Name: Interactive Network Role-Account
    Kontakttyp: Role
    Adresse: Interactive Network Informationssysteme GmbH
    Stephanstrasse 3
    Stadt: Frankfurt am Main
    PLZ: 60313
    Land: GERMANY
    Telefon: +49 69 1336 0
    Telefax: +49 69 1336 1000
    E-Mail: ripe@internet.de
    NIC-Handle: IN53-RIPE

    Ferrero schmiert Gnutella Ärger auf das Brot - Pop - INTRO
    https://www.intro.de/popmusik/ferrero-schmiert-gnutella-arger-auf-das-brot

    Schon seit frühester Kindheit wissen wir: Nur wo’s auch drauf steht, ist es drin. Keine Nussnougatcreme hat unser Leben mehr geprägt als Nutella, täglich daumendick und mit dem Segen des Frisenius-Institutes auf das Frühstücksbrot aufgeschmiert. In die Schlagzeilen gerät der Hersteller der braunen Schmiermasse mit dem sportlichen Image nun durch eine Klage gegen die Datenaustauschsoftware Gnutella. Das Gerangel um die dezentrale Alternative zu Napster würde negativ auf das familienfreundliche Image der Nussnougatcreme abfärben. Sah natürlich auch die 31. Zivilkammer des Landgerichtes in Köln ein und donnerte dem Betreiber der Domain gnutella.de eine einstweilige Verfügung rein: Site runterfahren oder Strafe zahlen.
    Nutella wurde übrigens 1940 von Pietro Ferrero, dem Gründer des mittlerweile drittgrößten Herstellers von Süßwaren, erfunden. Zunächst wurde die Nussnougatcreme in Italien unter dem Namen ’pasta gianduja’ aufgeschmiert, erst 1964 kam sie als Nutella international auf den Tisch.
    [Quelle: heise.de]

    Gnutella Frequently Asked Questions (FAQ)
    http://koeln.ccc.de/archiv/hackschiffseiten/information/faq.html

    Maintained By manuka.
    Modified by Marc Molinaro.
    Last updated: May 28, 2000

    #Internet #P2P #histoire #auf_deutsch

  • FLIF - Free Lossless Image Format
    http://flif.info

    FLIF is a novel lossless image format which outperforms PNG, lossless WebP, lossless BPG, lossless JPEG2000, and lossless JPEG XR in terms of #compression ratio. FLIF currently has the following features: Lossless compression / Greyscale, RGB, RGBA / Color depth: up to 16 bits per channel (high bit depth) / Interlaced (default) or non-interlaced / Interlaced files can be decoded quickly at lower quality/resolution (“Responsive By Design”) / Progressive decoding of partially downloaded files / Animation support / Rudimentary support to compress camera raw files (RGGB) / Rudimentary support for metadata (arbitrary embedded extra data, currently just ignored by the decoder) / Encoding and decoding speeds are acceptable, but should be improved / Fallback web browser support via a JavaScript (...)

    #images

  • interactive-narrative-instruction
    https://groups.google.com/forum/#!forum/interactive-narrative-instruction

    Welcome! This is a place to exchange information about teaching interactive narrative design, whether that’s in an academic context or not. Electronic literature, games, ebooks, interactive theatre, etc. are all welcome here.

    Feel free to talk about things like:

    What tools work for you? What makes a tool particularly good or bad to teach with?

    What sorts of exercises do you use?

    Where have you found good resources?

    How do you adjust content for different audiences?

    What rubrics have you developed for grading?

    What unsolved teaching challenges are you still struggling with?

  • Qui se souvient qu’en 1995, Guillermito a quasiment inventé l’internet tel que nous le connaissons grâce à ce message (un message dont Linus Torvalds s’est directement inspiré pour annoncer Linux en 1991) : Qui pourrait tester mon serveur web ?
    https://groups.google.com/forum/?hl=en#!msg/fr.comp.infosystemes/mt2E3bYKhP0/t1ONLlTFKoUJ

    J’ai mis en place un serveur web sur un PC grace a Win-HTTPD pour Windows 3.1, et j’ai l’impression qu’il a tendance a planter, peut-etre a cause des scripts CGI (un compteur, une possibilite d’envoi de commentaires), ou des images (des icones assez petites). En plus, le micro n’est pas dedie exclusivement a ca, donc il peut y avoir des problemes de memoire quand une grosse application est ouverte (Word, Excel,...), parce que c’est un 486-66 avec seulement megas de RAM. 

