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  • Le passe vaccinal détruit l’avenir des adolescents

    « Tu veux retourner au ciné ? Aller en soirée ? Pense à te faire vacciner. » Le bout de papier date de cet été, mais il est déjà un peu jauni. Je l’ai accroché sur le mur de la cuisine, pour mémoire. C’est un flyer pour les adolescents qui fait la promotion d’un vaccinodrome ouvert dans la salle polyvalente du coin, avec les logos de la préfecture, de l’Agence régionale de santé et de l’hôpital. Dans une petite bulle, au-dessus d’un dessin représentant une infirmière et un enfant avec une seringue sur le bras, il est même écrit : « 1 entrée offerte à la base de loisirs pour toute personne vaccinée lors de cette opération. »

    Au moment où ce flyer a atterri dans ma cuisine, on savait depuis longtemps que les adolescents en bonne santé ne couraient qu’un très faible risque d’être atteints d’une forme grave de Sars-Cov-2, comme l’a constaté la Haute autorité de santé. En juin 2021, le Conseil consultatif national d’éthique (CCNE) rendait son avis au ministère de la Santé sur l’extension de la vaccination aux 12-18 ans. Il rappelait que « les formes graves de l’infection par la Covid-19 sont très rares chez les moins de 18 ans » et que « le recul existant ne permet pas d’assurer la pleine sécurité de ces nouveaux vaccins chez l’adolescent ». Selon le CCNE, les adolescents n’auraient donc aucun bénéfice médical à être vaccinés et ne le feraient que pour contribuer à un bénéfice collectif, celui de renforcer l’immunité au sein de la population. Aussi, « il semble souhaitable […] d’accepter de vacciner contre la Covid-19 les adolescents qui le demandent, mais après avoir reçu une information claire et adaptée à cette tranche d’âge sur les incertitudes liées à la maladie, au vaccin lui-même et à son efficacité à moyen et long terme. Avec cette mise en garde : « Si la vaccination leur était présentée comme leur seule chance de retour à une vie normale, cette pression effective poserait la question de la validité de leur #consentement. »

    Consentement extorqué

    Un mois après l’avis du CCNE, le gouvernement a annoncé l’entrée en vigueur du passe sanitaire : les #adolescents #non_vacciné s sont interdits de sport, de bibliothèque, de piscine, de cinéma, de musée, de train, de concerts, de café et de restaurant. Sur la base des informations fournies par les entreprises pharmaceutiques, on a martelé que les vaccins sont sans risques. Le gouvernement a méprisé les recommandations éthiques les plus élémentaires et bafoué le consentement des adolescents.

    Six mois plus tard, en pleine vague Omicron, on constate que les vaccins disponibles n’offrent pas une immunité durable et n’ont qu’une efficacité modérée sur la contagion. Pour les jeunes sans comorbidité, la balance #bénéfice-risque est devenue très discutable. Il n’y a pas de retour à la vie normale. Et il semblerait qu’en plus d’avoir extorqué leur consentement par la culpabilisation et le chantage au passe sanitaire, on ait exposé la santé de près de 3,8 millions d’adolescents (76,6 % des 12-17 ans sont vaccinés [1]). Impossible de savoir quelles répercussions ces deux doses pourraient avoir sur leur santé. Peut-être aucune, espérons-le. Sinon, il y a de fortes chances pour que personne n’en endosse jamais la responsabilité.

    [...]

    Peut-être avons-nous tellement refoulé notre impuissance et notre culpabilité face à ce futur impensable que nous n’arrivons plus à défendre quoi que ce soit au présent. Mais nous ne pouvons assumer la responsabilité du présent que si nous réussissons à nous ressaisir de notre responsabilité vis-à-vis de l’avenir. Si nous voulons trouver la force de lutter contre ce que le quotidien offre de décisions ineptes et injustes, nous sommes obligés d’affronter les perspectives les plus sombres et de construire, face à elles, de vraies alternatives politiques, sensées et concrètes.

    https://reporterre.net/Le-passe-vaccinal-detruit-l-avenir-des-adolescents

    #Celia_Izoard #Reporterre

    • #Belgique : Rentrée particulière pour des centaines d’élèves : « On n’a plus eu cours depuis un mois et demi »
      https://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_rentree-particuliere-pour-des-centaines-d-eleves-on-n-a-plus-eu-cours-de

      C’est la conséquence d’un concours de circonstances fâcheux : plusieurs centaines d’élèves en Fédération Wallonie-Bruxelles n’ont plus eu cours depuis six semaines.

      A l’école communale Pascal Hoyaux, à Manage, dès le début du mois de décembre, des classes ont dû être fermées pour cause de cas positifs. Malgré ces fermetures, la flambée des contaminations s’est poursuivie, contraignant l’établissement à fermer entièrement ses portes durant dix jours, à partir du 7 décembre. A ce moment-là, une cinquantaine d’enfants étaient positifs au coronavirus, sur 438 élèves.

      Fermetures et congés en cascade
      L’école devait donc rouvrir le 17 décembre. Mais c’était sans compter sur la semaine de congés anticipés dans tout le pays, décidée par le Codeco en raison de la situation sanitaire. Les cours ont donc été suspendus une semaine de plus, avant le début des vacances de Noël.

      Ce lundi 10 janvier signe donc enfin la reprise pour ces élèves, après un mois et demi de congés forcés. . . . . . . .

  • Abeilles domestiques : #Bruxelles veut éviter la prolifération anarchique de ruchers
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_abeilles-domestiques-bruxelles-veut-eviter-la-proliferation-anarchique-d

    Au printemps, l’administration Bruxelles Environnement enlèvera les quelques ruchers qu’elle a en gestion dans les zones Natura 2000 de la Région. C’est la première mesure, symbolique, d’un plan nettement plus vaste de régulation de l’apiculture dans la capitale. L’étoile de l’abeille domestique aurait-elle pâli ? En tout cas, désormais, l’abeille mellifère n’est plus unanimement considérée comme l’icône de la biodiversité.

    Depuis dix ans, dans le monde entier, la communauté scientifique s’inquiète de la compétition entre abeilles domestiques et sauvages. "Il s’agit d’une concurrence sur les ressources alimentaires", pose Nicolas Vereecken, titulaire d’une chaire d’agroécologie à l’ULB. Une concurrence déloyale à en croire les scientifiques : nettement plus nombreuses et plus mobiles – elles butinent jusqu’à un kilomètre de la ruche - les abeilles domestiques s’approprieraient l’essentiel des ressources alimentaires.

    Voilà pour la théorie. Mais en pratique, cette concurrence s’applique-t-elle à la réalité bruxelloise ? Une bonne partie des apiculteurs bruxellois en doutent. « A Bruxelles, nous sommes 200 ou 300 apiculteurs à avoir une, deux ou trois ruches au fond du jardin ou dans le parc tout proche, affirme Yves Van Parys. Nous ne sommes pas de gros producteurs de miel. »

    Pour cet apiculteur qui exploite un rucher à Jette depuis 39 ans, il n’y a pas lieu de s’alarmer d’une prolifération de ruches, au contraire. « Ces trois dernières années, selon notre recensement, il y a plutôt une diminution du nombre de ruches à Bruxelles, de l’ordre de 30%. »

    Pourtant, selon Bruxelles Environnement et l’équipe de recherche de l’ULB, les premiers résultats d’analyse sur le terrain ne laissent aucun doute sur le fait que l’activité apicole se développe bel et bien à Bruxelles, au détriment de la préservation de la biodiversité et des 200 espèces d’abeilles sauvages recensées à Bruxelles.

