OBIANG CONSTRUIT UN MUR DE LA HONTE ENTRE LA GUINÉE ÉQUATORIALE ET LE CAMEROUN

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  • Equatorial Guinea Halts Construction of Cameroon Border Wall

    Equatorial Guinea has agreed to pause the construction of a controversial border wall with Cameroon after talks between the two countries’ defense ministers in Yaoundé. The two sides also agreed once again to withdraw troops from their disputed border after deadly clashes left at least seven people dead. An agreement earlier this month to withdraw forces failed to hold and some border traders are skeptical of this latest pact.

    After a second day of closed-door meetings in Cameroon, Equatorial Guinea’s Defense Minister Leandro Bekale Nkogo said the two sides agreed to set aside their differences.

    Nkogo on Tuesday announced Equatorial Guinea would pause construction of its controversial border wall, which Cameroon’s government says violates its territory.

    He says troops from the two countries that have been deployed to the border will return to their barracks and only come out to protect their civilians in times of crisis. Nkogo says Cameroon and Equatorial Guinea will henceforth jointly combat their common enemies, who are poachers, pirates resurfacing in the Gulf of Guinea, and armed groups attacking and looting civilians in both countries.

    Nkogo said as neighbors, Cameroon and Equatorial Guinea need each other for their security and development.

    Equatorial Guinea’s President Teodoro Obiang Nguema ordered the border wall be built in 2019 to stop Cameroonians and West Africans from illegally entering the country.

    Cameroon deployed its army to stop what it called an intrusion of border markers, leading to armed conflicts and casualties.

    An agreement earlier this month to pull back troops, and jointly demarcate the border, apparently failed.

    Cameroon says at least seven of its civilians were killed in border clashes that followed in the southwestern town of Kye-Ossi.

    But Cameroon’s Defense Minister Joseph Beti Assomo on Tuesday said both sides were firm in seeking an end the border tensions.

    He says the wish of Cameroon’s President Paul Biya is to see Cameroon and Equatorial Guinea become the true brotherly and friendly nations that they were at the dawn of independence. He says both countries have sociological, cultural and geographic relations that should encourage the people of the two states to live in peace and harmony.

    Despite the agreements Monday, not all traders along the border were convinced that the skirmishes will end.

    40-year-old Cameroonian merchant Angelica Amende, who buys wine from Equatorial Guinea to sell back home, doubts the border dispute can soon be resolved.

    She says she does not think there is a political will to solve the crisis on Cameroon’s border with Equatorial Guinea. She says it is not the first-time high-profile delegations have met on the instructions of the two heads of state and the border crisis is yet to end.

    Equatorial Guinea has often accused Cameroon of not doing enough to stop its citizens and other West Africans from crossing the border illegally.

    In 2017, Equatorial Guinea sealed its border with Cameroon for six months after authorities on both sides arrested heavily armed foreigners and accused them plotting to overthrow Obiang.

    The two countries’ leaders are Africa’s longest-serving presidents. Obiang has ruled Equatorial Guinea since 1979, while Biya has ruled Cameroon since 1982.

    Cameroon and Equatorial Guinea in 2017 joined four other states in the Central African Economic and Monetary Community (CEMAC) in agreeing to lift visa requirements.

    Cameroon, the Central African Republic, Chad, Gabon, and the Republic of Congo have since accused Equatorial Guinea of dragging its feet on allowing the free movement of people and goods.

    https://www.voanews.com/africa/equatorial-guinea-halts-construction-cameroon-border-wall
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    • La Guinée Equatoriale suspend la construction d’un mur à la frontière avec le Cameroun

      Les deux pays étaient en froid depuis la décision de Malabo d’ériger un mur entre les deux pays. La Guinée Equatoriale va suspendre les travaux de construction du mur.