    En fait je voudrais juste, si c’est possible, que des gens se connectent dessus et me disent ensuite par mail ou par l’envoi de commentaires s’il plante, si le compteur marche bien, s’il est lent, avec quel micro et quel browser ils se sont connectes, enfin tout ca. Inutile d’y passer des heures, quelques lignes de feedback me suffiront.

    Et, oui, à l’époque, le gens de l’interwebz n’avaient pas encore inventé les accents et les cédilles.

  • NATO as Architectural Critic - Forensic Architecture
    http://www.forensic-architecture.org/file/nato-architectural-critic

    NATO AS ARCHITECTURAL CRITIC

    “NATO as Architectural Critic” is a videotaped conversation about the NATO bombings of Belgrade in the spring of 1999 and its forensic dimensions vis-à-vis architecture and urbanism. Four particular targets, all in Belgrade, are addressed in this video: the Yugoslav Army headquarters; the Central Committee of the Yugoslav Communist Party; the headquarters of Radio Television Serbia (RTS); and the Chinese Embassy.

    The records used in this video conversation include news articles, legal documents, video clips, architectural drawings, websites, texts, and visual simulations. The objective in this visual investigation is to examine the role of a perpetrator as a cultural critic of the aesthetics of the space of the perpetrated in the process of choosing the targets. It points to the methods used by perpetrators such as the “proportionality principle,” which calculates the legitimate collateral damage committed in strikes. The aesthetics in this video are perceived as a fluid, malleable, susceptible, and yet persistent process illustrating an elastic relationship with international law.

    https://groups.google.com/forum/#!topic/fr.soc.politique/VWh3xRqmNBw

    http://scholar.lib.vt.edu/Chronicles_Ingest/InterNews_bag/data/InterNews/LeMonde/issues/1999/lm990509.pdf

    http://www.humanite.fr/node/208427

    http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/kosovo/halimi

    #Forensics #otan #droit_international #Belgrade #Serbie bavures #usa

  • La disparition de la marche à pied, ce n’est pas une fatalité - Yet Another Blog Politique
    http://adriensaumier.fr/index.php?post/2014/01/07/mache-a-pieds-disparition-pas-fatalite&pub=0#pr

    Adrien Saumier revient sur une étude britannique qui illustre la réduction de la zone de marche à pieds sur 4 générations de 1910 à aujourd’hui, montrant combien la zone de marche et de liberté d’un petit anglais s’est considérablement réduite en un siècle. Mais plus que faire un lien entre sédentarisation et obésité, comme le fait Adrien, pour ma part, il me semble que la réduction de notre périmètre d’existence montre surtout qu’elle n’est pas le fait de la #technologie (la voiture, le vélo, les transports publics auraient du nous conduire toujours plus loin), mais avant tout de nos mentalités, de nos apriori, de nos comportements. Le problème n’est pas tant la marche contre les technos, n’est pas tant de privilégier la santé sur la maladie, que de lutter contre ce qui a réduit notre périmètre (...)

    #citelabo #villelegere

    • La suprématie de la voiture a réduit les moyens et les espaces publics alloués aux autres modes de déplacement.

      J’habite à 1,5km de mon micro-bled et 4,5km du bled, des distances fort raisonnables que tout le monde faisait à pied quotidiennement il y a 100 ans. Seulement, aujourd’hui, il n’existe plus aucun chemin ou sentier pour faire ces distances à pied. Les routes se sont multipliées et beaucoup n’ont même pas un semblant de bas-côté praticable. Marcher le long de la route, même dans le bon sens (face aux bagnoles) est assez risqué et désagréable. Le faire en vélo, autre moyen de déplacement populaire et extrêmement peu coûteux pour ces petites distances est carrément dangereux sur les petites routes du Gers étroites et sans visibilité où tout le monde roule à tombeau ouvert (et ce n’est pas qu’une image).