    « Dans une ruche, vous avez plusieurs dizaines de milliers d’individus d’abeilles domestiques. A Bruxelles, les populations d’abeilles sauvages sont nettement minoritaires, on parle de quelques dizaines d’individus par espèce. Donc, forcément, celles qui sont surnuméraires ont un effet de dominance », explique Nicolas Vereecken.

    Qui dit vrai ? Bruxelles compte-t-elle trop d’abeilles ou trop peu ? Comment objectiver tout cela ? La Région voudrait réaliser un cadastre du nombre de ruches et de leur localisation par rapport aux espaces verts. Mais la tâche est titanesque.

    « Le milieu apicole est extrêmement opaque. Comme il n’est pas obligatoire de déclarer toutes les ruches installées sur le territoire à Bruxelles, il y a un flou artistique, en raison d’un manque de communication et de transparence », estime Nicolas Vereecken.

    Un premier pas a été franchi dans la bonne direction, mais il est insuffisant selon le scientifique : depuis septembre 2019, les apiculteurs ont l’obligation de se déclarer la commune à partir de trois ruches. Ceux qui en une ou deux, ce qui est fréquent, ont donc la possibilité de passer sous le radar.

    La nouvelle orientation prise par les autorités régionales déplaît à bon nombre d’apiculteurs. « Je suis inquiet pour l’abeille mellifère. Je suis inquiet pour l’apiculteur pédagogue et sensibilisateur », résume Yves Van Parys. L’abeille domestique, qui avait si bonne presse, doit aujourd’hui descendre de son piédestal.

    « Il y a eu un gros phénomène de mode depuis quinze ans, analyse Julien Ruelle, coordinateur de la stratégie pour les pollinisateurs au sein de Bruxelles Environnement. On a installé des ruches partout, y compris sur les toits d’entreprises et d’administrations, parce que c’était une solution facile qui donnait l’impression qu’on sauvait la planète très facilement. Aujourd’hui, on se rend compte que ce n’est pas aussi intuitif. Mettre des ruches ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire. Alors, on revient un peu en arrière. Et c’est parfois difficile de revenir sur des certitudes qu’on avait il y a dix ans. »

    Certains apiculteurs abondent dans ce sens-là. "On s’est mis le doigt dans l’œil il y a 10 ans, reconnaît volontiers Marc Wollast. La direction prise est la bonne. Cela va plus loin que le simple principe de précaution", affirme l’apiculteur et coordinateur de l’association Apis Bruoc Sella.

    #abeilles #abeilles_domestiques #abeilles_mellifère #abeilles_sauvages #Ruches #apiculture #biodiversité #environnement #catastrophe #écologie #insectes #apiculture #miel

    • Mettre des ruches en ville ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire
      L’abondance des abeilles domestiques diminuent la biodiversité.
      Ne pourrait on laisser ces petites bêtes en paix ?

  • Les cimetières de Bruxelles et de Laeken pourront inhumer plus de 800 urnes biodégradables
    https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_les-cimetieres-de-bruxelles-et-de-laeken-pourront-inhumer-plus-de-800-ur

    Dès janvier prochain, les cimetières de Bruxelles et de Laeken pourront inhumer plus de 800 urnes biodégradables, a annoncé jeudi l’échevine des espaces verts de la Ville de Bruxelles, Zoubida Jellab.

    À partir du 1er janvier 2022, le cimetière de Bruxelles aura ainsi la capacité d’inhumer 500 urnes biodégradables et le cimetière de Laeken,


    Le cimetière de Laeken, le plus vieux cimetière de la région bruxelloise. © BRUNO FAHY / Belga

    Selon l’échevine, l’urne biodégradable est une urne de bois ou de carton qui sera inhumée devant un massif de fleurs et d’arbustes. Cette alternative innovante au cercueil ou à l’urne classique présente différents avantages : réduction de CO2, amélioration esthétique et paysagère, amélioration de la biodiversité.

    Qui dit nouvel espace vert, dit aussi nouvelles sources de nourritures et de refuges pour la faune, et notamment pour les insectes pollinisateurs. La biodiversité est ainsi favorisée.
     
    Réalisée en bois ou en papier, voire en autre matière, une urne biodégradable, pollue moins les sols et permet une réduction de la production de CO2.

    Une construction d’un cavurne ou columbarium est évitée, le transport est réduit, et l’énergie requise à la réalisation de l’urne est bien moindre par rapport à une urne métallique ou en pierre naturelle. La place destinée à l’inhumation est réduite, ce qui augmente l’aménagement vert au détriment d’une pierre tombale qui se désagrège au cours du temps et qui finit souvent en désuétude après le délai de concession. La charge d’entretien disparaît ainsi pour la famille.

    Une plaquette sera fournie par la Ville de Bruxelles pour que la famille en deuil puisse apposer le nom du défunt avec les dates de début et de fin de vie. Cette plaquette sera fixée sur le pupitre de la borne en acier corten.

    #CO2 #cimetière #Mort #décès #cercueil #urne #tombe #compost #biodégradable #Bruxelles

  • #belgique Mons : la SNCB va rénover… du provisoire
    https://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_mons-la-sncb-va-renover-du-provisoire?id=10858505

    Rénover du provisoire… C’est ce que va devoir faire la SNCB. La passerelle de la gare provisoire de Mons va devoir être rénovée : les utilisateurs ne se sentent plus en sécurité sur cette rampe d’accès métallique. Ils s’inquiètent de craquements qu’ils entendent quand ils franchissent cette passerelle qui mène aux quais.

    Depuis le nombre d’années que les navetteurs l’empruntent, en attendant la fin des travaux de la gare Calatrava, elle est devenue peu rassurante aux yeux de certains qui ont un peu l’impression, en hiver, de franchir une patinoire. La SNCB a entendu ces inquiétudes. Elle programme donc une rénovation de la rampe d’accès de la gare provisoire, fin octobre. C’est sans doute plus prudent puisque la nouvelle gare, ne sera pas opérationnelle tout de suite. Dernier délai annoncé : 2023.

    #des_grands_projets..._inutiles_ #destruction #ps #elio_di_rupo #calatrava #transport #train #transports #france #gares #urbanisme

    • Le budget a explosé.
      De 37 millions à la base, il a gonflé pour atteindre à 324 millions d’euros aujourd’hui.
      Le budget initial a donc été multiplié par dix.
      Tout cela sans refaire de marché public.

      Pour rappel, l’ancienne gare était superbe, et en excellent état.

  • #Bruxelles : L’étrange histoire du cimetière oublié Marc Oschinsky
    https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_l-etrange-histoire-du-cimetiere-oublie?id=10856830

    Nous sommes dans un cimetière, en région bruxelloise. Rien de plus banal à première vue. Mais si votre curiosité vous emmène un peu plus loin, derrière un mur, vous allez découvrir un endroit où le temps semble s’être arrêté. Les tombes y sont plus rapprochées, plus resserrées. La plupart date de la fin des années 30 ou du début des années 40. Vous venez d’entrer dans un cimetière oublié.