      Les tensions ont atteint leur plus haut point, lorsque la Guinée Equatoriale a unilatéralement entrepris d’ériger un mur à la frontière qui la sépare du Cameroun. Les travaux de construction de ce mur de séparation, long de 189 kilomètres et dont la Guinée Equatoriale a toujours nié l’existence, sont désormais suspendus. C’est la plus importante annonce de la rencontre entre les ministres de la Défense des deux pays, réunis les 29 et 30 juin 2020 à Yaoundé.

      Les participants au sommet se sont concertés sur les modalités de collaboration et d’actions sécuritaires à la frontière commune.

      Le mur de la discorde

      Les tensions ont atteint leur plus haut point, lorsque la Guinée Equatoriale a unilatéralement entrepris, en juillet 2019, d’ériger un mur sur la frontière commune.

      À l’époque, Yaoundé avait accusé la Guinée Equatoriale d’avoir empiété sur son territoire, ce qu’avait démenti Malabo. Les tensions avaient été ravivées quand Malabo a entrepris la construction de miradors au même endroit, d’après une publication en juin, du quotidien d’Etat camerounais Cameroon Tribune.

      Joseph Beti Assomo, le ministre de la Défense du Cameroun a salué la décision de la suspension des travaux de construction du mur qui, selon lui, va davantage consolider les liens entre le Cameroun et la Guinée Equatoriale.

      « Ces derniers mois, des incompréhensions se sont multipliées sur ces travaux de fortification par nos frères, le long de la frontière terrestre. Les nouvelles qui nous parviennent portent sur la suspension des travaux, ce qui nous permet désormais de travailler sereinement », espère le ministre camerounais.

      La zone frontalière de la Guinée équatoriale, du Cameroun et du Gabon, appelée zone des trois frontières, est une plaque tournante des échanges commerciaux, mais aussi de trafics.

      La décision de la construction du mur prise en 2019 par Malabo avait surpris. D’autant que les États de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), prônent la libre circulation des personnes et des biens.

      Porte d’entrée en Guinée Equatoriale

      La question de la libre circulation a toujours été une pierre d’achoppement entre le Cameroun et la Guinée Equatoriale. Malabo estime que le Cameroun est la porte d’entrée de nombreux ressortissants d’Afrique de l’Ouest qui transitent par ce territoire pour se retrouver illégalement en Guinée Equatoriale.

      Leandro Bekale Nkogo, ministre de la Défense de la Guinée Équatoriale, a fait part de quelques propositions, qui selon lui pourraient contribuer au renforcement du dialogue et la sécurité le long de la frontière.

      « Il s’agit de mettre en place des mécanismes qui visent à encourager et à promouvoir la qualité des relations de nos deux peuples le long de la frontière, ainsi que la lutte contre la piraterie maritime, du banditisme au niveau des frontières et de l’immigration clandestine », souligne le ministre Leandro Bekale Nkogo.

      Par le passé, le Cameroun et la Guinée Equatoriale ont tenu des rencontres similaires sans véritablement s’accorder. Les populations espèrent que le sommet bilatéral qui vient de se tenir à Yaoundé aura plus d’effets que les précédents.

      https://www.dw.com/fr/la-guin%C3%A9e-equatoriale-suspend-la-construction-dun-mur-%C3%A0-la-fronti%C3%A8re-avec-le-cameroun/a-54008132

    • Malabo veut un mur à la frontière avec le Cameroun

      Officiellement, il s’agit d’assurer la sécurité à la frontière de la Guinée équatoriale. Mais la crainte d’un afflux de réfugiés venant du Cameroun pourrait également expliquer ce projet.
      Le président de la République de Guinée équatoriale, Teodoro Obiang Nguema, a décidé d’ériger un mur à la frontière avec le Cameroun. Officiellement, il s’agit d’assurer la sécurité de cette frontière un an après une tentative de coup d’Etat conduite par des mercenaires tchadiens et centrafricains qui étaient venus du Cameroun. La construction doit s’étendre sur 40 kilomètres sur le trajet entre Kye Ossi au Cameroun et Campo en Guinée équatoriale. Les travaux ont débuté et sont visibles depuis le côté camerounais.

