/le-taux-d-incidence-par-commune-dans-l-

Le site Geodes ▻https://geodes.santepubliquefrance.fr/index.php#c=indicator&f=0&i=sg_iris_imp.ti&t=a01&view=map est encombré…

On est accueilli par un dispositif de gestion de file d’attente :

https://dl.dropbox.com/s/6msnrfjbe21kwca/20201022_SPF_File_d%27attente.png

avec une barre verte qui progresse assez vite

#covid #coronavirus

« Les taux précis ne sont pas rendus publics, pour empêcher toute identification possible de personnes concernées. »

C’est souvent assez pipo, quand on connait vaguement la densité de population, et que l’on sait que la réponse est un nombre entier. C’est du moins le cas hors des grandes villes. Dans un quartier de 2000 habitants, il faut un taux d’incidence supérieur à 100 pour avoir un peu d’incertitude. Ceci dit, ce ne me semble pas une question majeure.

Premier essai rapide d’utilisation des nouvelles données Santé Publique France à maille géographique plus fine. Germain Forestier
▻https://twitter.com/gforestier/status/1319649221696495616

dont Évolution de l’incidence en France du 27/09 au 19/10, pas importable, et très spectaculaire.

dont instantanés du 27/09 et du 19/10

https://pbs.twimg.com/media/ElBWGjVX0AICnNX?format=jpg&name=large#.jpeg https://pbs.twimg.com/media/ElBWHo5XIAYfxKv?format=jpg&name=large#.jpeg

Un aspect spectaculaire, c’est la contamination des départements de proche en proche. On a aussi ce genre de « contamination » entre tranches d’âges dans les « heatmaps » qui circulent par ailleurs.

Ça me semble un argument à opposer à ceux qui prétendent que ça augmente à cause des faux positifs, parce qu’on teste de manière plus ciblée, parce que les médecins sont payés, etc. Parce qu’on n’aurait pas alors ces très visibles contaminations de proche en proche (de département en département, de tranche d’âge en tranche d’âge). Ce qu’on « voit », c’est bien le principe même d’un épidémie qui se diffuse de proche en proche.