    Ou, plus précisément, dans un cimetière dont les gérants avaient oublié l’existence. C’est vers la fin des années 90 qu’un employé de la commune a appelé les responsables de la Chessed Chel Emmeth, une des sociétés mutuelles juives chargées de l’inhumation des défunts. Son message : « Qu’est-ce que vous comptez faire de ce cimetière dont vous avez la concession depuis 1938 ? » Comme l’explique Luc Kreisman, le responsable actuel de la mutuelle : « C’est ce jour-là que nous avons réalisé que nous avions la charge de ce cimetière »

    Oublier un cimetière, l’affaire n’est pas fréquente. Mais elle s’explique mieux quand on sait que les sociétés mutuelles d’inhumation fonctionnaient à l’époque plus sur la mémoire humaine et moins à l’informatique : « C’était des contrats qui avaient été oubliés par les anciens qui n’avaient pas pensé à les transmettre aux nouvelles générations. »

    Aujourd’hui, l’oubli est réparé. D’ailleurs, certaines des tombes ont été rénovées par les familles des disparus. Tandis que d’autres s’ornent de petits cailloux blancs, signe qu’on s’y est recueilli. 

    Cet endroit a une histoire étonnante : inauguré en 1938, il a continué à fonctionner pendant la guerre. Parce que, comme l’explique Luc Kreisman, "Les nazis ne voulaient pas créer de sentiment de panique dans la population juive". Il fallait que les Juifs aient l’impression de pouvoir mener une vie à peu près normale. Et donc, les enterrements religieux ont continué, jusqu’à ce que l’occupant les interdise.

    L’arbre de Babylone est un symbole présent dans les cimetières juifs. A la place de la pierre tombale, on met une sculpture représentant un jeune arbre coupé, dont les branches sont, elles aussi, tranchées. Une manière de représenter une jeune vie fauchée. Ces sculptures sont omniprésentes dans le cimetière. Parce que, dans les années de guerre, bon nombre de jeunes Juifs ont participé à des actes de résistance, d’espionnage ou de sabotage. Arrêtés par la Gestapo, ils étaient torturés et fusillés. Et enterrés ici.

    Il y a aussi des tombes vides. Celles de victimes des camps d’extermination, mortes à Auschwitz ou à Birkenau. Parfois, leurs proches ont fait installer une pierre à leur nom, pour avoir un endroit où se recueillir.

    En se promenant dans ce petit espace, en lisant ce que chaque tombe raconte, en tentant de deviner ce que chacune tait, on se rend rapidement compte qu’on est ici dans un lieu de mémoire. Un lieu dont l’importance historique reste à découvrir.

    #cimetière #religion #migrations #décès #morts #histoire #mort #tombe #mémoire #religion #histoire #Belgique

    • Rappelons qu’en Belgique, il y a un peu plus d’un siècle, celles et ceux qui n’appartenaient pas à la religion officielle étaient enterrés dans la partie du cimetière appelée « le trou à chien ».

      Ces cimetière privés ne concernaient donc pas que les adeptes de la religion juive, mais aussi les athées, les . . . .

  • Flop judiciaire : cour d’assises ajournée à Bruxelles par manque de jurés masculins
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_flop-judiciaire-cour-d-assises-ajournee-a-bruxelles-par-manque-de-jures-

    La présidente de la cour d’assises de Bruxelles n’a eu d’autre choix, lundi après-midi, que de reporter à une date indéterminée le procès du meurtrier présumé d’Eunice, une jeune prostituée nigériane poignardée à mort dans sa carrée à Schaerbeek en 2018. En cause, la cour n’avait plus aucun candidat juré masculin pour compléter le jury, alors déjà constitué de huit femmes et trois hommes.

    Pas assez de candidats jurés au départ
    « La Cour constate être dans l’impossibilité de former un jury, l’urne ne contenant plus aucun nom de jurés. Elle renvoie l’affaire à une date indéterminée où il sera procédé à la formation d’un nouveau jury », a annoncé la présidente de la cour d’assises de Bruxelles, lundi vers 16h00, après avoir débuté vers 14h00 le tirage au sort des jurés pour le procès du meurtrier présumé d’une jeune prostituée nigériane, tuée en juin 2018 à Schaerbeek. 

    La cour avait déjà tiré au sort huit femmes et trois hommes. Il ne restait donc plus qu’un candidat juré masculin à choisir. En effet, pour respecter la parité entre hommes et femmes, le jury ne peut jamais contenir plus de huit jurés d’un même sexe. Toutes les femmes restantes ont donc été récusées, mais l’urne s’est rapidement trouvée vide, sans qu’aucun nouveau nom d’homme réapparaisse. Il semble en effet que trop peu de citoyens ont répondu à leur convocation. 

    Un pareil cas est extrêmement rare et ne peut aboutir qu’à la décision, inévitable, d’annuler le procès pour le re-fixer à une date ultérieure, où le tirage au sort des jurés sera recommencé de zéro. La présidente de la cour n’a pu dire aux candidats jurés qui se sont présentés, eux, dès 14h00 au palais de justice qu’elle était « navrée ».
 
    #Bruxelles #Belgique #justice #parité #Femme #Homme #Justice #Pénurie

  • Un Airbnb bruxellois sur deux exploité par des professionnels ?
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-airbnb-bruxellois-sur-deux-exploite-par-des-professionnels?id=1083699

    L’économie de partage, c’est le principe mis en avant par les fondateurs d’Airbnb : j’ai une chambre vide dans mon appartement ou ma maison, je la loue à des visiteurs de passage pour arrondir mes fins de mois. Ou je pars souvent à l’étranger et je loue mon appartement quand je n’y suis pas. Bref, on s’entraide entre particuliers. Or, une étude de la VUB l’affirme : dans la capitale, près d’un Airbnb sur deux serait exploité par des professionnels ou des investisseurs.

    Le problème, avec la plateforme de location immobilière, c’est qu’elle ne communique pas volontiers ses données. Aussi Pieter-Paul Verhaege et Sylvie Gadeyne, les deux auteurs de l’étude, ont dû s’adresser à AirDNA, un site qui fait du «  data-scraping  », littéralement du grattage de données. Comprenez : le site extrait toutes les données possibles et les agglomère pour tenter de dresser un portrait aussi fidèle que possible de la situation des Airbnb, ville par ville.

    L’équipe de l’université néerlandophone de Bruxelles s’est procurée les chiffres pour 2019, période avant COVID. Ils lui ont permis de dresser un portrait pour le moins nuancé du marché de la location Airbnb à Bruxelles.

    Les chercheurs ont divisé les propriétaires en plusieurs catégories : ceux qui proposent, occasionnellement, une chambre dans un appartement ou une maison ; ceux qui offrent un appartement entier, mais moins de 120 jours par an (c’est le cas des personnes qui sont souvent en voyage professionnel, par exemple) ; ceux qui proposent un seul bien, mais pendant plus de 120 jours ou qui mettent deux appartements en location et enfin ceux qui disposent de plus de trois biens.

    Pour les auteurs de l’étude, seules les deux premières catégories peuvent être classées comme jouant le jeu de l’économie de partage chère à Airbnb. Ils représentent 55% du total des propriétaires présents sur la plateforme.

    A côté, ceux qui mettent deux biens en location ou un seul bien mais plus de 120 jours par an représentent 29% du total. Pour les professeurs de la VUB, ce ne sont pas des amateurs, mais des investisseurs.