      Les sentiers se sont effacés, les chemins ont été découpés par la privatisation des campagnes par les agriculteurs qui ont tout clôturé. Il y a des batailles féroces autour des derniers chemins communaux que les communes trouvent coûteux à l’entretien et que les agriculteurs voient comme des entraves et des enclaves à annexer et labourer fissa : un petit coup de soc mal placé, et c’est torché.

      Quant aux chemins privés, faut pas y penser.

      Les seuls chemins préservés, le sont pour faire des parcours de randonnée à l’usage des touristes. Ils n’ont donc pas d’utilité pratique dans leur tracé (boucle à travers la campagne et non jonction entre lieux de vie). Ils existent par négociation avec les agriculteurs qui les possèdent et les ouvrent à la saison touristique. Ils sont souvent inaccessibles en dehors de l’été.

      Pour marcher, quand on n’est pas touriste, il vaut mieux adhérer à un club de randonnée. Les parcours sont balisés, les sorties encadrées à dates et heures fixes, ce qui évite, théoriquement, de se prendre un coup de fusil perdu. Cela dit, c’est du loisir, pas de l’utilitaire.

      Ce qui est remarquable dans cet espace rural, c’est qu’il est totalement inaccessible, dépourvu de tout espace de liberté, d’espaces communs, d’espace public.
      Flâner n’est pas plus à l’ordre du jour que de vaquer à ses occupations.

    • Oui @monolecte, tout à fait d’accord avec ton commentaire... Qui rejoint mon sentiment sur la privatisation de la ville, qui laisse assez peu d’espace public sans interdiction ou d’espace public non commerçant à la disposition des gens. Ce qui réduit notre accès, c’est à la fois la crispation de nos imaginaires (la trouille, la peur de l’autonomie, qui fait qu’on ne laisse même plus ses gosses aller chercher le pain chez le boulanger à côté) et à la fois une propriétarisation à outrance, qui limite l’espace d’accès.

    • Oui, la ville marchandise l’espace : il doit devenir rentable. Dans la campagne, c’est un peu pareil, sauf que ton droit de circulation, tu ne peux l’exercer qu’en voiture et ça, ça m’énerve.
      J’envisage de prendre un vélo d’appartement ou un truc elliptique pour me maintenir en forme. L’extérieur est devenu hostile. Bien sûr, je pourrais reprendre mon vélo et repartir dans les collines, mais j’ai perdu ma légèreté d’esprit. Je sais que je risque le coup de fusil de chasse, classé en accident systématiquement, sans autre forme de procès, genre : c’est le risque acceptable d’une balade en cambrousse, et surtout, on ne fait rien pour partager l’espace rural entre les différents usagers... d’ailleurs, il n’y a plus d’usagers, il n’y a plus que des propriétaires. Et si ce n’est pas un fusil, ce sera un chien, dont je sais que même si le chien n’a pas à divaguer sur la voie publique, même si son propriétaire est responsable de la bête, au final, tout le monde considère ça comme une autre forme de fatalité dont je dois m’accommoder.
      Et sinon, ce sera une bagnole ou un camion.

      Donc, bof...

    • @monolecte même constat ici, pour ma sécurité mon père m’emmenait en voiture (dans les années 1980) à l’école où lui allait à vélo dans les années 1950.
      Finalement ça nous contraint à entretenir un cercle vicieux : il y a trop de bagnoles donc c’est trop dangereux donc pour me protéger j’y vais dans une bagnole que j’ajoute à la circulation...
      Aujourd’hui avec la périurbanisation croissante il y a à peu-près suffisamment de trottoirs pour faire le trajet à pied sans trop de risque, en revanche pour les mêmes raisons je ne laisserais pas mes gamins y aller à vélo, pour lequel il n’y a aucun aménagement.

