La clave para combatir la sequía está en los tiburones - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=C8W_f8Wa8A4
Cómo los tiburones pueden ser la clave para reverdecer la Tierra y combatir la sequía.
La clave para combatir la sequía está en los tiburones - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=C8W_f8Wa8A4
Cómo los tiburones pueden ser la clave para reverdecer la Tierra y combatir la sequía.
L’ecologie de la peur
▻https://www.sciencepresse.qc.ca/archives/2005/cap1701057.html
L’écologie de la peur met en évidence un élément longtemps sous-estimé par les biologistes : au-delà de l’impact direct des prédateurs, il existe aussi un impact indirect : les autres espèces modifient leurs habitudes dans les zones où il y a un risque de prédation, par exemple près des points d’eau. Ils n’y restent donc que peu de temps, par « peur » des prédateurs.
chez Reporterre (mai 2022)
Le rôle étonnant de la peur chez les animaux
▻https://reporterre.net/Le-role-etonnant-de-la-peur-chez-les-animaux
La peur joue un rôle important dans le comportement des animaux. Ainsi, par peur des prédateurs marins, les fous du Cap s’envolent toujours plus loin du rivage et délaissent les zones de pêche. Certains ne se nourrissent plus que de déchets de poissons. Au point que la survie de ces oiseaux est menacée.
Il est blanc, la tête légèrement ocre. Des plumes noires prolongent ses ailes et sa queue. Son envergure dépasse 1,60 mètre. Le fou du Cap (Morus capensis), un oiseau emblématique des côtes d’Afrique du Sud, est toutefois sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le dernier recensement, en 2018, ne comptait plus que 250 000 individus et la population était en forte décroissance. En cause : la surpêche qui décime son garde-manger d’anchois et de sardines, mais aussi la présence d’un prédateur redoutable, l’otarie à fourrure (Arctocephalus tropicalis), qui bouleverse ses habitudes de vie.
Dans une étude parue début mars dans Communications Biology, une équipe internationale de chercheurs décrit comment, poussés par la peur, les oiseaux s’éloignent toujours davantage de la côte la nuit et comment certains se contentent de déchets de poissons pour s’alimenter le jour.
L’adaptation du comportement d’une population de proies potentielles à l’arrivée d’un prédateur et la réorganisation de l’écosystème est un phénomène connu des scientifiques. Ils l’ont formalisé sous le nom d’« écologie de la peur » ou de « paysage de la peur ». Le concept a été médiatisé à la suite de la réintroduction du loup dans le parc naturel étasunien du Yellowstone en 1995.
Dans une étude parue en 2001, des chercheurs ont montré que le seul changement de comportement des wapitis par crainte du loup avait eu davantage de conséquences sur leur population que la prédation elle-même. La population avait alors chuté de moitié. Autre conséquence : de larges espaces avaient été désertés par les proies potentielles des loups, laissant place à une nouvelle faune et flore. Ces effets indirects en cascade ont modifié l’ensemble de l’écosystème... « jusqu’au cours de rivières ! » écrivent les auteurs.
Une partie du « glacier de l’Apocalypse » pourrait se briser d’ici cinq ans
14 décembre 2021
▻https://reporterre.net/Une-partie-du-glacier-de-l-Apocalypse-pourrait-se-briser-d-ici-cinq-ans
Dans un rapport publié lundi 13 décembre, la glaciologue américaine Erin Pettit explique que d’immenses nouvelles fissures ont été observées sur le glacier Thwaites. Situé à l’extrémité ouest de l’Antarctique, celui-ci est surnommé le « glacier de l’Apocalypse » et s’érige comme un véritable contrefort face à l’élévation du niveau des mers. (...)
Au Brésil, toujours plus de violences contre la société civile et les communautés autochtones
▻https://reporterre.net/Au-Bresil-toujours-plus-de-violences-contre-la-societe-civile-et-les-com
La pression sur la société civile brésilienne et les communautés autochtones s’accroit. ONG et représentants de peuples autochtones appellent à la résistance et à l’alliance face à la politique de Bolsonaro, qui aggrave le sort des groupes les plus vulnérables.
Quand une coopérative ouvrière relance la culture locale du tilleul
▻https://reporterre.net/REP-Scop-Ti-redonne-des-couleurs-au-tilleul-francais-La-cooperative-Scop
Après quatre ans de combat, les ouvriers de l’usine Fralib-Unilever, près de Marseille, ont empêché la délocalisation de leur usine de thé et d’infusion. Dans leur élan, ils ont fondé la coopérative Scop Ti et relancé la production du tilleul des Baronnies provençales, effondrée à cause de la concurrence chinoise et latino-américaine.
Belle alliance !