    Enfin, il y a les professionnels : 16% des propriétaires bruxellois présents sur la plateforme proposent au moins trois bien à la location. Les chercheurs ont même dénombré 32 personnes qui ont plus de 10 appartements.

    Sans grande surprise, professionnels et investisseurs préfèrent proposer des locations à proximité de la Grand’Place, là où les touristes cherchent à se loger, ou près des institutions européennes, visant ainsi plus une clientèle professionnelle. Les auteurs de l’étude pointent également un détail amusant : la concentration des locations Airbnb correspond à celle des restaurants : plus il y a de restos, plus il y aura d’Air BNB dans les environs.

    Selon l’étude, il y avait, en 2019, 11.427 biens disponibles sur la plateforme à Bruxelles. Si l’on enlève les propriétaires qui jouent le jeu de l’économie partagée, cela laisse encore quelque 5.000 biens qui sont soustraits au marché locatif de la capitale. Prochaine tâche pour les auteurs de l’étude : tenter de déterminer quelles pressions éventuelles cette soustraction exerce sur les loyers bruxellois.

    airbnb #uber #logement #exclusion #paupérisation #tourisme #domination #algorithme #bénéfices #gentrification #urbanisme #disruption #urbanisme #urban_matter #ville #villes #géographie_urbaine

  • Etrange accident à la fin de l’A19 à Ypres : les deux conducteurs prennent la fuite Flandreinfo.be

    L’accident s’est produit vers 21h30 hier soir, juste avant la fin de l’autoroute A19 à Ypres. Un petit camion et une Ford Fiesta, tous les deux immatriculés en Pologne se sont percutés et ont ensuite heurté la berme centrale. Le petit camion s’est renversé, bloquant les deux voies de circulation. La voiture polonaise s’est arrêtée sur la bande d’arrêt d’urgence un peu plus loin. Un panneau de signalisation indiquant une limitation de vitesse de 90 km/h a également été brisé.

    L’autoroute étant complètement bloquée, la police et les pompiers ont dû mettre en place une déviation.

    La police et les pompiers ont dirigé la circulation à la sortie « Ieper centrum » de l’autoroute jusqu’après les travaux de remorquage. Quelques dizaines de véhicules bloqués ont dû attendre après 23 heures avant de pouvoir reprendre la route.

     #travail #travailleurs_détachés #union_européenne #en_vedette #exploitation #ue #Belgique #Pologne #esclavage #dumping_social #europe #migrations #fraude ? #revue_de_presse

    • Dans la capitale de l’union européenne, pendant ce temps là :
      Des mineurs de plus en plus jeunes et de plus en plus nombreux vivent dans la rue, à Bruxelles
      https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_des-mineurs-de-plus-en-plus-jeunes-et-de-plus-en-plus-nombreux-vivent-da

      Les associations « Médecins sans frontières », « Médecins du monde », « SOS jeunes », et la « plateforme citoyenne » lancent ensemble un cri d’alarme. Elles s’inquiètent de la situation des mineurs étrangers non accompagnés (MENA). Depuis des mois, leur situation s’aggrave, disent ces associations. Leur nombre ne fait qu’augmenter. Et leur prise en charge est inadaptée. Au point que de plus en plus d’enfants vivent dans les rues de Bruxelles.

      Des enfants de 9 ans
      « On voit de plus en plus de ces jeunes que ce soit sur les maraudes, lors des visites de squats ou sur les réponses d’hébergements d’urgence, explique Julien Buha Collette, chef de mission pour Médecins Sans Frontières Belgique. Quand on parle de ces jeunes, ça va jusqu’à 9 ans. Ce sont des enfants qui sont dans la rue et confrontés aux violences de la rue. Parfois avec des parcours migratoires assez violents. Ils se retrouvent dans ces situations avec aucun endroit pour se poser ».

      Combien sont-ils ?
      Impossible d’évaluer leur nombre. En 2020, l’administration de tutelle recensait entre 600 et 700 MENA, mais les organisations de terrain pensent que le chiffre est sous-estimé car beaucoup sont invisibles. Pour avoir une idée de l’ampleur de la situation, un exemple est assez éloquent : au mois de juin, 25 places d’hébergement ont été ouvertes par ces associations pour répondre à l’urgence. Dans les 6 semaines qui ont suivi, expliquent-elles, 163 demandes ont dû être refusées.

      Ils dorment dans des squats, parfois même dans la rue, aux abords de la gare du Nord et de la gare du Midi. Certains d’entre eux sont arrivés du Maghreb, souvent déjà marginalisés. D’autres sont plutôt des migrants de passage venus d’Érythrée, du Soudan, d’Éthiopie. Cela explique en partie pourquoi beaucoup préfèrent rester dans l’ombre. Julien Buha Collette insiste : « Ce sont des enfants. Arriver en Belgique et être mis à la rue après avoir fait tout ce parcours-là, je trouve assez troublant ».

      Les associations réclament un accueil inconditionnel
      Les associations de terrain aujourd’hui se sentent démunies. Elles dénoncent une prise en charge insuffisante et inadaptée de ces enfants : « Les MENA que nous rencontrons souhaitent simplement pouvoir avoir un toit pour la nuit, de la nourriture, l’accès à une douche, à des vêtements et des soins  » explique Maité Montuir, chargée du projet Médibus de Médecins du Monde. Aujourd’hui, les quatre associations réclament deux choses : des logements adaptés pour les mineurs. Et un accueil sans conditions.

  • Louvain-la-Neuve : fin de la navette autonome testée par le TEC 1/9/2021
    https://www.rtbf.be/info/regions/brabant-wallon/detail_louvain-la-neuve-fin-de-la-navette-autonome-testee-par-le-tec?id=1083388

    La navette autonome de Louvain-la-Neuve ne roulera plus à partir de ce mercredi matin. Elle a transporté quelque 1600 personnes en 6 mois.

    L’expérience pilote menée par le TEC est terminée. La société de transport va, à présent, analyser toutes les données recueillies par les capteurs du véhicule, mais aussi les retours donnés par les voyageurs et les accompagnateurs.

    Stéphane Thiery (porte-parole de la société de transports) : « La navette comporte un grand nombre de capteurs qu’elle a enregistrés. Elle a appris grâce aux enregistrements tout au long de ces 6 mois. Nous allons analyser ces données dans le détail pour en tirer des conclusions qui peuvent après être en partie récupérées sur du matériel classique ».

    Pas de navettes autonomes dans nos villes
    Si le bilan est globalement satisfaisant, malgré quelques couacs d’utilisation, dont un accrochage en mai dernier, l’idée n’est pas de généraliser ce type de transport dans l’immédiat. Comme insiste Stéphane Thiery. "Nous allons vers l’autonomie dans des situations bien particulières. Ici, nous sommes à Louvain-la-Neuve, sur un site universitaire, qui est fort pédestre donc il n’y a pas trop de complexités. Or, on constate qu’avec peu de difficultés c’est déjà difficile à mettre en œuvre. Il ne faut pas imaginer ce type de navette dans les centres-villes classiques dans les dix prochaines années. C’est progressivement que nous allons intégrer des éléments de technologie dans le matériel de demain. Je pense à un exemple bien précis, la navette autonome arrive toute seule à l’arrêt, au millimètre près, à la bonne vitesse, au bon endroit, elle ouvre ses portes exactement à l’endroit où nous l’avons programmée. Cette fonctionnalité, nous pouvons la reprendre sur un bus normal où le conducteur conduit durant tout le trajet mais quand il arrive à l’arrêt, pour lui simplifier l’accostage, cela se fait de manière automatisée".

