Arrivé à Paris dans les 60’s, James Baldwin observe que si on est prompt à déplorer devant lui le racisme américain, peu s’interrogent sur le sort réservé à ceux qu’il appelle « les misérables », maghrébins malmenés et violentés. La suite ici...
Arrivé à Paris dans les 60’s, James Baldwin observe que si on est prompt à déplorer devant lui le racisme américain, peu s’interrogent sur le sort réservé à ceux qu’il appelle « les misérables », maghrébins malmenés et violentés. La suite ici...
Merci. Il y était aussi fait allusion ici, en anglais :
“How Does It Feel To Be a White Man ?” : William Gardner Smith’s Exile in Paris
Adam Shatz, The New-Yorker, le 11 août 2019
►https://seenthis.net/messages/796975
#James_Baldwin - Chassés de la lumière (No Name In The Street), Ypsilon, 1972
►http://www.ypsilonediteur.com/fiche.php?id=134
... « bien qu’ils parlassent »... C’est la traduction "–revue, corrigée et enfin complète– de Magali Berger ?
De chez moi je n’ai pas accès au document, pas de certificat SSl...
@gonzo
▻http://ypsilonediteur.com/fiche.php?id=134
lire un extrait ►http://ypsilonediteur.com/images/documents/134.pdf
Traduction –revue, corrigée et enfin complète–
de Magali Berger
Postface de Félix Boggio Éwanjé-Épée
& Stella Magliani-Belkacem