      La voiture occupe en France en moyenne 30% de la surface urbaine, et dans certaines zones périurbaines entre les lotissements et les centres commerciaux à parkings je ne serais pas étonné que cela dépasse les 50%

    • « il me semble que la réduction de notre périmètre d’existence montre surtout qu’elle n’est pas le fait de la #technologie (la voiture, le vélo, les transports publics auraient du nous conduire toujours plus loin), mais avant tout de nos mentalités, de nos apriori, de nos comportements. Le problème n’est pas tant la marche contre les technos, n’est pas tant de privilégier la santé sur la maladie, que de lutter contre ce qui a réduit notre périmètre »

      A mon sens, c’est bien l’orientation politique (et économique) du tout voiture, associé à la privatisation de tout (donc du transport) qui a réduit notre périmètre. Ici en Belgique on voit se développer les villages (parlons plutôt de nouvelle construction avec jardin de golf) sur des km de routes. On appelle cela des villages routes. Heureusement le belge conduit légèrement moins vite en moyenne que dans le Gers (d’après ce que j’ai constaté, effectivement le Gers c’est ni pour les piétons ni pour les chevreuils). Mais si l’on voit beaucoup de vélocipèdes du dimanche habillés comme des coureurs cyclistes, tous se rendent en voiture à la boulangerie. Le vélo n’est pas vu comme un moyen de transport mais comme un sport (de luxe quasi).

      Quant à s’engager à pied sur ces routes, effectivement elles ne sont pas du tout prévues pour. Reste les chemins à travers champs encore accessibles et praticables. Les lignes de bus et de train disparaissant petit à petit, hors de la voiture point de salut. La Belgique avait l’un des plus dense réseau ferroviaire, elle est aujourd’hui le 3ème pays avec la plus grande densité de voiture au km². Résultat des km de bouchons chaque jour qui font perdre des millions d’euro à l’économie.

    • Moi je vis dans la deuxième ville cyclable de France, alors je vais pas trop me plaindre, mais je sais que 1) si je vais vivre plus loin, ça va être horrible, et 2) malgré toutes ces voies cyclables et trottoirs, il y a quand même un paquet de gens qui continuent de tout faire en voiture pour des petits trajets.

      Et bienvenue à @raffa au passage !

    • @Raffa Tentons de préciser. La technologie (la voiture, le vélo, les transports publics) et leur démocratisation auraient du élargir notre périmètre d’existence. Or quand on regarde la carte, on se rend compte qu’elle l’a réduit. Ce n’est pas la techno qui l’a réduit, mais ses contre-effets : les phénomènes d’appropriation (la route dédiée à la voiture a tout conquis) et les réalités et imaginaires (la peur) qu’elle génère. Dit autrement, c’est bien l’orientation éco-politique, plus que la techno qui est en cause.

    • @monolecte ben oui, BX (un jour on arrivera à se croiser) :)

      Et donc, les contre-effets sont bien dûs à ces technologies, donc ce sont bien ces technologies et leur utilisation massive qui sont à l’origine des réductions des autres moyens.

      Je ne saisis pas trop l’argumentation qui consiste à dire que ce ne sont pas elles la cause… mais quand même elles puisque la cause ce sont « leurs effets »…

      Parfait exemple de #contre-productivité + #monopole-radical.
      #Ivan-Illich #Illich
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Monopole_radical

      Le transport et la vitesse font perdre du temps

    • http://seenthis.net/messages/189054

      Passé un certain seuil de consommation d’énergie, l’industrie du transport dicte la configuration de l’espace social. La chaussée s’élargit, elle s’enfonce comme un coin dans le coeur de la ville et sépare les anciens voisins. La route fait reculer les champs hors de portée du paysan mexicain qui voudrait s’y rendre à pied. Au Brésil, l’ambulance fait reculer le cabinet du médecin au-delà de la courte distance sur laquelle on peut porter un enfant malade. A New York, le médecin ne fait plus de visite à domicile, car la voiture a fait de l’hôpital le seul lieu où il convienne d’être malade. Dès que les poids lourds atteignent un village élevé des Andes, une partie du marché local disparaît. Puis, lorsque l’école secondaire s’installe sur la place, en même temps que s’ouvre la route goudronnée, de plus en plus de jeunes gens partent à la ville, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une seule famille qui n’espère rejoindre l’un des siens, établi là-bas, sur la côte, à des centaines de kilomètres.
      [...]

    • Tout à fait d’accord avec @monolecte.
      Vous connaissez « Les mangeux d’terre » une chanson de 1905 de Gaston Couté, musique de Maurice Duhamel, je l’adore, prenez l’accent, rien que le refrain m’émeut.