    L’expérience des bus à la demande, toujours sur Louvain-la-Neuve, est quant à elle prolongée d’un an. La zone desservie est d’ailleurs élargie vers le centre d’Ottignies et l’hôpital.

     #transport #voiture #mobilité #innovation #navette_autonome #argent_public pour supprimer des #emplois et faire de la recherche au profit des fabricants de #voitures_autonomes

  • #Belgique : Mouscron : les salles de sport belges attirent un public français dépourvu de pass sanitaire
    https://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_mouscron-les-salles-de-sport-belges-attirent-un-public-francais-depourvu

    Ils sont Français, fans de sport et ils n’ont pas de pass sanitaire. Dans leur pays, les salles de sport leur sont inaccessibles. Comme ils n’habitent pas trop loin de la frontière, ils la traversent pour venir faire leurs exercices dans des salles belges, comme à Mouscron. « C’est super pratique » nous explique une cliente de la chaîne Basic-Fit. « Mon abonnement est également valable en Belgique. Je peux continuer à me maintenir en forme en venant ici. Sinon j’aurais dû résilier mon abonnement ».

    Cet afflux de Français ne concerne qu’"un nombre très limité de clubs frontaliers", précise Kevin Ayeni, responsable marketing Benelux de la célèbre chaîne de salles de sport. Dans ces lieux-là, les créneaux horaires se remplissent plus rapidement. "J’ai remarqué qu’il y avait énormément de places en France, du côté de Tourcoing, par exemple, note une cliente qui vit en Belgique. Par contre, ici, à Mouscron, j’ai dû m’y prendre deux jours à l’avance pour avoir un créneau ce matin. C’est compliqué".

    « Je me sens en sécurité »
    C’est davantage ce délai qui pose problème aux clients belges qu’une question de sécurité. « Personnellement, je me sens en sécurité », poursuit notre interlocutrice. "Tout le monde désinfecte sa zone. Avant, après, tout le monde porte le masque. Un appareil sur deux ne fonctionne pas pour qu’on puisse avoir de l’espace…"

    Chez Universal Fitness, une autre salle mouscronnoise, on accueille les nouveaux arrivants à bras ouverts : « On a des nouveaux inscrits pour la rentrée qui viennent de Lille ou même de plus loin », explique Deborah Devooght, propriétaire de l’établissement. "Certains sont prêts à faire près d’une heure de route pour faire leur sport sans pass sanitaire".

    Patron de salle, pas gendarme
    Ici, on sait que la frontière crée des appels d’air dans l’un ou l’autre sens. Et on ne voit pas pourquoi il faudrait faire preuve de discrimination avec ce public français. « On ne demande pas aux Belges s’ils sont vaccinés ou pas. Donc, les Français ne sont pas plus dangereux que les Belges. On ne va pas leur demander s’ils ont le pass ou pas. Ce n’est pas notre rôle d’enquêter. » Mais c’est leur responsabilité de limiter les risques de transmission. Et pour cela, « On appliquera des règles plus strictes, malgré les assouplissements en vigueur. »
    #Fitness #pass_sanitaire #frontiéres #covid-19 #variants #vaccins #vaccination #sars-cov-2 #vaccin #variant #coronavirus #sars-cov2 #santé #covid

  • Prises électriques verrouillées : une mesure anti-SDF dans la Gare centrale de Bruxelles Philippe Carlot

    Dans la salle des pas perdus de la Gare Centrale de Bruxelles, l’ensemble des prises électriques installées dans les murs ont été verrouillées. A l’exception d’une seule, probablement victime de vandalisme. Nous parcourons les lieux en compagnie de Jose Parades, membre de l’Union bruxelloise des SDF et constatons, en effet, que les prises électriques sont inutilisables en l’état. Reste à savoir pourquoi. 

    Une mesure anti-SDF ?
    Jose Parades a sa petite idée sur la question : "J’ai découvert ça récemment et j’ai trouvé ça scandaleux. Pour moi, mais je peux me tromper, ce dispositif a été imaginé pour éloigner les SDF de l’intérieur de la gare. Avant qu’il n’y ait ces clés, je voyais des SDF charger leur GSM, leur seul moyen de communication pour trouver un logement. C’est très important pour garder un contact familial, envoyer des SMS, pour communiquer, même avec son assistant social. En période de Covid, on leur a dit d’utiliser leur GSM et de communiquer via WhatsApp ou d’envoyer des SMS pour contacter leur assistant social. Mais s’il ne peut pas recharger son téléphone, le SDF ne peut plus contacter son AS. 
     
    La SNCB confirme
    A l’entrée de la gare se trouvent quelques employés de la SNCB chargés d’informer les voyageurs. Nous posons la question à l’un d’entre eux : pourquoi les prises électriques ont-elles été verrouillées ? La réponse confirme les craintes de Jose Parades. Il s’agit bien d’une mesure destinée à empêcher les personnes sans-abri d’utiliser les prises de courant, parce que cela posait des problèmes de sécurité, nous explique l’employé. Ces prises servent essentiellement au personnel d’entretien et aux engins utilisés pour nettoyer les sols de la gare. 

    L’intégralité de l’article : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_prises-electriques-verrouillees-une-mesure-anti-sdf-dans-la-gare-central

    #sdf #sans-abris #pauvreté #sans-abri #sans-abrisme #Bruxelles #anti-sdf #Belgique #sans_domicile_fixe #espace_public #guerre_aux_pauvres #électricité #énergie #GSM #smartphone

    • En réponse, la gare centrale de Bruxelles se lance dans l’éloge des obscénités inutilisées !

      Le salon royal de la Gare Centrale bientôt ouvert au public ArBr avec Belga – Photo : A. Dumarey via M. Louyest
      https://bx1.be/categories/news/le-salon-royal-de-la-gare-centrale-bientot-ouvert-au-public

      Le lieu est méconnu, mais se situe pourtant au coeur de la Gare Centrale, à Bruxelles : le salon royal, conçu en 1952 dans un style Art Déco. Lors de l’Expo 58, c’est là que seront reçues les délégations étrangères. Le lieu est un vrai petit bijou, avec des éléments de tannerie conçus par les artisans de la maison Delvaux, et des murs en marbre. Si aujourd’hui, ce salon est un secret bien gardé, il ouvrira ses portes cet été.


      En effet, du 23 juillet au 19 septembre s’y trouvera l’installation artistique “Voyage au bord du mon de“, réalisée par l’artiste Myriam Louyest, et conçue tout spécialement pour le lieu. “Elle établit une relation étroite entre l’esprit du lieu et les sculptures qui y sont exposées. Le salon est comme une bulle de tranquillité dans l’agitation de la gare, un écrin à la préciosité d’un autre temps. Il est un monde à la frange du nôtre, tout en en faisant partie“, expliquent les organisateurs.