      Mais à Kye Ossi, la construction du mur provoque la mauvaise humeur de la population locale.

      Pierre Tchinda, habitant de Kye Ossi pense que le mur sera un frein sérieux à la dynamique de la libre circulation des personnes et des biens dans la zone Cemac :

      « Est-ce qu’on parle de la libre circulation en érigeant un mur ? Que les Equato-guinéens nous disent exactement ce qu’ils veulent. Pourquoi ériger un mur ? Pour moi ça n’a pas de sens. Cela va causer un impact pour le citoyen qui achète sa bière à 500 francs CFA et va sans doute devoir ensuite la payer le double. »

      Tensions entre les deux pays

      Certains considèrent même cette initiative comme une provocation. A Kye Ossi, beaucoup pensent aussi que le mur empiète sur le territoire camerounais. C’est ce qu’explique Jean-Marie Zue Zue, l’adjoint au maire de Kye Ossi :

      « Les militaires équato-guinéens, à l’insu des autorités camerounaises, sont allés planter des piquets de délimitation de la frontière alors que cela ne devrait pas se faire ainsi. Il faut une commission ad hoc. Les autorités camerounaises et équato-guinéennes doivent travailler sur les limites exactes des deux pays. »

      Le sous-préfet de la localité, Joseph Victorien Happy De Nguiamba, a affirmé qu’il n’a aucun doute sur la volonté de la Guinée équatoriale de conduire le chantier du mur à son terme. Mais la situation est tendue, les autorités équato-guinéennes ayant refusé de se rendre à plusieurs rencontres prévues avec leurs homologues camerounais.

      La visite du général de l’armée camerounaise René Claude Meka à Kye Ossi il y a quelques semaines a rassuré la population. Les relations entre le Cameroun et la Guinée équatoriale pourraient en effet se détériorer à cause de ce mur.

      https://www.dw.com/fr/malabo-veut-un-mur-%C3%A0-la-fronti%C3%A8re-avec-le-cameroun/a-50058538

    • OBIANG CONSTRUIT UN MUR DE LA HONTE ENTRE LA GUINÉE ÉQUATORIALE ET LE CAMEROUN

      OBIANG NGUEMA MBASOGO vient de prouver une fois de plus à la communauté internationale qu’il ne respecte ni les Traités ni les lois ni les décrets qu’il signe, il vient de démontrer que sa signature de chef d’État au bas d’un parchemin n’a aucune valeur et tout cela pour construire un ’MUR DE LA HONTE" entre le CAMEROUN et la GUINÉE ÉQUATORIALE.

      Ainsi on apprend, à l’occasion d’incidents qui viennent de se produire à la frontière CAMEROUN/GUINÉE ÉQUATORIALE, que les autorités équato-guinéennes ont opté et commencé la construction d’un mur à la frontière avec le Cameroun au mépris des dispositions régissant l’intégration régionale et continentale.

      Comme on a pu le lire dans la presse, le moins que l’on puisse dire, c’est que le Gouvernement équato-guinéen souffle le chaud et le froid et danse le tango sur ce qu’il dit et ce qu’il fait, tout cela en violation des Conventions et Traités internationaux ainsi qu’aux principes de l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) dont elle est membre.

      Quant à l’armée camerounaise, Préfet en tête, elle est sur le terrain prête à en découdre avec les dépassements de frontière...

      La question de la libre circulation est sur la table depuis des années en Afrique centrale : en 1972, l’ancêtre de la CEMAC avait déjà acté la libre circulation des personnes,

      En 2000, à la création de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale, (CEMAC), l’idée d’un passeport commun à la zone centrafricaine avait été avancée puis décidée, mais le document n’a jamais vu le jour. Les négociations sur la libre circulation, laborieuses se sont poursuivies à chaque Sommet de la Communauté et elles ont longtemps achoppé en raison des refus de la Guinée équatoriale et du Gabon, pays pétroliers peu peuplés et relativement prospères (sauf pour les 80% qui vient en dessous du seuil de pauvreté) qui craignaient une immigration massive.

      https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=CADVWhK-uXM

      la CEMAC a pris acte de la ratification, fin octobre 2017 par tous les États membres, de l’Accord de 2013 sur la libre circulation des personnes dans la sous-région, mettant fin ainsi à des négociations laborieuses entamées il y a plus de quinze ans.

