Le guitariste #Peter_Green, co-fondateur de Fleetwood Mac et auteur du hit « #Black_Magic_Woman », est mort à 73 ans
▻https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/rock/le-guitariste-peter-green-co-fondateur-de-fleetwood-mac-et-auteur-du-hi
Le guitariste #Peter_Green, co-fondateur de Fleetwood Mac et auteur du hit « #Black_Magic_Woman », est mort à 73 ans
▻https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/rock/le-guitariste-peter-green-co-fondateur-de-fleetwood-mac-et-auteur-du-hi
Je n’ai jamais vraiment écouté Fleetwood Mac, j’ignorais donc que la version de Santana était une reprise.
un commentaire chez discogs
▻https://www.discogs.com/artist/76045-Peter-Green
And when talking about great rock guitar or British rock/blues guitarists specifically don’t forget Peter Green is right in there with the likes of Beck, Clapton, and Page.
His guitar playing is excellent along with his songwriting skills giving him a high place in the Guitar Pantheon. The original Black Magic Woman was changed very little into the ever popular version by Santana, who use Greens’solo structure and buildup basically note for note in their fine-tuned cover. The Green Manalishi which was very heavy rock well before its time is another fine example of Greens vision.
The 1966 John Mayall With Eric Clapton - Blues Breakers, probably Claptons’ finest release, was followed the next year by John Mayall And The Bluesbreakers* - A Hard Road, which featured Green’s guitar & vocals. “A Hard Road” is an equally awesome recording which includes such heavyweight Peter Green compositions as “The Supernatural”.
I only am scratching the surface here, but Green has a fairly large amount of great music to check out.
une pochette (très moche) dont on parle encore, on se demande pourquoi ?
Peter Green n’est plus dans Fleetwood Mac depuis longtemps au moment de Rumours
Et je crois même que Peter Green et Stevie Nicks n’ont jamais été ensemble dans Fleetwood Mac...
Peter Green, le génie obscur de Fleetwood Mac, l’étoile noire du blues anglais.
▻https://gonzai.com/peter-green-lombre-blues-derriere-fleetwood-mac
Julien Deleglise pour le magazine Gonzaï
@sinehebdo Son départ de Fleetwood Mac est effectif en mai 70, après « l’Incident de Munich », Rumours date de 77. Il les rejoint pour quelques dates sur une tournée US en 71 et plus tard sur un autre enregistrement. Un très bon papier de Julien deleglise avec différents extraits de son oeuvre.
En octobre 1971, il effectue une session avec BB King. C’est à la suite de celle-ci que King dira que Green est le seul guitariste qui lui ait donné la chair de poule. Mick Fleetwood l’invite sur l’enregistrement en janvier 1973 du morceau Nightwatch destiné à l’album “Penguin” de Fleetwood Mac.
▻https://www.youtube.com/watch?v=pEffTdxfXKs
et #merci @kassem pour la découverte de ce grand guitariste car je n’ai jamais écouté un Fleetwood Mac à ce jour.
#Peter_Green #blues
Peter Green, la vie en blues
Charline Lecarpentier - Libération
▻https://next.liberation.fr/culture/2020/07/26/peter-green-la-vie-en-blues_1795259
▻https://next.liberation.fr/culture/2011/02/07/gary-moore-meurt_712961
#Gary_Moore
“My biggest regret is that I never got to share the stage with him,” said Nicks, who sang “Black Magic Woman” every night on Fleetwood Mac’s most-recent tour. “I always hoped in my heart of hearts that that would happen.“
▻https://krispyweiss.tumblr.com/post/624797451028725760/sound-remembrance-no-peter-green-no-fleetwood
Peter Green (1946-2020)
▻https://www.soulbag.fr/peter-green-1946-2020
#SoulBag
John Saxon, légende du cinéma de genre, est mort :
Le gars a joué dans une quantité phénoménale de films, dont une poignée très recommandable. Tu sais qu’il était la vedette masculine de « La fille qui en savait trop », de Mario Bava ?
▻https://www.youtube.com/watch?v=-nF54dLcxzw
Et Ténèbres, de Dario Argento :
▻https://www.youtube.com/watch?v=WTXo83SnmUE
Je vois que ça te turlupine, alors j’ai aussi googlé Jim Kelly, qui en est donc mort en 2013.
John Saxon, ce sont aussi quelques nanars pas piqués des hannetons.
Queen of Blood
▻https://www.youtube.com/watch?v=EGkLMDaEnNk
Pulsions cannibales
▻https://www.youtube.com/watch?v=zfHSOvdcHPY
Les Mercenaires de l’espace
▻https://www.youtube.com/watch?v=2t7z_44nGio
Blood Beach
▻https://www.youtube.com/watch?v=LaKYBzvScUc
Beyond Evil
▻https://www.youtube.com/watch?v=nWsFbP-2SQk
Hellmaster
▻https://www.youtube.com/watch?v=Q0uEEKd2QC0
Et un Cronenberg que je n’ai jamais vu : Fast Company (1979)
▻https://www.youtube.com/watch?v=nwiErj-lHXM
John Saxon, l’homme qui valait 200 séries B.
▻https://next.liberation.fr/culture/2020/07/26/john-saxon-l-homme-qui-valait-200-series-b_1795256
Léo Soesanto
Vétéran hollywoodien au rayon second rôle de grand et gros dur, l’acteur John Saxon s’est éteint à l’âge de 82 ans, des suites d’une pneumonie. Né Carmine Oricco à New York, il est remarqué par l’agent de Rock Hudson pour sa gueule de bellâtre latin, dans des emplois d’idole des jeunes aux côtés de Tab Hunter et Sandra Dee, idéaux pour éveiller chastement la sensualité du public d’ados bourgeonnants. Sa présence de macho polyvalent – qui le fait jouer des Mexicains, des Indiens ou un cheikh arabe dans Dynastie – le sert longtemps des deux côtés de l’Atlantique : en Italie (dans la Fille qui en savait trop (1963) de Mario Bava, Ténèbres (1982) de Dario Argento et nombre de séries B transalpines), dans les séries TV américaines (de l’Homme qui valait trois milliards à l’Agence tous risques) et des rôles de séduisante crapule (en bandit dans le western Appaloosa (1966) face à Marlon Brando). Sa filmo est pléthorique avec pas moins de 200 titres, il a même fini par réaliser un film d’horreur en 1988, Zombie Death House.
Pratiquant sincère de karaté et judo, il avouera rechigner jouer dans des films d’arts martiaux, de peur de les profaner, tout en reconnaissant la connexion physique : « Le tai-chi était fascinant parce que ça ressemblait aux exercices psychophysiques de mes cours d’acteur. » Il saute le pas et accède à la célébrité avec Opération Dragon (1973), où son jeu ironique rend cool et supportable un rôle de playboy balourd, en contrepoint à Bruce Lee. « Il me prenait au sérieux », dira-t-il. On le verra aussi invariablement en flic, dépassé dans des films d’horreur comme Black Christmas (1974) de Bob Clark et les Griffes de la nuit (1984) de Wes Craven. Sourcils épais et dents blanches, il incarnait ce machisme cinématographique célébré dans Il était une fois à Hollywood (2019) de Quentin Tarantino, inconséquent, d’un autre temps mais rassurant comme un doudou, dès qu’on voyait son nom à l’écran.
Alors :
il a même fini par réaliser un film d’horreur
le verbe « réaliser » est sans doute très excessif…