      “Certaines réalisations évoquent la figure du Roi Baudouin, alors que d’autres parlent de l’idée d’un périple. Toutes révèlent en creux la fragilité de l’humain, qu’il soit puissant ou simple passant. On y découvrir des interventions discrètes (savon de marbre dans la salle d’eau, petites météorites de verre, cailloux dorés), et d’autres plus spectaculaires, comme à la fin du parcours un jardin de verre“, ajoutent-ils.

      L’événement est organisé par TrainWorld, et est gratuit du jeudi au dimanche, sur réservation via le site de TrainWorld.

    • La famille royale de Belgique connait bien les voitures automobiles, et les avions, pour ses déplacements.

      A quoi servent ces salons inutilisés ?
      A rien.
      Le principal, c’est qu’ils ne puissent servir à personne.

  • Douze morts du Covid à la résidence Nos Tayons à Nivelles : une enquête épidémiologique pour tenter de comprendre ce qui s’est passé Hugues Van Peel

    Une enquête épidémiologique très fouillée est actuellement menée dans la maison de repos « Nos Tayons » à Nivelles, où un foyer d’infection au coronavirus (variants anglais et indien) a été détecté le 17 mai. Douze résidents sont morts en quelques jours, alors qu’ils avaient été vaccinés. Quatre autres personnes sont toujours hospitalisées, mais l’une d’elle va pouvoir rentrer ce lundi car son état s’est amélioré.

    Pourquoi le Covid-19 a-t-il infecté autant de monde (environ la moitié des 121 résidents) et pourquoi a-t-il causé autant de morts, alors que la maison de repos avait été épargnée jusqu’à présent ? Pourquoi un tel foyer alors que taux de vaccination est proche de 100% chez les résidents et avoisine les 73% au sein du personnel ? L’enquête devra répondre à ces questions.
    . . . . . . .
    t si les analyses du CO2 montrent qu’il n’y a pas de virus dans l’air, on espère pouvoir déconfiner progressivement, surtout la partie où se trouvent les patients négatifs et le rez-de-chaussée où tout le monde va bien, pour qu’on puisse suivre l’Euro de football dans de bonnes conditions.

    L’intégrale de l’article : https://www.rtbf.be/info/regions/brabant-wallon/detail_douze-morts-du-covid-a-la-residence-nos-tayons-a-nivelles-une-enquete-ep

    #vaccin #covid-19 #vaccination #sante #vaccins #vaccin #en_vedette #santé #coronavirus #sars-cov-2 #sars-cov2 #Belgique

  • #Belgique Leuze-en-Hainaut : un seul communiant à la Collégiale Saint-Pierre pour ce jeudi de l’Ascension

    C’était le seul enfant sur le perron de la Collégiale Saint-Pierre en ce jeudi de l’Ascension. Bastien célèbre sa petite communion :  "Je suis un peu stressée parce que c’est ma première communion, je n’ai pas vraiment l’habitude. Cela fait bizarre d’être ici, entouré de personne", explique le petit garçon. C’est une autre conséquence de l’épidémie, beaucoup de parents ont décidé de postposer à l’année prochaine la communion de leurs enfants. Un avis qui n’est pas celui d’Elie, le papa de Bastien :  "On a déjà reporté l’année dernière donc au bout d’un moment faut que cela se fasse" , explique le père du communiant. « C’est une étape importante dans le développement de mon fils. C’est une étape qui le fait grandir et il arrive tout doucement vers la vie d’adulte » , termine Elie.

    Une période allongée
    Dans la paroisse, environs 140 enfants étaient inscrits pour la communion depuis septembre dernier. Une cinquantaine d’enfants ont décliné et reporté la cérémonie à l’année prochaine.

    Suite : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_leuze-en-hainaut-1-seul-communiant-a-la-collegiale-saint-pierre-pour-ce-

    #religion #tradition #religions #catholicisme #en_vedette #catholicisme #christianisme #covid-19 #coronavirus #santé #confinement #sars-cov-2 #covid #pandémie

  • Bruxelles : Un Youtubeur français secoué durant la fête à Flagey (PHOTOS)
    https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/un-youtubeur-francais-pris-a-partie-durant-la-fete-a-flagey-photos-60979a519

    Loris Giuliano, Youtubeur français au million d’abonnés, était à Bruxelles samedi soir. Accompagné de quatre autres personnes, il s’est rendu à Flagey, où des centaines de personnes profitaient de la réouverture des terrasses. Arrivé en voiture à hauteur de la place Sainte-Croix, le Youtubeur s’est retrouvé encerclé par la foule. Des gens se sont mis à taper sur le véhicule.

    C’est finalement la police qui a aidé Loris Giuliano et ses compagnons à se dégager de ce rassemblement. Ils ont tout de même tous les cinq été contrôlés par les policiers, au commissariat, avant de pouvoir repartir assez rapidement.

    #en_vedette #abrutis #fait_divers

  • Belgique : "Journalope", "Collabo","On va te pendre" : quand les agressions verbales et les menaces se multiplient pour les journalistes de terrain Barbara Boulet, RTBF, 29 Avril 2021

    C’est un 1er avril qui n’aura pas amusé mon collègue Pierre-Yves. Pierre-Yves Meugens est reporter à Bruxelles. Cet après-midi-là, pour la radio, il part relayer une équipe au bois de la Cambre où s’est organisée une grande "boum" en dépit des mesures sanitaires. https://www.rtbf.be/info/regions/detail_des-milliers-de-personnes-reunies-au-bois-de-la-cambre-une-operation-de-

    Il est à peu près 17h30 quand Pierre-Yves arrive sur place. Entre les projectiles qui volent, les autopompes qui arrosent, et la charge de la cavalerie, il reçoit des jurons. "A 8 ou 9 reprises sur la soirée, des gens qui voyaient le sigle RTBF sur mon micro, me criaient des insultes comme ’Merdia’ ou ’Journalope’, se souvient Pierre-Yves. A un moment, une voiture est passée, un passager m’a crié ’collabo’. Je n’ai pas répondu. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, quand un plus jeune, apparemment ivre, criait en boucle ’journalope’ que j’ai fini par réagir, j’en ai eu marre. Je lui ai demandé pourquoi il disait ça et s’il imaginait une démocratie sans journalistes. Je lui ai expliqué que j’étais là notamment pour leur laisser la parole, à lui et aux autres participants. Il m’a dit que de toute façon, j’allais déformer. Je vais le dire franchement : ce soir-là je suis rentré découragé, même si la majorité des gens ont été respectueux et même charmants"

    Un policier conseille de partir
    Dix jours plus tôt, au même endroit, c’est une équipe de l’émission télé Investigation qui se fait malmener, en marge d’une manifestation contre la "dictature sanitaire". "Dégagez ! Vous n’avez rien à faire ici" s’époumone un manifestant, puis "Je ne te cause pas sale pute", à la journaliste qui tente de défendre son droit d’être là. Des participants devront même s’interposer entre un homme particulièrement agressif et l’équipe. Un policier en civil ira jusqu’à conseiller à l’équipe de quitter les lieux pour sa sécurité. Et au moment où les collègues s’éloignent, fusent encore des "Menteurs !" et autres "Bande de collabos". "J’avais le sentiment qu’il ne s’agissait plus d’une simple question de défiance, se souvient aujourd’hui la journaliste Clémence Dath. Mais bien d’une forme de haine » . La RTBF a décidé de déposer une plainte en justice pour ces faits.