      Les chefs d’État de la CEMAC, réunis en Sommet extraordinaire à N’Djamena, ont aussi décidé d’autoriser la Banque de développement des États d’Afrique centrale (BDEAC) à débloquer 1,7 milliards de francs pour « accompagner l’application de la libre circulation ».

      À aucun cas cette somme, destinée à favoriser la libre circulation, n’était destinée à permettre de construire un "MUR DE LA HONTE"..., c’est dire que le signataire OBIANG NGUEMA MBASOGO n’avait aucunement l’idée, malgré sa signature d’appliquer ces Accords internationaux, ce qui remet en question toute sa crédibilité, celle de l’État et de ses ministres au moment même où il entend proposer la négociation de nouveaux blocs pétroliers ou de participer à des négociations sur la transformation du franc CFA et la création d’une nouvelle monnaie africaine...

      À ce sujet, il est particulièrement honteux, pour un pays comme la Guinée équatoriale, de venir mendier 55 millions d’euros auprès de la Banque africaine de Développement (BAD) pour, soi-disant, augmenter et valoriser la production de poissons, à travers le développement durable de la pêche industrielle, de la pêche artisanale et de l’aquaculture, alors que le président dispose, à titre personnel, d’une fortune personnelle de plus de 600 millions de dollars selon FORBES et que l’un des yachts du fils OBIANG vaut, à lui seul, plus de 250 millions de dollars... D’où vient tout cet argent qui manque lorsqu’il faut investir dans un secteur fondamental comme celui de la pêche et que l’on trouve pour satisfaire des achats compulsifs personnels et que l’on ne trouve pas pour satisfaire les besoins fondamentaux de l’État équato-guinéen ?

      Depuis des décennies, les populations du CAMEROUN et de la GUINÉE ÉQUATORIALE vivent en bonne intelligence et ont des relations commerciales soutenues par la nécessité alimentaire de la population équato-guinéenne, privée de développement dans ce domaine par le fait, pour le pouvoir en place sans interruption depuis 40 ans, d’avoir privilégié les constructions pharaoniques de plusieurs palais présidentiels et d’une ville fantôme au lieu de développer les secteurs économiques fondamentaux en pensant vivre éternellement de la rente pétrolière et des fruits de la corruption qu’elle génère, ainsi l’agriculture et la pêche équato-guinéennes ont été réduites à leur plus simple expression, ce qui a nécessité des importations alimentaires quotidiennes pour permettre à 80 pour cent de la population, qui vit en dessous du seuil de pauvreté, de pouvoir s’alimenter. Or, cette production alimentaire vient en grande partie du Cameroun.

      La construction du MUR DE LA HONTE divise même les familles équato-guinéennes et camerounaises qui cohabitent ensemble à la frontière et vivent ensemble sur le même territoire, le mur de la honte coupera en deux ce qui existe en brousse depuis des siècles, ce qui montre une fois de plus l’incapacité présidentielle et de ses ministres à prendre en compte la réalité sur le terrain des situations, les visites de chantier et les poignées de main serrées aux opérateurs sont bien loin des préoccupations de la population que le président semble ignorer et surtout prendre en compte.

      Le président OBIANG se prend pour l’empereur de CHINE qui, 200 ans avant notre ère, a construit la grande muraille de CHINE. Il entend marquer l’histoire de la République de Guinée équatoriale par des infrastructures qui portent son nom et dont il croit qu’elles défieront le temps, alors que l’on a vu les statues de tous les dictateurs de la planète tomber les unes après les autres, qu’il se souvienne du mur de BERLIN et des statues déboulonnées en terre africaine... Aujourd’hui, grisé par le fait d’avoir nommé son fils général, le voici qu’il veut qu’il endosse sa tenue de combat et ses rangers pour aller se frotter au pays voisin où l’armée camerounaise l’attend de pied ferme...