      Y avait dans l´temps un bieau grand ch´min
      Cheminot, cheminot, chemine !
      A c´t´heure n´est pas pus grand qu´ma main
      Par où donc que j´cheminerai d´main ?

      J’ai trouvé la moins mauvaise interprétation
      http://www.youtube.com/watch?v=eLUy7dwtccM

    • Sans compter qu’en ville, les récentes zones piétonnes sont des rues exclusivement marchandes. En dehors de ces zones aménagées pour le lèche-vitrine, marcher en ville est un sport de combat. Je marche beaucoup, j’ai toujours adoré ça, j’ai éprouvé des centaines de kilomètres de trottoirs. De toutes les tailles. Certains sont si étroits qu’ils sont impraticables. Les autres sont inclinés pour l’écoulement de la pluie et régulièrement émaillés de bateaux pour les sorties... de bagnoles. Il en résulte une démarche un peu bancale pas très confortable et sans doute pas terrible pour le dos. Il faut aussi éviter les merdes de chiens ou encore les crachats.

    • Du coup, je cherche la source. Apparemment, c’est l’article du Daily Mail qui est mis en lien http://www.dailymail.co.uk/news/article-462091/How-children-lost-right-roam-generations.html
      Il n’est pas daté, mais doit être d’à peu près juin 2007. Je trouve divers lien en 2007 et 2008 ; le plus ancien semble être celui-ci (15/06/2007) : https://groups.google.com/forum/#!topic/planputnam/adzylnxlbV0
      avec un lien vers l’article qui n’est plus valide, la reprise de la carte et… une photo de la petite famille que je ne trouve nulle part ailleurs.


      Trois générations : Jack, Vicky et Ed

    • J’ai eu un autocollant avec un marcheur dessiné et inscrit « espèce en voie de disparition », y’a bien 10 ans, c’était une campagne contre la chasse.

  • Twister ? Un clone #décentralisé de #Twitter
    http://korben.info/twister-un-clone-decentralise-de-twitter.html

    Suivant les traces de Diaspora, Twister est un clone décentralisé de #Twitter. Parti d’un fork de #Bitcoin, Miguel Freitas a ensuite intégré à son outil les #technos Bittorrent / DHT, ce qui donne une plateforme de microblogging qui chiffre d’un bout à l’autre de la chaine tous les messages privés et qui empêche la censure ou encore la suppression intempestive de compte. De plus, votre adresse IP n’est pas enregistrée et personne ne peut “savoir” si vous êtes connecté au service. (Comme […]

    Le white paper est disponible sur http://arxiv.org/abs/1312.7152

    cc @stephane

  • Faille de sécurité importante, plusieurs navigateurs (config par défaut)
    https://groups.google.com/forum/#!topic/fr.comp.infosystemes.www.navigateurs/-25lvUGXBmM

    Le réglage par défaut des navigateurs est de restaurer les sessions sans demander le mot de passe : gros risque sur des ordis publics !
    Le paramètre de configà modifier pour Firefox : browser.sessionstore.resume_from_crash à false

    #navigateur #session #crash #sécurité #option #paramètre

  • Mapping an Excel spreadsheet with eSpatial Free or Basic
    https://www.espatial.com/articles/mapping-an-excel-spreadsheet-with-espatial-free-or-basic

    ça c’est bien : analyse d’une feuille de calcul, geocoding pour trouver la position des noms de lieux, et génération de la carte correspondante.

    Est-ce qu’il existe du logiciel libre pour faire ça, éventuellement en utilisant Nominatim, le geocoder de openstreetmap ?

    #map #geocoding #openstreetmap

  • Firefox ’death sentence’ threat to TeliaSonera over gov spy claims
    http://www.theregister.co.uk/2013/04/16/mozilla_threatens_teliasonera

    Firefox-maker Mozilla could issue a “death sentence” to TeliaSonera’s SSL business over allegations the telecoms giant sold Orwellian surveillance tech to dictators.

    https://groups.google.com/forum/#!msg/mozilla.dev.security.policy/mirZzYH5_pI/5LJ-X-XfIdwJ

    #surveillance