    Ces exemples-là se sont multipliés ces dernières semaines. Et pas uniquement sur les lieux de manifestations tendues, d’ailleurs. Ainsi, un de ces dimanches matins, à Liège, mon collègue technicien radio Renaud Huvelle pousse la porte d’une rôtisserie du quartier des Guillemins à Liège. Le suit un homme d’une quarantaine d’années très énervé, qui se met à l’insulter et à le traiter d’assassin. Renaud n’était pas de service ce week-end-là, mais il portait un masque siglé RTBF. "L’homme était difficile à interrompre, se souvient Renaud. Il semblait vouloir en venir aux mains. J’ai essayé de calmer la situation en minimisant mon rôle à la RTBF. La serveuse a essayé d’appeler la police. Il est finalement parti au bout de 10 minutes".

    Voitures banalisées, matériel moins siglé
    Avec la crise sanitaire et les mesures adoptées par le gouvernement, sans généraliser pour autant, les situations de tensions se sont multipliées pour les équipes de terrain. Au point qu’aujourd’hui, il leur arrive de mettre en place des stratégies – improvisées ou non- pour les éviter. Par exemple, le week-end dernier, les collègues télé qui ont couvert les événements de Droixhe se sont consciencieusement abstenus de rester statiques et visibles pendant les minutes qui ont précédé l’intervention en direct. "Il y a quelques années, ces réflexes n’existaient pas", commente Anne Poncelet qui coordonne la couverture de l’actualité liégeoise à la RTBF. "Récemment, j’ai même retiré la garde de week-end d’une journaliste enceinte car j’avais peur qu’elle soit confrontée à de pareilles tensions".

    Des équipes de deux personnes au moins
    Cela fait aussi un moment que la RTBF anonymise davantage les reporters : matériel moins siglé et dans certains cas, même, des voitures banalisées. A la rédaction, où des cas sont "surtout remontés depuis la fin de l’année dernière", le problème est d’ailleurs pris au sérieux par la direction de l’information, qui l’inscrit systématiquement à l’ordre du jour de ses comités éditoriaux pour faire le point avec les chefs d’équipe, rappeler les consignes de sécurité ou annoncer de nouvelles mesures. La RTBF essaie de ne plus envoyer de journalistes ou cadreurs seuls sur les manifestations, par exemple.

    "Nous avons une double crainte, commente le directeur de l’Information Jean-Pierre Jacqmin. D’abord, bien sûr, qu’un membre de l’équipe se fasse agresser. Ensuite, il y a le risque de perdre le contrôle éditorial". C’est le cas où une équipe ne peut plus maîtriser son intervention en direct.

    Ce qui s’est passé avec l’équipe d’investigation (à qui un policier a conseillé de quitter la manifestation) pose aussi sérieusement question : la presse finira-t-elle par déserter certains lieux d’actualités pour raison de sécurité ? Des journalistes vont-ils finir par craindre d’aller sur le terrain ?

    Jean-Pierre est en contact régulier avec les directions des autres rédactions francophones pour échanger sur le problème et envisager des solutions. Parce qu’il faut bien dire que le phénomène n’est pas propre à la RTBF et à sa particularité d’être un média de service public.

    Une tendance de fond
    Le journaliste du JT d’RTL Loïc Parmentier nous raconte avoir lui aussi été malmené avec son collègue caméraman dans une petite artère à l’orée du bois de la Cambre. C’était le 2 avril dernier, vers 22h30, à l’issue de ce qu’on pourrait appeler "l’after de la boum". Ils sont pris à partie par une dizaine d’hommes agressifs qui vocifèrent "bande de collabos. On va vous tondre, on va vous pendre". Et qui les accusent d’être "à la solde" tantôt "du gouvernement", tantôt " du capital ". L’un d’eux faisait mine de vouloir donner des "coups de boule". "Impossible de discuter" , se souvient Loïc, qui estime que le problème est devenu récurrent.

    C’est précisément aussi l’avis de l’Association des journalistes professionnels, l’Ajp. La secrétaire générale Martine Simonis ne cache d’ailleurs pas son inquiétude : "On doit faire le constat d’un climat hostile, de menaces. Avant, on avait des événements sporadiques lors de manifs qui tournent mal. Des cas isolés. On a aujourd’hui beaucoup plus un mouvement de fond qui vise les journalistes. Donc avec des groupes qui pensent qu’il faut agresser des journalistes. Que les journalistes sont leurs ennemis. Ces groupes sont très minoritaires mais très actifs et très visibles dans l’espace public". Aucun média ne serait d’ailleurs épargné. Même si l’audiovisuel et les photographes de presse écrite sont sans doute plus exposés, en raison de leur plus grande visibilité.

    Journalistes perçus comme symboles de l’autorité
    La secrétaire générale explique que ce public-là perçoit les journalistes comme des symboles de l’autorité, ce qu’ils ne sont pas : "Pour toutes ces personnes en opposition – et c’est tout à fait leur droit de l’être- les journalistes sont les seuls qu’ils peuvent atteindre pour se défouler. Les politiques, ils ne les atteignent pas. Les représentants de l’ordre, ils préfèrent ne pas s’y frotter. Ils assimilent les journalistes au pouvoir… Ce qui est une vraie erreur d’analyse".

    Comme journalistes, nous ne sommes pas les porte-parole des autorités, même s’il faut admettre que la crise sanitaire en particulier a montré la difficulté de trouver au quotidien la juste distance, le recul critique nécessaire.

    Photographe grièvement blessé à Reims
    Si ce climat hostile a atteint la Belgique aujourd’hui, il a aussi sérieusement progressé partout en Europe. Avec de récentes dérives graves : fin février, un photographe de L’Union, à Reims en France, a été grièvement blessé, après une agression par un groupe de 13 personnes, à proximité de la voiture qui portait le logo du journal. "Ce sont des attaques qu’on voyait avant dans des pays compliqués pour la liberté de la presse comme le Mexique ou certains pays de l’Est. Et tout à coup, on voit que les attaques physiques se passent aussi ici".

    La situation s’aggrave en Europe
    Heureusement, toutes les agressions sont loin d’être aussi graves. Mais quand même. D’après la plateforme du conseil de l’Europe pour renforcer la protection du journalisme et la sécurité des journalistes, l’an dernier, en Europe, 70 alertes ont été recensées pour des cas (sérieux) de harcèlement et d’intimidations (dont 4 pour la Belgique). 52 pour des faits de violences physiques (aucune en Belgique). A titre de comparaison, en 2019, il n’y en avait "que" respectivement 43 et 33. Plus préoccupant encore : pour ce début d’année 2021, il y a déjà eu 29 alertes pour violences physiques, c’est presque autant que pour toute l’année 2019.

    La méthode trumpienne favorise les agressions
    "En Europe, on observe deux tendances nouvelles, analyse Ricardo Gutiérrez, secrétaire général de la Fédération européenne des journalistes (FEJ). Des agressions physiques, souvent dans le cadre de couvertures de manifs. Il y a eu des cas en France, en Grèce, en Italie, en Pologne, en Russie, en Espagne, en Turquie, au Royaume-uni et en Serbie. Et puis on a des attaques verbales qui émanent de politiciens de haut rang, parfois même de premiers ministres. Même au Royaume Uni, une ministre s’en est prise à une journaliste. C’est la méthode trumpienne, faire passer les journalistes pour les ennemis du peuple. Les discréditer en les critiquant verbalement. Le problème est que ces critiques verbales quand elles émanent de l’autorité publique, incitent au passage à l’acte. Quelqu’un d’un peu énervé dans une manif tapera plus vite sur un journaliste quand le Premier ministre du pays aura verbalement agressé les médias".

