• #Coronavirus : « Une seconde vague pourrait durer bien plus longtemps que la première » - Libération
    https://www.liberation.fr/france/2020/06/10/une-seconde-vague-pourrait-durer-bien-plus-longtemps-que-la-premiere_1790

    ... ce frein estival sur les virus respiratoires est une caractéristique épidémiologique qui relève uniquement des zones tempérées du globe. Les zones intertropicales ne sont pas concernées par cette digue saisonnière : par exemple, le virus de la grippe y produit des épidémies tout au long de l’année. En revanche, dans les pays tempérés de l’hémisphère Nord, comme au Sud, on n’observe jamais d’épidémie de grippe à la belle saison.

    • Nous ne sommes pas revenus à la vie d’avant. Toutefois, il est temps d’accompagner notre relâchement par une vraie stratégie participative de réduction des risques. Prenons un exemple d’actualité : plutôt que de dire aux gens qu’il ne faut pas manifester parce que c’est trop dangereux, il vaut mieux les informer des risques et leur proposer de les réduire en portant (correctement) un masque et respectant autant que possible les distances sociales. On peut aussi inviter les forces de police à restreindre l’usage des gaz lacrymogènes qui font tousser et larmoyer. L’heure n’est plus à la logique de prohibition et d’interdiction. La santé publique est restée un peu paternaliste. Elle devrait être désormais plus responsabilisante et associer les gens à leur propre prise de risque.

    • « De la première gouttelette de contamination jusqu’à la guérison (ou au décès) : ce que fait très concrètement le #COVID19 à votre corps, du gros et beau boulot ! »
      https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/06/12/covid-19-au-c-ur-de-la-bataille-immunitaire-contre-le-virus_6042632_4355770.

      Décryptages« Le Monde » a reconstitué la façon dont ce virus, le SARS-CoV-2, prend principalement place dans l’organisme, et pourquoi il est redoutable chez certains patients.

      Totalement inconnu il y a six mois, le virus SARS-CoV-2 s’est répandu sur cinq continents et dans quasiment tous les pays du monde, provoquant une pandémie d’autant plus difficile à contrôler que les scientifiques ne savaient quasiment rien de ce nouveau virus d’origine animale.

      Septième coronavirus connu à pouvoir infecter les humains, le SARS-CoV-2 est le virus responsable du Covid-19, une maladie respiratoire bénigne dans au moins 80 % des cas, mais hautement symptomatique chez 15 % des patients et très grave chez 5 % des sujets.

      Six mois après son émergence, le Covid-19 est désormais relativement bien décrit par de nombreux travaux scientifiques, mais n’a eu de cesse de surprendre les chercheurs par la variété des symptômes et des troubles engendrés dans le corps humain.
      Lire aussi : Covid-19, une maladie multicible

      Voici comment l’infection prend principalement place dans l’organisme, et pourquoi ce virus, le SARS-CoV-2, est redoutable chez certains patients.