      Poursuivant son oeuvre de désinformation, voici que le Gouvernement équato-guinéen ose publier, ce 8 août 2019, un communiqué dans lequel le ministre de l’information, de la Presse et de la Radio et ministre porte-parole du Gouvernement (n’en rajoutez plus cela en fait beaucoup en matière de désinformation), Eugenio Nze Obiang ose affirmer " La Guinée équatoriale vient de célébrer 40 ans de paix, de prospérité et de saine coexistence nationale"... et il termine en concluant : "La Guinée équatoriale, unie comme étant un seul homme suivant son chef d’État, SE Obiang Nguema Mbasogo, continuera à lutter pour maintenir la paix,

      Ce communiqué, qui est un numéro d’illusionniste, fait une démonstration visant à condamner AMNESTY INTERNATIONAL, en reprenant, selon ses mots : "qu’un vent de liberté et surtout d’espoir s’est levé dans toutes les villes, dans tous les villages et dans tous les foyers, diffusant l’illusion d’une nouvelle vie pour tous les groupes de la population, qui n’avait connu que le terreur, l’intimidation et l’humiliation et pour lesquels la liberté était encore un rêve inaccessible".

      Oui il parle effectivement de ce que tout le peuple attend aujourd’hui : la paix, la fin de la dictature et le retour à la Démocratie, à la liberté de la presse, qu’Eugenio Nze Obiang malgré ses fonctions ignore puisqu’il porte le maillot n° 171 en matière de liberté de la presse dans le monde, ce qui est la preuve de son discrédit et de tout ce qu’il peut affirmer en parlant de paix au moment même où des tensions se sont formées sur le MUR DE LA HONTE, qui est la signature d’un Régime à bout de souffle en matière d’idées et de développement économique et social.

      Ce jour, le Conseil de Sécurité de l’ONU plaide pour une action plus intégrée et multisectorielle en Afrique de l’Ouest et au Sahel pour traiter les questions du développement, de l’action humanitaire, des droits de la personne et de la paix et de la sécurité. Cette démarche doit être entreprise pour s’attaquer aux causes profondes des crises qui touchent la région, c’est ainsi que le Conseil souhaite que les réformes politiques en cours dans la région soient consolidées pour prévenir les violences et l’instabilité et que la réconciliation nationale progresse. Aussi, le Conseil souligne que les parties prenantes nationales doivent collaborer pour faciliter la préparation, en temps voulu, et la tenue dans les délais fixés « d’élections véritablement libres, justes, crédibles et pacifiques ».

      Le Conseil appelle ces parties à prendre toutes les mesures qui s’imposent pour prévenir les violences et leur demande, instamment, de garantir des conditions égales à tous les candidats et toutes les candidates et de favoriser la participation pleine et véritable des femmes sur un pied d’égalité avec les hommes, notamment en vue d’accroître le nombre de femmes aux hautes fonctions de l’État.

      Le maintien de la paix ne saurait permettre la tentative de déstabilisation des relations avec le pays voisin engagée par le président OBIANG par la construction de ce MUR DE LA HONTE, c’est la raison pour laquelle la COALITION CORED, son président, les membres de son bureau ainsi que les 20 partis politiques et associations en exil, qui représentent les 250 000 personnes qui ont fui la Guinée-équatoriale pour ne pas se faire assassiner et rejoindre les 310 personnes dont la mémoire vient d’être honorée, une fois de plus, à la date du 3 août, demande l’arrêt immédiat de ce projet de construction du MUR DE LA HONTE équato-guinéen et appelle la communauté internationale à soutenir son action pour que les bonnes relations avec son pays voisin, le Cameroun, soient préservées.

      https://blogs.mediapart.fr/abeso-ndong-salomon/blog/080819/obiang-construit-un-mur-de-la-honte-entre-la-guinee-equatoriale-et-l