    Inertie des États
    Le secrétaire général de la Fédération européenne des journalistes pointe aussi l’inertie des États en la matière : "La liberté de la presse est un droit qui exige des États qu’ils prennent des mesures pour que ce droit s’exerce pleinement. Mais ils ne le font pas. Ils ont presque tous (sauf la Russie) voté une recommandation en 2016, mais à part la Suède et les Pays-Bas [où la situation a pris des proportions énormes, voir encadré ci-dessous], personne n’a pris d’initiatives ni de mesures concrètes depuis lors. C’est ça qui est grave : les États se donnent une image de protecteur de liberté de la presse mais ils ne prennent pas de mesures concrètes". Dans le rapport d’évaluation du Conseil de l’Europe, pas de trace de la Belgique : "Elle n’y est pas du tout citée car elle n’a rien fait" , regrette Ricardo Gutiérrez.

    La suite : https://www.rtbf.be/info/inside/detail_journalope-collabo-on-va-te-pendre-quand-les-agressions-verbales-et-les-

    #journalisme #médias #censure #presse #_journaliste #fait_divers #politique #conseil_de_l_europe #presse #propagandistes

  • Bruxelles : un homme retrouvé mort dans sa cellule au commissariat RTBF
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_bruxelles-un-homme-decede-dans-sa-cellule?id=10677678

    Le parquet de Bruxelles a annoncé ce mardi soir avoir été avisé par la zone de police Bruxelles-capitale-Ixelles qu’un homme était décédé "en cellule". Celui-ci avait été interpellé la veille administrativement.

     » Avisé de ces faits, le parquet de Bruxelles a immédiatement ordonné divers devoirs d’enquête. Il a notamment requis la reprise de l’enquête par le Comité P ainsi que la saisie des images de vidéo-surveillance du complexe cellulaire ainsi que celles de son arrestation" , ajoute un communiqué. Un magistrat du parquet, le médecin légiste, ainsi que le comité P sont descendus sur place.  » Une autopsie sera réalisée demain (mercredi) par le médecin légiste." Objectif : déterminer les circonstances exactes ayant entouré le décès de cet homme.

    Selon le journal La Capitale, la personne serait de nationalité algérienne et âgée d’une trentaine. La cellule est située dans le complexe policier de la rue Royale, où se trouve également la police fédérale.

    #Bruxelles #Belgique #commissariat #violences_policières #police

  • Belgique : Le Conseil d’État accable le gouvernement flamand qui veut supprimer l’aide aux personnes handicapées
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_le-conseil-d-etat-accable-le-gouvernement-flamand-qui-veut-supprimer-l-a

    Le gouvernement flamand maintient son projet d’extinction progressive du budget du soutien de base destiné aux personnes handicapées, malgré un avis plutôt accablant émis par le Conseil d’État le 22 décembre dernier.

    Le gouvernement Jambon a en effet adopté un arrêté dans ce sens le 23 décembre dernier. Selon le Conseil d’État, l’exécutif flamand « diminue » pourtant « le niveau de protection offert » . La Haute instance parle d’une « régression significative non justifiée par des raisons d’intérêt général ».

    L’intention du gouvernement flamand est d’unifier les différents budgets de soins existants (pour les personnes gravement dépendantes, les personnes âgées nécessitant des soins et les personnes handicapées). Dans cette perspective, le ministre flamand du Bien-être, Wouter Beke (CD&V), souhaite que le budget de soutien de base pour les personnes handicapées s’éteigne progressivement à partir de cette année. Celui-ci est octroyé sous la forme d’une somme forfaitaire de 300 euros que les personnes handicapées peuvent utiliser librement. . . . . .

  • Valider son trajet à chaque voyage quand on est abonné : le juge de paix de Forest rappelle la STIB à l’ordre
    https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_valider-son-trajet-a-chaque-voyage-quand-on-est-abonne-le-juge-de-paix-d

    Kaddour Sellika n’est pas du genre à se laisser faire. Abonné à la Stib, il estime ne pas avoir à valider son abonnement à chaque trajet puisqu’il a payé à l’avance pour voyager sur le réseau de la Stib. Un jour, Kaddour Sellika subit un contrôle. Il présente son abonnement. Mais l’absence de validation est sanctionnée d’une amende de 10 euros. Il refuse de payer. Une question de principe Ce Bruxellois en fait une question de principe. La Stib n’a pas à connaître ses déplacements en recueillant ses (...)

    #STIB-MIVB # #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #données (...)

    ##_ ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##Mobib

    • C’est une partie du processus en Hollande ou il faut valider chaque trajet en prenant un trpt en commun, ET, en le quittant.
      Deux validations par trajet... Comme il faut aussi valider sa sortie d’une gare ferrovière.

  • Journal d’une quarantaine : semaine du 20 au 26 avril 2020
    http://onpk.net/index.php/2020/05/04/789-journal-dune-quarantaine-semaine-du-20-au-26-avril-2020

    20 avril 2020

    Sur la route du bureau (15 minutes pour arroser les plantes), de quoi rire...

    22 avril On a regardé Mon voisin Totoro, on regardera Ponyo sur la falaise. Madeleine s’essaie au dessin animé façon très vieille école : de l’aquarelle sur du papier. Cela permet de...

    #Quarantaine_2020

    • Le pire, impossible de skier

      #MDR : La piste de ski de Comines, fermée depuis un mois et demi, continue à fabriquer de la neige
      https://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_la-piste-de-ski-de-comines-fermee-depuis-un-mois-et-demi-continue-a-fabr

      Cette période de confinement pèse de plus en plus lourd pour les entreprises qui sont fermées depuis de nombreuses semaines. Le secteur du tourisme, les parcs d’attraction, les centres sportifs doivent tenter de se maintenir en vie sans aucune rentrée financière. Pire encore, pour certains, il faut continuer à assumer les coûts.

      Exemple, pour Ice Mountain, la piste de ski intérieure, située à Comines. Ice Mountain doit continuer à refroidir ses pistes de ski (à moins 6 degrés) et à produire de la neige.

      Maintenir cette neige nécessite énormément d’énergie. Les 265 panneaux solaires ne suffisent pas. Et la facture est salée. Très salée. Impossible de savoir à combien elle se monte, mais « la prime des 5.000 euros que nous recevons est légère par rapport à ce que ça coûte », admet-il.

      Le patron d’Ice Mountain regrette d’autant plus en cette période qu’on ne lui ait pas accordé le permis pour l’installation de deux éoliennes : "C’est vraiment dommage. On regarde à l’aspect écologique, énormément. On cherche des solutions et quand on en trouve, on ne peut pas les faire. Donc maintenant quand on me dit que nous sommes énergivores, j’ai envie de répondre : « oui mais non ». Parce qu’on a des solutions, et on ne nous donne pas les autorisations de les mettre en oeuvre."

      Pas un seul skieur n’a mis les pieds sur les pistes cominoises depuis le 14 mars.

      #neige #énergie #éoliennes #écologie #gaspillage #Belgique #confinement #Sport